EIREEN A. MACDONNEL ► Bryn Drohan

C'est le 19 janvier 1994 à Dublin , que les membres de la famille MacDonnell m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Eireen Alisha. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle, mais plus à penchant hétéro et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale plus qu'aisée mais qui s'est barrée loin de sa famille donc plus un rond . Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de danse depuis un ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mathers ou les Cabot.

Est une fille d'une véritable famille de l'aristocratie irlandaise, avec les traditions et tout le reste.▲ Fait beaucoup de choses dans sa vie rien que pour emmerder ses parents qu'elle trouve beaucoup trop stricts. ▲ A force de se rebellée, elle s'est fait déshéritée. Mais tant pis, elle cherche de la thune un peu partout. ▲ A perdu sa virginité dans des toilettes publiques.▲ Ne croit absolument pas à l'amour. Pour elle ce n'est qu'un conte pour enfant que les gens se plaisent à croire comme pour l'père Noël ou la petite souris.▲ Ne sort jamais sans au moins deux paquets de clopes dans son sac. Elle ne peut pas vivre sans clopes.▲ A décidé un beau jour qu'elle ne se mariera jamais et qu'elle n'aura surement jamais d'enfant. ▲ Elle a une peur bleue des clowns. Elle ne peut pas s'en approcher sans trembler comme une véritable feuille en plein vent.▲ N'aime pas les roux. C'est pour ça qu'elle est rousse bien sur... Mais elle fait des couleurs, souvent, et devient limite brune. Par contre pour les taches de rousseur.. Elle n'y peut rien. ▲ Fait des concours de rots le plus souvent possible avec ses potes. Oui, ce n'est absolument pas la douceur incarnée, faut s'y faire.

▲ Un jour, ses parents l'ont surprise au lit avec le fils du boulanger du coin. Ca ne leur a absolument pas plus. Surtout en voyant qu'Eireen prenait beaucoup de plaisir à les nargués. C'est surement à partir de ce moment là que la relation fille-parents est devenue compliqué. Mais franchement, elle s'en fou. Elle est jeune, elle sait que ça aurait pus arriver à n'importe qui.

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J'enfile ma plus belle robe et j'fonce ouais, sans hésiter.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Oui. Je pense que c'est important de participer dans de toutes petites causes pour avoir de plus grands résultats.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Oui, peut-être. Juste pour montrer tous mes efforts en danse.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Je la trouve magnifique, à sa juste valeur. Bien sûr que j'aimerais lui ressemblée, comme toutes les meufs qui croisent une autre meuf bien plus belles. On est toute comme ça. M'associer à elle? Pourquoi pas.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Je serais plutôt capable d'aller y participer. Ca peut être drôle. Et puis acheter un homme? Pourquoi pas. Ca peut être une bonne expérience. Ce n'est pas tous les jours qu'on peut en acheter un je pense.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Qu'il a la classe mais qu'au fond ce n'est qu'apparence. Ca sert pas à grand chose de se vanter d'avoir du fric ou même de se la jouée. On finit toujours par se rendre compte du vrai caractère de la personne une fois le déguisement enlevé.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Surement pas! Ou alors uniquement pour dormir. Ou pour balancer des trucs dans toute la salle. Au choix.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle wild.ride et j'ai 15 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à sais pus. J'adore ce fo alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise célébrité comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ nombre mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Oui, je suis anciennement Trevor, j'suis de retour avec un tout tout tout nouveau perso .

Tu poses un pieds sur le sol américain. La première fois que tu sors de ton Irlande natale. Tu n'as jamais vu autre chose que les arbres verts, les couleurs typiques or et vertes. Tu as les yeux tellement imprégnés de ses couleurs que tu ne les supportes plus. Tu n'as pas eu le choix de partir. Absolument pas. On t'a envoyé chier, plus qu'autre chose. Tu es devenue la honte de ta famille, juste parce que tu as couché avec quelqu'un qui n'est pas fils d'aristocrates. Tu t'en tapes royalement des gens tels qu'eux. Tu t'en tapes tellement de l'argent, des lois, des devoirs. Tu préférerais mourir que de devoir endurer tout ça. Tu aimerais pouvoir faire demi-tour. Retourner chez toi en Irlande et retourner dans ton château, dans ta résidence gigantesque et parfaite. Tu es perdue dans cette immensité, sans argent dans les poches. Tu es fauchée et perdue. Mais tu t'en fous, tu es libre. Aussi libre que l'air. Tu peux aller où tu veux, quand tu veux. Tu n'as pas de comptes à rendre. Tu trouveras bien un moyen de te faire des thunes, ce n'est pas ça qui manque. Tu t'es fais inscrire à Harvard, juste avant de partir. Tes parents sont quand même un tant soit peu généreux, ils ont voulu assurer ton avenir. Pourquoi pas après tout? Une bonne université ne peut pas te faire de mal. Au contraire. D'autant plus que tu as choisis l'option danse. Ca fait des années que tu n'as pas dansé. Parce que oui, tu sais dansé. Tes parents t'ont fait faire de la danse classique plus petite. Tu adorais ça. Mais tu as arrêté. Comme toutes les choses que tu commences. Tu ne sais rien finir. C'est comme ça. Tu ne sais pas le faire. Tu n'en es pas capable. Tu ne vois pas comment tu pouvais devenir une héritière. Tu n'en as pas l'étoffe. Loin de là. Tu n'es pas assez sure de toi, pas assez fière et pourtant tu étais leur fille. Leur étoile. Tous leurs espoirs étaient plongés dans ton être entier. Tout est terminé. Tu n'en as pas honte. Tu n'as aucun regret. L'Amérique t'ouvre ses portes, pourquoi tu devrais t'attardée sur des souvenirs? Et puis si tu veux revenir chez toi, tu rentreras. Tu n'as qu'un avion à prendre pour te retrouver à nouveau sur le sol irlandais. Ils ne te manquent pas, tu ne leur manque pas. Tu es heureuse. Tu commences une nouvelle vie, un nouveau chapitre de ta vie. Pourquoi pas après tout? Tu es devenue une vraie garce rebelle auprès de tes parents, qui dit que ça sera la même chose dans cette nouvelle ville? Tu vas rencontré de nouveaux gens, tu vas découvrir de nouvelles étendues.

Tu te balades dans la rue, une valise à la main. Tes converses frôlent le béton alors que tes yeux se posent un peu autour de toi. Même les personnes autour de toi semblaient différentes. Tu voyais le monde entier sous un nouvel oeil. Tout paraissait mieux ici, tout paraissait plus libre. C'était tellement fou dans la vie américaine. Tu dois avoir cet accent de merde, cet accent irlandais. Il finira surement par se dissiper, disparaître. Mais aujourd'hui il est là, bien présent et il te gêne de plus en plus. Cela doit surement se voir à dix kilomètres que tu ne viens pas d'ici. Tu es différente, mais tu t'y habitueras, tu te fondras dans la masse. Tu croises plusieurs groupes de mecs qui se retournent sur toi alors que tu chantes les chansons qui défilent dans ton iPod. Tu souris en les regardant sans rien dire. Tu les recroiseras peut-être un jour, qui sait. Mais peu importe, ils y a des hommes, des tas d'hommes ici. Il n'y a pas à choisir entre des riches ou des pauvres, tu peux avoir les deux. Finit l'obligation solennelle de trouver quelqu'un qui est supposé avoir le même rang que toi. Ici tu n'es rien. Tu n'as même pas de fric. Tu es juste une pauvre irlandaise qui cherche à apprendre à vivre après s'être fait étouffée par ses parents. Et aujourd'hui tu revis. Tu n'as plus jamais ressenti cette folie. Tu ne tiens plus en place. Tu es enfin libre de tes mouvements. Tu n'as plus rien à devoir à personne. Tu vis pour toi. Le reste n'a plus aucune importance.