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Je me suis corrigée, mais je vais relire au cas.
Seigneur ! Pardonne-moi ! Je te demande pardon pour mon comportement pècheresse. Je ne devrais aucunement commettre de tels actes auprès d'un homme inconnu. Mes gestes sont signe de l'ignorance ou de faiblesse. Cependant, mes forces me quittent. Tu dois comprendre le pourquoi. N'as tu jamais regardé les créatures que tu créer ? Alors comment puis-je ne pas commettre l'irréprochable ? Tu es celle ayant causé ce malaise. Tu m'as offerte sur ma route, cet homme digne de la création de Lucifer. Ne le perçois-tu pas ? Je suis faible ! Je suis une femme ! Je suis la Ève du temps moderne. J'ai envie de croquer cette pomme interdite depuis le premier jour. Je me souviens de sa photo de profil sur Tinder. Il avait tout pour me repousser, mais tout pour me plaire. Il avait l'apparence qu'il ne fallait pas ! Je n'aurais pas dû cliquer sur le coeur. Ma conscience voulait que mon doigt le refuse, mais la tigresse en moi le voulait. Je ne peux mentir. J'aurais été cruelle avec moi-même. Je n'aurais jamais pu l'avoir. Un tel homme préfère de loin des beautés refaites. Pourtant, nous avons discuté. Pour échanger des propos simples tout comme provocateurs. Une petite photo par ici, un désire sexuelle évoquer. Nous avons joué avec le feu jusqu'à l'échange de nos numéros. À cet instant, je venais de signer un pacte. Tout cela par ta faute ! Bon Dieu ! Pour quoi avoir créer un tel humain ! Je voulais déposer mes lèvres contre les siennes. Je le voulais non pour l'aimer ! Je le voulais dans mon lit alors qu'il n'a jamais accueilli personne d'autre que moi. Je voulais déposer les paumes de mes mains sur son corps afin d'explorer chaque parti de celui-ci. Je voulais goûter avec lui le plaisir charnel que tu interdis avant le mariage. Merde ! Fais chier ! Tu n'as pas un exemple ! Je vais délaisser ce côté réserver pour me libérer de ma malédiction entre ses mains fermes. Je vais tomber dans les bras de l'enfer pour me laisser souiller par mes gestes ignobles ! Des gestes qui me rendent folle.
Je ne comprends pas mon corps. Il voulait jouer cette partie. Ce n'était pas moi qui le dirigeais, mensonge, j'étais manipulée par ma propre sauvageonne intérieure. Sous une certaine image, je me répugnais moi-même. Toutefois, ce petit plaisir me rend folle. J'en voulais plus. Je voulais connaitre plus que mes petites aventures de ce soir. Pourrais-je me promener sans petite culotte dans un centre commercial avant qu'il me retrouve dans une cabine d'essayage ? Pourrait-il me prendre devant une large fenêtre d'un hôtel luxueux ? Je me vois très bien, mes mains déposer contre la paroi de la vitre, mes siens m’écrasant contre la glace froide, ma voix le suppliant d'aller plus rapidement alors que nous laissons la tour voisine admirer le spectacle. Mon imagination est trop fertile. Je ne méritais pas d'être aussi en feu ! Il avait allumé au creux de mon ventre un appétit qui souhaitait être comblé. Je voulais qu'il brise en deux cette fameuse cerise en la déchirant. Qu'il la savoure comme il n'a jamais dégusté une femme. Quelle idiote ! Je ne connais rien, mais j'ai regardé pour calmer ce manque autrefois. Aujourd'hui, je voulais réaliser quelques petits essais. Alors, mon grand jouons un peu ! Je suis ta proie et tu es mon prédateur. Attrape-moi ! Dévore-moi ! Brise-moi ! Je suis ta chose pour ce soir. Je ne souhaite qu'une chose t'appartenir pour une soirée.
Je ne voulais pas m'offrir au premier venu. Je voulais reste celle que je suis. Il faut dire que la religion et moi ne sommes pas amis. Ma mère n'est pas croyante et mon père est de la vielle-école. Hélasse, je ne voulais pas me donner à personne. Je rêvais peut-être comme une gamine tout le long. Mais, aujourd'hui...je me suis lassée de cette stupidité. Cette chose qu'une femme de trente ans ne devrait pas avoir intacte. Mais, suis-je prête ! Pas vraiment ! Mes hormones sont présentement en fête. Tendis qu'une chose humide entre mes jambes m'indiquait le plaisir grandissant qui avait en moi. Ai-je honte ? Oui ! Allais-je arrêter pour autant ? Putain de merde que non !
Je retirais mes ongles de son bras. En ressentant la douleur de la pression contre mes bouts de doigts. Sa chemise n'avait pu arrêter la force. Il avait fait signe d'intelligence ou d'expérience. Je ressentais mes jambes vibrer. Ma partie intime voulait exploser. Je la sentais, elle avait pris une autre route. Ce n'était pas l'annoncèrent d'une inondation, mais presque. Si, seulement il pouvait remettre deux doigts contre mon muscle pour le taquiner à nouveau. Il pourrait mettre juste un peu de pression et ma voix briserait l'intimité que nous avons. Je ne voulais pas qu'il arrête, mais c'était son choix. Allait-il me demande autre chose. ? Pouvait-il m'ordonner quelques choses de pire ? J'aimerais ! S'il vous plaît... Friedrich cite mon prénom ! Dit Viktoria écoute-moi, tu devras... Je veux que cette voix puissante me vienne aux oreilles.
Je voulais l'apercevoir de mes propres yeux. Friedrich est-ce vraiment toi sur ta photo de profil ? As-tu joué de moi ? Non ! En me retournant pour le regarder, je reste sans voix. Ce n'était pas un homme que j'avais devant moi. Il s'agissait d'un combattant. Un Viking ou un fils de Zeus. Mon un mètre soixante-quinze pouvait avoir honte. Je suis petite à ses côtés. Très petite ! Cependant, mes yeux ne peu le quitter.
Mes iris viennent à se noyer dans ses yeux de couleur océanique. Quel homme magnifique. Son charme digne du prince de glace vient me charmer. Un doux visage sérieux signe de dictature, de présence, de force, de courage, de présence. Ce n'est pas un gamin qui est debout devant moi. Il s'agissait d'un homme. Un homme viril qui laissait son énergie se transmettre en nous. La présence qui émerge de lui me charme. Je pouvais enfin comprendre pourquoi sa photo m'avait attirée. Je n'ai pas de mots pour le décrire. Il est simplement magnifique. Une beauté que même un auteur ne pourrait décrire. Je n'avais pas n'importe qui devant moi. J'avais lui. Friedrich, l'allemand qui me rend folle en quelques secondes. Je me perds dans ses yeux . Il n'avait plus que lui et moi. Ce n'était plus un évènement ennuyeux, mais une soirée mémorable. Je n'aurais jamais cru rencontrer un homme de sa beauté un jour. Mon regard descend vers ses lèvres qui m'appelaient. Je voulais déposer mes lèvres pulpeuses contre les siennes pour les caresser. Je voulais laisser ma langue saluer la sienne pour entreprendre une danse sensuelle. Sa voix grave cita mon nom. Le rouge vient colorer mes joues. Je clignais des yeux à deux reprises sans bouger ni parler. Mon corps tout entier est sur le choc. Je ne l'imaginais pas ainsi. << Friedrich >>, dis-je d'une voix enjôleuse. Je ne voulais rien dire de plus. Cette simple prononciation me rend nerveuse. Lorsqu'il me proposa de le suivre d'un murmure près de mon oreille, une bouffe de chaleur enflamme mon corps. Le souffle émis par ses mots effleure ma peau et provoque en moi une brise plus intense.
Ne me touche pas ! Mes yeux vient s'élargir alors que son contacte anodin provoquer des étincelles. Cette fichue excitation allait me tuer. Je lui donne mon accord d'un simple signe de tête avant de le suivre. Nous quittons la piste de danse en contournant le rassemblement pour nous diriger vers le fond du hall. Mes yeux ne quittent pas son long dos. J'aurais bien aimé y déposer mon front pour sentir son parfum qui lui collait à la peau. Ce long dos que j'aimerais toucher. Je me mords la lèvre de nouveau . Je m'imagine ce dos étendu sur le lit alors que je le domine. Je me vois descendre de ses lèvres vers le bas de son ventre le couvrant de baisers afin de goûter ce truc salé que toutes femmes ont déjà dégusté.
Je sors de mes fantasmes en rencontrant le dos en question. Nous arrêtons ? Pourquoi ! Non, avant ! J'allais finir par me consumer intérieurement. Une voix de femme vient me sortir de mon enthousiasme. C'était quoi ? Elle attendait qui depuis vingt minutes ? Je froisse rapidement les sourcils en me libérant de la poigne de mon bel allemand. Est-ce un membre de sa famille ? Sa compagne de la soirée ? Une amie ? Je me pose rapidement plusieurs questions. Qui est-ce ? Je me place en angles de Friedrich pour examiner la dame debout devant nous. Il faut que je reste derrière un peu. Je restais surprise. Une poupée de chirurgien. << Tu t'excuses même pas ?! Tu oses me lâcher pour ça sérieux ! >> Ce ''ÇA'' voulait-il dire moi ? Cette amatrice du bistouri m'insultait ? Je ne lui avais rien fait ! Agression gratuite ! J'aurais aimé interagir, mais il avait une armoire de masculinité qui me barrait la route. << Une meuf qui n'a aucune prestance, regarde-moi ça je suis sûr qu'elle se prend pour la reine de la soirée celle-là ! Tu n'as décidément aucun gout mon pauvre, moi je suis une mannequin réputée !! >> rajoute-t-elle. Cette fois-ci, je laisse le fou rire sortir. Sans prestance ! Elle se prend pour la reine de la soirée ? Mannequin réputée ? Cette pauvre conne ne savait pas qui elle avait devant elle ! Cette ''sans prestance'' est l'une des héritières du trône de l'Allemagne. Elle se prend pour une reine, non une princesse nuance ! Elle est mannequin réputer ? Pour Walt mart, oui ! Je l'écoutais insulter l'homme devant moi sans arrêt. Je ne cessais de rire de plus belle. Après quelques secondes, je parviens à retrouver mon sérieux. <<Écoute! Ma belle ! Mannequin réputé ? Je ne t'ai jamais aperçue dans un défilé. Puis avec ton visage et ton apparence, je comprends les petites marques de te vouloir. Il ne suffit pas d'avoir un corps refait et de coucher avec son agent pour être célèbre. >> dis-je en allant au côté de mon allemand. <> dis-je sèchement. Je n'étais pas insultante,non. Je restais un peu poignante dans mes mots. Mais, je refuse que mon orgueil soit touché. J'ai déjà les poings serrer dans mes mains pour ne pas lui ramener une droite.Ça suffit. Je regarde Friedrich en lui souriais gêner de la situation. << tu crois que nous pouvons changer d'air ? Il serait dommage que nos plans s'arrêtent à cause d'un caprice d'une fausse princesse.>> lui dis-je doucement. Je me levais plus haut sur mes bouts de pieds pour rejoindre son oreille et dis-je d'une voix rogue << À moins ... Que tu souhaites que je me fasse jouir seul ? >> dis-je en laissant mes talons retrouver le sol. Je lui souriais aux coins. Cette sans prestance à l'habitude d'obtenir ce qu'elle veut ! Alors, la fausse reine veut sentir cet apollon la caresser au plus vite.
Friedrich répliquant rapidement en me laissant un sourire satisfait s'afficher sur mes lèvres. Je me laisse de nouveau prendre ma main pour être trainé comme une esclave vers la salle de bain des femmes. Il m'ouvrit la porte avant de la refermer derrière nous. Il s'approche de moi et la chaleur grimpa en moi. Qu’allait-il me faire ?
Je reculais doucement vers le comptoir des toilettes. À cet instant, je me sentais vulnérable. Mes yeux le regardèrent rapidement avant de fuir de nouveau. Avais-je joué avec le feu ? Surement. Il attrapa rapidement mes hanches à ma grande surprise. Provoquant ainsi un cri de surprise. Mon souffle s'amplifie. Je reflétais à cet instant le désir et la panique. J'avais peur de l'inconnu, mais je rêvais de cet instant. Combien de fois me suis-je caressée en m'imaginant ce genre de scénario...Je me mords la lèvre du bas en plongeant mes yeux dans ses yeux. Je voulais tout, mais je ne voulais pas non plus. J'appréhendais ce jour depuis longtemps. Il était arrivé à ma grande surprise.
Je ne le quittais pas des yeux. Je voulais apercevoir les émotions se dessiner sur son visage de glace. Je sentis alors ma robe être surélevée délicatement. Une main froide se déposait sur mon ma peau. Un doigt descendit le long de l'ouverture. Son doigt fut accueilli par cette chaleur présente en moi depuis un moment. Une peau humide qui a été travaillée plutôt. Le bout de son doigt rentra entre les bouts de peaux suivis d'un deuxième. Une pression se fit ressentir alors qu'un mouvement circulaire vient se présenter à mon muscle. J'agrippais entre mes mains ma robe. Je penchais la tête vers l'arrière en sentant mes jambes vibrer sous mon poids. Un petit choque. Mon bassin descend vers le bas dans un mouvement rapide pour remonter. Je me sentais devenir folle. Puis un second spasme me traversa le corps en entier. Ma lèvre se fit saisir de plus belle par mes dents du haut. Je frissonnais. Ses doigts d'expert ne taquinèrent aucunement ce truc, il lui offrit un massage d'expert. Je me sentais venir. Je voulais exploser sous sa main, mais il me délaissa. Je sentis ses doigts descendants à la recherche de quelques choses. Ils glissèrent doucement en provoquant ainsi une nouvelle sensation avant de se détacher de ce lieu intime. Je compris alors ce qu'il cherchait. Le mouvement fut automatique. Une boule sort en premier. Ma respiration ce fut bruyant. Je remontais ma robe lui exposant ainsi mon ventre et le bas de mon corps dénudé. Sa main libre rejoint ce bout de mon corps qui était caché pour recommencer ce petit plaisir. La deuxième sortit. Mon souffle se coupa avant de reprendre. Je me retenais ma respiration lorsque la troisième sortit. Je voulais crier ! Je voulais qu'il perçoive ce qu'il me faisait. Je descendis la tête pour le regarder de nouveau en cherchant mon souffle. Un petit coup de doigt et je me laisse aller sur lui. Je sentis la chaleur d'un liquide descendre doucement sur mes cuisses. Je venais de me libérer par la jouissance. C'était la première fois. La première fois qu'une personne m'offre un tel cadeau. Je le regarde en respirant rapidement. Je me sentais gêner. Même vulnérable devant lui. Je venais réellement de signer un contrat que même ma mère ne me pardonnerait pas. Il retira sa main de l'intérieur de mes cuisses à ma grande déception. Il caresse ma peau en ne manquant aucune partie au passage pour rejoindre mon bassin. Je poussais un nouveau cri de surprise lorsqu'il me souleva comme une vulgaire plume. Mon postérieure se déposa sur le lavabo. Je le provoquais du regard. J'en voulais plus ! Il souleva ma robe comme un vulgaire chiffon. J'ouvris par instinct mes jambes en laissant un angle de vue mémorable. Il pouvait enfin apercevoir le travail qu'il avait fait. Je sentis le regard se déposer sur cette partie sacrée de mon autonomie. Une lourde pression se fit sentir sur le bas de mon ventre. Que pouvait-il regarder ainsi ? Ce n'était rien de plus que ma ...
<< Friedrich... >> dis-je d'une faible voix. Ce n'était pas ma voix normale. C'était presque une supplication. Je voulais qu'il me touche de nouveau. L'invitation venait d'être lancée. Ma main droite soutenait mon poids alors que ma main gauche descendit vers ma partie réveiller en souhaitant lui offrir ce qu'il avait manqué lorsqu'il m'avait ordonné de me caresser. Pouvais-je continuer moi-même. Je touche ma peau gonfler en soutenant son regard. Je voulais le provoquer. Je l'invite à continuer maladroitement.
@Friedrich Hohenzöllern
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