Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityNon mais... Dites moi que je rêve ! || Railan
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Non mais... Dites moi que je rêve ! || Railan

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Je plonge,encore et encore, dans un vide qui ne semble pas trouver de fin, dans une obscurité des plus noires et silencieuse. Finalement, mes pieds touchent le sol et je reprends avec difficultés mon équilibre. Une lumière puissante vient éclairer la pièce et après de longues secondes à m'acclimater à la luminosité soudaine, j'aperçois une salle emplis de miroirs. M'approchant de l'un d'eux, je constate quelque chose d'étrange dans celui-ci. Des cratères se creuse sur mon visage et ma peau, mes cheveux poussent, c'est toute ma silhouette qui se transforme. Je pose immédiatement mes yeux sur mon corps et constate que ce n'est que dans le reflet que ça se passe. Reposant les yeux sur ce dernier,j'apercois désormais Rain en face de moi, un sourire aux lèvres. Je me tourne, et voit qu'elle est également dans tous les autres miroirs de la pièce. Je ne peux y échapper, tous ses yeux sur moi m'opressent, je cours sans direction précise, juste pour échapper à cette femme que je ne comprends plus. Devant moi, une porte que je me dépêche de franchir et que je referme derrière moi. C'était quoi ce bordel sérieux ?

"Bonjour Alan !", entendais-je dans mon dos.

Cette voix, je la connais par cœur mais je n'ose pas y croire. Je me retourne et la voit, cette silhouette de nouveau en face de moi vêtu d'une combinaison orange, assise à une table et les mains sur la table menotés. C'est pas possible, dites moi que je rêve...


@Rain S. Wilkins
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Tu me vois ? Tu me vois te regarder avec ces yeux qui d'habitude te font fondre. Tu me vois te sourire un millier de fois à travers tout ces miroirs. Tu me fixe entrain de te sourire, une lueur espiègle dans les yeux. Si tu fais bien attention, tu remarquera qu'au delà de l'espièglerie et de la malice dont t'as l'habitude dans le bleu de mes papilles, se trouves une certaine cruauté malaisante.
Je te suis de la tête quand tu fuis mon image. Le coin de mes lèvres rougies rien que pour toi, se relève moqueur. Mon rire caresse tes oreilles, sonne faux. Mon clin d’oeil capte ton regard. Et quand tu crois que tu es enfin arrivé au bout du tunnel, loin de cette torture, une porte s’ouvre devant toi.
ENFIN ! Liberté.
Ou presque.
Je suis devant toi mon chéri. Assise sur la même chaise que tu avais jeté contre le mur, après mon passage. Assise devant la table sur laquelle nous avons pris tant de petit déjeuné auparavant.
Si ça peut te faire plaisir, moi aussi je n’ai pas trouvé la liberté. Je suis menotté, pour ton plus grand plaisir.
“Bonjour Alan” te dis je.
Je te souris, toujours avec cet air machiavélique que tu as remarqué un peu plus tôt. L’ai je toujours eu?
“J’espère que ça ne te dérange pas” ajoutais je “ je nous ai préparé une tarte à la fraise” .
Quoi tu ne la voit pas? Elle est entre mes bras. Les menottes deviennent des chaînes attaché à la chaise, tandis que je prends mes aises, ainsi qu' un peu plus libre dans mes mouvements.
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C'est quoi ce délire ? Qu'est ce que tu fous là ? Et moi, qu'est-ce que je fous là ? Je pose mes yeux sur cette femme qui affiche un air machiavélique que je ne lui connais pas. Est-ce là ton vrai visage ? Celui que tu dissimules sous la façade qui t'as servis à me faire gober tout tes mensonges, à me faire tomber dans tes filets. Celui qui m'a charmé si rapidement... J'ai l'impression de ne plus voir la même personne, de ne plus connaître cette jeune femme en face de moi.
La tarte entre tes mains ne prends sens que lorsque tu mets des mots dessus. Instantanément, la haine que je ressens pour toi m'envahit de nouveau, cette tarte qu'on avait fait pour ma mère, cette mère qui commençait à me dire qu'elle aimerait te rencontrer, cette Maman pour qui son fils ne peut rien pour la sauver de sa souffrance.

"Ça t'amuses ??? C'est encore un des petits jeux sadiques ??!!!", criais-je en dirigeant un regard noir de colère en ta direction.

Je me retourne et essaye d'ouvrir cette porte mais elle est désormais fermée pour de bon. Je m'acharne, je donne des coups d'épaule, mais je ne parviens qu'à m'énerver encore plus. Finalement, je reste là, à fixer cette porte qui sera toujours mieux que la vision de cette Rain méconnaissable. Prenant une profonde inspiration, je me retourne et vient m'asseoir dans un geste brusque à la chaise en face de la tienne puis te demande le plus sérieusement possible:

"Tu veux jouer ? Jouons ma belle !"

Ma belle, un surnom que je n'avais pas prévus de t'affubler de sitôt.
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Je ris. Ce rire que tu connais si bien. Comme si tu venait de me raconter une de tes blagues, et qu'on riait ensemble.
Mais ce n'est pas drôle, tu le sais, me blâme, me crie dessus. Et cela ne semble avoir aucun effet sur moi... Alors tu me tournes le dos, t'acharne sur la porte, lâche ta frustration sur le bâton en bois . Lui non plus ne te cède pas.
"Tu me fuis encore Landrum?" J'utilise ton nom de famille, te narguant avec, comme si on n'était que deux étrangers. Assez pour te faire revenir devant moi.
Mon sourire satisfait te prouves que je suis arrivé à mes fin. Je n'ai même plus de tarte entre les mains, magique n'est ça pas? Tu t'assoie de l'autre côté de la chaise, un air grave que je mimique rien que pour t’énerver.
"A quoi jouons nous mon chéri?" te répondis je d'un ton faussement sérieux. Mettant les coudes sur la table, je me penche vers toi, jusqu'à me retrouver à quelques centimètre de ton visage. Puis, comme atteinte d'une illumination je reprends "Oh je sais! Jouons à "je n'ai jamais" !" Je pointe un shooter devant toi. Il n y était pas y a quelques secondes? Oh well, pas grave.  "Je commence! Alors ... hum... tu vois c'est dure de trouver un truc que je n'ai jamais fait... Alors... Je n'ai jamais mentit à mon petit ami" Je m'arrête quelques secondes, avant de reprendre avec un rire "Oh mais qu'est ce que je raconte, bien sure que si." Je prends le verre devant toi, et le bois cul sec "A toi. "
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Était-ce vraiment une bonne idée de faire ce choix ? De la confronter ainsi ? Assis en face d'elle, la jeune femme viens faire la maline une nouvelle fois, approchant si près mon visage du mien que je peux confirmer que ce visage là n'est pas celui de la petite-amie que j'aimais embrasser il n'y a pas si longtemps.
Pour jouer, un jeu des plus classique mais qui ne convient pas à mes problèmes d'alcoolisme. Et sa première proposition n'aide pas à faire redescendre la colère que j'essaye pourtant de garder en moi. Elle boit cul sec ce shot avec ce sourire toujours si énervant au bout des lèvres. Ne parvenant pas à me contrôler, j'envoie mon poing dans la face de la jeune femme qui part en fumée avant de se reconstituer de nouveau. J'en envoie un deuxième, puis un troisième mais toujours ce même effet, toujours ce visage souriant qui réapparaît après quelques secondes.

"Je n'ai jamais eu de réels sentiments pour ma petite-amie !", lui lançais-je au visage avec colère.

Fier de moi ? Pas trop, et je ne suis pas sûr que ça la touche plus que ça. Je laisse volontairement le shot devant moi, mais ma main s'en approche dangereusement sans que je puisse y résister. Je résiste de toute mes forces mais ma main attrape ce verre et me le porte à la bouche, me forçant à le boire. Je recrache le liquide par terre avant de reposer mes yeux dans les prunelles de la jeune femme.

"Qu'est ce que je fous là ? C'est quoi le but de tout ça hein ?".

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Je te sors de tes gonds. Je suis forte à ça. Tu le sais toi même, tu m'as déjà vu faire pareil avec d'autres personnes. Cela t'avais fait rire, c'était drôle en ce temps la, parce que ceux que j'emmerdais étaient toujours nulles d'après nos standard.
Eh bien tu vois, j'arrive à faire pareil la, avec toi. Rien qu'avec quelques mots.
Je t’énerve tellement que ton poing vient s'abattre sur ma joue. Oh... non attends... Tu ne m'atteint pas. Je m'évapore au contacte de ta main. Me matérialise à nouveau, comme si de rien n'était, ce qui semble te faire bouillir encore plus, si c'est possible.
Un autre coup. Raté. Et un autre...
"Je ne t'aurais jamais pensé aussi violent mon chéri" .Encore ce surnom que je te réservais avant, utilisé dans une réplique destiné à te narguer, et comme toujours ça marche. Ton affirmation en retournant à notre jeu en est la preuve.
"Oh ? " Fis je, faussement étonné et chagriné.
Mon sourire carnassier suit tes mouvements saccadé, durant ta bataille interne contre la volonté de ton bras à te faire respecter les règles du jeu.
J'attends que tu aie terminé de boire ton verre pour éclater de rire. Toi, tu attends d'avoir fini de tousser, pour me poser les questions qui te rendais fou.
"Qu'est ce que je fous la? Je suis la parce que tu as envie de me voir. Tu as envie de me parler. Tu ne peux pas te passer de moi." Te répondis je. "C'est quoi le but de tout ça?" répétais je. "Te torturer. Ne le vois tu pas? Je suis ta drogue, ta bouteille de Vodka. " Je me rapproche de nouveau de ton visage "Tu n'arrête pas de penser à moi, tu n'arrête pas de parler de moi. Alors que d'après tes dires, je suis celle qui t'as fait le plus de mal"
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Même moi je ne me pensais pas aussi violent. C'est dire l'effet que tu me fais en ce moment, la rage en moi quand tu utilises le diminutif "mon chéri" une nouvelle fois sans le penser véritablement, la frustration quand tu fais ta faussement choquée. C'est donc là tes réelles sentiments envers moi ? Un jeu ? Un simple jeu où je suis le perdant depuis plusieurs mois déjà sans le savoir ? Je t'écoutes baver tes conneries et je ne me retiens même plus, je saute au dessus de la table et ne te laisse même plus le temps de finir tes paroles en posant mes deux mains sur ton cou. Sûrement parce que ce que tu dis est vrai, parce que je sais au fond de moi que c'est la vérité. Mais je ne peux me convaincre que cette Rain au visage si maléfique ne sache ce que je pense de la Rain au visage d'ange que j'appelais "petite-amie", qu'elle était en effet presque comme une drogue pour moi et qu'elle était la seule qui réussissait à me faire oublier tout mes problèmes en un seul regard dans ses yeux aux reflets bleutés. Je serre de toutes mes forces le cou qui tient cette tête souriante que je ne reconnais pas.

"Tu n'es pas ma Rain !", que je gueule alors que tu ne te débat même pas.

Soudain, ton sourire disparaît, puis ton visage en fait de même, ainsi que ton corps, puis la table sur laquelle je suis monté pour t'étrangler alors que je m'étale comme une merde sur le sol qui disparaît à son tour en même temps que les murs nous entourant. Je me retrouve seul au milieu de l'obscurité. Seul, une de mes peurs les plus profondes et c'est pourtant ce qui va arriver si tu me quittes une nouvelle fois et que ma mère en fait de même. "Est ce qu'il y a quelqu'un ?", criais-je alors que l’écho de ma voix ne vient absolument pas me rassurer de cette solitude. "Est-ce que quelqu'un m'entends ?". La peur se distingue désormais dans ma voix très aisément alors que ma respiration s'accélère. Pas ça s'il vous plait, tout sauf ça...

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Je te rends chèvre. Je suis là pour ça et seulement ça . Ne te l’ai je pas dit ? Ma présence ici n'a de but que te torturer. Te faire sauter sur la table pour que tu aies une action que tu n’aurais jamais pensé avoir : m'étouffer. Mon visage se remplit de sang, les veines apparaissent sur mes tempes, a la base de mon cou, mes yeux s’exorbitent… mais je continue à te sourire. Un grand sourire moqueur, qui te narguent , encore, comme toute mon expression .
“ Je suis la seule Rain que t’ais jamais connu”
Puis je m'evanouis.
Le noir t’entoure.
Plus rien n’existe autour de toi.
Quoi de plus normal, si on veut te torturer, que de te faire croire que ta plus grande peur est devenue réalité. Te laisse seul, sans personne …
Oh well, je peux penser à autre chose.
Apparaissant devant toi, appétissante comme dans tes souvenir, en pantalon moulant, chaussures à talon, et décolleté plongeant, la définition même de femme fatale, je m’approche de toi lentement. Mon expression te retourne ton image pathétique ainsi étalé par terre. Arrivé à quelques pas de toi, je te regarde littéralement de haut. “ Je n’ai jamais été a toi.  Tu ne m’as jamais eu.” T’explique je “je n’étais avec toi que pour couvrir mes traces, avoir un Alibi” je tilte la tête de côté “Tu ne crois tout de même pas que notre histoire était vraie ? N’est ce pas ?”
Je pars dans un rire moqueur.
“Oh mon pauvre”
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Seul le souffle de ma respiration rapide se fait entendre alors que mes yeux cherche désespérément une source de lumière qui pourrait me délivrer de cette forteresse de solitude. Le silence est brisé par le bruit de tes talons qui claque sur le sol et je relève instantanément les yeux vers toi lorsque tu fais ton apparition.

“Rain ?”, demandais-je timidement en espérant de tout cœur que ce soit celle que je connais depuis plusieurs mois.

Mais ta mine affligée de me trouver là assis par terre et flippant comme une merde me confirme que tu es toujours cette sadique que je ne reconnais pas. Cette sadique qui me lance des horreurs que je ne supporte plus, me laissant croire que notre relation n’était qu’un jeu. Comme je l’ai fait lorsque ma mère s’est fait frapper pour la première fois par mon père durant une nuit orageuse et comme je le fais à chaque nouvelle nuit où le tonnerre gronde, je pose mes mains sur mes oreilles pour essayer de t’ignore, de quitter ce monde qui me fait souffrir.

“Laisse moi ! J’en peux plus ! J’abandonne !”, criais je en fermant les yeux pour ne plus te voir.

Ma Rain… Ma Maman… Absolem… Ne m’abandonnez pas, sortez moi de la, je vous en prie…

Mes yeux s’entrouvrent de nouveau, mes mains son plaqués sur mes oreilles et mon regard est posé au plafond tandis que je peux sentir la sueur perlant sur mon front et mes joues. Je reste quelques secondes immobiles, ma respiration revenant à la normale puis je finis par me tourner sur le côté. Mes yeux se dirigent sur cette table de chevet où se trouve un cadre photo. Il faut que je vérifie, il faut que j’en ai le cœur net. Je soulève ce cadre qui était retourné sur le meuble depuis de longue semaine et j’arrive à distinguer dans l’obscurité ce selfie de cet été au Summer Camp lorsqu'elle est venu plaquer ses lèvres contre ta joue. Sur cette photo, pas de sourire moqueur, pas de regard hautain. Soupirant, je retourne de nouveau le cadre sur la table de chevet et me murmure à moi même:

“C’était pas elle Alan… C'était pas ta Rain.”


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