Invité
est en ligne
Invité
ASHER & YURA
3h42. Je suis condamné à revivre encore et encore cette fameuse nuit où ma vie à basculé. Jamais je n’aurais pensé avoir un tel traumatisme dans ma vie, jamais au combien jamais on ne peut être préparer à une épreuve de cette grandeur. J’ai beau lutter, j’ai le visage de mon ancien patron qui me hante jour et nuit, j’ai l’impression qu’il est présent à chaque coin de rue même si j’essaie de vivre ma vie comme je l’ai fait durant toute ces années, il vient régulièrement me rendre visite durant mon sommeil me provoquant avec son regard noir et son immense carrure imposante. Je ne me rend pas compte que ma terreur se lis sur mon visage actuellement, mon corps est en sueur et je me mouve comme un serpent dans mon lit, ma couette vient emprisonner mon corps et je suis pris dans ses filets. Il es trop tard pour moi, je vais encore mourir dans ses escaliers comme Olivia, tombant deux étages plus bas. Pourquoi fallait-il que mon cerveau reste bloqué sur cet événement, le corps était un instrument complexe que j’essayais tant bien que mal de comprendre au cours de mes études mais lorsque l’on devait se l’appliqué à soit même tout était différent. J’aurais sûrement envoyé mon patient chez un psychologue histoire qu’il vide son sac parce qu’on dit que parler fait du bien, mais étais-je capable d’en parler, voilà plus d’un an que je porte ce fardeau et pourtant je n’ai toujours pas réussi à en parler à quelqu’un. J’ai bien essayé de dire quelques mots à Edgar mais je n’ai pas eu la force d’aller jusqu’au bout.
Ma respiration commence à s’accélérer et j’arrive de moins en moins à me contrôler enfin mon corps perd le contrôle car je suis endormi et je n’ai aucune marche de manœuvre sur lui. Des larmes coulent le long de mes joues et l’inévitable arrive, le coup de grâce. Dans un hurlement mais yeux s’ouvrent et je ne trouve pas mes repères coincer dans se qui me sert de couverture.
« Arrête, lâche-moi ! » Hurlais-je entre quelques sanglot.
Ma respiration commence à s’accélérer et j’arrive de moins en moins à me contrôler enfin mon corps perd le contrôle car je suis endormi et je n’ai aucune marche de manœuvre sur lui. Des larmes coulent le long de mes joues et l’inévitable arrive, le coup de grâce. Dans un hurlement mais yeux s’ouvrent et je ne trouve pas mes repères coincer dans se qui me sert de couverture.
« Arrête, lâche-moi ! » Hurlais-je entre quelques sanglot.
©️ MADE BY LOYALS.
@asher ji
(Invité)