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we lost too much time. (valentin)

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Valentin, le petit loup, il t’a bien manqué depuis ton départ pour le Brésil. T’as souvent pensé à lui, mais par fierté, t’as été incapable de le lui dire et, pire, de lui annoncer que tu reviendrais probablement plus. Sauf que les choses ont changé, elles se sont apaisées, et t’as finalement remis les pieds ici y a environ un mois de ça. Après des semaines à gérer tout le côté administratif lié à ton retour sur le sol américain et au sein d’Harvard, tu t’es lancée. Tu lui as écrit. Nouveau numéro, sms en incognito. Et le pauvre petit ne se doute de rien. Ni de ton retour, ni de la personne à laquelle il s’adresse. Poussant les portes du McDonald’s d’un geste nonchalant, faisant voler une mèche de cheveux par l’arrière, tu récupères en vitesse ta commande en tentant de le repérer dans le restaurant. Et dès lors que ta victime est ciblée, le plateau dans les mains, tu t’approches à vive allure de la table. Sans un mot, ton visage camouflé par tes cheveux, tu t’imposes à côté de lui sur la banquette pour le bloquer. Sait-on jamais qu’il vienne à te fuir, là au moins, à part en passant sur ou sous la table, aucun risque. Attrapant une frite dans le paquet, tu le tends en direction de sa bouche tout en tournant enfin ton visage en sa direction, un sourire au coin des lèvres. « Je vois que tes bonnes habitudes n’ont pas changé Valou. » lui lances-tu d’un ton taquin, amusée à la fois par la situation et par ce surnom ridicule.

@valentin chamberlain
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we lost too much time
( @LOUVE GONÇALVES)


T’es un enfant, celui à qui on a beau répéter de ne pas parler aux inconnus et ne pas monter dans la voiture du vieux pervers qui va s’arrêter à côté de toi. Mais, toi, tu montes, avec sourire en plus, on te promet à manger, t’hésites pas une seconde. T’es la peur des daronnes, tu pourrais te faire kidnapper et avec le sourire en plus, et ça c’est cool pour les pervers. T’es super aimable comme victime. Un macdo, on te promet un macdo et ça, tu ne refuses jamais, c’est comme un appel divin, une lumière suprême qui rentre en contact avec ta foi sans faille. Sorry les véganes, vous ne pouvez pas être potes. Tu t’es installé, table de l’angle, tu réquisitionnes deux banquettes quatre places pour une seule personne et ça, c’est tout un art. Tes frites molles, sauce creamy deluxe. Tu ferais pâlir tous les antis capitalistes, les pro-bio, nique les légumes, vives les steaks semelles godasses de sécurité. Tu attrapes une énième frite, sa chute sur le sol, entre la fenêtre et la table, merde. On t’a bousculé, une brune à la peau de pêche qui te regarde, petit sourire bitch sur ses lèvres, son cul bien trop collé au tien sur cette banquette devenue trop étroite à ton goût. WOW, tu dégustais ton repas orgasmique, tu es dérangé, ta frite est par terre. Ses doigts si longs, si féminins qui se dirigent vers ta bouche, une nouvelle frite. Je vois que tes bonnes habitudes n’ont pas changé Valou. Tu relèves tes yeux de cette tige de pomme de terre frit, vers ceux posés sur ce visage que tu connais bien, pourtant. Un bug, cinq secondes le temps de parcourir de tes prunelles son facies de cul. Un ricanement, sarcasme. Tu attrapes sa frite de tes doigts boudinés, direction ton système digestif. Sérieux, si t’es partie sans prévenir juste parce que t’as raccourci tes cheveux j’aurais pu m’en remettre. Tu continues de manger comme ci de rien était. Au fond, volcan, tourbillon, séisme. Tu t’es tellement monté de films, sur son départ, zéro nouvelles, rien, walou. Elle t’a laissé en plan, elle s’est envolée en embarquant vos petits moments de complicités. Deux choses peuvent t’énerver dans ton monde de bisounours : une frite par terre entre la table et la fenêtre et te retrouver en plan. Si j’avais su j’aurais pris à emporter. Valentin, boudin.
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Ta frite tendue devant la bouche du parisien, un sourire au coin des lèvres, t’insistes sur le fait que ses habitudes n’aient pas changé depuis ton départ. Bien évidemment, t’avais prévu ton coup. En t’installant ici, à côté de lui, tu savais pertinemment qu’il ne déclencherait pas un feu d’artifices en te retrouvant. Après tout, t’es partie comme une voleuse. Comme d’habitude, comme avec tous tes exs, mais en pire. Lorsqu’il te dit qu’il aurait pu se remettre de ton départ si t’étais partie juste pour te couper les cheveux, tu roules des yeux avant de lever subitement tes sourcils sans le lâcher du regard. « Tu t’es pas remis de mon départ. C’est tout ce que je comprends. » lui réponds-tu. Faut dire que t’as toujours aimé jouer sur les deux sens de ses phrases, d’autant plus maintenant. T’installant plus confortablement, t’ouvres finalement la boîte de ton 280 que tu saisies délicatement dans tes doigts fins. Et, avant d’avoir le temps d’en croquer un bout, le voilà qui te dit qu’il aurait pris à emporter s’il avait su. « Sauf que tu savais pas, tant mieux. On a beaucoup de temps à rattraper toi et moi, tu sais. » Et sur ces mots, te voilà qui enfournes le sandwich dans ta bouche sans grande délicatesse, comme à ton habitude. Loin de toi ces manières de nanas, de celles qui font sans cesse attention à leur image. Toi, t’as plutôt tendance à te foutre de tout et de lancer des doigts d’honneur à qui cherche à te critiquer, histoire d’en rajouter une couche. « Je sais que je t’ai manqué Val. J’ai beaucoup pensé à toi, tu sais ? » reprends-tu une fois la bouche vide. Faut dire qu’il est toujours resté là, dans un petit coin de ta tête. Mais ça aurait été trop dur pour toi de le recontacter si loin, pour lui peut-être aussi, alors t’as simplement préféré disparaître de sa vie.
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