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La casa de papel - Ft. Crystal

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CambridgeSide, Near the campus, Cambridge.

Aujourd'hui c'est jour de pluie, qui dit jour de pluie dit aussi shopping. Direction CambridgeSide, un centre commercial où se trouve pleins de magasin, que ce soit des grandes marques ou des marques plus accessible. Je cherchais un collier pour l'anniversaire de ma mère qui aller fêter ses 50 ans, quelques choses de discrets mais de jolie. J'avais flashé dans un pendentif en or blanc avec une chaine fine totalement ce que je recherchais. Alors que je demandais à la vendeuse de me montrer ce collier de plus prêt, j'entendis un bruit sourd suivit de personnes qui criait, nous n'étions pas très nombreux. La vitrine face à moi explosa, le verre vola en mille morceaux sans que je m'y attende, alors que la vendeuse s'écroula par terre. Je me retourna ne comprenant pas ce qu'il se passait et je me retrouva devant 3 personnes masquées et armées. Je me m'y a crier attrapant le bras de la femme qui se trouvait prêt de moi. J'étais dans l’incompréhension et la panique, je ne savais pas quoi faire.

@Crystal Carvalho
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   J'avais envie de me faire plaisir en ce temps de pluie, je déteste ce temps et le shopping me redonne le sourire. Cette fois, à la place d'aller en magasin de jeux vidéos ou autres, j'allais au centre commercial. Ça change un peu, puis j'avais envie de faire les boutiques. Entrant dans la bijouterie, j'admire les bijoux aussi magnifiques soit-ils. Je suis tomber sous le charme d'un collier en or, j'avais dans l'idée de l'offrir à ma grande soeur, parce qu'elle est formidable comme soeur, puis à vrai dire il n'y aucune raison spéciale. Pas besoin d'un anniversaire ou Noël pour offrir un cadeau à ses proches. J'allais interpeller la vendeuse, mais une jeune femme fut plus rapide. Tant pis j'attendrais mon tour, sauf que j'entends un bruit sourd me transperçant mes oreilles et me faisant sursauter. Surtout quand le verre explose carrément presque à ma figure, assez proche en tout cas. Je pousse un cri de frayeur, je vois trois hommes cagoulés et armés jusqu'aux dents. Je rêve? C'est un cauchemar? Je reste figer sur place, ne sachant pas comment réagir face à cette situation, heureusement la jeune femme me prends par le bras et on finis par se cacher dans un coin. Enfin du moins on essaye, je la regarde complètement terrorisée, murmurant. "Ça va? T'es pas blesser?" Elle avait l'air plus jeune que moi alors je me permets de la tutoyer et dans ces conditions on s'en fiche de se tutoyer ou pas à vrai dire. Je suis dans la panique la plus totale, j'essaye de ne pas faire de bruit, fermant ma bouche à l'aide de ma main, j'entends les cris de l'un des hommes s'approcher de nous dangereusement. Priant dans ma tête pour ne pas qu'il s'approche, sauf que mes prières n'ont pas étaient entendus. Le mec affiche un sourire en coin, totalement pervers on dirait un fou. Il se rapproche de nous, se baissant à notre hauteur. "Vous pensez pouvoir vous échapper, mes mignonnes? Allez debout !" Je me mets à trembler tandis qu'un autre homme s'approche de nous pour attraper le bras de Kala. L'autre homme prends mon bras pour m'aider ou me forcer plutôt à me lever et se montre un peu trop tactile à mon goût, je déglutis quand il approche son visage de mes cheveux pour les renifler en passant sa main sur mes fesses, c'est quel genre de mec ça? Bordel il est venu là pour me violer en public ou braquer la bijouterie? Je me retiens de le frapper, parce qu'il est en force majeure surtout qu'il braque son arme sur moi, me faisant fermer mes yeux.

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CambridgeSide, Near the campus, Cambridge.

Je regrettais d'avoir eu l'idée fallait faire les magasins et pourquoi j'avais choisi cette bijouterie, j'aurais pu aller n’importe où ailleurs, mais je me retrouvais au mauvais endroit. J'étais complètement paniqué par la situation, la peur avait pris part de tout mon être. Avec la femme à mes côtés, on essaya de se cacher tant bien que mal pour ne pas être vu par les ravisseurs, je m'accrochais à son bras comme si ma vie en dépendait, j’avais peur de la lâcher, peur qu’on nous fasse du mal, peur de mourir. D’ailleurs, je crois bien que la femme qui était devant moi, la vendeuse est morte. Avant de se réfugier, une deuxième détonation avait retenti, un deuxième coup de feu qui faisait siffler mes oreilles. J’étais actuellement incapable de penser convenablement, j’avais juste qu’une chose qui me préoccuper, c’était ne pas mourir. Je regardai ma binôme de combat, je ne là connaissais pas, mais j'espérais qu’on s’en sortirait toutes les deux, comme moi, elle devait être terrifiée par la situation. Dans un murmure, elle me demanda si je n’étais pas blessé. L’adrénaline et la peur était tellement présente que je n’avais même pas regardé ou pensé que je pouvais être blessé, juste morte. « Je ne crois pas et toi, tu n’es pas blessé ? » Je n’avais pas vu la tache de sang se répandre sur là-bas de mon tee-shirt surement dû à sa couleur noir. J’avais murmuré cette phrase au mieux pour ne pas nous faire surprendre, j’essayais de respirer le moins possible pour ne pas faire de bruit, mais les braqueurs ne mirent pas longtemps à venir vers nous, il faut dire que nous n’étions pas nombreux à l'origine dans la boutique, seulement 6 ou 7 personnes. Un mec arriva face à nous avec son sourire douteux, et sa tête de cinglé. Dans mes yeux, on pouvait voir deux choses, la peur et l’envie de se battre, car je n’avais pas envie de me laisser faire, mais je n’avais pas la force contre eux. Un deuxième homme arriva et je dus lâcher le bras de Crystal malgré que je ne veuille pas la lâcher. « Lâcher nous ! Qu’est-ce que vous nous voulez ?» J’avais hérité du don de ma mère de trop parler. " Mais chérie, on veut juste s'amuser un peu." J’avalai difficilement ma salive, ne sachant pas où il voulait en venir exactement. Je regardais Crystal se faire tripoter et mes yeux s'ouvrirent en grand. « Mais arrête de la tripoter sale pervers ! » J’avais parlé sans réfléchir, mais ça me révolter, j’étais obligée de l’ouvrir sans savoir les conséquences que ça aurait sur nous.


@Crystal Carvalho
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   C'est à ce moment précis que je regrette d'être venu ici. Entendant le coup de feu, je suis paniquée, autant que la jeune femme qui me prends par la main, on se réfugie dans un coin. Essayant d'être discrètes, prenant de ses nouvelles, me rassurant sur le fait qu'elle n'a rien, je soupire, doucement. "Non ça va..." Chuchotais-je, sauf que lorsque je baisse ma tête, je vois cette tâche de sang au bas de son tee-shirt. Merde, elle a était blesser, j'en ai les larmes aux yeux, je ne voulais pas l’inquiéter, mais alors que je voulais toucher, pour m'assurer que ce n'est rien de grave. Jusqu'à ce qu'un des braqueurs s'approche de nous, me faisant lever avec violence et me prenant le bras. J'essaye de me retenir de crier. J'ai les larmes aux yeux encore plus, surtout quand il renifle mes cheveux, posant ses mains sur mes fesses violemment. Il profitait d'être en position de force, braquant son arme contre moi. La jeune femme se rebelle, non surtout pas pensais-je. Il ne faut pas, ça va nous attirer des problèmes. Le mec réponds qu'il veux s'amuser, connard. Le pire c'est qu'elle continue, mais elle ne fait qu'empirer les choses. Un coup de feu qui retentit me fait sursauter de plus belle. Une balle venant se loger directement dans mon bras, le braqueur à mes côtés se mets à crier. "Putain mais qu'est-ce que tu fous? T'aurais pu me viser." Celui qui avait tirer, un peu plus loin et face à nous venait à sourire. "Ta gueule ! On est pas là pour les violer. Lâche les, crétin ! Et toi la rousse, j'veux pas t'entendre." Sauf que les deux hommes, celui avec moi et celui avec la jeune femme étaient contrariés. Celui proche de moi, venait de remarquer ma blessure, il se mets en colère. "Allez quoi, c'est juste pour rigoler. On a dit qu'on viserait personne. Pas de victime. T'es qu'un con !" Bordel, ça devenait encore plus tendue. Mes larmes coulent sur mes joues instantanément en vue de la douleur.

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