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veni vidi amavi ★ ft. @Romeo Chamberlain
Capri, Italie. mois d'août, ici, il faisait une chaleur étouffante. c'était presque irrespirable mais c'était tout de même agréable. agréable parce que j'étais loin de l'agitation du summer camp qui se déroulait pourtant non loin de là. à vrai dire, j'étais aussi bien contente de m'être stupidement blessée lors d'une épreuve pour m'évader, pouvoir voir d'autres personnes que celles que je côtoyais déjà tout au long de mon année à Harvard et bien que j'avais eu l'envie de retourner voir mes parents à Daegu en Corée du sud, ce sont finalement eux qui prirent un avion pour me rejoindre en Europe. au début, la question sur le pays de vacance était un vrai casse-tête mais rapidement, j'avais proposé l'Italie. parce que l'Italie, j'avais toujours trouvé ça super joli en carte postale voire même lorsque je traînais sur Google map pour tuer le temps quand j'avais pas mes jeux vidéos. mes vieux voulaient aller à Rome mais personnellement, j'étais plus pour les endroits calmes alors rapidement, notre choix se portait sur Capri, parce que c'était une île tout à fait charmante, romantique même et puis qui sait, peut-être aussi que durant ses trois semaines de vacances, j'allais pouvoir rencontrer quelques charmants garçons et faire face à ma timidité une bonne fois pour toute ?
c'est ma mère qui avait trouvé cet hôtel sympa en bord de mère. un hôtel de luxe qu'on avait eut le droit de se payer grâce au travail acharné de mon père qui avait trimé des mois durant. il ne fallait pas croire que parce qu'on pouvait se payer des vacances dans un cinq étoiles que forcément, on était habitués à s'y rendre tout le temps. de mon côté, même si on avait de l'argent grâce à mon oncle qui était un peu mon second père, on devait travailler dur pour gagner notre croûte. alors se retrouver ici était un peu déroutant, malgré le fait que j'étudie dans le plus grande université du monde et que je fréquente souvent les bourgeois de ce monde. ici, y'avait des spas à gogo, une piscine, plein de choses à faire et j'étais pas obligée de sortir tout le temps pour supporter mon atèle à la con et ne même pas avoir le droit de me baigner.
aujourd'hui, j'avais été embarquée dans une histoire assez bizarre je dois dire. j'étais devenue la petite amie du fiston Chamberlain voire même sa fiancée. ahaha, imaginez ma gueule en plein repas, à littéralement m'étouffer avec mon verre d'eau quand j'eus appris tout ça et surtout qu'on était censés monter sur Rome pour chercher une bague de fiançailles. franchement, je remerciais juste le ciel que mes parents soient partit bouffer dehors ce soir pendant que moi, je me la coulais douce dans un repas un peu trop gastronomique à mon goût. c'était assez perturbant mais je n'avais rien nié du repas, peut-être parce que la timidité m'empêchais d'ouvrir la bouche, ou peut-être encore que j'avais pas envie que Romeo se fasse voir comme un menteur devant ses parents ? puis, sa mère était tellement gentille avec moi qu'au fond, ça m'aurait fait de la peine de la savoir déçue par son fils. je sais pas trop dans quoi j'étais en train de m'embarquer mais si j'avais vraiment voulu refuser quoi que ce soit, je l'aurais sûrement fait avant le repas, quand il m'avait attrapé la main dans les escaliers pour me présenter comme sa meuf. d'ailleurs, j'avais du jouer sa copine tout le long, merci. déjà que j'étais pas à l'aise avec les mecs en général, je l'étais encore moins là parce que c'était des mains sur les cuisses ou des surnoms mielleux qui devaient sortir de ma bouche.
à la fin du repas, chacun repartit dans son coin mais Romeo m'avait demandé de le rejoindre plus tard dans sa chambre alors, après avoir changé de tenue pour quelque chose d'un peu plus confortable que cette robe de soirée que je m'étais coltinée, j'avais traversée le couloir pour venir taper contre sa porte. tambouriner même. parce qu'il me devait des explications. et il avait ouvert assez vite je dois dire, peut-être qu'il m'attendait depuis plusieurs minutes en faisant les cents pas dans sa piole ? "Chamberlain putain, t'aurais au moins pût me mettre au courant de cette connerie avant. j'avais l'air maligne à m'étouffer à table moi..." et clairement, c'était pas malin de sa part parce qu'on allait faire quoi maintenant ? du moins, moi j'allais faire quoi ? inventer une histoire à mes parents sur le fait que j'avais rencontré un garçon et que j'étais fiancée avec ? et si les parents de Romeo voulaient rencontrer les miens vu qu'ils sont dans le même hôtel que moi ? et si les parents de Romeo venaient à préparer un véritable mariage ? oh j'en ai déjà mal à la tête de penser à tout ça, alors une fois dans la chambre du garçon, je m'assis sur le bord du lit et pince mes lèvres entre mes dents.
Capri, Italie. mois d'août, ici, il faisait une chaleur étouffante. c'était presque irrespirable mais c'était tout de même agréable. agréable parce que j'étais loin de l'agitation du summer camp qui se déroulait pourtant non loin de là. à vrai dire, j'étais aussi bien contente de m'être stupidement blessée lors d'une épreuve pour m'évader, pouvoir voir d'autres personnes que celles que je côtoyais déjà tout au long de mon année à Harvard et bien que j'avais eu l'envie de retourner voir mes parents à Daegu en Corée du sud, ce sont finalement eux qui prirent un avion pour me rejoindre en Europe. au début, la question sur le pays de vacance était un vrai casse-tête mais rapidement, j'avais proposé l'Italie. parce que l'Italie, j'avais toujours trouvé ça super joli en carte postale voire même lorsque je traînais sur Google map pour tuer le temps quand j'avais pas mes jeux vidéos. mes vieux voulaient aller à Rome mais personnellement, j'étais plus pour les endroits calmes alors rapidement, notre choix se portait sur Capri, parce que c'était une île tout à fait charmante, romantique même et puis qui sait, peut-être aussi que durant ses trois semaines de vacances, j'allais pouvoir rencontrer quelques charmants garçons et faire face à ma timidité une bonne fois pour toute ?
c'est ma mère qui avait trouvé cet hôtel sympa en bord de mère. un hôtel de luxe qu'on avait eut le droit de se payer grâce au travail acharné de mon père qui avait trimé des mois durant. il ne fallait pas croire que parce qu'on pouvait se payer des vacances dans un cinq étoiles que forcément, on était habitués à s'y rendre tout le temps. de mon côté, même si on avait de l'argent grâce à mon oncle qui était un peu mon second père, on devait travailler dur pour gagner notre croûte. alors se retrouver ici était un peu déroutant, malgré le fait que j'étudie dans le plus grande université du monde et que je fréquente souvent les bourgeois de ce monde. ici, y'avait des spas à gogo, une piscine, plein de choses à faire et j'étais pas obligée de sortir tout le temps pour supporter mon atèle à la con et ne même pas avoir le droit de me baigner.
aujourd'hui, j'avais été embarquée dans une histoire assez bizarre je dois dire. j'étais devenue la petite amie du fiston Chamberlain voire même sa fiancée. ahaha, imaginez ma gueule en plein repas, à littéralement m'étouffer avec mon verre d'eau quand j'eus appris tout ça et surtout qu'on était censés monter sur Rome pour chercher une bague de fiançailles. franchement, je remerciais juste le ciel que mes parents soient partit bouffer dehors ce soir pendant que moi, je me la coulais douce dans un repas un peu trop gastronomique à mon goût. c'était assez perturbant mais je n'avais rien nié du repas, peut-être parce que la timidité m'empêchais d'ouvrir la bouche, ou peut-être encore que j'avais pas envie que Romeo se fasse voir comme un menteur devant ses parents ? puis, sa mère était tellement gentille avec moi qu'au fond, ça m'aurait fait de la peine de la savoir déçue par son fils. je sais pas trop dans quoi j'étais en train de m'embarquer mais si j'avais vraiment voulu refuser quoi que ce soit, je l'aurais sûrement fait avant le repas, quand il m'avait attrapé la main dans les escaliers pour me présenter comme sa meuf. d'ailleurs, j'avais du jouer sa copine tout le long, merci. déjà que j'étais pas à l'aise avec les mecs en général, je l'étais encore moins là parce que c'était des mains sur les cuisses ou des surnoms mielleux qui devaient sortir de ma bouche.
à la fin du repas, chacun repartit dans son coin mais Romeo m'avait demandé de le rejoindre plus tard dans sa chambre alors, après avoir changé de tenue pour quelque chose d'un peu plus confortable que cette robe de soirée que je m'étais coltinée, j'avais traversée le couloir pour venir taper contre sa porte. tambouriner même. parce qu'il me devait des explications. et il avait ouvert assez vite je dois dire, peut-être qu'il m'attendait depuis plusieurs minutes en faisant les cents pas dans sa piole ? "Chamberlain putain, t'aurais au moins pût me mettre au courant de cette connerie avant. j'avais l'air maligne à m'étouffer à table moi..." et clairement, c'était pas malin de sa part parce qu'on allait faire quoi maintenant ? du moins, moi j'allais faire quoi ? inventer une histoire à mes parents sur le fait que j'avais rencontré un garçon et que j'étais fiancée avec ? et si les parents de Romeo voulaient rencontrer les miens vu qu'ils sont dans le même hôtel que moi ? et si les parents de Romeo venaient à préparer un véritable mariage ? oh j'en ai déjà mal à la tête de penser à tout ça, alors une fois dans la chambre du garçon, je m'assis sur le bord du lit et pince mes lèvres entre mes dents.
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