tu as demander une infirmière sexy? (with Erwin)

oui Erwin c'est le moment d'en parler, de parler de notre passé je trouve que c'est important pour nos retrouvailles. même si tu as peut-être tourner la page, moi non. tu es mon premier amour et je ne peux pas t'oublier aussi facilement. « ne te rabaisse pas, j'étais naïve à l'époque. » je sers ta main dans la mienne je ne veux pas que tu penses que c'est de ta faute. « je voulais simplement te dire ces choses pour que justement ce sois clair entre nous. comme on vient de se retrouver c'était important pour moi. tu comptes pour moi. » je te souris et oui je te dis toute ces choses la car je les pense.

@Erwin Rothschild

« Je ne suis pas du genre à me rabaisser hein. Je ne dis que la vérité... Tu n'es pas la première, ni la dernière donc j'étais habitué à l'époque. » sourit-il en haussant légèrement son épaule valide, alors que la jeune femme serrait fort sa main dans la sienne. « Je comprends et je te remercie d'avoir été honnête. Du coup, pour que tout soit clair entre nous comme tu dis, saches que je ne suis pas genre rancunier... Tu ne m'as pas salement trahi, tu as juste fait un choix. Tu étais libre de le faire, je n'avais pas mon mot à dire. ». Il se tut légèrement tout en détournant la tête pour réprimer une grimace, parce que mine de rien, il avait systématiquement mal à la tête ou au niveau de la poitrine depuis son réveil dans cette chambre d'hôpital. « Fin bref, ça te fait quoi d'être à Harvard ? »

je vois bien que tu essaye de faire genre tu ne sais pas de quoi je parle seulement tu le sais très bien Erwin et c'est normal à présent que je m'excuse de ça. « tu n'étais pas un mec sérieux? tu l'étais pourtant envers moi même quand nous étions amis avant la coucherie du soir qui nous as poussée à être en couple. » il a fallu qu'on fasse notre première fois ensemble pour que nos sentiments amoureux naissent tout à coup. « je vais aller de l'avant oui mais je tenais à te le faire savoir. » je te souris au moins nous avons eu cette conversation tous les deux. « j'aime beaucoup Harvard et toi? »

@Erwin Rothschild

Le jeune français cherchait à faire comprendre à son ex qu’il n’avait pas besoin qu’elle s’excuse pour tout ce qu’il s’était passé. A ses yeux, c’était du passé et il était inutile de revenir dessus… Cela ne changerait pas le cours de l’histoire, malheureusement. « [color:a99f=27AE60]Oui mais toi, c’est différent. Tu étais l’une de mes plus proches amies avant d’être ma petite amie secrète. Donc avec toi, je pouvais être moi-même alors qu’avec les autres, j’optais pour un visage moins sérieux parce que ce n’était pas ce qu’ils attendaient de moi. » expliqua-t-il avant d’inspirer longuement puis il afficha un sourire lorsqu’elle répondit qu’elle comptait aller de l’avant. « C’est bien. N’oublies pas que je suis là donc si tu as besoin, je ne t’abandonnerais pas. » rajouta-t-il d’un ton posé. Un nouveau sujet de conversation s’imposa entre eux et elle expliquait qu’elle aimait beaucoup l’université. « J’aime bien aussi, même si les raisons qui m’ont poussé à venir sont pas très cool. C’était pour ne pas m’ennuyer pendant ma rééducation à l’issue de mon premier accident. »

on vient tous les deux d'une bonne famille assez stricte avec des règles à respecter et notre plus gros point en commun ça a été de se rebeller un peu de ne pas vouloir entrer dans les règles d'une famille aisée. « oui tu sais qu'avec moi tu pourra toujours être toi même. » je te souris puis je t'explique mes excuses que tu comprends parfaitement. « moi aussi je ne vais pas t'abandonner, promis. » je prends ton petit doigt avec le mien pour se faire la promesse du petit doigt. « et tu as intégrer une confrérie? »

@Erwin Rothschild

Peu de personne connaissait réellement le jeune Erwin, l'héritier des Rothschild mais qui cachait son identité aux yeux du monde. Parmi ces personnes triées sur le volet, il y avait son interlocutrice du jour, qui était non seulement l'une de ses amies les plus proches de son enfance mais aussi et surtout sa première petite amie. Du moins celle qu'il pouvait réellement considérée comme telle, parce que les autres femmes étaient surtout des figurantes à ses yeux. C'était pour cela qu'il ne se mettait que très rarement en couple... « Le jour où je ne serais plus moi-même, ça se saurait. répondit-il d'un ton légèrement ironique, avant de se tourner vers son ex et lui adresser un sourire. « Je le sais. » dit-il simplement tout en la laissant croiser son petit doigt avec le sien, puis ensuite ils se mirent à parler d'Harvard. Il ne cacha pas le fait qu'il était venu dans la meilleure université des Etats-Unis et du Monde d'ailleurs, afin de palier au risque de l'ennui durant sa longue rééducation post-accident. « Je fais partie des Mathers et toi ? Quelle confrérie comptes-tu rejoindre ? Je te verrais bien à la Dunster ou chez les nouveaux venus, la Kirkland. »

j'aime le fait que les choses soient mis à plat entre nous deux, je ne voulais pas que ça soit une conversation qu'on aborde jamais au moins c'est réglé. « effectivement surtout que je te connais presque par cœur donc reste ainsi c'est beaucoup mieux. » je te souris heureuse de te revoir même si j'aurais aimer dans d'autres circonstances que dans une chambre d'hôpital mais c'est tout toi ça tu prends toujours des risques, tu adores ça. « oh les mathers les fêtards ça ne m'étonnes même pas que tu sois là-bas et tu t'y plais? faudrait que tu m'invite un jour à une de vos fêtes pour savoir si leur réputation donnée est réelle. bah ouais il paraît que ce sont les meilleures du campus je veux bien voir ça moi. « je vais postuler pour aller à la kirkland house comme tu avais bien deviner ça me correspond parfaitement et je vais me sentir à ma place là-bas. » puis curieuse comme je le suis je me demande si en ce moment tu fréquente quelqu'un. « et côté cœur? »

@Erwin Rothschild

honnêtement en proposant à la jeune femme de venir, Erwin ne s'attendait pas du tout à avoir cette conversation. Mais finalement, ce n'était pas plus mal parce que ça leur permettait d'aller de l'avant maintenant. Le français sourit aux dires de la jeune femme, qui surenchérissait sur le fait qu'elle le connaissait par cœur et que c'était mieux qu'il reste comme ça. Il hocha simplement la tête en signe d'approbation, puis ils se mirent à parler de leur vie à Harvard et donc des confréries qu'ils avaient respectivement rejoint. « Je me sens libre dans cette confrérie ! Et oui bien sûr, tu verras qu'on n'a pas du tout volé notre réputation. » sourit-il malicieusement avant de se mettre à deviner la confrérie qu'elle fréquentait. Et à sa réponse, il afficha un sourire satisfait parce que la jeune femme lui confirmait qu'il avait visé juste. « J'espère que ton bizutage se passera bien. En plus vu que c'est une toute nouvelle maison, tu vas pouvoir t'intégrer facilement ». Par la suite, elle lui posa une question existentielle... Est-ce qu'il fréquentait quelqu'un ?! Il pouffa de rire parce qu'il se doutait qu'elle finirait tôt ou tard par la poser, donc inspirant légèrement, il opta pour la franchise : « Avec mes activités de FMX rider, c'est impossible d'avoir une vraie vie amoureuse. Du coup, pas de petite amie, pas de crush particulier etc. et toi ? »

on commence à parler de notre vie à harvard, de nos études après tout on a du temps à rattraper tous les deux, beaucoup de temps même ne pas avoir eu de tes nouvelles depuis mes dix huit ans ça date on a pas mal changer tous les deux certainement un peu niveau caractère en grandissant, niveau physique déjà même si tu es toujours aussi mignon et au niveau de nos vies. « très bien je verrais ça alors mais n'oublie pas de m'inviter hein. » je te souris j'aimerai bien voir une fête des mathers ça doit être bien l'ambiance doit être véritablement au rendez-vous comme j'en ai déjà entendu parler alors je veux bien vivre ma première fête mather. « oui j'espère aussi que mon bizutage va bien se passer, que les défis ne seront pas trop difficile à réaliser. je te tiendrais au courant du coup. » une nouvelle maison ça m'avait donner envie de la découvrir même si je ne connais pas les autres, mais celle la semble me correspondre totalement. puis curieuse comme je le suis d'habitude je te demande si côté cœur tu as quelqu'un, ça serait dommage d'avoir personne qui veille sur toi surtout quand tu te retrouve à l'hôpital comme aujourd'hui. mais malheureusement pour toi tu me dis que tu n'a personne. « oui je vois ça ne doit pas être évident de coller les deux ensemble, moi j'ai personne actuellement je vis ma vie de célibataire tranquillement. » et c'est bien mieux comme ça.

@Erwin Rothschild

Erwin se sentait bien à l'heure actuelle, alors qu'il échangeait tranquillement avec son ex-petite amie d'enfance. Il ne se doutait pas qu'elle viendrait étudier dans la même université que lui et donc les retrouvailles lui faisaient du bien en quelque sorte. Du coup, ils parlaient de tout, de leur vie à Harvard etc... « Dès qu'il y aura une soirée très intéressante, je te ferais signe. » promit-il avec un sourire amusé, même si le français constatait que la Maison Mather n'était plus trop la confrérie fêtarde comme avant. Et ce n'était pas plus mal d'ailleurs ! Cela donnait une assez mauvaise image de la confrérie, même si la réputation était assez grande. Pour sa part, la jeune femme était en plein bizutage pour la Maison Kirkland, la toute nouvelle confrérie créée depuis la rentrée de septembre. « Ne t'en fais pas ! Le bizutage se passe très vite et bien généralement. Mais je veux bien que tu me tiennes au courant. ». Par la suite, comme ils entraient dans un sujet un peu complexe, il s'était mis à réfléchir longuement à la question avant de lui avouer qu'il était célibataire. Son interlocutrice en fit de même et elle ajouta même qu'elle vivait son célibat avec tranquillité. « Tu as bien raison. » répondit-il avant qu'une infirmière ne fasse apparition dans la chambre pour prévenir le français qu'il avait des analyses à faire. « Je suis désolé Maggie, nous devons écourter nos retrouvailles... J'avais oublié ces fichus examens. Promis à ma sortie de l'hôpital, nous aurons de très longues conversations. Merci à toi d'être venue me voir. Ça me touche beaucoup. » sur ces mots, il fit une étreinte à la jeune femme avant d'être emmené en salle de soin tandis qu'elle prenait congé de lui... Erwin affichait un sourire radieux après l'avoir vue.