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Le tout pour le tout ! + DANY

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le tout pour le tout ! // @daniel wright ※※※ "Jamais" que tu viens d'avouer. Un large sourire naquit sur mes charnues. Mais alors, après notre minute gosse de maternité intrépide et espiègle à souhait, je voulais que tu m'expliques ce que t'avais voulu insinuer par ton précédent aveu et vous voyez, j'ai encore du mal à comprendre les sous-entendus, je n'ai pas changé comme tu peux le constater. Main posé contre ta joue, caressant le bout de ta mâchoire en attente d'une vraie réponse, je grognais presqu'en te lançant des éclaires, yeux dans yeux. T'es Canadien et alors ? J'ai toujours trouvé ton accent britich hyper sexy. Et donc si t'es canadien maintenant, ça veut dire que tu dois connaître quelques mots en français ? « Tu peux m'dire quelques mots en français ? Si t'as eu l'temps d'apprendre un peu... Et avec traduction si possible parce que je connais aucun mot en français à part la célèbre phrase "déjà vous"... » Gad, c'est "déjà vu" Lucky ! Et dans le genre terrible gamin, t'étais un champion. T'es terrible tu sais ça ? Mes doigts pincent ta joue et d'une petite moue de gamine, je recule, pas dans l'intention de partir, mais plutôt dans l'intention de marcher un peu à tes côtés. Sauf que tu fais un pas vers moi et d'un air surprit, je fronce les sourcils. Mes pupilles baissent vers tes doigts qui enlacent les miennes pour me rapprocher de toi. « Wow... » qu'est-ce qui se passe ? Mes yeux alternent entre tes lèvres et tes prunelles. Nos visages sont beaucoup, beaucoup, beaucoup trop proches. Je crois que si la crise cardiaque devait arriver, c'est maintenant ! Trop tard, les nombreuses questions que je me posais durant ces 10 secondes où mon palpitant aurait pu sortir de ma poitrine, venaient d'exploser en tas de cendres. Nos lèvres scellées, mon corps un peu trop penché vers l'arrière, mes légères boucles blondes quittant mes épaules pour glisser dans le vide. Voilà, je suis foutue. J’y peux rien, tu le sais tout aussi bien que moi. J’en ai besoin. Tu m’as manqué... Je savoure ta proximité, c’est tellement bon que j’en retiens à peine un soupir. Ça fait tellement longtemps, que j'avais abandonné l'idée de te retrouver si proche de moi un jour, que mes poignes sur ma veste deviennent aussi molles que du jello et qu'elles retombent le long de mon corps, complètement oubliées, mais quelques secondes à peine. Mes mains saisissent le col de ta veste quand tu nous redresses, en même temps que mes jambes s'étirent sur la pointe des pieds pour t'atteindre. Mes doigts serrent ton veston pour me tenir ainsi, parce que j'ai l’impression que je n’arriverai pas à me tenir toute seule. Est-ce que je tremble ? Bon Dieu, oui. Je respire plus et pourtant, va bien falloir que nos lèvres se séparent... Dans cette ruelle sombre et déserte, on entendait que le bruit de notre échange de salives...
(a) blue moon
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Y’avait une sorte d’insolence amusée dans mon jamais, dans mon sourire, dans mon regard joueur. Et à peu près la même chose traversa ses yeux, la même lueur de défi s’y alluma quand elle m’entendit revendiquer mon côté canadien. « Tu es très jolie. » prononçai-je dans un parfait français. Avec l’accent british, s’il vous plait. Merci mon faible pour les petites frenchies, merci LR aussi, ça m’avait permis quelques petites bases du genre. « Et c’est ‘déjà vu’ » corrigeai-je avec un petit air de prof autoritaire, expression sérieuse qui ne dura pas. Rapidement l’amusement refit surface, sauf que mon petit numéro pour faire perdurer ses présentations, l’introduction dans ma nouvelle vie qu’elle refusait pourtant, je crus l’avoir à nouveau agacée et perdue lorsqu’elle recula un peu. Et histoire de ne pas lui laisser l’opportunité de s’éloigner encore, quoique j’allais devenir bon au basket comme ça, à force de la prendre pour cible avec mes chaussures, je préférais une autre option pour la retenir près de moi. Ma main saisit la sienne, tirant sur son bras, l’attirant à moi, elle eut juste le temps de souffler un ‘wow’ surpris que mes lèvres allaient capturer sa bouche avec passion. Ma main dans le bas de son dos la retenant alors que la surprise la fit se courber légèrement en arrière. Le goût de ses lèvres termina d’affoler complètement mon pouls, mes neurones et toutes les cellules de mon corps. Ma main glissa un peu plus bas, sur la courbure de ses magnifiques fesses. Je l’avais annoncé : jamais je n’arrêterais. Pour le baiser c’était autre chose, aussi grisant soit-il, le souffle finissait toujours par manquer. Mon visage s’écarta à peine du sien pour reprendre ma respiration, là, tout proche d’elle, Lucky accrochée à mon veston, je soufflai contre ses lèvres : « Je suis enchanté de te rencontrer. » En français, toujours. Encore une phrase bateau apprise dans ma lubie de faire des ravages chez les françaises. Et avec un sourire en coin, j’ajoutai, reprenant dans notre langue natale : « Je maitrise le french kiss aussi, tu noteras. » Avoue que je fais un parfait canadien Lucky ?


@Lucky Burberry
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le tout pour le tout ! // @daniel wright ※※※ « Tou es joulie ? » que je répète après toi. Okey, je suis complètement archi nulle et je crois que j'ai un gros problème avec la prononciation de l'alphabet français. « Ça veut dire quoi ? » bah oui, j'avais demandé la traduction quand même. Puis, avec ton accent british que j'aimais tant, t'étais encore plus sexy. Encore plus lorsque tu épouses mes lèvres à la perfection. Je fonds littéralement sur tes charnues parce qu'elles m'ont manqué et tu fais chier parce.. Ben parce que tu fais remonter foules de sentiments à la surface. Sentiments que j'avais soigneusement enfermés dans un coin spécial de mon cœur pour éviter qu'ils remontent. Mais suffit juste d'une petite proximité pour que tu remettes en cause, deux années de dures labeurs à les oublier ou à faire semblant de les avoir oublié dans les tréfonds des abysses. D'un baiser, tu mêlais nos sens en une longue étreinte passionnée. Je brûlais, ce désir ardent émanait du plus profond de mon inconscient, et je ne pouvais retenir ces terribles pulsions. Mais lorsque je peinais à respirer, tu mettais fin à notre étreinte charnel. Lèvres encore proches des miennes, je reprends mon souffle, le mêlant au tien. Tu écrases ces quelques mots en français contre mes charnues et je souris. « Ça aussi ça veut dire quoi ? » un rire s'échappe de ma gorge, consciente que je venais peut-être de casser l'truc. « Le french kiss ? Oh je vois, c'est comme ça qu'on salut chez les Français ? C'est intéressant. Je devrais peut-être adopter cette façon. » alors imaginez Lucky en train d'embrasser un tas de lèvres pour sceller le pacte d'amitié ? C'est drôle non ? « J'crois bien que t'étais doué déjà avant de devenir Canadien. C'était peut-être un signe... » je roule des yeux avant de glisser mes mains sur ton torse et de te repousser doucement. « On marche ? Je suis curieuse de savoir ce que t'es devenu. » c'est pas parce que je chéris l'ancien Cole, que je ne veux pas savoir tout ce que le nouveau toi a traversé. Je me baisse pour ramasser ta chaussure. « Je la garde en otage pour le moment ! » que je souffle d'une main repoussante mes mèches blondes style bitch, en tirant la langue et en marchant à reculons. Je sais que tu serais capable de me la prendre en deux, deux, mais j'allais te faire suer d'abord.
(a) blue moon
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Un rire s’échappa de mes lèvres quand elle répétait et réclamait la traduction. « Désolé pas de sous titres. C’est interdit au moins de dix huit ans. » la charriai-je, joueur. Avant que tout ne dérape, avant que ma main s’empare de la sienne, que nos bouches se retrouvent et que le passé nous rattrape… Ce rapprochement, ce baiser, l’urgence et la fièvre avec laquelle nos langues s’emmêlaient… Tout pour affoler un peu plus mon pouls que j’essayais de contrôler et de calmer depuis un bon quart, depuis le début de cette discussion… Un baiser et tous mes efforts furent ruinés. Mais bordel, ce que ça faisait du bien. Je restais tout proche d’elle, et à nouveau elle me réclama la traduction de mon ‘enchanté’. «Va falloir que je te donne des leçons particulières je crois… » De français ou de french kiss, ou les deux tiens… Bref, elle me complimenta, soulignant qu’avant d’être canadien j’étais déjà doué, et c’est un sourire flatté qui éclaira mon visage. Ses mains me repoussèrent un instant, elle voulait marcher, et elle voulait en savoir plus, et mademoiselle gardait ma chaussure en otage. « Arrête, j’ai froid avec ma chaussette, j’ai l’air d’un guignol là… » ronchonnai-je en avançant alors qu’elle s’éloignait à reculons, joueuse. En quelques pas, je la rattrapai et mes bras s’enroulèrent alors autour d’elle, pour saisir l’objet qu’elle gardait dans son dos, l’emprisonnant pour la stopper. Mes doigts saisirent ses poignets, les immobilisant ainsi derrière elle. Sauf que dans la manœuvre, je me retrouvais à nouveau face à elle, nos corps bien trop proches, et j’en oubliais déjà la fameuse godasse. Mes mains la maintenaient toujours, mais pour mieux venir caresser son visage de mon souffle, venant lui murmurer à l’oreille : « T’es toujours aussi joueuse à ce que je vois… » Mon regard se planta dans le sien, l’une de mes mains relâcha son emprise pour remonter le long de son dos, sous le tissu de son haut, effleurant sa peau d’une lente caresse jusqu’à atteindre les agrafes de son soutien gorge, les ouvrant habilement. « Rends moi ma chaussure, ou je te vole ton soutien gorge… » Moi aussi j’étais joueur, au cas où elle l’aurait oublié
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le tout pour le tout ! // @daniel wright ※※※ « T'auras la pire élève je te préviens. T'abandonneras très vite. » que j'affirmais en haussant les épaules. Et je savais que rouvrir la brèche du passé n'était peut-être pas une bonne idée, mais je n'y peux rien, car t'as toujours été mon point faible. N'avez-vous jamais aimé quelqu'un au point de mourir pour lui ? Ne vous êtes-vous jamais senti perdu loin de lui ? Quand vos pensées ne se tournent que vers lui, que c'est dans ses bras que vous voulez être ? C'est vraiment difficile parce c'est au fond de nous, ça nous prend de l'intérieur, ça nous envahit. Ça nous bouffe et ça nous fait suffoquer. J'suis en train de suffoquer sur tes lèvres et ce n'était vraiment pas bon pour mon mental... Pour me sortir de ton emprise, je te repousse doucement pour prendre en otage ta chaussure et t'inviter à marcher. Joueuse oui, jusqu'au bout, mais je ne pensais pas que tu reduirais à nouveau notre proximité, que tes doigts glissant le long de mes courbures, m'arracheraient un long frisson, sentant ma peau hérisser. Mon cœur cogne brutalement ma poitrine alors que ton souffle viole presque mon oreille dans cette phrase plus qu’alarmante. Et face à ta menace, un mesquin sourire étire mes lèvres. « Pour en faire quoi ? Je sais qu'il finira à la poubelle. » comme notre histoire... Mais je me retiens de lâcher cette pique parce que ce serait à nouveau, mettre une géante barrière entre nous. Alors, je me contente de sourire et de profiter pour glisser sous tes bras. Bah oui, petite, mais pratique. « Faut qu'on arrête d'être si proches tous les deux. Mon cœur est encore trop fragile. » lâchais-je à demi-mot, ta chaussure s'écrase de nouveau au sol. Furtivement, les quelques petits mètres qui nous séparent se transforment en centimètres et mes mains sont vite posées sur ton torse. Je te plaque le corps tout entier contre le mur de la ruelle, épousant tes lèvres. J'ai toujours pensé qu’une force inexplicable nous avait créés dans des matrices complémentaires, rendant chacune de nos caresses, de nos baisers, de nos rapprochements comme une évidence. Chacun de nos gestes étaient parfaits, mielleux et sensuels. Mes mains quittent ton torse pour glisser sous mon haut et retirer mon soutif. Je mets fin à ce baiser après quelques secondes, à manquer de souffle, déposant ensuite l'objet dans l'une de tes mains, toujours ce sourire scotché. « On est quitte j'crois, maintenant. » t'as mon soutif, j'ai ta chaussure, et en prime, un cœur qui bat un peu trop fort. Alors, je me remets à marcher, ton bien en main, tandis que mes tétons pointent à cause du vent. Mais qu'importe... « Un peu de froid et de ridicule n'a jamais tué personne... » en réponse à ta remarque tout à l'heure, te laissant reprendre tes esprits encore cloué contre ce mur.
(a) blue moon
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« Arrête, je ferais surement un super prof. » répliquai-je avant d’ajouter, un peu piquant, peut être un peu trop : « C’est ton truc en plus ça non ? Les profs ? » En référence à celui avec qui elle avait eu une brève liaison, selon CS à l’époque. Je ferais assurément mieux de me taire à ce sujet là. C’était mieux d’en rester au jeu. Oui. D’ailleurs c’est ce que l’on fit ensuite. Elle dérobant ma godasse, moi la suivant, un pied chaussé l’autre en simple chaussette contre le bitume du sol, guignol que je devais être, la pourchassant pour récupérer mon bien. Finalement c’est une autre option que je pris. Mes mains courant sur sa peau, sous le tissu de son haut… Savourant la proximité, ignorant le tintamarre de mon cœur qui s’affolait dans ma cage thoracique. C’était juste elle et moi. Nous. Notre jeu. Nos échanges. Son parfum. Sa répartie aurait pu sonner comme une douche froide, des nuances amères cachées derrière ses mots et le sort que j’allais réservé au morceau de dentelle quand bien même je parvenais à m’en saisir. Sauf que j’étais trop bien lancé pour me laisser refroidir, c’est avec bonne humeur et humour que je rebondis : « Je compte pas le porter en tout cas, c’est sûr. Je n’ai pas tes atouts… » Et la lingerie lui allait surement mieux à elle. Elle se faufila sous mes bras qui l’encadraient, se dérobant ainsi en soulignant son cœur fragile. « C’est toi qui me cherch… » Et coupé dans ma phrase, ses mains se posèrent sur mon torse pour me pousser contre l’un des murs de la ruelle. Plaqué contre ce dernier, la demoiselle s’avança pour s’emparer de mes lèvres, à son tour. C’était moi qui allais finir cardiaque à ce rythme. Mes lèvres épousaient les siennes avec passion, répondant sans même y réfléchir à ce baiser surprise, qui prit fin soudain, trop soudainement peut être. Je n’avais rien calculé de ce qu’elle avait fait durant les secondes/minutes qu’avait duré ce nouveau rapprochement, je fus donc étonné de la voir me remettre le soutien gorge réclamé. Mon expression de surprise fut rapidement remplacée par des lueurs joueuses alors qu’elle s’éloignait, ma chaussure en main. Mon regard la dévora un instant, là, cloué au mur, un peu subjugué. et sans la lâcher des yeux, je me penchai, dénouai ma chaussure restante, et je lui courus après, la rattrapant bien vite, brandissant l’autre chaussure fièrement, la lui remettant en main. « On est pas quittes du tout. » Oh non. Trop simple. Maintenant tu as mes deux chaussures en main Lucky et moi… Je me rapprochai de nouveau de son oreille pour quémander toujours plus : « Je veux ta culotte… »
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le tout pour le tout ! // @daniel wright ※※※ Je lève les yeux au ciel lorsque tu me piques avec cette phrase qui sonnait comme une reproche. Okey, je vois que tu n'as pas encore digéré mon bref idylle avec ce prof. « Pour ma défense, il était trop sexy et depuis le collège, j'ai toujours fantasmé de me faire un prof. » mes yeux ancrés dans les tiens, je n'en démordais pas. Faut-il que je précise aussi que ça avait été une bête sauvage au lit ? Et tu ne pouvais pas te plaindre parce que quand j'avais eu besoin de toi, tu n'avais pas été là, quand je t'avais désiré toi, t'en avais désiré une autre. Alors, excuse-moi d'avoir voulu passer du bon temps moi aussi. D'avoir voulu essayer de t'oublier dans les bras de quelqu'un qui m'avait retenu et qui m'avait traité de la meilleure façon qu'il soit, même si ça avait été quand même court sachant que ce prof avait un métier un peu trop dangereux pour ma vie. Un tueur à gage pour être plus précise et quand j'y repense encore, je rigole sur mon cas, parce que j'ai toujours eu le chic pour me mettre dans des situations aussi chaotiques. « Raison de plus pour laisser cette lingerie là où est sa place... » mais tu me l'avais déjà dégrafé avant que je ne réussisse à sortir de notre zone de confort aka notre proximité. Mh comme ça, c'est toi qui m'embrasses et c'est moi qui te cherche ? Eh bien tu sais quoi ? Je viens de te donner une raison de l'affirmer ! En te plaquant contre ce mur et en te dévorant les lèvres, aussi fougueuse que passionnée, mêlant savoureuseument ma langue à la tienne un court instant pour déposer mon soutif dans l'une de tes mains. Maintenant que nous sommes quittes, j'imagine que tu vas reprendre tes esprits et me laisser reprendre les miennes ? Fin, c'est chose impossible avec toi puisque je fus coupée dans mon élan, t'approchant de moi et brandissant fièrement ta deuxième godasse. Arquant un sourcil, je ne comprenais pas trop où tu voulais en venir jusqu'à ce que tu poses la chaussure dans ma main, murmurant cette demande assez particulière à mon oreille. Mes yeux s'écarquillant, lèvres pincées, regard interloqué, le cœur battant. « J'pense pas que ce soit possible, tes bijoux de famille se sentiront à l'étroit dans cette culotte... » que je réponds le souffle rythmé, sourire amusé. « Si j'te la donne, t'arrêtes d'être si proche de moi ? » ok t'as gagné Daniel. Je recule et je baisse légèrement mon short, tirant sur chaque côté de la dentelle de ma culotte rouge vif bordeau pour les déchirer, un après l'autre. Je remonte mon shorty en fourrant ma main à l'intérieur pour récupérer mon bas, que je laisse tomber dans ton autre main. « On est quitte maintenant ? » tu ne pensais tout de même pas que j'allais faire un strip-tease devant toi ?
(a) blue moon
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Parler d'éventuels cours de français dans lesquels je jouerais les profs deriva par ma petite pique un peu acide glissée discrètement, sur sa liaison passée avec un prof. "Ouais ouais..." bougonnai je alors qu'elle renchérissait sur le sujet. Pourquoi j'avais commencé à évoquer ça moi déjà ? Puis pas de raison de se vexer ou de jouer les jaloux, après tout je venais juste de rencontrer la demoiselle pas vrai ? Feignant l'indifférence, même si ma mine ronchon trahissait sûrement ma véritable humeur, j'optai pour ignorer sa réflexion, alors même que j'étais celui qui avait amené le sujet sur la table, le jeu ça valait mieux. Mes mains dans son dos qui dénouaient son soutien gorge, le réclamant en guise de paiement pour le vol de ma chaussure. Sauf que la proximité ravivait tout ce que j'essayais d'étouffer. Elle avait toujours eu cet effet sur moi, le temps n'y changeait rien. Et ce n'était pas le baiser qu'elle me vola ensuite qui allait refroidir mon esprit. Le fameux baiser toucha à sa fin brutalement. Me laissant presque à bout de souffle. Là contre ce mur, les lèvres rougies, le coeur tambourinant, et des envies plein la tête qu'il m'aurait fallu réfréner. Quelque soit le lieu, la situation, l'état de nos relations,  il fallait toujours que s'installe cette irrépressible tension sexuelle entre nous. Son soutif en main, mon regard se posa sur la lingerie alors qu'elle,  elle s'éloignait. Elle avait payé sa dette. On était quites ?  On en restait là ? Mais le jeu, ce jeu, notre jeu, c'était un peu une addiction. Commencer c'était ne plus s'arrêter. En redemander. Toujours plus. Alors retirant ma chaussure restante, je la rattrapai vite et j'en réclamais plus. En l'occurrence sa petite culotte. Elle s'amusa de ma requête, pointe de sarcasme dans la voix, mais amusée... Il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre. Et elle céda sous condition : que j'arrête d'être proche d'elle. Mes lèvres s'étirèrent alors dans un sourire, un sourire particuliers, mêlant nostalgie et regrets. "J'ai toujours été doué pour m'éloigner." Mettre de la distance. Feindre l'indifférence. Fermer le robinet des sentiments avant de ne laisser échapper la moindre émotion. Mes yeux s'allumèrent d'une lueur de désir en la voyant s'écarter et commencer à baisser son short. "OK en fait je suis pas sûr de pouvoir tenir ma promesse si..." Mais ma réplique s'arrêta là, en découvrant l'étrange manoeuvre de la demoiselle pour ne pas m'en laisser trop voir. "Petite joueuse..." la taquinai je alors, tirant la langue avant de récupérer le vêtement qu'elle me tendait. Peut-être qu'en fait si, y en avait un pour rattraper l'autre. Peut-être qu'elle, elle savait se la jouer raisonnable. Et c'était probablement plus sage ainsi. Un pas en arrière. En chaussettes dans la rue. Pourvu qu'il y ait pas de tessons à traîner là. Je fis un autre pas en arrière encore, honorant sa requête d'être plus loin. "On est quitte maintenant. " lui répondis je, enfourant la dentelle dans ma poche, avec son soutien gorge. Des reliques d'elle.  Des reliques de nous. Pour mieux... tourner la page ? Mieux recommencer ?  Je savais pas trop quel sens donner à cette rencontre. Tout ce que je savais c'est qu'elle était le danger. Et que j'avais toujours un peu trop aimé le danger... "Je te souhaite une bonne soirée Lucky. C'était sympa de faire ta connaissance." Soufflai-je avant de faire demi-tour, lui tournant le dos pour m'éloigner sur ces mots...


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