can't adult today (yura)

ça faisait plus de trois semaines qu’il avait pas parler à Yura. et en trois semaines il se passe une tonne de chose. comme le fait qu’il se tape sa cousine Lara-Jean, ou plutôt qu’il va se marier avec elle et que c’est annoncé au parent chamberlain. comment dire a votre meilleure amie que vous allez vous tapez sa cousine ? vous ne le dite pas. c’était la bonne solution. et si ça se passe ma ace sera comme dans ls films hollywoodien ou tout ce retourne contre vous et que soudain : un miracle. Romeo est impatient d’avoir son miracle, en attendant il continue a mentir et rouler tout les gens qui l’entour dans son propre intérêt. c’est pour ton bien Romeo, sinon ta mère va te couper les vivres.
quoi qu’il en soit, il obéis sagement à sa Yura et se rend chez elle, une bouteille de champagne à la main et des capotes dans la poche de sa veste. il connais le code de l’appart, le numéro et se glisse jusqu’à chez elle. quand il toc, il fait exprès de marquer un temps avant d’entrée, sachant très bien que la demoiselle ne ferme jamais la porte de chez elle. « je t’ai manquer ? ou alors c’est ça qui t’as manquer? » il montre l’intégralité de son corps en tournant sur lui même, c’est le produit dans les télé-achats, acheter votre Romeo, satisfait et pas rembourser ! « pour de vrai, tu m’as manquer. je t’ai ramener des biscuits sec d’Italie et ce jambon crus sous films, ça fait une semaine que c’est dans ma voiture, j’te conseille pas de le manger, mais les biscuits sont moins sec avec du café. » c’est l’intention qui compte non ?

Je tourne dans mon lit, je ne sais pas pourquoi le sommeil ne vient pas. J’attend un moment avant de quitter celui-ci pour aller dans le salon me prendre une tasse de thé et me mettre une série sur Netflix que je ne regarde pas tellement étant passionné par les photos de mes amis sur instagram. En voulant ajouter une photo sur le mien, je tombe sur une photo de moi et Roméo. Ça faisait bien plus de trois semaines que nous n’avions pas donné de nouvelles l’un à l’autre. Est-ce que je pouvais le déranger à l’heure qu’il était ? Bien sur que oui, c’était Roméo même s’il ne pouvait pas il répondait toujours. Après un échange d’sms, je sais qu’il va débarquer. Je regarde vite fait mon reflet dans le miroir de la salle de bain avant de refaire mon chignon d’une façon un peu plus présentable. Je reste dans la même tenu, un simple débardeur et mon short avant de venir me reposer dans le canapé devant ma série avant qu’il ne débarque. Il n’a même plus besoin de sonner, il connait le code le l’immeuble et de la porte d’entrée.
Je le vois qui débarque dans le salon, fidèle à son humour, il se présente telle un modèle de présentation. Je lui lance rapidement un coussin pour le faire taire en riant à sa façon de faire son entrée. Je me lève de mon refuge pour venir m’approcher de lui glisser les bras autour de sa taille. « C’est toi tout entier qui m’a manqué espèce d’imbécile. » Je regarde ses victuailles d’un air amusé «  La bouteille de champagne et les biscuits feront l’affaire ! Pour le reste la poubelle est dans la cuisine. » Je m’éloigne du corps de mon cher invité pour me rendre dans la cuisine. « On va avoir besoin de coupe pour boire ça ! » J’ouvre un des placards pour en sortir deux verres à pieds. « Alors ton été mon chat ? »

c’était l’alchimie parfait entre ces deux tarés. elle est le gaz et il est l’allumette. ça a toujours été simple de se retrouver. ils pourraient ne pas se voir pendant six ans, la réaction a l’arrivée serai toujours la même. un sourire, des rires, des blagues, une nuit, des trucs gras et bien dégueux à manger. un matcher parfait, aucun nuage dans le paradis. Mais l’équation Lara-Jean pouvait dérégler tout ça, Romeo pouvait se taper tout le monde mais il s’était jamais imaginer se taper la cousine de sa meilleure amie. encore moins promettre de l’épouser. ce serai plus simple de lui dire que tout est faux, que rien n’est réel, mais ce serai lui mentir et la règle d’or c’est : ne jamais se mentir. Il lache un rire quand il entend sa réponse, et n’attend pas une minute de plus avant d’aller ouvrir la bouteille. « alcoolique life, on connais. » il s’est étaler a coter d’elle, les deux verres à la main, faisant bien attention de ne rien renverser. il lui tend le sien et lève son verre. « à nous deux, et a tout les WC dans lequel je vais vomir dans l’année qui suit. à notre amour, aussi, qu’il soit à jamais éternel. » ça sonne un peu comme un pactes de secte, il aurait pu se coupe un bout de doigt et éparpiller du sang un peu partout ça aurait été pareille. « Super. L’Italie, la même merde que tout les ans avec mes parents, ma mère cingler et plus personne pour boire et faire la fête avec moi. et toi ? le summer camp? des nouveaux amis ? une nouvelle victime? »

Sur la pointe des pieds, j’arrive enfin à attraper deux coupes que je dispose sur la table du salon, la bouteille étant ouverte il n’y a plus cas. Roméo se charge de verser le liquide dans les verres transparents, les bulles remontant vers la surface pour s’échapper. Je prends dans ma main le verre qu’il me tend, pour le lever face à moi écoutant les mots de Roméo qui franchement me touche. « Je n’aurais pas dit mieux, à nous chat ! » venant trinquer doucement contre le sien. Aussi bien que je me souvienne je n’avais jamais eu de prises de tête avec lui, c’était une histoire qui roulait parfaitement, chacun sachant très bien ce que chacun ressentait pour l’autre. Je pris une gorgé du breuvage, j’aimais vraiment beaucoup le champagne mais les bulles avaient toujours tendance à me faire tourner la tête plus rapidement que l’alcool fort. Je me laissait tomber dans le canapé du salon venant poser mes jambes sur la table basse devant moi appuyant ma tête sur le dossier. Je l’écoutais me raconter son été, qui de toute évidence n’avait pas était des plus intéressant au vu de ses dires. « Oh arrête, je suis sûre que ce n’était pas si terrible que ça, l’Italie sa doit bien être sympa quand même ! » J’avais pas mal voyagé avec mes parents mais je n’avais jamais posé mes valises dans ce pays. « Moi ? Et bien ce n’était pas non plus l’été de ma vie. J’ai dû faire un aller-retour en Corée pour des papiers pour mon visa étudiant, donc me retrouver avec mon père ce n’est pas forcément le plus agréable. » Mon père et moi, nous nous étions toujours bien entendu étant presque fusionnel mais depuis que j’avais fuis le pays pour un rêve qui c’était révélé un cauchemar, nous n’avions que des échanges tendus, du moins le peu que l’on avait. « J’ai voyagé un peu au Canada de mon côté. Sinon rien de bien intéressant. » Une nouvelle victime, j’aimais bien ce genre de conversation avec lui, on avait toujours des choses sympas à se raconter. « Je me suis inscrite sur Tinder au début de l’été, j’ai fait quelques petites rencontres, c’est plutôt sympa comme application. » Dis-je en lui faisant un clin d’œil. Je sais c’était un peu tard après les autres qui devait être sur cette application depuis un moment mais j’essayais de reprendre ma vie en main en reprenant contact avec les gens extérieur à mon cercle amical, je ne pouvais pas rester dans mon coin éternellement. « Sinon je crois que le meilleur ami de mon ancien coloc craque sur moi ! » Dis-je laissant entendre un petit rire. « Et toi une nouvelle victime, tu t’es tapé combien de meuf pendant l’été ? Je prends large, enfin je ne sais pas une dizaine ? »

un verre de champagne en bonne compagnie est toujours une bonne idée, du moins c’est que Chamberlain se pousse à croire. toute sa relation avec Yura n’avait rien de sain, bon dieu, on ne couche pas avec des amis, on fait pas jouir ses amis et on leur fait pas des trucs cardes en espérons que ça reste entre vous. Romeo le savait, mais Romeo ne peux pas s’empêcher, il apprécier Yura, beaucoup même et elle était la seule épaule sur lequel il pouvait se reposer. c’était atroce de devoir lui mentir, mais la règle dit : ne rien dire veux dire : ne pas dire de mensonge. pas sure que ça marche vraiment comme ça. « Tu viendras avec moi l’été prochain alors. Mes parents seront ravis de voir une si jolie femme à mes côtés. » il ne peux s’empêcher de lui faire un clin d’oeil, Romeo avale sa coupe d’une trait, et se sert un autre verre avant de venir imité son amie. Yura est plus familière avec la Corée que Romeo, elle sait parler et connais des traditions, chose que les parents de Romeo a supprimer de son héritage. c’est un français pure souche, qui écoute Diam’s et mange des bouts de camembert au gouter avec la bonne baguette de la boulangerie d’en face. Il était donc à la fois fasciner et étonné de l’entendre parler de la Corée à chaque fois. « C’était si horrible que ça ? Il t’as obliger a mettre des uniformes scolaires et te donner la féssée? Tu devrais être contente qu’il t’es pas renier et couper les vivres après tout ça. Mes parents l’auraient fait sans hésité. » Romeo trouvait ça marrant de dire que sa mère est la copie conforme de Lilith, la femme de satan. elle est diabolique et mauvaise et le blond fait tout pour l’évité. « Canada ? Montréal ? t’aurais du me dire j’y serais aller avec toi. » il sautille presque en y pensant, Toronto était un rêve pour lui. le champagne lui monte étrangement rapidement à la tête, il se rappel ne pas avoir bu beaucoup de l’été après la grosse cuite qu’il s’est prise avec Lara-Jean (enfin, il a bu et LJ lui a dit d’arrêter). Il aurait peut être pas du prendre du champagne aussi rapidement. « ça a marcher Tinder ? moi ça marche jamais. bah écoute.. j’ai diminuer la ration, j’avais pas faim cet été. » dit-il dans un rire, hop un autre verre pour calmer toute ses penser torturer.

« Je te prend aux mots, je n’oublierai pas de te le rappeler l’été prochain ! » Visiter l’Italie c’est une idée qui me plaisait grandement surtout en compagnie de Romeo, je ne doutais pas de la tournure des vacances mais enfin bon ce n’était qu’une idée, un an devait s’écoulait et d’ici là il pouvait se passer plein de choses. Je prend une autre gorge de cette magnifique invention française qu’était le champagne. Je prenais le temps de le savourer, ne voulant pas finir la tête à l’envers trop vite. « En tout cas, je serais ravie de rencontrer tes parents, qui on du supporter un petit garçon comme toi, les pauvres. » dis-je en riant à moitié pour le taquiner. Moi mes parents, je les aimais vraiment à la folie même si pourtant j’étais loin d’eux et que nos différents nous avait éloigné. « Non loin là ! T’es fou ! Personne ne donne la fessée, enfin à quelques exceptions près ! » ne pouvant m’empêcher de lui faire un clin d’œil sous-entendu de leur petite folie nocturne. Renier et couper les vivres, il n’était pas loin de la réalité elle avait presque vécu pendant deux ans sans l’aider de ses parents apprenant à travailler pour gagner de quoi vivre dans un pays qu’elle ne connaissait pas. « On peut toujours y retourner ensemble, on s’organise une viré là-bas, on pourra faire la tournée des bars, y’a de quoi faire ! Puis on mangera de la poutine. A noël par exemple ça doit être sympa ! » J’avais vraiment eu un coup de cœur pour le Canada et aussi pour l’accueil des canadiens. Je fini mon verre avant de m’en servir un autre, je n’allais quand même pas le laisser vide. Je penche légèrement ma tête pour croiser son regard un sourire sur le visage. « Mouais une ou deux fois, on va dire que je ne m’y suis pas investi plus que ça. » J’avais trop de chose à faire et je n’étais pas plus à laisse que ça encore pour rencontrer des inconnus. J’explose de rire en entendant sa réponse. Roméo Chamberlain qui n’a pas faim, c’était difficilement imaginable. « Tu déconne là ! Comment c’est possible, tu me fais marcher. Pas faim ? Tu as toujours faim Chamberlain, la preuve tu es là se soir ! » dis-je en passant ma main dans ses cheveux pour l’ébouriffer. « D’ailleurs merci d’être passé à cette heure-là ! » Il aurait pu très clairement me dire d’aller me faire voir mais je savais que je pouvais toujours compter sur lui.

« Tu sais que je ferai le tour du monde avec toi, Yura. » le canada attiré étrangement Romeo, après tout c’est le pays de Deadpool, de Justin Bieber et de la poutine, sans oublie Céline Dion, sa déesse incarné. et il avait toujours adoré voyager avec Yura, c’est sa meilleure amie après tout, les 400 coups ils les ont fait et refait ensemble, ils ont redessiner des mondes entier rien que tout les deux. il ne serai pas contre non plus qu’elle vienne en Italie avec lui, l’été prochain, il la voit déjà copiner avec le personnelle pour avoir des clopes en douce, faire des bains de champagne et danser jusqu’à ce que ses jambes deviennent si molle qu’ils ne la porterons plus. le soleil de l’Italie éclatant contre sa peau pâle et ses yeux bridé. « j’pense que l’amour ça se trouve pas sur tinder de toute façon. » il lache un rire, les sous entendues étaient beaucoup trop présent, alors il ne pouvait s’empêcher de pouffer, surtout à cause de l’alcool qui lui monte déjà à la tête, pourtant ça ne l’empêche pas d’en reprendre une coupe. « J’suis un peu comme ça moi, en été j’ai la flemme de baiser, et en hiver j’adore faire l’amour les fenêtres ouvertes. » il ris de nouveau. il avait envie de chanter et de danser, alors il tirer sa douce Yura jusqu’au milieu du salon et il avait mis un petit piano sur son portable. « Je t’ai pas dit? je vais devenir Dunster à la rentrée. J’ai très envie de faire partir de quelques choses, quelques choses qui me dépasse. » cette idée d’être dans une confrérie lui avait soudainement ouvrir le coeur, alors il pianote sur son piano de poche, en chantant. « tout le monde voudrais être un dunsteeer, tout le monde aime sentir le munsteeeeer, tout le monde, tout le monde, tout le monde veux avoir un grand coeeeeeur et tout le monde aime le beurreeee. » Romeo se lance alors dans un pas de danse endiablé tout en continuer de pianoté sur son portable, avant de pouffer de rire. l’alcool lui monte vraiment à la tête à ce gamin. il s’effondrait sur le sol, dans un grand fracas. Il avait jouer tout le monde veux être un cats, des aristochats. « Vient on joue à : demain je serai? je comnence, demain, je serai quelqu’un de bien. à toi. »