dans le brouillard attrape ma main. (anthonila)

Si il y a bien un truc que tu détestes c'est que l'on ne prenne pas la peine de te répondre. C'est ton côté princesse ça. T'as besoin qu'on t'apporte de l'attention, qu'on soit là pour toi parce que toi tu l'es pour les autres. Tu ne sais pas ce qui lui arrive et pourquoi t'as le droit à aucune réponses depuis des jours. T'as fait une connerie ? Dis un truc qui fallait pas ? Après tout avec ton tact légendaire ça ne serait pas surprenant. Bien que tu es cherchée encore et encore, tu ne vois pas ce que tu aurais pu faire pour mériter un tel traitement de sa part. Alors, après avoir été très en colère et t'être rongée pendant des jours c'est l'inquiétude qui a prit le dessus. Tu veux comprendre ce qui lui arrive, savoir s'il va bien. Alors t'as demandé à Gregorio de t'emmener jusqu'à chez Antonio pour en avoir le cœur net. Tu ne sais pas du tout dans quel état tu vas le retrouver. Peut être même qu'il va très bien et qu'il veut juste ne pas te voire, mais ça il va devoir te le dire en face. Tu arrives à l'adresse du jeune homme et une fois de plus, Gregorio te laisse te débrouiller seule pour le reste. Tu marches jusqu'à son appartement et bien que tu sonnes, frappes, rien de se passe. Il en faut plus à la princesse de Suède pour l'arrêter. Alors, tu décides d'ouvrir la porte qui par chance est ouverte. Lorsque tu rentres à l'intérieur, tu es choquée par l'état de son appartement. On dirait que le temps c'est arrêté ici, les cartons de nourritures, la vaisselle empilé dans l'évier. Tu décides de partir à la recherche du principal intéressé. Finalement, tu le trouves étendu sur son lit en boxer entrain de mater la télévision avec une barbe plus longue qu'à la normal. Tu croises les bras et l'observe appuyer contre le mur. « Je peux savoir ce qui t'arrives au juste ?. » Tu le regardes attentivement pour essayer de comprendre ce qui a put le mettre dans un état pareil. « Tu nous fais une petite déprime ? Je m'inquiétais pour toi, tu sais plus répondre au téléphone. »

@Antonio Munoz

(Invité)

❝Dans le brouillard attrape ma main❞
ANTONIO & LAILA

Le départ de Savannah, je ne m’y attendais pas, ça m’a clairement troublé, choqué et aujourd’hui voilà que je me retrouve dans un état assez piteux sans spécialement m’en rendre compte et l’assumer car je maintiens que je ne suis pas ainsi à cause de son départ alors que si. La preuve cette semaine je n’ai pas trop fait attention à ma personne, j’ai laissé ma barbe pousser plus que de raison sans non plus faire hippie mais tout de même ce n’est pas dans mes habitudes et je laisse mon appartement sans dessus dessous, même si c’est exceptionnel car je comptais tout ranger ce week end. J’ai totalement déconnecté, mon portable que je ne touche plus, Tinder que je n’utilise plus du tout. Je reste tout simplement cloitrer chez moi car je n’ai plus trop le gout à rien pour le moment. J’entends d’ailleurs ma sonnerie se faire entendre mais je ne prends pas la peine de me lever de mon lit car j’ai la flemme et que je ne veux voir personne, la dernière personne que j’ai vu m’a mise une claque car elle n’a pas accepté les paroles que j’ai pu avoir donc j’évite le contact humain tout simplement. La personne se trouvant derrière ma porte semble abandonner puisque je n’entends plus de bruit et c’est pas plus mal à vrai dire car tout ce bruit m’empêchait de suivre mon film tranquillement. Cependant lorsque la porte de ma chambre s’ouvre et que je vois Laila, je comprends vite que non personne n’a abandonné quoique ce soit. Je suis surpris de la voir ici et je sens qu’elle ne va pas me lâcher « Rien, je regarde la télé et je n’ai pas trop envie de sortir c’est tout » J’hausse les épaules tout en la regardant l’air de rien alors qu’elle se met à parler de déprime ce qui me fait froncer les sourcils « N’importe quoi, tu me connais je déprime pas, je prends du temps pour moi c’est tout, j’ai envie de me déconnecter en ce moment mais rien d’autres. Aucun problème en vue ne t’en fais pas, mais c’est mignon de ta part de t’inquiéter » J’hoche la tête tout en me levant pour m’approcher d’elle et lui faire la bise « Je te sers quelque chose maintenant que t’es là ? »
© LOYALS.

@Laila Bernadotte

(Invité)

Sans doute que c'était plus fort que toi ce besoin de savoir si ton ami était toujours vivant. Tu ne pouvais pas t'empêcher de te dire que si tu n'allais pas vérifier ça te rongerait et peut être personne d'autre ne le ferait. Il n'était pas question de te mêler de sa vie ou d'y faire intrusion, mais simplement de l'inquiétude. Ce n'était pas vraiment le genre du garçon de resté sans donner de nouvelle, aucun signe de vie. Puis lorsque tu avais fini par entrer, tu avais très vite compris que quelque chose clochait. Ce n'était pas du tout l'habitude de Antonio de laisser les lieux comme ça. Alors oui pendant un instant tu imaginais le pire et ça te faisait un peu peur. Tu entendais finalement la télé dans sa chambre et tu marchais lentement jusqu'à ce que tu le vois finalement bien en vie ce qui te rassurait. « C'est tout, t'aurais au moins pu répondre à mes messages pour éviter que je m'imagine que t'étais peut être mort ! » C'était la peur qui parlait, t'avais vraiment imaginé le pire après deux jours sans nouvelles. Tu l'observes alors qu'il te dit ne pas être en pleine déprime et bizarrement t'y crois pas une seconde à ces paroles bien au contraire. Tu le laisses embrasser ta joue avant de le suivre. « Aucun problème tu dis, pourtant c'est pas du tout ton genre de te laisser allé comme ça Anto. Il fallait bien que quelqu'un se décide à te sortir de ton trou. » Dis-tu en le regardant tandis qu'il était au frigo. « Tu voudrais pas qu'on sorte prendre un verre plus tôt, parce que tu vas te transformer en vampire si tu continues. »

(Invité)

❝Dans le brouillard attrape ma main❞
ANTONIO & LAILA

Couper un peu des réseaux sociaux, du portable ça fait du bien il parait alors j’ai pris la décision d’essayer cela car peut être que ça m’aidera à oublier la jolie blonde mais rien n’y fait, même si je n’ai pas de photos sous les yeux, il m’en passe des dizaines dans la tête et bordel ce que je lui en veux d’être parti de la sorte et surtout de m’avoir laissé. J’aurais pu comprendre son envie de retrouver son père mais je l’aurais suivi sans la moindre hésitation, rien ne me retient ici, mes études c’est important mais Savannah l’était bien plus. Seulement je ne pensais pas que le fait de ne pas répondre à certains messages pourrait inquiéter qui que ce soit. En voyant Laila je comprends vite que la suédoise l’était totalement et au fond je trouve ça mignon mais je la rassure à ma façon « Je ne pouvais pas Laila, j’ai coupé un peu, la preuve je ne l’ai pas rechargé depuis quelques temps. Tu devrais essayer ça fait du bien d’être dans son monde parfois » Bon moi le premier je n’y crois pas mais bon je ne vais pas lui dire que je suis en train de perdre pied à cause d’une femme. Antonio Munoz faible à cause d’une femme ? Jamais de la vie, j’ai bien trop de fierté et d’honneur pour cela. « Non c’est pas mon genre mais j’avais envie de voir ce que ça faisait de vivre ainsi c’est tout. » Bon je ne suis pas crédible je sais mais c’est pas grave il faudra que je me rattrape. « Sortir ? Ouais si tu veux mais faut que je me prépare avant ça. Tu n’as qu’à prendre une douche avec moi » Je lui fin un clin d’œil afin de lui montrer que le dragueur que je suis est toujours là quand même donc rien d’inquiétant.
© LOYALS.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)