je reste par terre allongée sur le sol les larmes roulant le long de mes joues et recevant les coups, j'ai envie de hurler, mais les mots ne sortent pas de ma bouche aucun son rien je n'y arrive pas. puis tout s'arrête d'un coup les coups cessent et je reste seule dans le froid tremblant de peur n'osant pas bouger pour le moment. puis tu t'approche de moi et je vois ton visage en sang je ne peux qu'être horrifiée devant ce spectacle, tu me demande si je peux me lever et une fois encore lorsque j'ouvre la bouche aucun son n'en sort alors je hoche la tête pour te dire que c'est bon je vais savoir me lever. je te prends le bras et j'essaye de me lever, mes jambes tremblent encore alors je m’agrippe vraiment à toi pour ne pas retomber à nouveau. j'ai mal partout à cause des coups et je ne peux pas arrêter les larmes qui coulent sur mes joues c'est plus fort que moi. quand j'entends que tu veux appeler les pompiers je commence un peu à paniquée. « non pas les pompiers s'il te plaît.. je ne veux pas aller à l'hôpital et qu'on apprenne ce qu'il s'est passé. » je te regarde droit dans les yeux je suis vraiment sérieuse Zed si tu tiens à moi alors partons tout de suite. « je suis désolée pour tout ça.. tu n'aurais pas dû intervenir je me suis mise dans cette merde toute seule c'est moi qui méritais les coups pas toi. » je te touche le visage avec une grimace je m'en veux terriblement que des gens ont pus t'infliger ça. « merci en tout cas. mais s'il te plaît rentrons à l'appartement maintenant on se soignera avec la trousse de premier secours dans la salle de bains s'il te plaît Zed.. » oui je suis vraiment en train de te supplier la alors vraiment fais ce que je te dis.
j'arque un sourcil quand elle me regarde pour me dire de ne surtout pas appeler les pompiers - maggie... t'as vu dans l'état où t'es ? ça serait pas raisonnable de pas consulter.. - le regard de détresse de maggie me glaça le sang... je grimace, soupire et après quelques secondes de réflexion, je regarde mes potes - les gars, dites au gars de la sécu' que je l'ai amenée moi-même urgences. mais restez là pour les flics - bon, j'imagine bien que je vais m'attirer les foudres de mes potes, mais pour le coup, la détresse de maggie passe avant. je la regarde de nouveau et lui dit en essayant de la lever - allez, on rentre à l'appart', prends appuies sur moi. - je l'aide à se lever et je lâche en poussant un long soupire agacé - t'es vraiment têtue... - je l'amène difficilement jusqu'à la voiture, la place sur la banquette arrière et lui dit - t'inquiètes pas pour moi, ça va aller... t'es sure que ça va toi ? - je m'en veux déjà...
je te supplie vraiment du regard pour ne pas que tu appelles les pompiers, je ne veux surtout pas être hospitalisée et que ma famille sois au courant c'est encore un truc qui pourrait être médiatisée je vois déjà en gros plan "la nièce de monsieur macron hospitalisée" non stop j'ai pas envie de donner cette image la à ma famille et à moi même surtout que mon oncle s'en fiche totalement et il pourrait très bien payer tout le monde pour se taire. « je risque seulement d'avoir l'égratignure au visage qui va rester un temps et des bleus sur le corps mais c'est tout.. je t'en prie zed si tu tiens à moi. » c'est un peu du chantage affectif, mais finalement tu cède en prévenant tes potes, je m'en veux terriblement car tu as pris des coups par ma faute et j'ai gâcher ta soirée. je vais devoir me rattraper auprès de toi en espérant que tu ne va pas me détester. « merci beaucoup. » je m'appuie sur toi et tu m'aides à monter dans ta voiture. quand tu me dis que je suis têtue j'hoche la tête c'est vrai je le suis, mais l'hôpital c'est carrément chiant je préfère me soigner à l'appartement. « si je m'inquiète j'ai gâcher ta soirée avec tes potes et ton visage..fais chier. » j'essuie quelques larmes qui roulent encore sur mes joues puis tu prends place au volant de la voiture pour la démarrer direction l'appartement ou on sera mieux tous les deux après cette soirée catastrophique.
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