Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityparions gros cette fois - pv jackie - Page 2
Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €


parions gros cette fois - pv jackie

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


- J'ai fait un pas vers toi. à toi de ne pas tout gâcher. t'es une sale boudeuse jackie. t'es relou à te comporter comme un bébé de cinq ans. tu te mets à bouder quand un truc ne te plais pas. tout ne peut pas être comme tu l'as décidé. je t'explique mon point de vue. au lieu d'en profiter pour faire la paix, tu enchéries une nouvelle fois. ouai c'était compliqué. tout est compliqué avec toi sans déconner. t'es fêlée comme fille. je ne réponds pas. je te laisse dans ton délire. tu te lèves de ton lit. tu pouvais pas rester assise ? t'as encore ta tenue sexy. couvre ta peau sinon il va arriver malheur. damn it. je suis devenu sourd. je suis à deux doigts de me foutre à oilp pour que tu me suces. y'a une force invisible qui me retient. saloperie de conscience. je suis à deux doigts jte dis. je vais le faire. pourquoi t'as rigolé. j'allais le faire. ou pas. tu fermes la porte. tu comptes me violer ? je te préviens ça sera un viol consentant. j'ai le droit de rester ? la gaule je l'ai déjà, je peux en prendre plein la vue ? je tente quand même. ça peut marcher sur un mal entendu. t'es la première fille que je vois aussi peu vêtue depuis trois ans. dieu que ça fait du bien. ma frustration m'a brouillé le cerveau. j'ai presque envie d'en perdre la tête. ton accord j'en ai pas besoin. je vais m'asseoir sur ton lit. allez ma poule. en piste. - (@Jackie-Elie Stevenson)

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

≈ ≈ ≈
{ PARIONS GROS }
crédit/ tumblr ✰ w/theo hennebert.

Porte close, nos regards s’entremêlaient. S'était différent, des autres soirs, notre complicité n'était pas la seule chose qui nous reliait. Theo n'était pas le seul d'entre nous à avoir appris quelques choses. Il m'intéressait, m'intriguait. Rare était les hommes qui demandaient autant d'attention. Pourtant je la lui donnais sans broncher. " j'ai le droit de rester ? la gaule je l'ai déjà, je peux en prendre plein la vue ? " surprise par sa demande, je me mis à sourire. Etait-il vraiment capable de tenir plus longtemps ? j'en savais rien mais ce qui était sûr c'est que théo était maso. Comment arrivait-il à s'affliger sa ? j'en savais rien. Je me pinçais délicatement les lèvres. Le jeu ne cessait de continuer. J'avais gagner... alors pourquoi cette tension ne s'arrêtait elle pas. Nos curiosités étaient animés par le mystère. Étions nous capable de tenir sur une relation aussi bancale. J'en savais rien. " je ne te comprendrai jamais hennebert. " dis-je en le contournant pour me retrouver derrière lui. Mes mains se posèrent sur ces épaules. L'obligeant à avancer vers mon lit. Tu veux voir ? t'allait être servis mais ne perd pas tes plumes ! Une fois prêt du lit, theo se retourna pour être face à moi. " t'a des tendances masochisme ? " dis-je en rigolant légèrement. " assis toi. " dis-je faiblement entre mes lèvres. Il ne broncha pas au contraire, il semblait suivre la moindre de mes instruction. Il semblait tellement à l'étroit dans son pantalon. Je me retournai pour finalement lui montrer mes fesses. Il voulait rester ? il allait être servis. S'était devenue un plaisir et une envie. Si j'étais contre une partie de baise sauvage avec théo ? je ne pense pas. Je me surprenais à en avoir terriblement envie. Une fois mes portes jarretelle décrocher de mon corset. Je me mis de nouveau face à Theo. Mon regard croisa le sien. Difficile pour lui de savoir ou mettre les yeux. Il semblait pour une fois en profiter. J'approchais pour pouvoir lever ma jambe et y déposer mon pied entre son entrejambe. Je ne le touchais pas, ma jambe était suspendu devant son nez n'attendant qu'une chose qu'il retire de lui même mes portes jarretelles. Tu voulais voir ? tu vas pouvoir profiter ! " j'ai du mal à enlever mes portes jaretelles, tu m'aides ? " simple excuse, en vrai, je voulais sentir la sensation que pouvais procurer ces mains sur mon corps. Allez touche moi hennerbert !    

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


- Mes tendances ne sont pas masochistes. elles sont suicidaires. je souffre de la tension. j'en redemande. j'en veux plus. ma frustration n'a plus aucune limite. t'as l'occasion de graver ton corps dans mon esprit jackie. fais le. ne te retiens pas. ai confiance en toi. t'es bonne. tu ne me laisse pas de marbre. je suis de feu. ne cherches pas à me déchiffrer. il n'y a rien à comprendre. je suis une énigme à part entière. t'es une bombe. tu pourrais faire du mannequinat. je ne trouve ce genre de fille que dans les magazines. dans les défilés. et dans mes rêves. tu ressembles à une actrice porno de luxe. j'ai jamais vu ça. si je ne peux pas te toucher, je peux toujours te mater. t'as mis la tenue sexy pour moi. pour me faire craquer. le boulard est déjà pété dans mon esprit. tu m'as détraqué. je l'étais déjà avant. je pose mon cul sur le lit. mes appuis je les prends sur mes mains que je pose décalés derrière moi. j'attends que tu me fasses rêver. je suis prêt moi. tu es prête aussi ? ton corps se retourne. je vois ton dos. je ne m'y attarde pas. je bloque sur tes fesses. je salive. c'est pas toi la fêlée. c'est moi. je cherche d'où me vient la force de ne pas t'arracher ta tenue et de te violer. j'en rate pas une miette. je vais exploser. je dois être rouge pivoine. j'ai chaud sa mère. ça bouillonne dans mon caleçon. touche pas tu vas te cramer. Grr tu poses ton petit pied devant moi. tu me présentes ta jambe. ta jarretelle. tu veux de l'aide. tu veux que je te touche en plus de ça. tu l'as mérité ? non. tant pis. je me redresse. je ne te regarde pas, t'as une sale gueule de suceuse. je ne vais pas y arriver si mes yeux croisent les tiens. elle est pourri ton idée. c'est pas bien ce que tu me demandes stevenson. je reste là. j'ai pas envie de partir bizarrement. mes mains glissent sur le haut de ta cuisse. ta peau est nue. douce. satinée. je t'effleure avec lenteur. moi j'ai l'habitude de la frustration. ça ne va rien changer au calvaire que je vis jour après jour. mes doigts heurtent ta jarretelle. ils la soulèvent. s'invitent entre ta peau et la finesse de la soie. elle glisse sur ta jambe et dénude ta peau. mon contrôle a ses limites. mes lèvres se rapprochent et embrassent ta cuisse. c'est pas tes lèvres mais c'est mieux que rien. c'est pas juste que je sois le seul à morfler. ma bouche charnelle sur ta cuisse lascive. je t'enlève complètement ta jarretelle. je caresse ta jambe. ma main tout autour de toi. j'embrasse ta cuisse. can't stop the feeling. la nuit s'offre à nous. j'ai pas envie de craquer mais c'est bien parti pour. dieu que ça m'a manqué. et après ça, une petite play. - (@Jackie-Elie Stevenson)

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

≈ ≈ ≈
{ PARIONS GROS }
crédit/ tumblr ✰ w/theo hennebert.

 c'est pas bien ce que tu me demandes stevenson. j'en avais conscience. Pitoyable, nous étions. Il n'y en avait pas un pour relever l'autre. On s'embarquait tout les deux dans quelques choses que nous ne contrôlions pas. Cette tension était palpable, attendant le simple effleurement de ces doigts sur ma peau. Son regard était concentrée sur ma jambe, il ne reculait pas cette fois. Bien au contraire, il semblait enfin vouloir écouter ces envies. Sa main s'approcha délicatement, effleurant au passage ma peau. Un frisson parcourus mon corps tout entier. J'étais supposer resté de marbre. Ne pas flancher. Je devais être la plus stable. Je le devais. S'attelant au simple travail, ses doigts s'entrelaçaient sur ma jarretelle. Il était doux, loin de tout ce que j'avais pu goûter. Rien ne pressait non, le temps on l'avait et on en profitait. Mes yeux se fermaient machinalement puis ma tête se renversa en arrière lorsque ses lèvres se posèrent. Le rouge me montait aux joues. J'avais chaud, les rôles s'inversaient. Devenant l'esclave d'une tension que j'avais créer. " pas bien du tout " absolument pas. Tes doigts retrouvent le chemin du plaisir, les questions ne se posent plus. Ma tête se redresse, nos regards se survolent. Je te présente mon autre jambe. Elle est jalouse. Le silence règne dans la pièce, que c'est agréable putain. Ma respiration se coupe dès que tu poses tes mains trop prêt de moi. Heureusement que le pari ne me concernait pas. J'aurai perdu comme une merde. Tu te vengeais ? tu voulais me voir ramper ? j'en savais rien mais putain que s'était bon ! J'ai envie de te bouffer... sais-tu seulement à qui tu as affaire théo ? tu devrais continuer à résister. Tes lèvres continuent leur chemin. Mon souffle lui disjoncte complètement. Légèrement, mon corps se penche en avant repliant ma jambe et t'obligeant à t'allonger. Mon corps s'empresse de te rejoindre. Mes jambes se replient le long de tes hanches. Mon visage au dessus du tient. Je décide d'enlever ton tee shirt. J'ai envie de sentir ta peau sur la mienne. Je n'avais jamais fait attention à ton corps. Ma main se faufile le long de ton bas ventre. Je peux sentir le v qui dessine ton anatomie. Bordel Jackiiiiiiiiiiiiie.... qu'est-ce que tu es en train de faire. " t'aurait jamais du y déposer tes lèvres hennebert. " dis-je en le regardant dans les yeux. Non, il avait signé son arrêt de mort. Mes lèvres se pinçaient. Retient toi Jackie, putain de merde ! retient toi, on joue plus là ! Mon visage était figé mais mes mains elle continuait leur périple à la frontière de sa ceinture. Arrêté de justesse par la sonnette de la porte. Ma tête se releva légèrement et je lui fis : " T'attends quelqu'un ? " dis-je en le questionnant du regard. Bordeeeeeel, je pouvais moi aussi respirer. " Je crois que c'est le gong qui nous rappelle à la réalité hennebert, tu ne penses pas ? " dis-je en restant encore sur lui.    

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


- Comment t'as fait pour m'attirer jusqu'à ta chambre ? sans déconner. je suis réfractaire à un rapprochement avec une fille. c'est ce que je croyais. j'oubli le temps pour vivre le présent. j'embrasse ta jambe. la deuxième. j'ai déjà marqué la première. je te déshabille de tes bas avec lenteur. je ne suis plus en mesure de luter. j'en ai envie. une furieuse envie de goûter à ton corps. le silence autour de nous en dit long. je continue. j'embrasse chaque centimètre de ta cuisse. ta seconde jarretelle est enlevée. je ne sers plus à rien. j'ai le malheur de relever la tête. je te regarde. c'est le signal que tu attends pour te jeter sur moi. sans résistance je bascule le haut de mon corps sur le lit. tu me chevauches. t'es une lionne assoiffée de sexe. tu peux dominer tant que tu le voudras. mes mains ne lachent plus tes cuisses. elles sont collées. je les serre même. je ne pince pas trop ta cellulite ça va ? t'empoigne mon t-shirt et l'enlève. tu ne fais face à aucune résistance de ma part. voltige des sens. tout est en train de changer. la réalité. tu me caresses le ventre. ma bouche est encore tiède de ta peau. je sais. je n'aurais pas du mais je l'ai fait. j'emporte mon asociabilité. je ne connais plus ce mot. mes mains continuent de se frayer un chemin sur tes délicates jambes. sa mère c'est chaud. c'est space comme ambiance. j'ai envie de te violer mais personne ne bouge. si j'attends quelqu'un ? j'ai meme pas entendu la sonnette. bah nan. on a sonné ? tu restes là. on en a pas terminé. trois ans de frustration et une sonnette vient tout gâcher. fais chier. j'étais prêt à craquer. à bousiller le pari. j'avale ma salive. t'as raison putin. dès demain j'enlève la sonnette de l'appartement. j'ai pas envie que ça se termine. je sais qu'une occasion comme celle là ne se représentera pas avant longtemps. j'arrive pas à me résonner. ma bite. mon corps. mes pensées. c'est le feu partout. on a encore dix secondes pour en profiter. je me redresse. je suis collé à toi. neuf secondes. de force tu t'assoies. on se regarde. y'a quoi qui passe te passe présentement dans la tête stevenson ? je me le demande. sept secondes. c'est le vide. six. j'ai envie de t'embrasser. cinq. je peux ? quatre. j'attrape ta nuque. trois. je me rapproche. deux. un ... la sonnette retentit encore. game over. je me lève et te fais descendre. je ferme bien ma gueule et je récupère mon t-shirt. je l'enfile vite. je me barre de ta chambre. je n'ai pas envie de te regarder. je fuis. lâchement. j'ouvre la porte de l'appartement. c'est une pote à toi je crois. je ne lui parle pas. elle a tout gâché cette conne. je me casse, j'ai besoin de prendre l'air. à la revoyure. - (@Jackie-Elie Stevenson)

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

≈ ≈ ≈
{ PARIONS GROS }
crédit/ tumblr ✰ w/theo hennebert.

 suspendu dans le temps, mes pensées s’entremêlaient. je sais. continue theo. t'arrête pas. ses mains prenaient le dessus. elles étaient douce et habile. Rien à voir avec le colocataire maladroit qu'il avait pu me peindre depuis le début. Non, il n'avait rien oublier de ces sensations. Difficile de contrôler ma respiration qui ne demandait qu'à se stopper. J'avais envie de lui bordel de merde. Il m’emmenait là ou je n'avais jamais voulu être. Je ne dictais plus mes mouvements, non, je me laissais aller dans ce flot d'émotion. je n'avais pas connu sa depuis Aidan. Putain Aidan... n'y pense pas. Cela risquerait de tout garder. Je n'avais pas envie d'arrêter, non, je voulais le sentir au plus profond de moi. Je le voulais maintenant tout de suite. Ma raison réapparu au son de cette sonnette. Il fallait arrêter, tant qu'il en était encore temps. C'était maintenant ! Jackie sort d'ici. barre toi avant de faire l'erreur de ta vie. Theo s'est un gentil, il ne m'hérite pas les saloperie que tu t'apprêteras à lui faire. Lui tu l'apprécies et il est important. Partager entre cette indomptable envie et la peur. Je me laissais bercer par ces paroles. on a encore dix secondes pour en profiter. un sourire s'afficha sur mes lèvres. Il n'avait pas envie de partir et dans le fond moi non plus. Putain j'étais perdue... Il se redresse m'obligeant à faire de même. Assis, nos corps se touchaient encore plus. Il était bouillant. Je pouvais sentir son érection. j'avais le sentiment que je devais en profiter. Savoure. Sa main délicate se glissa dans ma nuque, ma respiration s'était ralenti et mon regard lui se perdait dans le siens. Son visage se rapproche du mien, nos lèvres sont à quelques centimètres. La seconde vient d'être écouler. Il se lève m'obligeant à redescendre. bordel. Mes lèvres étaient engourdi, frustré de ne pas avoir eu ce que je voulais. Putain ! Cette sensation, je la détestais. Tu finis par partir laissant derrière toi une frustration identique à la tienne. Ok... j'ai perdu moi aussi ! mais tu ne le sauras pas hennebert.


FIN RP

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)