Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityLet me tell you what it's like to be a zero, | Dimitri
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Let me tell you what it's like to be a zero, | Dimitri

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La fatigue se fait clairement ressentir en cette fin de semaine mouvementée. Les cours ont réellement repris. Il faut être concentré dès la première minute, jusqu'à la dernière. Il n'est plus question de parler d'évaluation, de dossier, de la manière dont vont se dérouler les cours etc. j'aime ce que j'étudie, mais je ne peux pas non plus dire que c'est de tout repos. A cela s'ajoute les « petits devoirs ». Si en psychologie, cela consiste à étudier un cas concret, qu'il me suffit de balancer quelques lignes sur un bout de papier en regardant la télévision, ou durant ma pause ; en Design mode c'est différent. Il n'est pas question de faire un patron, ou une dissertation sur la couleur qui dominera cet hiver, en quelques minutes dans un coin du bar. Non, je préfère prendre cela vraiment au sérieux, tout comme mon boulot au Lord Hobo… a un degré un peu plus faible tout de même. Je ne joue pas grand-chose en bossant ici. Ce n'est pas un boulot très difficile, simplement fatiguant, mais il me permet de payer les factures et le loyer, c'est déjà pas mal. Le bar commence doucement à se vider, fin de soirée oblige, mais il me reste encore un peu de temps à travailler et avant d'être obligé de mettre dehors les récalcitrants à rentrer chez eux. C'est une tâche que je préfère refiler la plupart du temps. Dur à des clients de rentrer chez eux ou d'aller boire ailleurs, ce n'est pas très vendeur ni même très sympathique. Mais pour l'instant je me contente de terminer le verre du jeune homme installé seul dans un coin de la salle. Il n'a pas l'air en grande forme ou simplement fatigué ? Il n'a pas une tête d'alcoolo celui-ci , c'est déjà ça je trouve. J'affiche un léger sourire sur mes lèvres et m'approche de lui avec son verre.« Et voilà votre verre. » dis-je en le déposant devant lui. Je ne me permets pas de le tutoyer, même si nous devons avoir le même âge. Peut-être qu'il s'agit de l'un de ces fils à papa qui ne se générait pas pour me remettre vite à ma place. « ça va ? » demandai-je tout de même en fronçant légèrement les sourcils. Il n'a vraiment pas l'air en forme. Au pire envoie moi péter si je te saoule, mais si tu as envie de te suicider j'aurais pas ta mort sur ma conscience.

@DIMITRI A. M-WILDINGHAM
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Y a encore des jours où je ne me sens absolument pas bien. Et ce soir, je suis en plein dedans. Mon cousin est mort il y a quelques semaines, alors que nous étions encore en froid. Son ex et moi, on s'est embrassé, en pensant qu'il l'avait largué, alors que ce n'était pas du tout le cas. Mais même s'il l'avait largué, je n'aurais jamais du embrasser l'ex de mon cousin, que j'ai toujours considéré comme mon grand frère. Mais je l'ai fais et l'a apprit, ce qui a crée un froid entre nous deux. Et maintenant il est mort, alors que nous étions en froid et que je me suis cassé pour aller vivre à Sydney avec mon ex enceinte de moi. Je regrette tellement. A côté de ça, ma soeur est partie en centre de désintoxication. Je l'ai abandonné et voilà le résultat. Je m'en veux pour tellement de chose. Jamais je n'aurais du partir à Sydney. Mais voilà quand on est amoureux, on devient totalement con et obsédé par la personne qu'on aime. Et malheureusement ce fut mon cas. Maintenant je veux me racheter auprès de mes proches. Je n'ai pas encore reprit contact avec tout le monde, mais ça va venir. Pour l'instant je suis juste installé à un bar et je bois. Je n'ai pas bu énormément, c'est peut être mon quatrième verre de Whisky, mais ce soir je ne me sens pas bien. Et vaut mieux boire une soirée pour oublier, plutôt que de prendre de la drogue. Je l'ai fais une fois, et j'ai failli en mourir. Heureusement on m'a sauvé la vie. " Merci. " Répondis-je à la serveuse qui venait de m'apporter mon quatrième et dernier verre dans ce bar, parce que j'ai bien remarqué l'heure qu'il est et je sais qu'ils ne vont pas tarder à fermer le bar. J'attrape mon verre, mais avant de pouvoir boire une gorgée, je lève les yeux vers la jeune femme. " J'ai connu mieux, mais ça va. " Je bois une gorgée de mon whisky pour ensuite sortir de ma poche un billet de cent dollar pour le lui tendre. " Pour mes consommations et garder la monnaie. " Je ne suis pas à ça près en réalité.
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Les différents clients présents au bar ce soir me font de l'œil. Je les regarde avidement, avec envie, ou tout autre synonyme. La fatigue est présente, mais une soirée de détente. Une seule, c'est tout ce que je demanderai. Une soirée à ne rien faire, à seulement penser à m'installer dans un bar, où ma seule interrogation serait de choisir le verre que je prendrais. Oui je les envie réellement. Mais c'est mon choix. C'était mon choix de prendre un appartement dans Boston plutôt que de retourner vivre chez mes parents à l'autre bout de la ville. Je voulais mon indépendance, mais indépendance signifie également un travail. La vie n'a jamais réputé pour être facile et simple, elle ne cesse de nous mettre des embûches pour nous mettre à l'épreuve. Je n'ai qu'à me dire que c'est une nouvelle épreuve…Elles s'enchaînent en ce moment, mais je me dois de garder la tête hors de l'eau si je ne veux pas me noyer. Et peut-être que ces clients-là, eux aussi ont leurs propres problèmes. Certains viennent justement ici pour les fuir, en pensant que l'alcool leur fera oublié leurs ennuies. Je l'ai cru un moment aussi, mais ils reviennent toujours au galop, question de temps, alors pourquoi se bousiller le foie. C'est un peu ce que je me dis quand je viens servir, encore, un verre au jeune homme, seul dans son coin. Il a l'air perdu dans ses pensées, un peu éméchée également. Je ne veux pas le juger, certains ont également dû penser que j'étais une paumée de la vie il y a quelques temps. Je lui adresse un sourire, je remets en place une mèche s'étant échappé de ma queue de cheval, me mordillant légèrement la lèvre à sa réponse. « Si tu bois c'est que ça ne va pas. »» ce n'est pas une question. On ne boit pas seule sans raison. Autant qu'il soit franc avec lui-même. Il ne va pas bien. Je prends le billet qu'il me tend. Problème en math également, il n'est vraiment pas gâté aujourd'hui. « Je garde la monnaie ? A tes risques et périls. »dis-je en souriant en fourrant le billet dans ma poche. Je peux faire beaucoup de choses remarquables avec ça, tant pis pour lui. Je prends les verres vides devant lui et les ramène derrière le comptoir, mais je finis par revenir vers lui. « Je peux m'asseoir ? » demandai-je gentiment. Il n'y a presque plus personne dans le bar autant en profiter pour me poser un peu avant la fermeture et pourquoi pas discuter avec lui. Ça m'intrigue, il m'intrigue, j'ai envie de savoir pourquoi il est aussi mal, pourquoi il se fait souffrir en ingurgitant cet alcool. « promis je ne vais pas t'embêter. » dis-je en riant légèrement. Non juste un peu. Kara tu n'es pas du tout une emmerdeuse de première.
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J'ai beaucoup de mal à contrôler mes sentiments. Je l'ai déjà pas fait à la mort de mon père, donc je n'y arrive pas non plus pour la mort de mon cousin, que j'ai toujours considéré comme un grand frère. Il a été d'une énorme aide à la mort de mon père. C'est lui qui a tout gérer, qui a aidé ma mère a organisé l'enterrement et tout ce qui s'y rattache. Il m'a aidé pour ça, et aussi il m'a aidé à surmonter cette épreuve. Certes, ce n'est pas grâce à lui que j'ai arrêté la drogue quand j'ai plongé dedans, mais il a été un soutien important. Et maintenant il n'est plus là et je n'ai personne pour me soutenir dans cette perte. En général je pouvais toujours compter sur mon ex, mais au vu de notre relation actuelle, cela risque d'être assez compliqué. J'ai des amis à Boston, mais je n'ai pas forcément été correct avec eux avant mon départ pour Sydney, donc j'ai déjà envie de me faire pardonner pour tout ça. Je sais qu'avec certains, je vais devoir y aller petit à petit. Je n'ai pas encore repris contact avec Hippolyte. Non je pense que notre dernière dispute a été beaucoup trop loin, et je ne sais pas trop comment l'aborder, étant donné que je connais son caractère avec fort. Enfin je paie la serveuse, lui disant de garder le pourboire plutôt généreux. Je m'en fiche, je ne suis pas à ça près. Je pensais pouvoir boire mon verre tranquillement, mais elle revient vers moi, me demandant si elle pouvait s'asseoir. " Oui va s'y tu me déranges pas... " Je ne vais pas l'envoyer chier. Clairement j'en ai pas la force. Je n'ai pas forcément envie d'en parler, parce que je suis un mec qui parle que très rarement des sentiments ou de mon ressentit, donc elle risque de rencontrer un mur. Mais peut être que l'alcool me fera parler. " Ca dépend de ce que tu veux parler... " Elle a remarqué que je n'allais pas bien. Donc ça peut m'embêter si elle pose des questions un peu trop personnelles.
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Laisser l'eau couler sous les ponts. Une expression qui signifie « laisser simplement le temps agir ». Parfois cela fait du bien. Laisser de côté un problème, et attendre, simplement attendre. Il arrive qu'il se règle tout seul, comme un problème d'argent, où il suffit simplement d'attendre que la paie rentre, ou je ne sais quel autre exemple. Mais il arrive que le temps ne fasse que panser la blessure, sans pour autant lui permettre de guérir et de cicatriser, au point de disparaître. Non parfois, le temps ne représente que ce pansement, que l'on met au-dessus du problème, en espérant qu'il disparaîtra. Mais le jour où l'on retire, volontairement ou non, ce pansement, la blessure a quelques fois doublé de volume. L'infection peut avoir gagné d'autres organes vitaux et nous bouffer tout simplement. Je ne suis pas la mieux placée pour conseiller quelqu'un, à vrai dire, je suis même la dernière personne qu'il faudrait écouter concernant les problèmes. Je ne les affronte pas, je les fuis, mais tôt ou tard, on se retrouve confronté au passé, à ces « problèmes » justement. Dans ces cas-là… et bien j'aimerais bien avoir quelqu'un capable de me dire quoi faire à présent. Des personnes tourmentées, j'en rencontre tous les jours dans ce bar. Je les regarde simplement, sans pouvoir les aider.. Mais ce soir, j'ai envie que ce soit différent. Je ne sais pas pourquoi ça tombe sur lui, pourquoi j'ai eu envie de m'asseoir face à lui, et d'essayer de discuter avec lui. Peut-être qu'il m'a attendrie avec son petit regard vitreux, sa manière de tenir son verre, de le regarder comme s'il avait l'espoir de pouvoir se noyer dedans. « J'ai dit que je ne voulais pas t'embêter. » dis-je en haussant les épaules avant de croiser mes jambes l'une sous l'autre en soupirant légèrement. « Si tu n'aimes pas rester debout pendant des heures, je ne te conseille pas de bosser dans un bar. » dis-je en riant légèrement. Je n'ai qu'une envie, retirer mes chaussures et me masser les pieds. « L'alcool marche bien sur toi ? » demandai-je
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