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NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes

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Nolan Jiminy Kingsley
23 ans ▲ américain ▲ célibataire





Mon profil
C'est le 03 décembre de l’année 1989 à Boston, Massachusetts (USA), que les membres de la famille Kingsley m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Nolan Jiminy. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale poussiéreuse, pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Droit en majeur et de relations internationales en mineur depuis cinq années ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer la Dunster House ou la Winthrop House.

10 choses à propos de moi
Certains naissent avec une cuillère en or dans la bouche, d’autres avec une en plastique. Nolan appartient à la deuxième catégorie. ▲ “I don’t care how poor a man is; if he has family, he is rich.“ est une citation qui doit particulièrement plaire aux Kingsley vu qu’ils ont eu six enfants – une aberration pour Nolan, le second né dans la fratrie. ▲ Il lui semble qu’il a travaillé toute sa vie, ayant commencé à l’âge de conscience en aide de femme de ménage auprès de sa mère. ▲ Il reçoit une bourse d'Harvard grâce à ses excellentes notes.▲ Pour assumer sa facette d’employé de bar et de très bon élève, il lui arrive de prendre des amphétamines, principalement en période d’examens et histoire de réduire stupidement son maigre salaire. ▲ Sa dernière facette est celle de fin manipulateur intéressé, de toyboy ou d’enfant dans une situation précaire pouvant être une oeuvre de charité et dans lequel il faut investir pour son avenir, au même titre qu’un enfant du tiers monde. C’est sa raison pour sortir uniquement avec des filles élevées avec des couches signées Gucci afin de mener le grand train de vie sur leur compte et celui de leurs parents. ▲ La majorité de ses vêtements, son ordinateur portable, son IPhone – soit la plupart de ses affaires coûteuses – sont des cadeaux d’ex-petites-amies. ▲ Il n’a jamais été à l’aise avec les animaux. Depuis qu’il a été mordu par le chien d’une ex, c’est pire : il ne les aime pas, ou c’est ce qu’il dit pour ne pas avouer qu’il aurait peur d’un chiot ou d’un chaton. ▲ Il ne fume pas car il ne peut pas réellement se le permettre. ▲ C’est un émotif anonyme. Il a de la peine à assumer ses émotions fortes, alors il a tendance à les fuir.


Vie de merde
▲ Aujourd’hui, j’ai demandé un signe divin pour savoir si c’était bien de manipuler cette fille. Je me suis pris une balle de golf dans la tête. VDM (ou TLBM)



Tu passes au cash ! ~ Harvardiens seulement
Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?
    Je réponds à mon questionnaire pour décider, jouant presque à un «Livre dont vous êtes le héros». Première question : est-ce que je suis célibataire ? Oui, alors j’y vais; Non, je passe à la question suivante : est-ce que la fille veut y aller ? Après, en question bonus, je prends en considération si un examen approche car étant boursier, il vaut mieux que je continue à mériter ma place. Donc en bref, je suppose que j’hésite à ma façon.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?
    Je connais la misère américaine, donc je me passerai d’une exotique. Après, j’accorde le fait que c’est un beau geste que de faire ce voyage, un bon point positif pour argumenter au purgatoire pour les croyants. Mais je préfère que les personnes investissent dans mon futur ou dans mon quotidien (a).

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?
    Pourquoi pas, si je m’ennuie profondément. Je pourrais auditionner pour montrer mon talent de facilité déconcertante à me ridiculiser sur scène. Ou c’est un bon endroit pour dénicher les filles fortunées auxquelles il ne manque que la célébrité.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! Comment tu la trouves ?
    Personnellement, je me méfie des apparences belles, très gentilles… et parfaites. Ce n’est pas ça que je regarde chez une femme. Je préfère me concentrer sur ses chaussures pour deviner l’existence ou l’absence de semelles rouges et je me permets de la juger qu’à son porte-monnaie (a) – et à sa générosité et son implication dans une relation. Mais après, il ne faut jamais dire jamais pour une histoire d’une nuit…

Les Winthrops font une enchère tous les ans. Aimerais-tu un jour y participer ?
    Eventuellement. C’est un bon moyen pour savoir combien une fille est prête à investir et combien elle peut (a); ça permet un tri discret.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?
    Il a négocié comment avec sa cigogne ? Plus sérieusement, par jalousie saupoudrée d’aigreur, mes pensées feraient grimacer un professeur de bonne conduite, mais en réalité, je serais envieux car cet Eliot n’aurait pas à chanter «Money, money, money must be funny in the rich man’s world».

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?
    Tout à fait car cela pourrait faire bien joli dans mon dossier de boursier et empêcher à l’administration d’Harvard de regretter de m’aider financièrement. Après, peut-être que je pourrais y trouver de l’intérêt.



Derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle .clow et j'ai 21 ans  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 2157042859. Je suis suisse et j'ai connu le forum grâce à à un forum je crois/b]. [b]I-love-harvard est un forum bien actif qui semble avoir une très bonne ambiance  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 2109348208 alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, j'aurais besoin d'aide. J'utilise Ben Barnes comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Je pars demain quelques jours, jusqu'à dimanche soir. Je posterai donc lundi ma fiche  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 1001568715  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 3850463188 comme je ne voulais pas risquer de louper le Barnes, je me suis quand même inscrite malgré cette petite absence  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 2157042859 :fear:

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Mon parcours
2004 ► « Look out to the horizon, past the trees, over the grasslands. Everything the light touches… belongs to someone else !
NOLAN JIMINY KINGSLEY ! »
La voix maternelle profonde et rauque, laissant la colère gronder pour effacer toute trace de fatigue, instaura un bref silence dans le supermarché bondé et trahit sa capacité vocale à imposer une autorité jusque dans la jeunesse dorée. La proie de ce cri leva en l’air ses deux mains en signe de repentance, abandonnant sans hésitation sa propre petite cible qui serrait fort contre elle un catalogue de Noël. Pour un passant de dos à la situation dont le nom Kingsley aurait été porté à l’oreille, il aurait été aisé de laisser son imagination esquisser le portrait d’un jeune homme fringuant qui, à défaut d’avoir pu porter la future ligne de vêtements pour enfants signée Posh Spice, s’était contenté de divers tissus de Burberry dans son enfance, et était devenu un tyran auprès de sa petite soeur habillée par une grande enseigne française. Une telle image aurait amené le passant lambda à lever les yeux au ciel. Néanmoins, si ce dernier s’était retourné, il aurait aperçu un garçon vêtu d’un jean usé à en témoigner sa vie sur un autre et d’un pull un poil trop grand. À ses côtés trônait une petite fille portant un gros sweat à l’apparence masculine.
Nolan leva les yeux au ciel avant d’échanger un bref regard avec son aîné qui s’était éloigné pour éviter les foudres maternelles car évidement, il était également dans le coup. Il ne s’autorisa à baisser les mains qu’au moment où sa mère se détourna de lui après un dernier regard autoritaire, retournant à sa liste de course. Il lui sembla l’entendre marmonner que son second, le Nolan en question, ne regarderait plus un seul Disney avec sa soeur si c’était pour les utiliser contre elle après. Le Kingsley soupira avant de passer une main dans les cheveux de Wendy, sa cadette se plaçant à l’avant-dernière place de la fratrie de six enfants, tandis que son aîné rejoignait sa mère pour l’aider. Le plus triste dans l’histoire, c’est que Nolan n’avait pas menti. Il avait certes utilisé une forme fantaisiste et un peu hors contexte, mais il avait dit la stricte vérité : tout ce qui se trouvait dans ce catalogue appartiendrait à quelqu’un d’autre et non à Wendy, ou peut-être aurait-elle un cadeau figurant sur ces minces feuilles de papier fragiles. Il fallait dire que de riche, les Kingsley n’en avaient que le nom et la famille. Six enfants. Pas un, pas deux, mais six. À croire que les parents n’avaient jamais entendu parler de la famille parfaitement américaine composée de deux enfants ou du modèle unique et rentable chinois d’une naissance par couple. Non, le pauvre ouvrier dans le bâtiment Kingsley amouraché de l’expatriée tchèque multitâche dans les maisons de riche (à comprendre femme de ménage, couturière et parfois nounou), ce couple marié avait voulu une grande famille quitte à coincer dans une chambre leurs quatre garçons. Ils n’avaient aucune gêne à motiver l’esprit bagarreur et parfois meurtrier des fils en les restreignant à peu de place, ce qui avait tendance à envoyer le dernier né dans la chambre des filles et créait ainsi un plus grand chaos bruyant dans la fratrie. Parfois et malgré le fait que Nolan aimait ses soeurs et frères, il se demandait si ses parents n’étaient pas des illuminés qui ignoraient l’existence des préservatifs ou de la pilule. Ou était-ce une hypothèse qui l’avait travaillée avant qu’il ne fasse face avec son aîné à ses parents qui leur firent la prévention sexuelle. Ce souvenir fit grimacer le Nolan du présent et il chassa sa jeune soeur vers sa mère, désespéré par sa famille sans sens à ses yeux. Il aimait sa famille, mais quand il se retrouvait bloqué dans un lit avec les deux derniers de la fratrie pour cause d’absence de chauffage en hiver, il se demandait pourquoi ses parents avaient été assez cons pour s’appauvrir plus en se multipliant. Il se demandait même souvent pourquoi il avait gagné la course à la fécondation ou qu’est-ce qu’il avait bien pu faire à la cigogne pour atterrir dans le nid poussiéreux d’une rescapée de la République Tchèque et d’un ancien délinquant remis sur le droit chemin. Qu’est-ce qu’il ne donnerait pas pour avoir sa propre chambre ou mener la vie aux couleurs argentées et dorées, ou une rien que colorée. Mais voyant sa mère méditer sur une action du supermarché, calculer mentalement les comptes, il comprit qu’il ne pouvait que continuer à se défoncer en cours pour espérer obtenir une bourse dans une université et se casser rapidement de cette vie où le prix d’une boîte de conserve avait sa plus haute importance. Il soupira à nouveau avant de jeter un coup d’oeil à sa montre.
« On a bientôt fini ? lança-t-il à sa mère en la retrouvant. Car je dois aller retrouver quelqu’un, comme je l’avais spécifié avant qu’on parte…
Nol’, tu peux bien aider et aller voir ta copine plus tard ! râla l’aîné en attrapant des paquets de pâtes soldés.
Non, vas-y. Ça me suffit d’avoir Wendy et Reese pour m’aider, corrigea rapidement la mère probablement plus qu’agacée par la conduite de son second fils. Ne rentre pas trop tard.»
Promesse lâchée avec doigts croisés dans la poche, Nolan s’échappa du supermarché étouffant tant ce dernier appréciait lui rappeler sa condition de pauvre qui ne s’accordait pas avec les bouches à nourrir. Il détestait ça et à chaque fois qu’il était quémandé pour aider à faire les courses, il se faisait toujours la même promesse sans tricher : il allait larguer tout ça, d’une manière ou d’une autre. Même fuir sa réalité pour une minute était une bonne chose à prendre et c’est ce que lui offrait sa première petite-amie sur terre, fille d’une bourgeoisie irlandaise qui se voulait rebelle auprès de ses parents. Alors pour elle, c’était cool de sortir avec un “gars des rues“, un vrai homme loin de se plaindre s’il salissait ses vêtements et désintéressé par l’argent. Elle se voyait Bonnie auprès d’un Clyde, princesse courtisée par un homme du peuple alors qu’elle revêtait un costume de poule aux yeux de Nolan. Oui, il l’aimait bien et elle embrassait pas mal, mais il ne crachait pas sur ce qu’elle lui apportait, car même si mademoiselle se voulait sombre dans son milieu, “cool à cracher sur l’or“, il n’empêchait qu’elle traînait Nolan que dans des lieux aisés où seule sa carte de crédit chauffait puisque le Kingsley n’en avait pas. Ainsi, Nolan se savait fait pour une vie bien plus élevée que celle que vivaient ses parents, chaque sortie avec sa copine alourdissant toujours un peu plus sa vision de son quotidien. Un jour, il aurait sa carte de crédit pour se payer tous ces endroits propres. Mais en attendant, il ferait avec les moyens du bord pour atteindre ce monde, avoir son souffle d’oxygène, sa piqûre d’héroïne. Et cela ne le gênait pas de donner fierté, dignité, bref de sa personne pour ça.

2012 ► Tantôt fils plus droit qu’une barre de fer s’étant séparé de sa famille à la richesse plus qu’illégale et sale, tantôt enfant abandonné par des parents non-aimants suite à une erreur stupide, voir prince doré dont l’argent égale celui de Picsou mais également sa grande maladresse et sa mémoire l’amenant à toujours oublier son porte-feuille ou même garçon issu d’un milieu modeste inatteignable par les valeurs matérialistes, en bref il était fait avéré que Nolan savait incarner le fantasme d’une femme et assumer son rôle pour atteindre son but : être entretenu. Néanmoins, il semblait toujours revenir au même endroit, à la case départ – ou prison à ses yeux – en fin de compte. Le naturel revient toujours au galop et Nolan redevient à chaque fois ce pauvre qui ne fume pas non par souci de santé, mais par un financier.
La porte grinçante du bus se fermant le fit grimacer et le bruit de démarrage du gros véhicule lui explosa presque les tympans. Il faisait son fragile, sa mauviette car il était de mauvaise humeur. En moins d’une heure, il était passé d’un décor idyllique ensoleillé avec piscine, golf, argent gracieusement dépensé pour ses beaux yeux à un paysage sans couleur d’une station de bus pour atterrir dans un de ces véhicules afin de rentrer chez lui et retourner à son quotidien miteux. Il venait de lâcher sa dernière copine, la jolie blonde Quinn Alexis Prescott. Entendant une personne tousser, le Kingsley songea qu’il aurait peut-être pu attendre le retour en avion pour rompre avec la jeune femme. Néanmoins, son instinct avait dominé sa réflexion et en voyant la Prescott lui foutre sous le nez une photo de sa famille, il avait compris que son mensonge d’enfant unique, aisé et délaissé par des parents bossant trop se fissurait. De ce fait, il n’avait pas demandé son reste, piqué à vif que tout s’écroulait pour une connerie aussi futile, préférant filer avant que l’illusion se casse et qu’on lui demande des comptes. Il avait 23 ans au compteur et cela faisait depuis ses 17 ans qu’il s’inventait des vies pour vivre aux côtés de filles riches et profiter de leur porte-feuille; il était le toyboy discret de ces demoiselles qui savait s’esquiver quand il le fallait tel un grand artiste. Après tout, il ne pouvait pas risquer qu’on comprenne que c’était un menteur en plus d’un voleur non-assumé et dans un pays où il était mal vu de couper la main droite et la langue, il n’était pas difficile de s’attendre au pire si la vérité s’incrustait.
Une photo de sa famille. Une p.tain de photo avait cassé son beau train de vie aux côtés des Prescott depuis deux ans. En plus, il aimait bien Quinn et son esprit, donc autant dire qu’il se serait plu à laisser la mascarade s’installer plus que nécessaire avant de faire tomber le rideau. Mais non, il fallait qu’il se retrouve dans un bus pour faire un voyage de x heures afin de retrouver sa petite chambre sur le campus et qu’il appelle son patron demain pour expliquer que ses vacances avaient été avortées et qu’il apprécierait bien servir les clients afin de gagner quelques sous minables. Damn, VDM quand tu nous tiens ! pensa l’américain en se concentrant sur le paysage défilant. Il détestait cette vie où il trimait au point qu’il s’attendait presque à clapser sec à 50ans. Mais peut-être qu’à cet âge, il aurait une vie où il n’aurait pas à s’inquiéter de l’humeur d’une femme, de ses moindres faux pas car il ne dépendrait que de lui; peut-être qu’il serait devenu avocat dans une bonne boîte. Etant un boursier d’Harvard, il avait deux bons arguments pour être meilleur que les autres, en plus d’une volonté d’acier de réussir à s’extraire de la grasse dans laquelle il vivait. Ce futur pourrait même le rendre fier de ses origines, l’amener à accepter de revoir ses parents, de retourner plus souvent chez lui. Mais ça, ce serait pour après, pour le futur. Pour le moment, il était l’acteur spécialisé en arnaque qui avait oublié un détail et bousiller tout son coup, le pauvre qui avait fait un trou dans son budget pour rentrer chez lui et qui ne faisait que tarder pour rentrer voir sa famille crainte d’affronter son vrai milieu et de peur que sa mère comprenne son petit jeu. Il risquait sévère si mère et père Kingsley comprenaient quelle vermine ils avaient mis au monde et oui, il avait plus peur de sa mère que de son père. Mais il n’était pas l’heure de repenser à la face tchèque et à la bourrue. Nolan avait plus important à faire : retrouver une copine, une belle riche qui aimait croire qu’elle avait emprise sur son copain et prenait plaisir à l’habiller et à le promener partout, avec un compte suffisamment fourni pour qu’elle s’en fiche des billets qu’elle étalerait pour tout payer. En bref, une fille dorée, généreuse, amoureuse et naïve, peut-être un peu dominatrice et très féministe. Le Kingsley étouffa un soupir, déjà fatigué d’être célibataire et condamné à être responsable de lui-même, exilé du monde brillant auquel il appartenait définitivement de toute son âme. Et non, il n’était pas décidé à se remettre en question et apprendre à arrêter de loucher sur l’herbe plus verte du voisin. Plutôt crever que de se satisfaire de peu quand on peut avoir plus ou de se montrer patient quand on peut avoir tout, tout de suite.

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bienvenue sur ILH hanwii
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Welcome heeere ! hanwii
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Ben  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 2511619667

Bienvenuuuuuuueeeeeeee !
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Bienvenue parmi nous  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 3400909363
Ben  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 3850463188
Bonne chance pour ta fiche and have fun  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 185272391
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TOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !!!! hanwii :loukas:  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 1001568715
Bref t'as compris c'moi quoi  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 1881463262 Non mais bienvenue et attention j'espère que ma demande sera accepter car toi et moi ça va être l'enfeeeeeer :chainsaw:  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 1881463262 Brefouille couraaage pour ta fiche ♥️
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche ! :D
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bienvenue :excited:
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    bienvenuee ; bonne continuation pour ta fiche.  NOLAN JIMINY KINGSLEY ► ben barnes 3850463188
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