Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIn the line of fire + GABRIELLA


In the line of fire + GABRIELLA

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in the line of fire // @GABRIEL DE GLÜCKSBOURG ※※※ Mon regard venait de glisser sur une chevelure noire, qui me parut familière. Je m'attarde dessus, détaillant son propriétaire jusqu'à ce que je me stoppe d'un coup. Le regard choqué, je referme mon poignet. Tu n'es pas croyable Gabriel. Tu viens de faire glisser de ton sac, un grand paquet de préservatifs. Évidemment. Tu ne sembles pas avoir senti quelque chose et moi, je roule des yeux. Tu t'es éloigné sans que je ne puisse avoir le temps de te rapporter ton bien. Bref, je m'approche de cette boite et je la récupère pour la fourrer dans mon sac. La journée terminée, mes talons résonnaient sur les trottoirs de la ville. Il y avait beaucoup de monde et le soleil commençait à se coucher, peignant le ciel d’agréable tons chauds alternant entre le plus doux des orangés et le plus apaisant des bleus. Je continuais mon chemin, mes yeux rivés en direction du plafond céleste. Mes cheveux laissaient une mince brise de vent, les chatouiller. Mes pas me guidaient jusqu'à ton hôtel. Je me perds légèrement dans mes pensées, me demandant si c'était une bonne idée d'être là. Allez, je ne suis pas du genre à faire marche arrière alors autant finir ce que j'ai commencé. Je monte jusqu'à ta chambre après m'être renseignée sur le numéro de porte. Une fois devant celle-ci, je prends une longue inspiration et je frappe... Si tu ne m'ouvres pas la porte, tant mieux, je repartirais d'où je suis venue. Mais alors que ma vision était envahie par cette porte blindée ou pas, je me perdais de nouveau dans mes pensées. Le visage anormalement neutre et inexpressif, j'en étais venue à une conclusion. Peut-être étais-ce une erreur d'être venue, peut-être que tu pouvais très bien te passer de cette boite et que bah là, tu étais en train de faire tes affaires, vu le temps que tu mettais à venir ouvrir. Où juste peut-être n'étais-tu pas derrière cette porte et que peut-être aussi, je me suis trompée de chambre, de numéro. Ou simplement que tu n'avais pas envie d'être dérangé. Que des questions dont toi seul en possédais les réponses...
(a) blue moon
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- Le retour du prince. la presse ne parle que de ça. où était il ? qu'a t il fait ? pourquoi mais surtout comment a t il pu disparaître des radars tout ce temps. 4 mois. sa mère je suis parti 4 mois et c'est le bordel. les médias parlent d'une cure de désintox. bah ouai pourquoi pas. c'est vrai que jsuis un drogué. je sniffe de l'aspirine en poudre quand je sais pas quoi faire. les gens sont cons. on a même dit que j'étais enlevé. qu'une rançon a été nécessaire à ma libération. n'importe quoi. j'essaie de me faire discret. de ne pas donner d'argument à la presse. je fais tout à couvert. je me montre peu pour l'instant. mes parents essaient d'ettouffer mon retour mais ça marche pas tellement. entre ça et mes proches qui me font tous la gueule un par un. je suis servi. genre y a personne pour comprendre que j'avais besoin de partir. pour moi. pour ambre. nan ? les gens sont égoïstes. moi jle suis. mais eux aussi. sans déconner. j'ai pas disparu pour mon plaisir. allez tous vous faire foutre. ce soir je sors pas. je sais qu'il y a un paparazzi qui m'attend devant l'hôtel. sebastian m'a prévenu. il est cool lui. c'est le seul sur qui je peux compter en ce moment. y a cette fille ines qui ignore totalement qui jsuis. elle vient de m'apporter mes cours. elle m'aide. elle croit que jsuis nouveau ici. c'est mignon. j'en profite un peu. ouai c'est vrai. je l'avoue. elle ne m'a pas reconnu et tant mieux. j'aimerai être un étudiant lambda. ça me plairait grave. j'ai décapsulé une canette de bière. y a que de la merde en amérique. jsuis obligé de les faire importer d'europe. ça me rend maboule. je râle. je suis quand même content de retrouver mes proches. ils m'ont manqué. même s'ils font tous la gueule. ça va passer. faut leur laisser le temps. j'affale mon cul sur le canapé du salon. ma suite elle est trop badass. je la kiffe. pour vrai c'est tout luxueux. j'ai l'impression d'être à la maison blanche. j'ai tout un étage pour oim. la classe à dallas. les pieds sur la table basse. on sonne. je reconnais cette façon de sonner. c'est sebastian qui a été me chercher à bouffer. il gère ce garde du corps. jme méfie pas et je vais ouvrir. c'est ta tronche que je vois. novella francescov. une longue histoire. je te regarde de haut en bas. qu'est ce tu fou ici ? je te manque. tu m'as suivi. tu veux un autre round ? n'importe. j'aime bien. je suis quand même surpris. pour que tu me causes, il doit y avoir une bonne raison. ou pas. - (@Novella Francescov)

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in the line of fire // @GABRIEL DE GLÜCKSBOURG ※※※ Je ne peux pas oublier la façon dont on s'est quitté, la façon dont tu m'as trompé. Je te déteste autant que j'ai pu t'aimer. Mais je ne sais pas pourquoi devant cette porte, mon poul s'accélère, mes pupilles se dilatent et mes doigts se resserrent très fort contre mes paumes. Quand tu m'ouvres la porte, la première chose qui me passe par la tête en te regardant, c'est écraser mon poing sur ta tronche. Mais je me retiens. Aussi, tu es torse nu et ça, ça a le don de me perturber. Je detourne le regard et je sors le paquet de preservatifs de mon sac. « Tu as laissé tomber ça ce matin. Alors je suis venue te le rendre. » que je souffle en poussant les syllabes et en plaquant l'objet contre ton torse. Tu m'avais volé mon cœur, tu m'avais volé ma virginité et tout ça pour me jeter comme une sous merde. Je te déteste toujours autant, même après toutes ces années. Je te déteste encore parce que je t'avais vraiment aimé putain, parce que je t'avais fait confiance pour te donner tout ce que j'avais. Parce que oui, tu as été mon premier amour. « Allez bonne soirée ! » je lâche le paquet que tu receptionnes dans ta main et je tourne les talons pour aller rejoindre l'ascenseur. J'appuie sur le bouton et j'attends qu'il monte en replaçant une mèche rebelle derrière mon oreille. C'est bien grâce à toi que j'ai connu ce que c'était que l'amour et je n'aurais jamais voulu découvrir ce sentiment. Tu es celui qui m'a rendu faible et j'aurais souhaité rester dans le déni pour ne jamais en souffrir. Car des cœurs brisés, j'en ai accumulé. Je t'en veux terriblement et si je pouvais, je ferais n'importe quoi pour oublier ce que j'ai ressenti pour toi. Malheureusement, ces sentiments demeurent toujours dans un coin de mon cœur...
(a) blue moon
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- Je suis surpris. sans déconner. ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vu. pas croisé. un bail. cette impression est accentuée avec mon départ. je sais pas si t'es au courant. je m'en carre. tu vas encore râler. tu fais que râler après moi tfaçon. tu m'en veux. je sais pourquoi. j'ai pas été cool avec toi. j'ai dépassé les limites. j'en suis conscient. j'ai accumulé les erreurs avec toi. faut croire que je les accumule encore. je vois ta bouille. je me demande ce que tu me veux. t'es venue pour qu'on s'explique ? pas après tout ce temps. j'ai plus rien à te dire moi. je suis en accord avec ma conscience. je me suis excusé une fois. faut savoir que je ne m'excuse jamais novella. mon désolé c'est tout ce que t'auras. j'étais sincère. je sais que j'ai mal agis dans le passé. je le fais plus aujourd'hui. je ne promets plus la lune. à personne. c'est quoi ? t'as un truc à me rendre. mon portable ? ma boite de capote. je souris. je pourrais être gêné mais non. t'y as déjà goûté toi. je prends la boite. bonne soirée à toi aussi. c'est tout ? t'es venu jusqu'à mon hotel juste pour me rendre mes capotes ? pas à moi. tu peux pas me faire croire ça. je te manque ? dis le novella. t'as le droit. tu tournes les talons. tu files. je jette le paquet de capote sur le canapé. je cours jusqu'au couloir. attends. je sais pas quoi dire en fait. je m'arrête à ton niveau. à ta hauteur. tu veux pas entrer un peu ? on a des trucs à se dire jcrois. j'en suis sur. arrête de m'en vouloir. y a prescription depuis le temps sans déconner. on peut faire la paix - (@Novella Francescov)

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in the line of fire // @GABRIEL DE GLÜCKSBOURG ※※※ Bordel, tu ne comprenais pas que tu m'avais tellement fait du bien pour m'briser ensuite que je n'avais plus que du mépris pour toi ? Oui je t'avais aimé plus que ma propre personne, oui, j'étais tombée folle amoureuse, je pensais que ce n'était pas possible avant de te rencontrer. Je pensais que l'amour, c'était surfait et que ça se tassait à un moment donné. Je me suis donnée aveuglément à toi, mais qu'est-ce que toi tu as fait ? T'as été l'un de ces parfaits connards, et tu savais à quel point je les méprisais. Tu m'as tout volé, mon âme, mon cœur et ma raison, t'as bien profité et quand tu as jugé bon, t'es allé te perdre dans les draps d'une autre. Tu m'as jeté comme une vieille chaussette et crois-moi qu'après tout ce temps, ça faisait encore mal de garder cette cicatrice. Toi, tu peux vite oublier, tu peux oublier facilement, mais moi non ! Simplement parce que t'as beaucoup trop compté. Plus qu'il ne le fallait en fait. Alors je te rends ton bien et je file vers l'ascenseur. Au moment où elle s'ouvrait et j'allais y mettre les pieds, tu me stoppais pour m'inviter à entrer dans ta suite. On a des choses à se dire ? Comme quoi ? Je ne sais pas si j'ai envie de les entendre... Je recule parce que l'ascenseur se referme et je me tourne vers toi... « Je ne reste pas longtemps.... » En langage Vella, cela voulait dire d'aller droit au but et de se dépêcher. Bah ouai, ronchonneuse, je me rapprochais de toi pour pénétrer dans ta suite sans crier gare. Me retournant pour te faire face, je croise les bras sous ma poitrine. Vas-y je t'écoute Gabi... Qu'est-ce que t'as à me dire ? Et puis mets une chemise bordel !..
(a) blue moon
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- On est pas sur la même longueur d'onde je crois. pour moi c'était il y a longtemps. je ne me suis pas rendu compte du mal que j'ai pu te faire. ou si. un peu. je m'en doute. mais pas à quel point. pour toi je sais pas. t'es froide et distante. comme d'hab. pourtant t'es devant la porte de ma suite. t'es venue me rendre ma boîte de capotes. pourquoi ? t'aurais pu les garder pour toi et jamais revenir me parler. c'est une excuse ? dis le novella. t'entres dans l'ascenseur. tant pis. tu ressors avant que les portes se ferment. je te souris. tu reviens vers moi. t'es libre de partir quand tu veux. je vais pas te séquestrer. t'es pas désagréable. t'es pas agréable non plus. je sais pas quoi penser de ta venue. je me fou encore de tout. tu entres. tu te retournes. tes bras se croisent. ok ok. si c'est pour tirer cette gueule tu peux repartir. je sais pas quoi te dire pour vrai. je te détail. le temps a été clément avec toi. t'es grave canon. t'as mieux réussi sans moi. c'est clair. tu m'en veux encore ? c'est direct. je sais déjà que tu vas me dire oui. tu vas peut être me gifler. sa mère tu seras pas la première cette semaine. j'en ai déjà reçu 3. pour d'autres raisons. pour mon départ. toi c'est différent. t'as une rancoeur contre moi. je le vois bien dans tes yeux. je le sens. déballe tout ce que t'as à me dire et que t'as jamais dis vella. si ça peut te défouler. jte dois bien ça. je fais ma ba. sans déconner. j'imagine vraiment pas les griefs que t'as contre ma gueule. explique que je percute une bonne fois pour toute. - (@Novella Francescov)

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in the line of fire // @GABRIEL DE GLÜCKSBOURG ※※※ Je ne sais pas pourquoi je suis venue, je ne sais pas pourquoi mes pas m'ont mené à toi. Je ne sais pas pourquoi je persiste à garder cette rancœur à ton égard. Je ne sais pas pourquoi je n'arrive pas à cicatriser. Je devrais depuis le temps maintenant non ? Alors pourquoi quand je te vois, il y a tout qui remonte d'un coup à la surface ? Finalement, j'entre dans ta suite et j'attends que tu parles, que tu t'exprimes. Et tout ce que tu trouves à me demander c'est si je t'en voulais encore ? T'es sérieux ? Tellement que je laisse un rire nerveux s'échapper de ma gorge. Tu veux que je vide tout ce que j'ai dans le cœur ? T'es prêt à voir cet image que je garde de toi dans mes prunelles ? Fine. « T'es qu'un beau connard Gabriel. » Tu veux en écouter encore ? Tu es bien certain ? « avoue que tu ne m'as jamais aimé. Avoue que tout ce que tu voulais, c'était prendre ma virginité... Avoue que tu n'étais pas sérieux et que tu te jouais de moi à l'époque. » vas-y soulage-moi. Montre-moi que j'ai raison. « Je n'étais pas assez bien pour toi ? T'en voulais encore plus de vierges à dévierger ? Pourquoi t'as baisé avec cette putain de fille dans ce putain de lit qu'on partageait ensemble ? Elle avait de plus gros seins ? Elle avait un corps plus alléchant ? Elle était plus belle ? Qu'est-ce qu'elle avait de plus que moi pour que tu me brises le cœur ? Pour que tu l'écrases sans crier gare ? » au fur et à mesure que les mots sortaient, je me rapprochais de toi, jusqu'à ce que je sois plus proche et que mes yeux, lancent des éclairs aux tiens. Je veux savoir pourquoi je ne te suffisais pas à l'époque. Pourquoi t'as gâché une belle histoire pour une cruche de première catégorie. Une pétasse si vous voulez.
(a) blue moon
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