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Dark soul + Aprion

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Tes cheveux oppressés sur ton visage, collés par la chaleur de l’endroit et par le fait que tu extériorises ta colère par la danse. Cette fête de début d’trimestre tombait à point, t’avais besoin d’évacuer les derniers jours de ton interminable double vie. Double vie parce que le jour tu étais bien mise, ongle parfait, cheveux impeccable et maquillage soigné et le soir, une dépravation totale. Aguichante et sexy, tu donnais l’image d’une femme fatale dont rien n’arrivait à la cheville. Ton verre entre les doigts avec au fond de celui-ci, les restants de son liquide alcoolisé que tu termines d’un trait pour te diriger vers la sortie, prenant soin de te servir un nouveau cocktail d’abord. L’air frais de cette soirée d’fin août caresse ta peau de porcelaine et vient rafraîchir ton corps chauffé à bloc par la danse. Étonnement, les gens sont plus nombreux à l’intérieur, ce qui te convient parfaitement bien. Que quelques personnes de part et d’autre du terrain, riant et fumant, s’racontant leur été de dépravés. Une silhouette seule dans le coin de la galerie attire ton attention. Pas par sa stature, ni même pour son imposante carrure, puisqu’il n’était pas tellement costaud. Plutôt parce qu’il semblait s’être tapis dans l’ombre pour griller un cylindre cancéreux. Tu t’approches sans la moindre subtilité, ce n’est pas dans ta nature et surtout, le bruit de tes talons résonnait sur le parquet. Pendant quelques secondes tu le fixe, battant des cils pour t’acclimater à la noirceur paisible puis, le reconnaît. C’est le vendeur chez le disquaire où tu vas souvent. Son nom t’échappe, Orn…ori…Orion? C’est ça, tu l’as vue quelques fois dans le cadre de son boulot et parce que tu adores carrément les vieux disques vinyles. « Alors, tu restes dans le noir au cas où les gens verrait qu’t’es un vampire c’ça? » que tu demandes dans le plus grand sarcasme, riant doucement. Tu poses tes fesses sur la chaise non loin de lui, respirant la brise qui passe en même temps. Ce mec est étrange, depuis que tu l’as vue la première fois il te semble…très mystérieux. Vous savez les petits sacs à surprises bon marché? Et bien, parfois tu es très déçu de son contenu, mais c’est toujours très tentant de vérifier ce qu’il contient. Orion c’est le même principe. Il dégage quelque chose que tu n’es pas certain de vouloir voir, mais la curiosité est très forte. Tu pivotes le menton en sa direction pour le regarder, buvant une gorgé de cet alcool apaisant.
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drapé sous la fresque nuageuse de cette nuitée chiatique, tu te claustres dans un anonymat ébène, loin des œillades inquisitrices et des interrogatoires barbants.
clope au bec.
amertume shooté dans les veines.
sang corrompu.
écho désagréable qui t’arrache un grognement, iris qui s’perdent contre une silhouette intrépide – ou carrément suicidaire.
celle qui s’affale non loin de toi.
celle qui tombe dans ton piège adroitement esquissé.
alors, tu restes dans le noir au cas où les gens verrait qu’t’es un vampire c’ça ?
rire doux.
rire niais.
celui qui t’oblige à laisser tomber ton masque d’neutralité contre une énième bouffée empoisonnée.
a p r i l .
comment oublier une telle phonation ?
mélopée aussi fascinante qu’insignifiante.
tu t’égares le temps d’un coup d’vent, médusé par tes propres songes, ceux où tu t’élucubres déjà t’mouver jusqu’à son parfum ensorcelant.
non. c’est pour attirer les biches trop curieuses dans ton genre…
pulpe rosée qui s’étire en un sourire destructeur, creusant deux fossettes aux commissures d’tes lèvres qui s’imbibent d’malice.
défroque qui s’extirpe de l’ombre, qu’abandonne l’obscurité pour y dévoiler sa nature sauvage.
en perpétuel chasse, t’exhibes fièrement tes crocs lacérés à ta victime sous l’regard espiègle d’la lune et d’ses sempiternelles flirts incandescents.
les foutre à l’écart, loin des potentiels témoins…
démarche provocatrice.
lorgnade dominatrice.
distance salvatrice.
tu fasèyes jusqu’à la blonde pour lester l’oppression d’par ta simple existence, effleurant discourtoisement son aura sibylline.
celle qui t’enivre autant qu’une fiole d’ghb.
carcasse qui s’courbe au-dessus de sa proie, la paume d’tes mains supporte désormais ton poids à l’aide des accoudoirs d’chaque côté d’son maigre squelette.
menton qui s’redresse.
prunelles qui s’délectent.
corps en détresse.
pour, ensuite, les étriper comme des truies.
venin qu’tu craches sans la moindre scrupule, serpent venimeux qui maintient son festin en otage, captif sous ta morsure mortelle.
bâton assassin qui s’consume entre tes doigts, émanation toxique et pestilentielle qui s’immisce entre vos deux faciès alors qu’la proximité qui sépare vos lippes n’est plus que poussière.
l’insolence à son apogée.
l’paroxysme de l’indécence.
tu veux percevoir la peur dans ses opales, toucher les frissons qui parcourent son épiderme d’la pulpe d’tes doigts, goûter les affres contre sa langue ardente.
tu veux.
tu exiges.
et tu auras.

@april cavanaugh Dark soul + Aprion  1946740601
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Sa voix s’élève dans la nuit mouvementée, bruit aussi mystérieux que l’être qui le fait « non. c’est pour attirer les biches trop curieuses dans ton genre…» Ton rire s’entend, il ne te connais pas. Tu n’es pas ce que l’on peut qualifier de ‘’biche’’, mais tu le laisse parler, t’abreuvant de ses paroles « les foutre à l’écart, loin des potentiels témoins… » Il s’assied à tes côtés, tu le regardes avec insistance, ce mystère ténébreux qui l’entoure. Il tente de te provoquer? Il ne réalise pas que la peur ne fait pas partie de ton vocabulaire. « pour, ensuite, les étriper comme des truies. » Tes iris plongé dans les siens, alors que la distance entre vos charnus n’existe presque plus, son haleine chaude qui frappe ta peau en instance. T’arques un sourcil, voulant jouer de tes charmes avec le diable, testant jusqu’où ta curiosité t’apportera. Si la peur prenait place en ton ventre ou bien si ta témérité te pousserait à te brûler. Tu aimais jouer avec le feu, jouer avec le diable et même si tu t’fracasses sur le parquet, rien ne t’effraie assez pour te faire reculer. T’avales les infimes millimètre qu’il reste entre vos pulpeuses, pour qu’il ne reste qu’assez d’espace pour souffler « T’attends quoi pour mettre la fin de ton plan à exécution, t’en es rendu à m’étriper non? » dans un infini calme, sourire ironique aux coins d’tes lèvres. Chaste adrénaline qui s’immisce en toi, envie meurtrière qui naît en ton bas-ventre, frisson qui menace de se profiler sur ta peau d’poupée. Tes pensées bifurquent vers le brun, une haine se consume envers lui. Il a troué ton cœur d’une balle d’argent, te jetant comme l’on ferait avec un objet dépareiller et sans intérêt. Ton amour a laissé place à une envie méchante, celle de le détruire de la façon la plus affreuse qui soit. Le visage devant toi te ramène dans le moment présent « Fais le de la façon la plus extravagante qui soit. J’suis spécial moi. » dis-tu dans un calme olympien, l’excitation à son apogée, tu mords ta lèvre inférieur avant de sourire arrogamment. Le danger est présent, au-moment où tu n’as peur de rien et qu’Satan joue avec toi. Le danger t’attires, comme si c’était le seul moyen d’te sentir un brin vivante.

@Orion Storm
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