Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityRun and hide ღ Sandrillie
Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €


Run and hide ღ Sandrillie

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu termines ton dernier enchaînement, fatiguée et éreintée. Le cours a été chargé aujourd’hui, mais ce n’est pas pour te déplaire, toi qui aime la danse par-dessus tout. D’ailleurs, tu traînes encore un long moment dans le studio pour répéter encore et encore histoire d’être la meilleure. Une amie décide de rester avec toi pour papoter, cette fille avec qui tu as l’habitude de traîner après les cours, celle à qui tu aimes raconter un tas d’histoires farfelues et complètement folles. Tu as réussi à lui faire avaler ton mensonge à propos de ton petit ami imaginaire. Le récit le plus romanesque que tu aies inventé à ce jour. Tu sais bien que les gentlemen sont en voie d’instinction, que les hommes sont ce qu’ils sont, axé sur le sexe et tout le tralala, mais tu as réussi à lui faire croire à ton pseudo prince charmant. C’est votre sujet préféré et tu te perds dans tes mensonges à force d'élaborer sur la chose. Au bout d’une heure, tu décides que c’est assez. Tu as envie d’un bon café froid au caramel pour te rafraîchir. Tu te dirige près du mur le temps d’enfiler tes chaussures et de ramasser ton sac après quoi tu attends patiemment après ta comparse qui semble vouloir prendre son temps. ‘’ Dépêche-toi allez. ‘’ Siffles-tu entre tes dents en sautillant sur place. Tu es magnifique comme toujours, vêtu d’un legging de sport et d’un top fait du même tissus extensible qui t’arrive sous la poitrine, dévoilant ainsi ton ventre plat et bien ferme. Tu es à l’aise avec ton corps et tu fais quand même attention de ne pas dévoiler les parties importantes de celui-ci… d’ailleurs, qui pourrait se trouver dans les couloirs à cette heure ? Fin prête, vous vous dirigez vers la porte de sortie. Ton amie l’ouvre pour te laisser passer la première et comme toujours tu te lance dans une conversation importante avec elle. En quittant la pièce, ton attention se porte sur ta voisine plutôt que devant toi. Tu tires légèrement sur l’élastique qui retient tes cheveux et tu secoues gracieusement la tête comme ces filles qu’on voit dans les pub de shampoo. Un petit rire cristallin caresse ta gorge alors que tes cheveux retombent en cascade sur tes épaules et BAM… un face à face. Ton sac tombe lourdement au sol et tu te penche pour le récupérer avant de t’excuser comme il se doit. ‘’ Je vous demande pardon… je … ‘’ Tes opales émeraudes se posent sur l’homme face à toi et le souffle te manque. Tu crois nager en plein cauchemar, tu n’arrives plus à respirer. Lui, après trois longues années. Qu’est-ce qu’il fiche ici ? Tu bats tes cils, bouche entrouverte, incapable de prononcer le moindre mot. ‘’ Je suis pressée. ‘’ Ta voix à peine audible fini par quitter tes pulpeuses alors que ton amie vous observes tous les deux comme si vous étiez des animaux de cirque.

@Sandrick Rockefeller
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

Ce que je peux détester devoir me déplacer à l’université pour un seul cours. Deux seules petites heures à rester assis le cul ancré sur une chaise à écouter blablater ce professeur qui se répète encore et encore, sur un sujet qu’on a dû aborder une dizaine de fois, si ce n’est pas plus. Assez pour rendre un cursus assez déprimant. De toute façon, qui ose faire déplacer un Rockefeller pour des conneries du genre ? Elle, il faut croire… Donc, ce n’est pas si étonnant, que lorsque le cours s’est terminé, je me suis dépêché de sortir de l’amphithéâtre. Sortir de cet endroit oppressant et vaguer à mes occupations beaucoup plus intéressante. Mais ceci, était bien entendu avant que ton petit corps frêle me fonce droit sur moi. Mon premier réflexe, fut de te retenir par le bras afin que tu ne te retrouves pas couchée sur le sol de tout ton long, tel une baleine échouée sur le sable d’une plage. Une fois ton équilibre retrouvé, je t’ai lâché de mon emprise te laissant te pencher pour récupérer tes biens. J’aurais très bien pu le faire à ta place, mais je n’ai pas écrit bonniche sur mon front, alors tu le feras seule, ma grande. Tu t’excuses de ta maladresse, alors que je ne réplique rien du tout. Je ne bouge même pas, au lieu de ça je ne fais que tu regarder ce sourire en coin, le torse bombé, fière de qui je suis comme à mon habitude. C’était donc réellement toi, au Starbuck… Je t’ai aperçu depuis quelques semaines, sans jamais t’approcher, préférant te voir agir. Je préférais te suivre et te regarder de loin afin de connaître la nouvelle Billie, celle qui a pu faire battre mon coeur de bien, il y a quelques années. De plus, je n’étais pas à cent pour-cent certain qu’il s’agissait de toi, mais désormais tout s’éclaircissait dans ma tête. Quelques secondes passent, avant que ma tête se retourne lentement, vers ton amie, toujours à tes côtés. « Tu peux disposer, je m’occupe personnellement de Mademoiselle De Medici désormais. » Voyant qu’elle ne semblait pas vouloir s’en aller, je soupire et secoue la main devant ses yeux. « Toi parler anglais ? C'était pas une suggestion... Dégage !!! » Ce dernier mot a été dit un peu plus sèchement, mais surtout plus fort. Si elle ne voulait pas me faire sortir de mes gonds, elle devait m’écouter. Je me retourne finalement vers toi et te regarde de haut en bas, d’un geste de tête appréciateur. « T’es toujours à croquer, à c’que vois. » Je me mords la lèvre inférieure, continuant ma contemplation. « Tu fais quoi à Boston ? Ton padre t’a fait sortir de ta prison d’or ? Couper le cordon ombilical n’a pas été trop difficile ? » Ouais… bien vraiment tu n’as pas changé, t’as simplement embelli comme si s’en était possible. Comment pourrais-je oublier ta beauté ?
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu comprends aujourd’hui pourquoi tu as abandonné ce type dépourvu de bonnes manières et sans aucun sens de la galanterie. Ses manières rustres, d’homme des cavernes qui se prend pour je ne sais qui et qui pète plus haut que son trou. Un Rockefeller dans toute sa splendeur, il ne faut pas trop lui en demander. Tu restes stoïque quelques instants, encore sous le choc de l’émotion. Tu aurais préféré ne jamais le revoir, encore moins ici dans ta nouvelle patrie. Ton regard se pose sur ton amie que tu supplies de rester par la transmission de pensée, mais la peur a eu raison d’elle, comme toutes celles qui croisent le chemin de monsieur, sauf les bonniches qu’il doit ramener dans son lit pour se satisfaire. Tu lèves les yeux au ciel en croisant tes bras sous ta poitrine menue. ‘’ Je suis pressée. ‘’ Tu appuis sur chacun des mots pour lui faire comprendre que tu n’as pas besoin de sa compagnie. Ta partenaire de danse est partie et te voilà abandonnée à ton triste sort, seule devant la bête telle une brebie sans défense qu’on emmène à l’abbatoire. Il de détail du regard et toi tu te sers de tes avants-bras pour cacher le plus de chair possible. Ça t’apprendra à sortir sans survêtement, quoi que tous les hommes ne te regardent pas de cette façon, ce que tu veux bien croire. À sa remarque tu restes muette, tu n’as pas envie de répondre à sa connerie, ni à ses allégations déplacées. Tu connais ta valeur et tu sais qu’il ne te mérite pas. ‘’ Si tu étais un peu plus intelligent, tu saurais ce que je fais en ces lieux. ‘’ Dis-tu en relevant un peu le nez tel une princesse capricieuse, ce que tu es. ‘’ Mes histoires de famille ne te concernent pas, tu serais prié de te retirer, j’ai des choses à faire. ‘’ Dis-tu sur un ton neutre en soutenant son regard. Tu n’as pas de temps à perdre avec lui et il doit bien avoir d’autres poulettes à voir, quelques paires de cuisses à écarter. Juste d’y penser tu as un haut le coeur, mais tu ne vas pas perdre la face devant lui. Tu lui a toujours tenu tête après tout et autant dire qu’avec le temps, ton caractère s’est raffermi. ‘’ Tu bouges ou tu comptes me faire des attouchements contre mon gré, ça ne serait pas la première fois après tout. ‘’ Un élève qui passait par-là se tourne vers vous, sourcils arqués, pas certain d’avoir bien compris tes dires. ‘’ Ça va tu peux partir. ‘’ Souffles-tu en adressant un sourire à cet inconnu pour le rassurer un peu.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)