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MADDOX & JUNE ┼ Alors c’est ça être adulte, avoir un compteur qui affiche 210 et ne jamais dépasser le 60 ?

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    Depuis quelques jours les choses avaient un peu changés dans ma vie, il est vrai que la nouvelle que j’avais appris avait un peu bouleversé mon programme. Un peu, le mot était faible, j’étais chamboulé par la nouvelle que je venais d’apprendre à savoir que j’étais enceinte. Je n’en avais encore parlé à personne excepté ma meilleure amie, River qui était le principale intéressé n’était pas au courant. Il faut dire que j’avais très peur de sa réaction, je ne savais pas ce qu’il dirait et comment il réagirait, je le connaissais suffisament pour avoir bien compris qu’il ne voulait pas bébé maintenant et comment le blâmer alors que nous étions étudiants et que nous nous étions rencontrés il y a quelques mois. Pourtant vivre sans ce bébé était maintenant inconcevable à mes yeux, je ressentais déjà une connexion avec lui, certainement un truc inexplicable de mère à enfant. Je sentais déjà comme des fourmillements dans mon ventre, comme si il me faisait des petits signes de temps en temps. Oui je sais que c’est un bébé de quelques jours à peine et qu’il ne peut faire aucun signe à sa mère mais moi j’ai l’impression qu’il me fait déjà sentir sa présence et cette sensation est tout simplement…magique ! J’aimais être une mère, oui je n’étais pas mère mais j’aimais déjà la perspective de l’être, cela me plaisait. Depuis que j’avais appris ma grossesse j’étais rayonnante, le seul point noir à mon bonheur serait de le dire à River qui me demanderait surement d’avorter ou de faire adopter mon bébé. Enfin, je n’étais pas sûr qu’il soit capable de me demander une telle chose mais il me poserait forcément la question et mon choix était déjà fait, je voulais pas me débarrasser de mon bébé comme d’un paquet. J’avais l’impression d’avoir pris un peu de poids, déjà, bon je sais bien que c’était purement psychologique mais cela me donnait une bonne occasion de refaire un peu ma garde robe. J’en avais donc profité pour acheter quelques vêtements dans une boutique spécialement d’Harvard, je pourrais porter fièrement le rouge et le blanc qui était les couleurs de l’université. J’étais entrain de déambuler dans les rayons quand je vis le beau Maddox à quelques mètres de moi. Il était vraiment très beau, il paraissait pourtant sans attache mais une chose était sûr, il était pour moi un ami fidèle sur lequel je pouvais compter. J’arrivais derrière lui puis lui bandait les yeux avec mes mains comme pour le surprendre, je me mis à rire avant de lui murmurer : « Devine quelle splendide créature aux cheveux bruns est derrière toi ? ». Oui les cheveux bruns c’était bel et bien un indice car je ne voyais pas trop quoi lui dire d’autre mais avec mon sens de l’humour, il m’avait certainement déjà reconnu !
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« Et cette petite robe rouge ? Elle ne te plaît pas ? » Le jeune homme brandit la robe toujours accroché au cintre. Celle-ci était magnifique, d’un rouge « pur », centré à la taille et brodé de quelques discrètes perles sur la poitrine ainsi que sur les bretelles. Il la leva bien en l’air afin que la jeune femme aux cheveux blonds puisse la voir. Elle daigna la regarder, grimaça et fit un signe de mécontentement. Décidément cette fille était chiante. Décidément qu’est ce qui ne fallait pas faire pour pouvoir mettre une fille dans son lit… Cette même fille il l’avait connu ici, au campus. Depuis quelques temps Maddox avait pris l’habitude de trainer par la. Pour voire des connaissances, ou pour rencontrer des personnes. Il c’était aperçu que les étudiantes aimé beaucoup le style « patron pourrie » du jeune homme. Et ca lui plaisait. Il avait besoin de s’oxygène, de sortir du bureau, de respirer. Mais il avait encore plus besoin de se détendre et de se distraire. Et pas qu’avec le boulot.
Il fut étonné le matin même quand il reçue un appel de la belle blonde. Celle-ci était disponible toute l’âpre midi et elle lui avait proposé de boire un verre avec lui. Maddox avait accepté sans même hésiter une seconde. Sauf que la jeune femme s’avérer être une « shopaholic » en puissance. Et elle n’avait pas pu s’empêcher de pousser la porte de cette petite boutique. Maddox l’avais suivit, en trainant le pas. Il détester faire les boutiques. Pour renouveler sa garde robe c’était bien simple, soit il commander par catalogue, soit il se rendait dans les grands magasins et il leurs disait de façon net et précise ce qu’il recherchait. Ainsi les vendeuses ne tournaient pas autour de lui comme de vulgaires corbeaux.
Il poussa un long soupire et laissa sa tête tomber en arrière d’une façon las. A cet instant, une personne se faufila derrière lui, elle plaqua ses mains – qui étaient froide d’ailleurs – sur ses yeux. Le genre de blague que les femmes adorent… « Devine quelle splendide créature aux cheveux bruns est derrière toi ? ». En quelques secondes seulement il pu reconnaitre la personne qui se trouvait derrière lui. Il connaissait cette voix, cette présence, ce parfum même. Il eu un sourire au coin des lèvres et pria : « Penelope Cruz, par pitié faites que ce soit Penelope Cruz ». Il avait joins ses mains tout en « priant » pour cette belle brune. Toujours en souriant, il détacha les mains de la jeune femme et se retourna. June se trouvait devant lui, comme il l’avait prédit. Il adoré cette jeune femme. Pas forcément comme une « prétendante » potentiel, plus comme une amie. Une véritable amie, une amitié sincère. June avait était l’une des premières personne qu’il avait côtoyé en arrivant a Cambridge et c’était sa bonne humeur ainsi que son sourire qui lui avait fait le plus de bien.


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    J’étais bien contente d’avoir fait quelques emplettes, j’avais surtout acheté des habits plus grands pour mon futur gros ventre. J’avais du mal à me dire que très prochainement j’allais avoir un gros bide et un bébé qui bougerait dans mon ventre. Au départ je flippais énormément surtout envers River mais plus le temps passait plus je m’attachais à cet enfant et je me disais que ce ne serait pas une si mauvaise chose. Pourtant il est vrai que j’étais une simple étudiante, avec des revenues bien faible mais je me disais que l’argent n’était pas la chose la plus importante, mon enfant aurait certainement beaucoup d’amour autour de lui. Une fois que j’aperçu le beau Maddox je filais à sa rencontre. Maddox avait tout de l’homme parfait, franchement il avait un physique parfait et il était très gentil, malheureusement ce n’était pas le genre de personne qui avait tendance à s’attacher. En même temps je pense qu’il était beaucoup trop beau et beaucoup trop bien pour que j’ai une toute petite chance avec lui. Je me mis à rire quand il se mit à prier pour que ce soit Pénélope Cruz c’est vrai que cette fille était vraiment un bombe, le genre de fille auxquels j’aurais voulu ressembler. On dit que Dieu nous a fait tous égaux mais c’est bien faux, si j’aurais pu échanger ma vie contre la sienne je crois que je l’aurais fait sur le champ ! Je me mis à rire, avant de lui murmurer assez doucement dans l’oreille : « Oui avec sa petite sœur Monica, ça te plait ? ». Je m’approchai de lui davantage avant de rire de nouveau, les deux petites Cruz pour un seul homme ça devait être le fantasme de beaucoup d’hommes. Je finis par lui répondre presque tristement : « Non ce n’est que moi mais je suis sûre que mes compétences en certaines matières sont largement égales aux leurs ! ». J’haussais les sourcils avec un sourire coquin qui en disant long sur mes intentions perverses. J’avais du mal malheureusement à garder mon sérieux enfin quand je lui parlerais de ma grossesse et de River les choses seraient certainement moins rigolotes. Je finis par me racler la gorge, ne me demandant même pas s’il était accompagné ou non. De toute façon s’il était accompagné j’avais l’audace de croire que je serais plus importante que sa petite conquête d’une nuit et qu’il l’abandonnerait volontiers pour être en ma compagnie. Après avoir plaisanté quelques instants je repris mon sérieux pour lui demander de ses nouvelles, après tout il aurait certainement moins de choses à me raconter que moi donc autant qu’il commence par me dire s’il allait bien pour que j’enchaine sur tout ce qui m’arrivais en ce moment : « Quoi de neuf ? Comment va le plus beau de Cambridge ? ». Le plus beau de Cambridge c’était un peu pour lui faire plaisir et de toute façon j’avais souvent tendance à charmer les hommes qui se trouvaient autour de moi, il devait en avoir l’habitude.
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« Oui avec sa petite sœur Monica, ça te plait ? ». C’est vrai que l’idée d’avoir les deux sœur Cruz au près de lui ne lui déplaisait pas. Il aimé leur coté… latino. Il eut un sourire au coin des lèvres. Ce qu’il aimé chez June, c’était son sens de l’humour. Doucement, la jeune femme délassa ses doigts et retira ses mains. Maddox les attrapa au vol, et tout en les tenants se retourna. Face a elle, il lui fit son plus beau sourire« Non ce n’est que moi mais je suis sûre que mes compétences en certaines matières sont largement égales aux leurs ! ». Le jeune homme eu un petit rire, puis il lui répondit. « Leurs sourires n’égalera jamais le tiens ». Il se rapprocha doucement d’elle et déposa un tendre baiser sur son front. Il était rare que le jeune homme se comporte ainsi avec des femmes de son âge, mais June était différente, il ne voyait en elle qu’une amie, pas une conquête. Et puis il avait ce sentiment, qu’il n’avait pas souvent, il aimé l’enlacer et être tendre avec elle. Un peu comme une sœur. Il aimé la voir sourire. Peut-être était ce du au fait qu’elle avait était juste la après la mort de Jude.
Il lança un coup d’œil à son panier, elle aussi avait fait des emplettes. « Quoi de neuf ? Comment va le plus beau de Cambridge ? ». La jeune femme eut à peine le temps de finir sa phrase que Maddox la tira par le bras, l’obligeant ainsi à ce baissé. Il venait de repenser à cette fille. A l’explication de sa présence en ce lieu. Cette fille, un peu trop « chiante » à son gout aller surement revenir vers le rayon d’une seconde à l’autre. Il jeta un coup d’œil au dessus du portique et vu la belle blonde, cherchant au tour d’elle son … son valet quoi… Il s’abaissa aussitôt quand elle tourna la tête et regarda June. « Je veux pas qu’elle me voit. Viens faut qu’on la sème ». Tout en restant accroupis et en tenant la main de la jeune femme, il avancera vers la sortie. Il se stoppa en la voyant au bout du rayon et regarda la belle brune d’un air inquiet « Sauve-moi ».


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    Je m’étais à rire débilement après lui avoir caché les yeux comme un enfant heureux de sa blague. Je fus néanmoins très heureuse lorsqu’il me répondit que mon sourire était beaucoup mieux que le leurs, c’est vrai que mon sourire avait toujours était l’une des choses qui me caractérisaient le mieux. Mais dire que j’étais plus belles qu’elles deux je pourrais jamais me le permettre tout simplement parce que Penelope et Monica c’était deux des filles les plus sexy de la planète. J’ouvris alors grand la bouche très surprise avant de lui répondre : « Non, dis pas ça ! Si seulement je pouvais avoir leurs physiques et tout, je serais vraiment mieux ! ». Oui car mon physique m’avait toujours gêné, j’étais beaucoup plus ronde que la normale et ça me faisait mal au cœur, d’accord mon petit-ami n’hésitait pas à me dire que mes formes étaient magnifiques mais…moi j’avais toujours du mal à le croire. Je fus attendri par le petit baiser qu’il me donna sur le front, c’était tellement mignon, ça respirait la tendresse, un truc dont je manquais cruellement ce moment. J’avais l’impression que je ne voyais plus mon petit-ami avec les cours de plus en plus prenants. Bref, revenons à nos moutons après avoir enlacé quelques instants Maddox il semblait beaucoup préoccupé par une jeune femme au point de me faire accroupir derrière un rayon pour éviter que la jeune blonde nous voit. Mon Dieu, c’était par excellence le genre de fille que je détestais, ce n’était pas croyable, comment un gars aussi gentil que Maddox pouvait se faire une pouf dans son genre. Encore une chose que je ne pourrais jamais comprendre, les hommes les plus gentils étaient toujours avec des garces superficielles. « Putain mais Maddox pourquoi tu couches avec des filles dans son genre, merde ! Tu mérites beaucoup mieux ! ». Bon c’était peut être un peu trop franc mais cela m’était sortie du cœur et de la bouche un peu rapidement. Nous avions tentés de nous enfuir avant d’être pris en flagrant délit par la petite blonde qui venait de nous repérer, Maddox avait eu le temps de me murmurer de le sauver, le pauvre n’allait pas être déçut. Je murmurai entre mes dents « C’est juste pour te sauver la vie, on est bien d’accord ! ». Heureusement que j’avais pris des cours de comédie pour intégrer la comédie musicale dont j’avais le premier rôle en France car je sentais qu’il m’allait être bien utile. Je voyais la blonde arrivait avec un air aussi déterminé qu’incendiaire mais la pauvre petit allait être prise à son propre jeu. J’approchais mes lèvres de celles de Maddox avant de l’embrasser quelques petites secondes pour bien la mettre dans l’embarras, je pense que ce petit baiser aurait beaucoup d’impact sur son humeur qui était déjà passablement mauvaise. Personnellement pour moi c'était plutôt une chance qu'un réel sacrifice. Je profitais quand même du moment, me disant que ce n’était pas si souvent qu’on pouvait embrasser un si bel homme (à part son mec bien entendu) avant de lui demander avec aplomb : « Bonjour Mademoiselle, vous avez quelque chose à demander à mon mari ? ». Oulla j’y allais un peu fort mais autant prendre le taureau par les cornes, il voulait se débarrasser de la blonde, aucun problème, je le ferais volontiers.
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Maddox n’avait jamais autant voulu fuir une femme. Il n’avait jamais voulu fuir une femme surtout, il les aimait tellement. Il n’était pas la pour les fuir. Mais la, cette fille la… Elle lui donné mal a la tête. Toujours caché derrière les portants à vêtement, la jeune femme qui l’accompagner avait fait de même. La jolie brune tourna la tête vers l’autre femme et regarda Maddox, scandalisé. « Putain mais Maddox pourquoi tu couches avec des filles dans son genre, merde ! Tu mérites beaucoup mieux ! » fronça les sourcils, dérangé par cette remarque. Il la regarda décontenancé et lui répondit en haussant les épaules « tant que je peux les fouttres dans mon lit, j’m’en fou qu’elle ai le Q.I d’un scientifique, ou d’une huitre tu sais… J’en ferais pas ma femme. ». Ne sachant plus quoi faire, il regarda la jeune femme, avec un air désespéré dans les yeux. Il lui demanda, sincèrement, de le sauver. La jeune femme leva les yeux au ciel avant de lui répondre. « C’est juste pour te sauver la vie, on est bien d’accord ! ». Maddox acquiesça. Les deux jeunes gens se relevèrent. La jeune blonde au bout de l’allé, tourna la tête, apercevant son « compagnon ». Elle eut aux lèvres un grand sourire et commença à remonter l’allé en direction du jeune homme. Arrivais a hauteur du garçon, June s’approcha brusquement, posant ses lèvres sur les siennes pour l’embrasser tendrement. Maddox fut des plus surpris, il ne s’attendait pas a cela, pas du tout…
Brusquement, la belle brune se tourna vers la blonde, horrifiée. « Bonjour Mademoiselle, vous avez quelque chose à demander à mon mari ? ». Sans trop comprendre, la jeune femme regarda Maddox, puis June, elle balbutia quelques choses d’incompréhensible et gifla le jeune homme en lâchant un « Salaud » remarquable…
Le jeune homme se frotta la joue alors que la jeune femme s’éloigna. Il regarda la brune et dans un demi sourire la remercia.



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    Je ne comprenais pas très bien le comportement de Maddox, c’est vrai quoi, il n’arrêtait pas de coucher avec n’importe quelle fille alors qu’il pouvait avoir une fille géniale en permanence à ses côtés. C’était vraiment trop dommage, en même temps je pouvais comprendre son attitude, sa fiancée était décédée et ça lui avait laissé un goût amer, l’impression que jamais il ne pourrait la remplacer. River n’était pas mort mais si il venait à me quitter avec le bébé, je ne sais pas comment j’agirais, je ferais peut être pareil que Maddox tellement la douleur me paraitrais insurmontable. Je me mis à rire avant de répondre : « Tu sais je pense qu’il y a un lien entre intelligence et niveau de performance au lit, tu devrais faire une étude… ». Ce n’était peut être pas une vérité générale mais j’avais constaté que les mecs qui avaient un niveau d’étude élevé était souvent plus performant que les mecs croisés au hasard des soirées. Enfin je n’avais pas une immense expérience mais j’aimais bien jouer les filles expérimentés, ce n’était pas un gros mensonge après tout…Après avoir sorti Maddox de la galère je me sentais un peu…mal à l’aise. Moi cela ne me faisait pas grand-chose d’embrasser quelqu’un comme ça car j’étais monté sur scène durant plusieurs années mais ce n’était peut être pas son cas, il devait me prendre pour une folle, comme la moitié d’Harvard. Une fois la jeune femme parti, je tentais de me justifier avec un sourire : « Désolé de t’avoir embrassé mais c’était plus convainquant… ». Je finis par regarder sa joue, qui certes était rouge mais ce n’était rien de plus. Il ne devrait pas avoir mal longtemps car la demoiselle n’avait pas de force : « Pas trop mal ? Mon pauvre Maddox… ». Je me mis à rire malgré sa douleur, je trouvais la situation comique. Je décidai par la suite de lui parler un peu de moi étant donné que la jeune femme dérangeante était parti je pouvais un peu me confier. J’avais envie de lui dire pour ma grossesse, certes il était l’un des premiers au courant mais je pouvais lui annoncer, je pense qu’il n’allait pas le répéter à tout le monde. Ce n’était pas son genre. « Maddox, il faut que je t’annonce un truc, je suis enceinte et…je ne sais pas comment River va réagir, il veut pas d'enfants… J'ai pas fait exprès Maddox ! ». C’était un homme peut être qu’il pourrait me donner un petit conseil.
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