BRYAN DOUGLAS ► John Boyega

TON ADMISSION À HARVARD - Son entrée à Harvard, il la doit d’abord à son entourage, aux encouragements et aux aides qu’il reçut de ses anciens professeurs. Seul, il le dit lui-même, il n’y serait jamais arrivé. Il faut bien avouer que ce n’était pas gagné dès le départ ! Et dire que le jeune afro-américain n’a jamais fait partie des favorisés sociaux, en plus de n’être qu’un cas parmi les autres et non un surdoué. Comme quoi, le travail acharné finit toujours par fournir des récompenses aux audacieux. Egalement chrétien depuis sa petite jeunesse, ce dernier est alors bien persuadé que ses prières l’ont aidé autant que sa rigueur à l’étude.

Tout d’abord, son dossier d’admission fut proprement rédiger par lui-même qui y accorda une certaine importance. Certains de ses professeurs de Lycée lui ont aussi rédigé une lettre de recommandation, suivis de son entraîneur de boxe et de son ancien patron lorsqu’il travaillait encore comme serveur en salle dans un petit restaurant africain de quartier.

Le SATS, il ne le passa qu’une seule fois et n’eut malheureusement que 1875 sur 2400. Pourtant, pour ce jeune homme remplit d’espoirs et d’ambitions, une exception fut faites.

Pour son essai, Bryan avait réussi à obtenir un très bon dossier tant au niveau de la qualité que la quantité. Il parla avec amour et passion de la littérature, mais surtout de la philosophie. Le garçon avait écrit de nombreuses lignes, avec une sincérité touchante, pour expliquer son ambition de vouloir changer le monde avec les mots.

Pour l’entretien, le jeune adulte avait spécialement économisé afin de s’acheter un beau costume, une cravate et une chemise blanche. Ainsi vêtu aussi classe que possible, l’homme s’était rendu à son entretien. Sûrement qu’il ne s’était pas démarquer des autres élèves d’Harvard, sûrement qu’il n’était qu’une goutte dans l’océan, mais voilà, il avait été lui-même et avait tout fait pour rendre sa grand-mère fière de lui.

D’ailleurs, pourquoi avoir choisi Harvard ? Parce que cette université réputée serait, toujours selon lui, une première étape vers l’homme qu’il veut être dans le futur : un philosophe qui marquera l’histoire, un philosophe dont on retiendra le nom.