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An unforeseen coffee. - Aurora

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An unforeseen coffee. // @AURORA A. FERRERO-M. ※※※ Posant mon téléphone, je souris légèrement alors que ma fille tente d’enfiler ses chaussettes. Levant les yeux au ciel, j’approche d’Anthéa et choppe les bouts de tissus conçus pour protéger ses pieds. « Chérie, tu vas être en retard et papa aussi, alors grouille avant qu’on m’engueule pour ne pas t’envoyer à l’école et te faire rater ton car. » Elle me jette un petit sourire espiègle et je ne peux pas m’empêcher de craquer devant cette bouille. Bordel, que je l’aime cette gamine, c’est mon rayon de soleil, ma vie. Une fois ses chaussures enfilées et sa mallette sur le dos, je prépare mes propres affaires et file vers le car qui klaxonne après ma fille. Je l’embrasse rapidement et lui dit que je l’aime, comme tout les matins…Je ne sais jamais de quoi sera fait la journée, je ne veux pas regretter de ne pas le lui avoir dit. Une fois ma fille disparue, je pousse un soupire et prend mes clefs de voitures pour démarrer et me diriger vers le Starbucks. Aujourd’hui, je dois retrouver une fille avec qui j’ai brièvement parler sur Tinder. Bon, il n’empêche que le feeling était bien passé et, qu’en plus, elle semblait plutôt sympathique. Au volant de mon 4x4 noire, je finis parme garer dans le parking de l’université. Néanmoins, ce n’est pas vers mon aile que je me dirige, non, mais vers le Starbucks, ayant décidé de sécher la première heure…Comme quoi, l’année commence mal pour moi, mais qu’importe, ce n’est pas une heure qui va me tuer et j’ai clairement envie d’un bon café. Passant les portes vitrées, je peux voire quelques étudiants qui n’ont pas encore cours ou encore, qui justement, font comme moi et ont décidés de sécher. Ah la jeunesse…Mais qu’importe. Prenant rapidement un Cappucino, je vais m’asseoir près d’une grande fenêtre vitrée donnant à l’extérieur, attendant sagement la jeune femme qui doit venir me rejoindre.

HJ : c'est court pour un début,mais je me rattrape après ♥️
(a) blue moon
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Tu n’avais pas encore sortie la tête de sous ta couette, que déjà la journée semblait fatigante. Tu t’étire, baille et fini par sortir de ton lit, dans la chambre à la Eliot House tu à tout le confort d’une reine, c’est l’avantage de la Eliot, même si en réalité toi, tu t’en fiche royalement de tout ça. Après quelque regard par la fenêtre de ta chambre tu t’aperçois que le temps pour aujourd’hui semble couvert, un rapide coup d’œil sur ton application météo, et voilà qu’il annonce des averses et des éclaircies, pas simple pour choisir une tenue. Jean claire, pull blanc relativement fin, et quelque petite touche ici et là. Te voilà enfin prête. Tu attrape ton portable et tu vois une notification Tinder, après une brève conversation avec un jeune homme, tu avais rendez-vous avec lui. Tu lui avais proposé de sécher la première heure de cours, chose que tu ne fais jamais, mais il faut bien une première fois à toutes choses. Tu sors de ton dortoir et file vers l’entrée de la Eliot House. Personne, ouf, au moins tu n’allais pas avoir de sermon sur ton retard ou autre. Tu fil vers le Starbucks. Tu te demande comment va être ce rendez-vous, si tu lui dis que tu es une Eliot au court de votre conversation va-t-il te catégoriser comme tous les autres ? Oui tu te démarque beaucoup des Eliot en générale, et ça par ta gentillesse et ta bonté d’âme, tu es loin de la petite fille pourrie gâtée qui en veux toujours plus. Tu entre dans le café et te dirige vers le serveur. Tu choisi un macchiato latte. Tu avais choisi la table 19 pour votre rendez-vous car au petit matin c’était celle qui était baigner par les quelques rayons de soleil qui parvenaient à traverser les nuages et c’était agréable de sentir cette douce chaleur à travers les vitres. Tu remarque qu’un jeune homme est déjà installé à la table en question. Tu souris et part le rejoindre. Tout ce que tu savais sur lui, c’était son prénom Honoré, son âge 25 ans et les deux ou trois infos dans sa description, il aime les voyages et à une petite fille. Tu voulais en savoir plus, et ce qu’il y à de bien avec Tinder c’est que vos noms sont un mystère, seul le prénom est dévoilé. En Italie tu es très médiatisé, mais ici beaucoup moins, donc aucune chance qu’il sache que tu es la fille de Mr Ferrero, et ça te soulage, car tu n’aimes pas être reconnus, tu es une fille simple après tout. Tu t’approches et souris « Bonjour Honoré. » ta voix est douce et chaleureuse comme toujours. Tu l’avais salué comme si tu le connaissais, bien que cela ne soit pas le cas. Tu pose ton gobelet sur la table et pose ensuite ton regard dans le sien. Tu es une personne très franche, et donc regarder les gens droits dans les yeux est aussi quelque chose qui te caractérise, tu n’as rien à cacher, donc tu n’as aucune raison de détourner ton regard, c’est comme ça que tu vois les choses.

@J. Honoré Belleneuve
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An unforeseen coffee. // @AURORA A. FERRERO-M. ※※※ Mon regard vague sur l’écran de mon téléphone alors que je joue simplement avec mon gobelet, le menant quelques fois à mes lèvres et profitant de cette saveur légèrement sucrée à la cannelle. Bref, un vrai régal et je ne pense pas un jour pouvoir m’en passer. Consultant me mails je remarque que mes parents m’ont envoyé quelques photos. Ma mère sur son plateau de tournage face à son dernier film, mon père de son nouveau bureau et de la nouvelle Villa qu’ils ont achetés à Paris, non loin de la mienne que j’utilise durant les vacances. Je ne peux pas m’empêcher de sourire alors que j’envoie les dernières photos d’Anthea, ce qui en soit est inutile, ils la verront bientôt mais qu’importe. Mes parents me manquent cruellement. J’ai toujours été très proches d’eux, et ce, même si ils étaient souvent absents. Ma mère actrice connue et reconnue sur ses plateaux, et mon père en train de diriger d’une main de fer ses entreprises d’énergie mondialement implantées. Mais ils sont heureux ainsi, ils s’aiment et sont heureux, je n’ai jamais pu leur en vouloir d’être heureux. Puis, ce n’est pas comme si je n’avais pas été aimé, bien au contraire. Souriant légèrement, je repose mon téléphone et lève les yeux juste à temps pour voir approcher une demoiselle. Sa photo de profil ne ment pas, c’est clair, elle est aussi belle en réalité, mais les apparences sont trompeuses et ça je le sais que trop bien… « Salut Aurora » Dis-je d’un ton tout aussi familier, ne baissant en aucun cas les yeux lorsqu’elle les plongea dans les miens. Les contacts visuels sont importants, marque la force de l’esprit et les lâches ont souvent tendance à détourner les yeux ou les timides. Je ne suis ni l’un ni l’autre, je fais partie de cette élie de millionnaire, non, de Milliardaire qui ont appris à marcher sur les autres si c’est nécessaire. Néanmoins, je me démarque légèrement, n’étant pas méchant de nature, juste légèrement arrogant et n’ayant plus confiance aux femmes. Elles sont pires que les hommes, c’est bien connu. « Alors, ce café te plait bien dit moi ? Parce que, bordel, j’en avais vraiment besoin, ça vaut bien de rater une heure de cours. » Dis-je d’un ton très naturel, comme si je connaissais la jeune femme depuis quelques temps déjà. Il faut dire que je suis d’une naturel sociale et, en réalité, j’ai beau apparaître dans des magazines ou dans les journaux de Grèce, je ne suis absolument pas la presse people…c’est à peine si je regarde le journal parlé, étant plus apte à foutre ses dessins animés à ma fille. Ben oui, moi je suis un fan de la princesse Sofia, de la maison de mickey, de pat patrouille aussi et même des ninja go. Ma fille ne me laisse malheureusement que peux de temps pour regarder mes séries, ou encore un film. Heureusement, quand elle va dormir, je me permets une ou deux infractions en mettant un film d’horreur. « Sinon, enchanté de te connaître. » Parce que des connaissances ou des amis, on en a jamais assez et qu’il faut toujours être entouré. Qui sait, peut-être qu’elle deviendra plus qu’une simple connaissance.
(a) blue moon
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