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do we only exist in the music? // LILY&NIELS

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Tu ne savais pas trop ce que tu cherchais, mais tes doigts vernis caressaient les cartons écorchés par un passé tumultueux. Tu posais tes yeux sur les lettres, lisant ces noms d'artistes inconnus, trop connus, oubliés, popularisés. Tu n'avais aucune précision sur ce que tu étais venu dénicher, mais t'espérais y trouver quelques pépites. Il n'était pas rare que tu t'empares de façon aléatoire. La musique et toi Niels, c'était une histoire de coeur, un coup de foudre visuel et un achat compulsif. T'avais longtemps volé pour subvenir à tes besoins, après tout, les grandes distributions ne verront pas la différence à travers les millions de dollars de bénéfices qu'ils empochaient tous les ans. Seulement tu n'avais jamais saisi à l'envolé un disque, une oeuvre artistique. Trop honoré par le partage de la créativité, tu te devais de les honorer. Et tu continuais, tu parcourais, t'attrapais un vinyle de disco de Lyn Collins. T'étais plutôt fier d'avoir trouvé celui-ci, adorant particulièrement ce style musicale. Un bruit sourd venait soudainement t'amener à relever la tête, apercevant non loin de toi une chevelure aux reflets dorés, une peau pâle et avide de vie. C'était ensuite le fauteuil qui attirait ton attention, tu te sentais irrité. Tu la connaissais, tu la reconnaissais. Un frisson parcourait ton corps lorsque tu pensais à son prénom, Lily. Imposture. Tes yeux se levaient vers le ciel, cherchant une aide quelconque dans les cieux. Une main, un quelque chose, mais rien ne venait. Sûrement que le plafond du disquaire t'empêchait de t'envoler loin d'ici, loin d'elle. Tu ne l'aimais pas, sans trop savoir pouvoir. Tu remettais ta capuche sur ta casquette, ta moue dominait ton visage. Tu la détestais cette Lily, elle et son visage sans émotion. Elle manquait d'éclats de vie, et ça, t'appréciais pas. Elle ne faisait pas honneur au joli prénom de Lili, et ça, tu ne l'acceptais pas.
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Plastique qui craque, crache, qui dérape. Alarme suintante pas élégante dans ce temple de la musique, ça fait tâche. Ses roues collent au linoléum vieillit qui rajoute encore plus de charme à cette boutique de coin de rue. Le silence bercé d'une odeur de vinyle caractéristique perturbe l'air, ça fait comme une faille (in)temporelle ou elle peut venir oublier, s'oublier. Elle en sourirait presque Lily. Les disques défilent à hauteur de ses yeux, en rythme, passant de Lana del Rey à un vieil enregistrement de Ottis Reding. Le mélange est éclectique, la couleur pop prime sur la logique, on dirait les étudiants du campus. Ça a pas grand sens mais on peut pas s'empêcher d'aimer au fond. Ou de s'y habituer, c'est la même chose. Lily soupira doucement, déambulant dans l'allée principale, un peu perdue. Elle avait pas grand chose à faire ici à la base, juste trouver un cadeau pour sa colloc'... Ou pour sa cousine ? Elle savait plus... un truc original ou du moins pas banale, un truc qui fasse utile à défaut de faire plaisir, et puis c'est l'intention qui compte. Au pire, si il sert pas, Lily elle le reprendra en douce, parce que la musique adoucis les meurs, un truc du genre, et qu'elle est acide Lily. Bifurquant sèchement, elle poussa son fauteuil dans l'allée gauche, celle avec le néon un peu cassé qui faisait rougir les étalages, avec une silhouette pas très nette juste devant. Y'a un Nina Simone en face d'elle, celui où elle a sa serviette sur la tête, la cigarette insolente et le regard haut, la femme qui s'affirme et qui hurle ses péchés au monde. Sinnerman. Elle est là la différence Lily, le regard ça change tout, t'as pas encore tout compris, c'est fou. Sa main pâle piocha la pochette cartonnée, fascinée. Promis, elle trouvera un autre disque pour la cousine, la colloc', pas important. La jeune femme se laissa glisser un peu plus en avant de l'allée encore. Il a beau porter une capuche, une casquette, avoir les yeux levés au ciel, elle le reconnaît. Merde, Niels. « Lyn Collins. Je pensais plus à la danse macabre. » Elle aurait pas du mais, faut pas trop en demander non plus. Niels qui l'aime pas, Niels qu'elle aime pas parce qu'elle aime presque personne mais qu'elle aime pas parce qu'il l'aime pas non plus. Et elle sait pas pourquoi. Et elle s'en fout, ou pas. Demi tour rodé aux années de pratiques, direction le comptoir du fond du disquaire, pour payer et s'en aller. Lily princesse sur son trône d'acier...    

@Niels Keller impardonnable de retard, pas ouf mais jtm, donc faute avouée à moitié pardonnée :heaart:
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Il y avait dans la musique quelque chose de réconfortant. Peu importait l'endroit où tu te trouvais, tu cherchais toujours un moyen d'être accompagné musicalement. Il fût une époque où vous étiez deux, deux à marcher à travers le pays tout en faisant valser vos corps au rythme du son. Et puis maintenant, ta tête enrobée par les paroles, tu pouvais déceler des moments de vie. Tu te laissais allé, replongeant avec impatience dans ton passé, votre passé. Il était important pour toi d'écouter ces musiques que vous appréciez tant, celles qui avaient rythmées vos années, vos baisers, vos étreintes de satin sous les étoiles. Les chansons te permettaient de l'entendre chanter, de la voir danser, d'écouter son souffle saccadé. La musique la faisait vivre, éternellement, inconditionnellement. Et toi, ça te faisait sourire, parfois rire, et puis même, certains soir, plongé dans le noir, tu pleurais. Et Lyn Collins était ces souvenirs heureux, de ceux qui te faisaient rire. Tu repensais à Lili, vêtue de sa robe à fleurs et de ses collants troués. Tu repensais à son déhanché, et t'aimerais t'isoler, là, maintenant, pour t'envoler à ses côtés. Pourtant la seule chose qu'on venait te voler, c'était ce sentiment de paix qui te saisissait. Le bruit sourd et la vue troublaient tes souvenirs, tes pensées à l'envolée. Ses yeux bruns qui ressemblaient étrangement aux siens, son prénom qui venait achever ton coeur déjà meurtri. Tu soupirais, cachant ton visage, tu ne voulais pas t'approcher plus près d'elle. A vrai dire, cette Lily ne t'inspirais pas confiance. Et puis peut-être que dans l'fond, sa névrose te rappelait sans équivoque celle de la femme que tu avais aimé bien plus que ta propre vie. Et puis elle était partie, par manque de joie de vivre, par manque de désir de se voir grandir. Tu voulais l'éviter la femme à roues, tu voulais lui montrer que toi, tu pouvais courir loin d'elle et de son visage de marbre. Pourtant les mots s'entrechoquaient pour venir te toucher. Les mots éclataient dans l'air, comme des milliers de morceaux de verre. T'avais envie de lui cracher au visage, elle et ses mots saillants. "La seule chose de macabre ici, c'est toi, sans aucun doute". Elle puait la mort, elle puait la haine, elle puait la glace. Et pourtant elle puait les fleurs, l'odeur florale qui chatouillait tes narines te donnait un haut le coeur. Tu te demandais bien pourquoi tu la méprisais autant, tu te demandais bien pourquoi elle t'affectait par sa simple présence. Qu'elle crève, elle, puisque de toute façon, elle semblait déjà morte. Seulement Niels, l'idée de la savoir entre les planches de bois te donnerait la gerbe instantanée.
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C'est pas simple, parce qu'au fond, elle est là, vicieuse, anachronique, elle a pas d'sens mais elle est là, la retenue, l'envie de disparaître. Mais non, c'est trop fort, ce sentiment d'injustice, ce besoin de se faire remarquer inconsciemment. Il faut qu'elle crache au monde qu'elle existe encore Lily, qu'elle est pas morte, qu'on se débarrasse pas de son âme grise d'un claquement de doigt. Elle est immortelle Lily, figée comme une statue de marbre un peu bâclée, qu'on a oublié de réparer correctement. Il manque une pièce, ça fait gripper l'édifice fragile, elle manquerait presque de s'éfondrer. Lily ? Non jamais, le masque est trop parfait. Il faut qu'elle s'imisce dans toutes les choses qui la concernent pas, qu'elle pourrisse les murs à l'acide de ses mots. C'est moche, Lily, mais c'est comme ça, ça changera pas. Elle aurait pu l'ignorer, Niels, s'en aller, laisser les murmures secs s'évader par les égouts mais ça avait été trop fort comme désir, une envie puérile de rappeler son existence malgré tout, comme quand elle était gosse. C'est difficile à évincer de sa mémoire le genre de choses comme Niels. Ça colle comme une vieux chewing gum sous la table, ça fait grimacer quand on le découvre par hasard, puis ça rappelle qu'on en voudrait bien un en fait, de chewing gum, pour faire passer le goût âcre d'une vie médiocre. Les mots sombres du jeune homme claquent, Lily craque. C'est violent, bien trouvé, du sarcasme de qualité. Lily asquieça et se retourna, levant ses prunelles insolentes vers lui, sourire en coin et ricanement pathétique au bord des lèvres. Elle a cherché, elle l'a trouvé. « Ah. Mais qui tient le mauvais rôle si c'est pas moi, Niels. » Son prénom éclate comme un feu d'artifice, roule sous sa langue acerbe, l'accent canadien en étendard, pour venir s'échouer à la fin, sur les rives de sa bouche sanguinolente, déchiqueté par sa mâchoire de chien de fusil. Niels il a le beau rôle oui, celui du sauveur. Celui a qui elle doit beaucoup trop, Lily. Elle écrasa ses souvenirs d'un battement de cils, comme on écrase une cigarette, enterrant la ruelle sombre, les mains sales et eux, venu la sauver, derrière ses paupières mauves de fatigue. Elle s'avança au comptoir, trop haut et posa son disque, sortit de la monnaie, attendant le vendeur. Partir, s'en aller, le fuir, loin, parce que sa présence simple la perturbe. Son regard noir, littéralement, la perturbe. Son visage renfermé la perturbe. Oh sweetheart aren't we the same... Nina Simone la poursuit dans sa tête, Lily. « T'as de quoi l'écouter, Collins maintenant ? Jolie évolution... » Méchant pour méchant, remake sale de l'attaque des titans. Rue ou pas rue, fauteuil ou pas fauteuil, y'a que la misère qui tienne, et ça, Lily et Niels, ils le savent tout les deux.                
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Il était difficile pour toi de reconnaître que Lili te manquait tous les jours, à chaque instant, chaque seconde. En réalité, tu ne comprenais pas comment tu pouvais autant détester ces petits riens qui te faisaient penser à elle. Toutes les choses du quotidien, toutes les phrases, les musiques, les couleurs, les fleurs. C'était un réel combat, combat qui perpétuait depuis des mois entiers. Je t'aime moi non plus, Lili. Lili je t'aime dans mon souvenir, Lili je te déteste dans mon présent. Ces choses qui te faisaient penser à elle, qui te permettaient de l'aimer même après la mort. Elle était partie en rendant ton amour immortel, et parfois, lorsque l'amour débordait, tu la détestais. Tu te sentais enfermé dans cette spirale infernale dont tu ne voyais jamais la fin. L'infini était effrayant, oh que ça oui, c'était effrayant. Et t'avais peur de ce que tu voyais, peur de ce qui t'entourais. Peur de ce qui tournait avec toi, et qui te semblait si loin à atteindre. La liberté, l'amour libre, la paix, la sérénité, l'esprit sain, le corps indolore. Alors tu cherchais à la faire perdurer, mais d'un souvenir heureux, un souvenir plus enjôlé que la réalité. Et souvent, tu te perdais entre tes pensées et ce qu'elle était. La barrière était mince, la barrière était trop fine Niels. Alors tu te perdais, et la réalité des souvenirs, tu la détestais. Tu voulais vomir les fois où tu te souvenais d'elle lorsqu'elle abusait des anxiolytiques. Ouais, tu détestais ce que la vie lui avait fait. L'injustice, tu détestais cette injustice. Et peut-être que Lily, la hargneuse, la vicieuse, elle était elle aussi victime. Et pourtant, elle était si agaçante. Elle était complexe, elle était mystérieuse, elle était pleine de mort. Et pourtant, elle était en vie, elle. Elle, Lily. Tu ne supportais plus son regard, ni même sa voix. Tu ne supportais pas son fauteuil, ni même son foulard. Tu ne supportais plus l'odeur de son parfum, ni même le grain de sa peau. Tu détournais le regard, haussant les épaules à ses mots. Elle était virulente d'existence. Tu te barrais loin d'elle, parce que putain, t'en avais marre de la voir. Elle éveillait au fond de toi ce besoin irrépressible de la protéger, de la frapper, de l'enlacer, de lui cracher à la gueule. D'faire de grands discours, de l'emmener voir le monde, de rigoler, de l'emmerder. Lily t'inspirais de la haine, de la vie, de la joie, de la morosité. Lily permettait au tourbillon nocturne de s'arrêter de chavirer, histoire d'arrêter de penser. Alors que, Niels, tu ne l'avais vu qu'une simple soirée. Une soirée où tu l'avais aidé, Ô preu chevalier. Tu n'étais pas seul, Niels, ce soir-là. Mais c'était toi, toi qui était arrivé pour l'aider. Et elle avait tout gâché, elle et son prénom souvenir. Elle avait tout foiré, elle et ses mots cassants, elle et ses regards froids. Tu finissais par rejoindre la caisse, après tout, elle n'était pas prioritaire. Toi aussi Niels, tu avais le droit de vivre. Toi qui n'était jamais très bruyant, tu oubliais la discrétion pour te faire entendre. L'genre de phrase silencieuse qui veut dire, eh regarde, moi aussi j'suis en vie. Et tu voulais l'emmerder, tu voulais la faire cracher, la faire vriller. Seulement c'était elle qui renvoyait les hostilités de sa voix cristalline et froide. Les notes sont froides, sans aucun doute le reflet de son coeur. Et t'étais cassant Niels, tu l'sentais arriver. Tu rugissais, intérieurement. Peut-être que Lily, elle prenait la haine que t'accumulais pour Lili. Lili, Lily. Quelle différence. "Certaines personnes ont la chance de pouvoir évoluer, Lily". Et il était peut-être mauvais d'insinuer qu'elle ne faisait pas partie de ces personnes, de ceux qui ont la chance de voir la vie avancer. Et tu la détestais. Tu finissais par lâcher ton disque, et te barrer. Tu sortais de la boutique, parce qu'après tout, Lili tu l'emmerdais aussi. A bas les souvenirs, qu'elles aillent se rejoindre en enfer.
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Il est distant, froid, intouchable. Incompréhensible, indéchiffrable. Il est comme elle Niels, y'a eu avant et après. Un cataclysme comme point de non retour. Il a une lueur de danger qui danse au fond des prunelles quand on regarde attentivement, et Lily elle pourrait se perdre dans ses iris sombres noyés par des fantômes qui lui sont inconnus. Des yeux qu'elle voit parfois apparaître sans raison dans son sommeil placide de droguée aux médicaments qui éloignent deux trois heures une douleur qui n'existe pas, celui sans rêves parce que de toute façon elle a rien à rêver Lily. C'est moche. Elle sentit son parfum de bitume derrière elle la rejoindre au guichet, vide. Eux, c'est une danse des fauves dans l'arène, à savoir qui griffera le premier, et qui fera couler le sang le plus vite, qui tachera l'âme à l'encre rouge indélébile. « Certaines personnes restent paralysées. » Bloquée au niveau un parce que toutes les chances sont passées, que la jauge des capacités est enrayée, qu'il suffit pas de recommencer la partie pour essayer de gagner encore. Le choc du disque qu'il lâche comme un coup de tonnerre pour filer comme un voleur la fait sursauter dans son fauteuil, une secousse des épaules qui l'incendie, Lily. Elle lacha Nina, par réflexe, réaction en chaîne sûrement. Dégage ouais, dégage, va t-en, disparaît. Son coeur bat trop vite à Lily, comme après un marathon, le souffle ératique, les idées un peu perdues mais l'obsession d'avoir fait quelque chose. Elle poussa son fauteuil, les roues comme des prolongements psychédéliques de ses jambes atrophiées, jusqu'à la sortie, la silhouette de Niels découpée comme un étendard déchiré, un drapeau blanc un peu trop tâché. « J'AI FAIS QUOI MOI ? QU'EST CE QUE J'AI FAIS NIELS ? »  Qu'il le dise, qu'il le hurle. Qu'il le scande. Plus personne n'existe, mais de toute façon la rue est vide, leur appartient, deux souverains pour un même trône, où le vent y distille des secrets malmenés. Lily avança doucement son fauteuil jusqu'à lui, son visage et ses prunelles assassines ou se noient les enfers. Le métal grince à chaque coup de ses doigts pour lui faire dévaler l'asphalte suintante, elle partira pas Lily. Dans ses yeux à elle, c'est tout un monologue, des battements de cils quand elle reprend son souffle. Pourquoi tu me détestes, pourquoi j'suis là, pourquoi on reste. Je crois que je voudrais te sourire mais que ma tête refuse, ça l'amuse cette connasse, j'suis névrosée un peu beaucoup mais me ments pas, parce que toi aussi Niels, ça se sent, ça se sait. Des poupées cassées. La nuit est froide et le souvenir vif, c'était Lily le problème ce fameux soir, son visage marqué au noir. Mais maintenant, ici, tout de suite, c'est Niels le problème, son silence qui oppresse et le goût doux amer d'avoir fait une connerie qui colle aux joues de Lily. Elle bloqua sa chaise au milieu de l'allée, Simone's vibes dans la tête. Va te faire foutre Niels.           



@Niels Keller cette réponse n'a aucun sens ? Mdrrr désolée chat do we only exist in the music? // LILY&NIELS 2109348208
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