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You've pissed me off - Noé

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Elle se fou de ma gueule. C’est certain, je ne peux pas voir autre chose que ça. Je suis une boule de nerf, une énorme boule de nerf qui est prête à exploser mais il faut que j’essaie de me concentrer. C’est difficile, elle a osé parler de mon ex, de l’enfant que j’avais perdu avec elle et de Olympe. Je ne me souviens même plus le moment ou je lui ai raconté tout ça mais elle a tout gardé en mémoire pour pouvoir le retourner contre moi. J’ai été vulnérable, trop vulnérable et à présent, j’en paie une nouvelle fois le prix fort. Elle m’agace, c’est encore pire qu’avec Olympe. Mais au moins, avec la jeune femme, il y avait de l’attirance, j’éprouvais quelque chose pour elle mais je n’ai même pas lui dire que je commençais à avoir des sentiments avant qu’elle s’en aille. J’ai préféré lui souhaiter bonne chose pour son futur, un beau futur qu’elle mérite amplement. J’ai toujours passer sous silence le fait qu’elle m’attirait et que j’avais envie d’être avec elle mais une nouvelle fois, j’ai perdu une personne que je voulais vraiment dans ma vie. Je crois donc que je ne suis absolument pas fait pour ça et je ne peux plus m’ouvrir à quelqu’un. J’ai encore failli me laisser piéger par des sentiments qui n’étaient pas réciproques. Aujourd’hui, j’ai repris mes mauvaises habitudes, couchant avec tout ce qui bouge, mettant toutes les femmes que je pouvais mettre dans mon lit. Je me sens mieux, du moins, je sais que c’est très certainement une façade mais j’en ai besoin et je ne vais pas me faire insulter de la sorte par une merde comme elle. Oui, je suis énervé et çà tombe bien car ce soir, elle joue avec l’équipe de hockey. Seule femme de l’équipe à ce que j’ai compris, je me faufile dans les vestiaires pour pouvoir l’attendre et l’attraper au vol. Le match terminé, j’attends sagement dans les vestiaires des femmes quand elle arrive enfin. j’allais m’impatienter souffle-je en lui faisant très certainement peur. Je crois qu’elle ne s’attendait pas à ma présence mais t’es arrivée, pile à l’heure, c’est parfait je me lève du banc sur lequel je suis, et m’avance vers elle pour lui faire un sourire. Un beau sourire hypocrite dis moi en face ce que tu m’as dis qu’on rigole un petit peu

@T. NOÉ TIMCHENKO
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Jouer avec les hommes me plaît toujours autant. C'est plus violent, mais moins sournois. Je suis éreintée de ce match amical où je me suis faite plaquer de tous les côtés. Je vois enfin mon moment de répit arriver lorsque nous gagnions de peu. Direction le vestiaire, en vitesse. Enfin, j'essaye. Les journalistes nous arrêtent un moment, et j'arrive enfin à m'éclipser. Je pousse la porte, mes patins, ma cross et mon casque à la main. La lumière s'allume sur Rio, assis sur le banc. Sa voix aurait du me faire sursauter, mais dès le premier son, ne reconnaissant pas Demyan, il ne m'effraie pas. Il joue le mec qui veut me faire flipper, mais il sait très bien qu'il n'y arrivera jamais. Quand on emmène une inconnue à l'hôpital, qui nous rappelle étrangement notre passé, on ne peut pas jouer au dur avec cette fille là. Je sais qu'il a un cœur en mousse, sous la peau de son torse. « Pile à l'heure de la fin du match, good job Vaz. » Je le laisse se lever et avancer vers moi. Ses menaces passent au dessus de moi comme une petite brise. Sérieusement Rio ? Je me mets à rire franchement. Je viens de passer mon temps à frapper des mecs sur la glace, et il va falloir que je recommence au vestiaire. Le matos est lâché au sol. « Ta Rothschild, tu l'as perdue parce que t'as pas été fichu de porter tes couilles. » Il parle beaucoup, sans s'en rendre compte sûrement. Mais mois, j'imprime tout, sans aucune mémoire sélective. La moindre information, reste encrée en moi. Je lève les yeux vers son visage, lui fait face, articule chaque syllabe pour qu'il comprenne bien la porter de mes mots. « Et ton ex t'a sûrement quitté pour la même raison. C'est difficile la perte d'un bébé, tu aurais du être plus présent pour elle. » Je sais que c'est douloureux, tu le sens toi aussi ? Tu sens la boule au creux de ton ventre, elle se forme de plus en plus, grossit en toi au risque d'exploser avec toi. La douleur se mélange à la colère. « Et maintenant quoi ? Tu penses que t'es un mec fort parce que tu viens me menacer ? Je pourrais te frapper Vaz, et le moindre bruit inhabituel de ma part va rameuter toute l'équipe. » Je ne frapperai pas la première, je ne bouge pas d'un iota d'ailleurs. Pas un pas en avant, les jambes immobiles, et mes paupières qui battent des cils devant lui.

@Rio Vaz
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Elle est tout le contraire de moi. Et pourtant j’ai l’impression que l’on se ressemble plus que de raison. Mais elle me tape sur le système. C’est encore pire que Olympe. A croire que les femmes aiment me faire chier en permanence. Elle est partie trop loin. Beaucoup trop loin pour que je laisse passer ça. D’ordinaire, je m’en fiche, mais cette fois c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Je peux parler de tout, je peux encaisser bon nombre de choses mais je ne peux pas encaisser une remarque sur mon ex, sur le bébé que nous avons perdu. Ça c’est la barrière qu’il ne faut pas franchir. Elle a oser, elle va tout simplement s’en mordre les doigts à présent. Je l’attends au tournant et il n’y a pas de retour possible. Je me fiche clairement de ce qu’elle va me dire. Je veux qu’elle me dise en face tout qu’elle a pu me déverser par sms pour voir si madame a des couilles. Elle peut faire de la boxe ou ce qu’elle veut, je m’en contre fiche. Elle ne me fait pas peur. je tombe toujours à pic, regarde j’ai réussi a te sauver en Russie et bam. Je commence les hostilités mais elle va très vite me répondre. Je ne fais pas de soucis pour ça. Au contraire, j’attends sa réplique bien cinglante. Comme toutes celles qu’elle apprécie m’envoyer. C’est fou ce qu’elle peut être ravie d’avoir été sauvée en Russie. Je sais beaucoup de choses alors j’ai aussi de quoi faire si j’ai besoin de répondre à ses attaques. attention, malgré que tu sois arrivée ici, tu peux toujours te faire retrouver je n’ai pas envie de répondre à son attaque concernant Olympe. Elle ne mérite pas que je m’attarde dessus. Olympe est partie car elle avait cette opportunité de faire encore mieux, encore plus, dans une toute autre université et je l’ai encouragé. Jamais rabaissé. C’est dingue, mais elle me manque. Qui l’eut cru. Je fulmine lorsqu’elle mentionne le bébé. C’est trop. Je serre les poings ferme la, ferme la parce que tu ne sais rien du tout j’ai voulu l’aider en Russie. Je lui ai dis des choses que jamais je n’aurais dites à quelqu’un aux États Unis. Je voulais l’aider à avancer, faire le deuil de ce bébé. Mais elle retourne toutes mes paroles contre moi. J’ai mal mais je veux garder la tête haute. Elle sait où frapper sans même utiliser les poings. La douleur est palpable, et elle se mélange. Trop de sentiments se mélangent d’un coup. J’essaie de tenir mais c’est difficile. contrairement à toi, je ne veux pas tout résoudre par la violence. Ton équipe je m’en contre fiche. Et je pensais qu’une fille comme toi n’avait pas besoin d’hommes. Oui tu n’es qu’une fille pour moi. je la toise, essayant de masquer la tristesse qui s’est mélangée à la rage. toi, visiblement perdre un enfant ne te fais rien du tout


@T. Noé Timchenko
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Je sais comment faire pour l'énerver. C'est quelque chose d'inné chez moi. Ou alors, ça c'est construit petit à petit avec moi, à l'orphelinat. Se défendre, toujours. Se battre, et même parfois être celle qui attaque. Je n'avais pas d'autres choix, et j'ai encore cette impression aujourd'hui. Il m'a reparlé de Demyan, il a tout fait pour m'agacer après m'avoir secouru il y a plusieurs mois. Je ne le comprends pas, et ne veux pas chercher à la comprendre. Il n'en vaut peut-être pas la peine. Vaz commence à rétorquer. Me rappeler que je peux me faire retrouver par Demyan n'est pas si violent que cela, parce que j'en suis pleinement consciente. Ma carrière en hockey ne me permet pas de cacher mon nom, et je refuse de changer d'identité à cause de mon père. Il m'est impossible de le renier, jamais je n'y arriverai. Rio commence à s'emporter, me demande de la fermer alors que je souris de plus belle. Je sais déjà beaucoup trop de choses pour être capable de te faire souffrir. C'est ça le but des hommes non ? Se faire souffrir entre eux. Il garde pourtant la tête haute le brésilien, pour attaquer encore plus. Je le laisse déblatérer sa tirade affreusement ennuyante. « S'ils te tombent dessus, tu ne pourras pas t'en foutre je t'assure. Ouuuuh ! Mais tu es perspicace en plus Vaz, bravo pour ton sens de l'observation. » J'applaudis. Je suis une femme ouais, j'en ai les attributs parait-il. Mais quand il parle de mon enfant, il sait lui même la douleur que nous produisons. On se bat l'un contre l'autre, pour la même histoire vécue, à quelques années prés. Un pas en avant pour être au plus proche de lui, et sans qu'il ne puisse réaliser, je le pousse contre le mur du vestiaire. Une jambe entre les siennes, nos corps trop proches, le mien encore sous les protections de hockey, et nos yeux revolver. « Il est où le problème chez toi Vaz ? Tu es qui pour me dire que ça ne me blesse pas ? T'es passé à l'hosto toi avec ton ex ? T'as du pousser pour faire naître un enfant qui est mort dans ton ventre ? Tu n'sais vraiment pas de quoi tu parles. » Le ton monte un peu alors que je ravale mes larmes. Tu n'y arriveras pas Rio, jamais.

@Rio Vaz
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Elle tire sur la corde, elle sait comment tirer et elle s’en amuse. Elle sait que çà fait mais elle s’en fiche, du moment qu’elle blesse l’autre et pas sa petite personne, c’est le principal pour elle. Elle est en permanence sur la défensive et elle est bel et bien pire que moi. Elle est même plus douée, car elle veut vraiment faire souffrir quelqu’un et elle sait à chaque fois comment faire. Elle est fatigante, et je ne sais toujours pas pourquoi je perds mon temps avec la jeune femme. Il y a quelque chose qui me pousse a aller la retrouver, à lui tenir tête. C’est dans mon caractère, j’ai besoin de lui montrer que je peux me défendre et que j’en ai aussi dans le pantalon, même si elle pense le contraire et qu’elle le fait savoir. Il lui manquerait plus que le mégaphone et tout le monde pourrait voir comme elle peut être mauvaise avec les gens. J’ai d’abord vu une jeune femme fragile, mais elle a rapidement montrer son vrai visage et ce n’était vraiment pas la même chose. Elle sourit alors que je lui demande de la fermer. Rien ne pourra l’empêcher de l’ouvrir. Elle se joue de moi, elle se joue de tout le monde. Même moi qui suis un connard, j’ai tout de même des moments de faiblesse. Elle, je pense vraiment qu’elle n’a aucun coeur, et qu’elle en veut à la terre entière pour tout ce qui a pu se passer dans sa vie. et toi tu serais bien contente de voir des mecs me tomber dessus siffle-je en la regardant droit dans les yeux. Elle ne bouge pas, mais moi non plus. Mes poings toujours fermés, je ne vais pas la laisser filer Tu as vu çà ? J’ai encore pas mal de qualités que tu ne connais pas, je pourrais te montrer j’aurais voulu rajouter si tu veux, mais je ne préfère pas. Je touche enfin là ou çà fait mal et je comprends rapidement qu’elle est très en colère. C’est bien, elle peut comprendre ce qu’elle me fait subir depuis que l’on se connait. Elle me pousse contre le mur, je ne m’y attendais pas et se lâche. Les paroles sont dures, mais je l’ai vécu moi aussi, à quelques différences. Je la regarde, je ne lui montre rien, et j’attends qu’elle termine son discours. Je sais ce que c’est que la douleur, je sais ce que c’est que de perdre un enfant, même si le notre n’était pas assez avancé et qu’il est parti sans même qu’on ne fasse quoique ce soit. Sans même que Kara ne pousse pour tenter de le faire sortir. Je connais ma force, je connais la sienne. Elle est un peu fragile à cet instant et les rôles s’inversent, c’est moi qui la plaque contre le mur, mettant mes bras là c’est moi qui parle… je ne suis pas la personne qui porte le bébé, mais je porte aussi la douleur. Une douleur similaire, et toi tu te permets de me dire des choses comme ça alors que madame, çà ne lui plait pas ce que je dis ? Mais tu m’emmerdes Noe, tu m’emmerdes tu comprends çà ? Tu fais la grande, la forte mais regarde là, t’es tout simplement aussi vulnérable que n’importe quelle autre femme qui a perdu un enfant. T’aurais voulu que je te laisse dehors ? Que je te laisse dans cette putain de rue en Russie alors que t’étais en train de perdre ton enfant ? Écoute moi bien… j’étais à l’hôpital avec elle, c’est elle qui s’est cassée ensuite, alors n’essaie jamais, NON JAMAIS, de me faire la morale alors que la tienne n’est pas la meilleure des morales !

@T. Noé Timchenko
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Je ne veux pas qu'il soit en capacité de m'atteindre. Personne ne le peut, sauf mon fantôme Demyan. Je l'imagine avec sa gueule d'ange s'approcher de mon oreille et me murmurer des mots doux pour me faire plier. Il sait comment faire, il me connaît par cœur. Il sait comment remuer le couteau dans la plaie, me sortir les mots qu'il faut. Mais Rio ne s'en sort pas mal non plus. Jamais je n'aurais du me confier, jamais je n'aurais du le laisser s'approcher de moi. Quelqu'un d'autre m'aurait conduit à l'hôpital, et j'aurais fermé ma putain de bouche. En bon appui sur mes jambes, je me déconcentre en pensant à cet enfant dont j'avais déjà trouvé le prénom. Rio me prend par surprise et me plaque à son tour contre le mur avant de faire sa tirade. Il ne sait pas de quoi il parle. Il ne sait pas ce que c'est de pouvoir donner la vie et d'en fait, donner la mort. Il ne peut pas comprendre et ses paroles me heurtent en plein visage. « Ta meuf elle s'est barré parce que t'étais pas capable de gérer. » Entre les dents, comme un sifflement de serpent. Je le lui fais pas la morale, je campe sur mes positions. Son blabla m’indiffère, je retiens juste que je l'emmerde et ça, c'est extrêmement jouissif puisque c'est le but souhaité. J'attrape sa main avec violence et la pose sur mon ventre. « T'as retrouvé ta meuf pour qu'elle t'explique ? Je le sentais cet enfant, dans mes entrailles putain. Et d'un seul coup, plus rien Vaz. Tu as beau dire ce que tu veux, tu ne peux pas comprendre cette douleur. Il bougeait en moi... » Je me stop, lance son bras pour qu'il ne me touche plus. S'il a raison sur une seule chose, c'est bien que je suis extrêmement vulnérable quand je parle de lui. Blessée, je ne lâche pourtant jamais les armes. L'attaque, toujours, comme meilleure défense. Je me débats pour qu'il me lâche. La libération difficile à atteindre. Je finis par lui mettre un coup de genoux entre les jambes pour qu'il daigne me libérer. De colère, je retire les protections et les balance à travers le vestiaire. Le fracas contre le sol, puis contre les casiers un peu plus loin. J'ai envie d'hurler, mais je ne peux pas. Hors de question que l'on me voit comme ça. « Dégage maintenant Vaz. »

@Rio Vaz
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Elle fait mal. Elle sait où taper et c’est bien la seule qui sait comment faire. Je n’ai jamais parlé de mes craintes, de ce que j’ai perdu, pas même de ce que je pouvais encore ressentir aujourd’hui et pourtant, il a fallu que j’en parle à une seule personne. A celle qui allait me le faire regretter instantanément. Je lui en ai parlé parce qu’elle vivait quelque chose de difficile, elle vivait une épreuve que je pouvais comprendre, du moins une partie en tout cas. J’étais là pour elle, alors même que je ne la connaissais pas mais je n’avais pas pu la laisser dans la rue. Tout être humain aurait fait exactement la même chose mais elle me le fait payer aujourd’hui. Je ne la comprends pas, je ne sais pas pourquoi elle agit comme çà avec moi mais elle vient de dépasser les bornes et il est hors de question que je laisse passer tout ça. Non, je ne la laisserai jamais me parler comme ça. C’est terminé, et c’est moi qui finis par la plaquer contre le mur. tu ne sais pas de quoi tu parles, tu ne sais rien de moi, rien du tout et tu oses me faire la moral ? Laisse-moi rire, tu crois que ton gentil petit russe à fait quoi ? il a voulu faire pire elle veut blesser, et bien allons-y. Bien que je sois un connard, je n’aime pas faire de mal aux femmes verbalement, comme physiquement, mais c’est trop tard. Elle attrape ma main et la pose sur son ventre. Je veux la retirer mais elle est forte. Je n’ai le temps de rien dire qu’elle me met un coup, elle a encore touché là ou çà fait mal. Je laisse sortir un petit gémissement et la regarde s’énerver. Je m’assois, ayant besoin de quelques minutes pour retrouver mon souffle. La douleur commence à s’estomper mais est tout même toujours assez vive pour que je ne puisse pas me lever. tu crois que t’es la seule dans cette situation, tu crois que t’es la seule à avoir un enfant, à le perdre, et tu crois quoi ? que les hommes ne ressentent aucune tristesse ? elle se trompe lourdement si elle pense ça. Je me lève, me rapproche d’elle mais garde tout de même une certaine distance sinon quoi ? tu vas me frapper ? hurler pour que tes chiens de garde viennent me casser la gueule ? je fais non de la tête et continue Ouvre les yeux putain, et arrête de jouer les femmes fortes alors que t’es pas bien

@T. Noé Timchenko
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