Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility" Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " ► SAVANNAH
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" Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout " ► SAVANNAH

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" Savannah & Maddox "


(ensemble c'est tout) ▽ " Tu finiras toute seule dans ton donjon avec tes crayons de couleur et ce sera bien fait pour ta gueule. "
Des papiers, encore des papiers, toujours des papiers. Rien que de la paperasse. Il en avait marre. Il fit un petit tas de feuilles qu’il disposa sur le coin du bureau en soupirant. Il tendit le bras et appuya sur le bouton d’un petit boitier métallisé. Un grésillement ce fit entendre, Maddox se pencha sur le bureau et parla « Shanon, amené moi un scotch. Un double. » Il relâcha le bouton et se laissa tomber dans son fauteuil. Quelques minutes plus tard sa porte s’ouvrit, mais ce n’était pas son whisky. Son autre assistante, Debbie, passa la tête par la porte. A voix basse elle lui annonça, gêné « Votre père au téléphone demande à vous parler ». La tête entre les mains, Maddox se redressa. « Dites lui… dites lui que je ne suis pas la. Sortie. Quelques parts. Peut importe. ». La jeune femme réprima une grimace et insista « Il insiste vraiment. Il dit que c’est important ». Maddox leva les yeux au ciel, et en soupirant il lui fit signe de s’éloigner. La jeune femme referma la porte et après avoir appuyé sur quelques boutons une voix se fit entendre. « Oui Papa ? » A l’autre bout, son père parler a une autre personne sans doute, il n’avait pas entendue que son fils avait décroché a l’instant. « Ah fiston ! Je voulais te parler. J’ai une… très bonne surprise pour toi ». Sans trop écouter les mots de son père, Maddox vu la porte de son bureau s’ouvrir une nouvelle fois. Shanon entra a pas de loup et déposa sur son bureaux un verre de scotch ainsi qu’un petit bol ou trônait quelques glaçons. Maddox détestait quand on lui servait un verre de scotch avec des glaçons déjà présent. Tout en piochant dans le petit bol, son père continua son monologue. « … Je pense que ca te plaira, tu devrais aller voir dans le garage de l’entreprise, je l’ai faites livré spécialement au bureau ». Sans avoir saisit le moindre mot de c’est paroles, il acquiesça et raccrocha après avoir prétendue un rendez-vous important. De toute façon son père n’irait pas vérifier.
Après avoir bu son verre de scotch, il attrapa sa veste et sortie. Il descendit dans le garage souterrain de l’entreprise et découvrit sur sa place de parking une superbe Audi R8 flambant neuve. Il eut un sourire au coin des lèvres. Il avait toujours aimé les voitures de luxe, et son père aussi. Le gardien lui apporta les clefs, et après avoir mis le contact, il démarra en trombe.

Il ne savait pas vraiment ou il allait, il voulait juste sortir du bureau. Il étouffé et il avait besoin de prendre l’air. Il avait envie d’un bon café. Oui voila, un bon café, avec un brownie. Ou un donuts. Ou bien même les deux ! Comme à son habitude, Maddox pris la route du Starbucks le plus proche. Il adoré les café Starbucks. Et leur pâtisserie. Il ne fréquentait presque jamais les autres cafés, même les plus distingué. Les Starbucks lui convenaient très bien. Sur la route, son téléphone se mit à sonner. Alors qu’il foulait ses poches pour le trouver, celui-ci tomba entre les deux sièges. Il se baissa alors, tout en maintenant le volant pour retrouver son téléphone. Celui-ci continuait à vibrer férocement. Du bout des doigts, Maddox pouvait le toucher. Il se baissa encore un peu plus pour l’attraper. Le téléphone en main il se redressa. Brusquement il freina. Une rousse au regard ahuri le regardait. La voiture c’était arrêter a quelques centimètre d’elle.

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(verlaine) ▽ Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ?

Je hais la géographie. C'est officiel depuis aujourd'hui. Deja que je ne portais pas franchement cette matière dans mon coeur, mais là c'est l'overdose complète. Et puis je m’emmerde tellement que je n'ai pas trouvé de meilleure idée que de dessiner des moutons sur ma copie de géographie. C'est sûr et certain Monsieur Bauer va me tuer si il voit ca. « Mademoiselle Hamilton, je vous signale que ce n'est pas un cours de dessin. » Dommage. Je savais bien que j'aurai dû prendre option art plastique en entrant à l'université. En même temps, enchainer deux heures de géographie en fin de journée, et par la même occasion un vendredi après-midi, c'est plutôt difficile. Alors je gribouille jusqu'à ce qu'il n'y ait quasiment plus de place sur ma feuille et pousse un long soupire en m'affalant un peu plus sur ma table. Soudain, mon voisin me donne un léger coup de coude dans les côtes. Chose qui me fait brutalement sursauter sur ma chaise. Passant une main au niveau de ma cage thoracique, je me frotte cette dernière tout en grimaçant. Et c'est à cet instant que je me rends compte que le professeur me fixe d'un drôle d'air. J'ai bien envie de me servir de mon asthme comme excuse bidon. Genre j'suis fatiguée à cause de mes traitements – qui sont purement fictifs vu que je n'en ai pas – mais ma trop bonne conscience m'en empêche. Alors je me contente de rouler des yeux en bafouillant un « désolée » tout en faisant une moue avec la bouche. Savannah Dylan Hamilton, plus ridicule tu meurs. Par chance, la sonnerie retentit et me voilà enfin sauvée du suicide. Mettant en vrac mes cours dans mon sac, je file le plus rapidement possible de la salle en me faufilant entre les élèves qui discutent. Je n'ai pas particulièrement envie de trainer une minute de plus ici.

A vrai dire l'idée de trainer ma carcasse au disquaire me plait d'avantage. C'est pourquoi à l'aide de mes petites jambes – oui je ne mesure qu'un mètre cinquante-cinq que voulez vous – je marche d'un pas rapide vers mon royaume. Il faut dire qu'à force d'y passer la majorité de mon temps libre, le propriétaire me connait plutôt bien. Il me laisse même fouiller la boutique dans les moindres recoins même lorsque cette dernière est fermée. Etant passionnée de musique – après ma folie pour le corps humain – je pourrai passer des journées entières à examiner les pochettes d'album sur un fond de Rolling Stones. Personnellement je préfère les vinyles et leur pochette cartonnée. Je trouve que ca fait beaucoup plus authentique que les albums de nos jours tout en plastique et qui se pètent au moindre petit choc. Certains trouvent leur pied en allant dans des clubs de striptease, et bien moi c'est en écoutant de la musique tout le temps. Une sorte d'orgasme auditif quoi. Parcourant une des allées du magasin, je laisse glisser mes doigts sur les différentes pochettes. Coinçant ma sucette entre mes lèvres, j'attrape la pochette jaune et rose qui a attiré mon attention. Nevermind the bollocks des Sex Pistols. Titre plutot accrocheur. Sourire au coin des lèvres, je hausse les épaules et replace la pochette à son emplacement initial avant de poursuivre mon chemin. […] Au bout d'une petite demie-heure je fini par me rendre à l'évidence : je n'ai rien trouvé aujourd'hui. Il faut dire que je dois avoir la moitié de la boutique à mon appartement. Tony me tiendra au courant de ses dernières trouvailles dans tous les cas.

Passant la porte bardée d'autocollants, je fais un signe de la main à Tony et sort mon paquet de clopes. Ca fait maintenant quatre ans que je fume, depuis mon départ de New York en fait. La flamme vient bruler le bout de ma cigarette puis je me décide à reprendre ma route afin d'aller faire un tour au Starbucks – mon autre royaume. Je fais à peine quelques pas que mon téléphone se met à sonner. Je fixer alors l'écran qui m'affiche quelques lettres pixelisées. « M'man ? Qu'est-ce qu'il y a ? » Dis-je après avoir porté le combiné à mon oreille. Ma mère m'appelle quasiment tous les jours. Souvent pour me raconter n'importe quoi d'ailleurs. « Je reviendrai à New York pour les fêtes d'accord ?  » Ma mère insiste pour que je retourne vivre dans la Grosse Pomme depuis deux semaines déjà. Sauf que je suis très bien à Harvard moi. « Mais nooon. Je te dis que tout va bien i... » Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase que je manque de me faire renverser par un taré qui roule à toute vitesse. Paralysée, je ne réagit pas sur le coup et laisse tomber mon téléphone sur le sol bétonné. Les pneus grincent et là une vague d'hystérie monte en moi. BOUM. Je viens de cogner à l'aide de mon pied dans le parchoc de l'Audi. « NON MAIS TU PEUX PAS FAIRE GAFFE ESPECE D'ABRUTI ?! » Hurlais-je. J'attrape mon portable qui par je ne sais trop quel miracle fonctionne encore et le porte à mon oreille. « J'te rappelle. » Dis-je pendant que ma mère s'excite à l'autre bout du fil. Quand à moi, je reste le regard figé sur la personne se trouvant face à moi.
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(ensemble c'est tout) ▽ " Tu finiras toute seule dans ton donjon avec tes crayons de couleur et ce sera bien fait pour ta gueule. "
Le choc. La voiture c’était arrêter brusquement. Le temps aussi. Tout c’était arrêter, les particules de poussières était suspendu dans l’air. La rousse aussi était pétrifiée. Les passants autour d’elle accélèrent le pas, la regardant d’un drôle d’œil. La scène repris son court quand un automobiliste impatient pressa son klaxon. Maddox attendit alors patiemment, que la jeune femme dégage le passage pour pouvoir repartir. Sauf que celle-ci n’était pas décider a bougé. Elle donna un gros coup de pied dans le pare-choc de sa voiture. De sa nouvelle voiture. De sa nouvelle BELLES voitures. Maddox fronça les sourcils et d’un air mauvais ouvrit sa portière. « NON MAIS TU PEUX PAS FAIRE GAFFE ESPECE D'ABRUTI ?! ». Non mais c’étais qui cette conne ?! D’où elle se permettait de taper dans sa voiture, ainsi que de le traité d’abruti. Il jeta un regard sur son téléphone, son père l’appeler, encore. Il soupira et balança négligemment son mobile sur le siège passager, il mit le frein a main, les warnings et sortis de sa voiture comme « une furie ». « Hé oh elle vas se détendre la conasse ?! D’où tu frappe dans ma voiture ! C’est une Audi, pas une Twingo hein ! » Dans un geste de violence, il attrapa le poignet de la jeune femme qui s’apprêter à frapper du poing. Il se stoppa, et peu à peu la dévisagea. Merde. Elle lui disait quelques choses cette conne.

Le temps de ranger les souvenirs dans sa mémoire, et il pu replacer un prénom sur ce visage et cette couleur de cheveux qu’on ne pouvait pas louper… Mais oui, bien sur qu’il la connaissait. Cette fille c’était Savannah. Savannah Dylan Hamilton. Il l’avait connu à New York. Enfin, son père connaissait ses parents. Ils c’était tous mis en tête de faire d’eux des bons amis. Il avait réussi. Savannah et Maddox avait passé pas mal de temps ensemble quand il habiter tout deux dans la grosse pomme. Plus que des amis, les deux jeunes gens avaient eut une aventure… Maddox avait eu « l’immense » privilège d’être le premier amant de la jeune femme. Pour sa part, cela ne l’avait pas plus bouleversé que sa. Ils étaient restés ensemble quelques semaines, puis jugeant que ce n’était pas une bonne idée ils se quittèrent. La suite, c’est la vie et le destin qui la créa. Chacun reprit son quotidien, sa petite vie tranquille et ils furent séparé.
Le jeune homme fronça les sourcils, tout en la scrutant. Ses pensée furent troublés quand un homme, qu’il ne connaissait pas pointa le bout de son nez. « Est-ce que tout vas bien mademoiselle ? ». Il avait surement vu la scène de loin, et en entendant les cris c’était dit qu’il était temps de jouer les héros et de « secourir » une belle demoiselle en détresse. Quel idiot. Maddox le jugea du regard et rétorqua férocement. « Ta gueule toi. On ta pas sonné ». Quelle amabilité…

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(verlaine) ▽ Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ?

Eh bien non, ce n'est pas la première fois que j'échappe de peu à la mort. J'ai déjà faillir mourir noyée après que mon cousin m'ait malencontreusement – enfin ca c'est qu'il dit – fait tomber à l'eau. J'avais six ans et depuis je suis incapable de mettre un pied dans l'eau. Hormis ca, je suis du genre à m'attirer toutes sortes d'emmerdes. Peut-être que ma couleur de cheveux particulièrement improbable est un aimant à catastrophes. Une chose est certaine, j'aurai mieux fait de rentrer directement dans ma chambre étudiante afin de jouer pendant des heures à World Of Warcraft. Ouais, ca m'aurai évité de me faire presque écrasé par un malade du volant. Sur le coup je reste complètement bloquée. Vous savez, comme dans les films. Lorsque le héros reste tétanisé devant quelque chose qui lui fonce droit dessus à toute allure, et qu'on lui crie à travers l'écran de se bouger le cul si il ne veut pas finir aplatit comme une crêpe. Les yeux écarquillés je fixe la voiture qui vient de s'arrêter à quelques centimètres de moi. Mon sang n'ayant fait qu'un tour dans mon petit corps, je réplique aussitôt en claquant mon pied contre la carrosserie. Vu la bagnole qu'il a, il doit pouvoir se payer le garagiste. Bref, après avoir repris mes esprits, je me mets à hurler telle une folle tout en insultant le conducteur du bolide. Ce dernier – un grand brun qui fait au moins trente centimètres de plus que moi – se décide enfin à sortir de son joujou à quatre roues. «  Hé oh elle vas se détendre la conasse ?! D’où tu frappe dans ma voiture ! C’est une Audi, pas une Twingo hein !  » Machinalement je plisse les yeux et croise les bras. «  Bah justement ! Tu ferais mieux de te prendre une Twingo vu comment tu conduis pauvre crétin ! » M'exclamais-je aussitôt avant que ce dernier de s'approche de moi à une vitesse fulgurante afin de me saisir le poignet. «  Non mais vous allez me lâcher ! » M'exclamais-je en agitant mon bras afin de me libérer de son emprise. Il n'y a que moi pour tomber sur des cinglés. C'est à cet instant précis que je me rends compte de quelque chose. Son visage m'est plutot familier. Maddox ? Ici ? Non, c'était impossible, je devais surement faire erreur. Et pourtant, si ce n'était pas lui, ce mec lui ressemblait trait pour trait. Alors que le jeune homme a l'air perdu dans ses pensées, j'en profite pour libérer mon poignet de sa main et me recule de quelques pas. Le destin est drolement mal foutu c'est évident. Moi-même je n'en revenais pas de le voir ici. Pourtant je pense que la Terre est relativement grande pour que nous ne nous soyons jamais revus. Eh bien non, il fallait que l'on se retrouve d'une façon plutot inattendue. A vrai dire je ne savais pas trop quoi dire ou quoi penser. Après tout, j'étais censée dire quoi à mon ex petit-ami après quatre ans de silence ? Bonne question. En fait je n'ai pas le temps d'y réfléchir d'avantage puisqu'un homme se rapproche rapidement de nous. « Est-ce que tout vas bien mademoiselle ?  » Je lui souris timidement. « Oui oui ca va merci. » Affirmais-je alors que la réplique de Maddox ne se fait pas attendre. « Ta gueule toi. On ta pas sonné  » Je lève les yeux au ciel tout en croisant les bras alors que l'homme rebrousse chemin. « Toujours aussi mal luné à ce que je vois. » Soufflais-je, blasée.
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(ensemble c'est tout) ▽ " Tu finiras toute seule dans ton donjon avec tes crayons de couleur et ce sera bien fait pour ta gueule. "
Quelle journée de merde. Quelle putain de journée de merde. Il était de mauvaises humeurs, même le cadeau de son père ne pourrait rien y changer. Il n’avait d’ailleurs même pas vérifié que sa voiture n’avait rien, il était tellement énervé contre cette… contre cette stupide rousse. Il y jeta un coup d’œil et pu voir une petite marque. Rien de bien méchant. Heureusement qu’elle avait la force d’une mouche… Il détestait qu’on se mêle de ses affaires. Que ce soit son père, ou une tierce personne, il détestait les commérages. Et à cet instant il n’était pas vraiment d’humeur à être conciliant. Alors que le jeune homme demandé a la jeune femme si tout allait bien, Mado les intérompis en l’envoyant promené. Nan mais oh ! Il n’avait pas besoin qu’un con vienne l’énervé. « Toujours aussi mal luné à ce que je vois. » La rousse protesta. Maddox lui décrocha un regard noir, tandis que le nouveau venu s’avança vers lui. « Attend tu vas te calmer, t’es qui pour lui parler mal ou la menacé ? ».
Le jeune homme leva les yeux au ciel, son sang fulminait, ses nerfs étaient prêts à exploser. Sans prévenir, Maddox attrapa violement le col du jeune homme. Il le serra un peu plus dans sa main et répliqua, l’œil mauvais et le ton méchant. « Et toi t’es qui pour l’ouvrir ?! On ta dit de la fermer je crois bien. ». D’un geste violent il lâcha le col du jeune homme tout en le repoussant le plus loin possible. Ses mains tremblé, son esprit, embrouillé par la colère ne discerné plus très bien ce qui était bien et ce qui ne l’était pas.

Alors qu’il s’apprêté à repartir vers sa portière, le jeune homme, apparemment mécontent de s’être fait bousculé, le força à se retourner en lui attrapant l’épaule. Une fois face a face, il lui décocha une énorme droite. Maddox ne pu répliquer et sa lèvre fut touché. Son nez lui faisait un mal de chien, sa joue fut rapidement endolorie. Rapidement un gout acre et amer se rependit sur ses lèvres. Le gout du sang. Il détesté sa. Vraiment. Il avala difficilement le sang qui se rependait sur ses lèvres avant de répliquer à son tour en lançant son poing sur le jeune homme.


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(verlaine) ▽ Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ?

Quelle idée de s'acheter une voiture de sport étant donné que l'on est obligé de respecter les limitations de vitesses. J'ai beau être riche et être largement capable de me payer une dizaine de voitures comme celle que possède Maddox, je ne vois tout simplement pas l'intérêt d'en avoir une. Hormis le fait que se soit pour se la raconter et faire le fier auprès de la gente féminine – je sais comment fonctionne Maddox depuis le temps que je le connais – il aurait mieux fait de s'acheter une vieille bagnole. Ce mec ne sait pas conduire, la preuve en est. Il a failli me faire passer sous les roues de son bolide. Great, j'aurai bien fini l'année : les deux pieds dans la tombe. Butée par son ex. Tu parles d'un retour de karma. Alors oui je m'énerve rapidement. Mais je me calme aussi vite en me rendant compte qu'il s'agit de lui. Merde merde merde. Franchement je me demande ce qu'il peut bien foutre ici. New York n'était pas assez grand pour son égo peut-être. Hum, de toute façon je m'en moque royalement. Tout ce qui m'importe est de me casser illico de ce quartier. Pas de bol, Maddox n'est pas décidé à me laisser partir puisqu'il me sert le bras avec force. Heureusement le monde n'est pas complètement con puisqu'un homme vient à mon aide. Aide qui ne s'avère pas très utile puisque mon cher ex petit-ami se charge de l'envoyer se faire voir. En fait je crois que son caractère de con est ce qui m'a tout de suite plut chez lui. Allez donc savoir pourquoi. Peut-être que j'ai quelques tendances sado maso que j'ignorai jusqu'à présent. Etant donné que je connaissais Maddox par coeur, je savais très bien que le regard qu'il lançait au jeune homme était annonciateur de malheur. Le pauvre homme vivait surement ses derniers instants. « Attend tu vas te calmer, t’es qui pour lui parler mal ou la menacé ?  » La réaction du brun ne se fit pas attendre d'avantage. Maddox le saisit brusquement par le col et moi je restais à quelques pas d'eux, les yeux écarquillés, redoutant la suite des évènements. « Et toi t’es qui pour l’ouvrir ?! On ta dit de la fermer je crois bien.  » Puis il le lâcha brutalement. Mon coeut battait à tout rompre, j'avais une boule d'angoisse qui venait de se former au fond de ma gorge. Du regard, j'observais Maddox se diriger vers sa voiture. A vrai dire je n'ai même pas eu le temps de dire quoi que ce soit, que mon « sauveur » se précipita sur mon ex petit-ami afin de lui en coller une. Machinalement je poussais un cris de surprise et posais mes deux mains sur ma bouche. En quelques secondes voilà que les deux jeunes hommes se battaient en plein milieux de la rue. Je me précipitais alors vers le duo afin de m'interposer tant bien que mal. « ARRETEZ !! » Hurlais-je en saisissant Maddox par le bras afin qu'il arrête. Sans que je ne comprenne ce qu'il se passe, un coup m'arriva en plein sur la lèvre. Sous l'effet du choc, je me retrouvais sur les fesses en grimaçant. Portant une main à ma bouche je constatais qu'elle saignait. Merde. Je ne savais pas lequel des deux m'avait fait ça, mais il ne m'avait pas louper. « Putain ! » Lâchais-je complètement blasée par cette situation des plus ridicule. Je finissais alors par me relever afin d'aller dans le sens opposer des deux hommes. Qu'ils aillent se faire foutre.
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