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présente même dans les pires moments pv Noalyne

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Mes amitiés véritables se comptaient sur le bout de mes doigts. Je n'étais pas assez ouverte d'esprit pour avoir la chance de compter beaucoup d'ami. Beaucoup de crainte. Voilà le problème, je n'arrivais pas à faire confiance. Une histoire compliquée qui avaient toujours exister chez moi. Noalyne était l'une d'entre elle. Une de ces filles avec qui je pouvais rire et pleurer sans honte. J'appréciais cette fille au même titre qu'une soeur. Elle était un repère. Aujourd'hui, j'avais décelé quelques choses. Un mal aise chez Noa. Il n'était pas difficile de le comprendre. Ces sms courts montraient que quelques choses n'allaient pas et il était hors de question pour moi de la laisser avec ces démons. J'enfilais un short et finis par prendre la route du loft. Beaucoup de chose avait changer cette année. Je me dépêchais et une fois arrivée, je croisais quelques regard vagabond. Une fille en petite tenue avait le dons d'attirer les mauvais œils. Je le savais mais que voulez-vous... je ne pouvais pas être rapide et bien habiller. Il fallait choisir. Une fois devant la porte de Noa, je ne pris pas le temps de frapper. Au diable, les priorités et je finis par prendre la direction de sa chambre. Persuadé de la voir allonger. Bingo " Et bah heureusement que je te dérangeai pas en pleine ébat. " dis-je en rigolant un peu afin d'amener un peu de légèreté à la nuit merdique que passait Noa.

@Noalyne R. De Glücksbourg présente même dans les pires moments pv Noalyne 2109348208
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Aujourd'hui, je retombais un peu dans ma léthargie du moment : angoisse et désespoir du à la solitude amoureuse, aux souvenirs mauvais de la vie. Je ne voulais pas spécialement voir du monde ou autres. Adelaide venait de rentrer et déjà, la belle arrivait à profiter de la vie et sortir. Je reçus un sms de ma tendre amie Jackie-Ellie, voulant savoir si j'étais présente ainsi je devinais qu'elle allait surement me demander de sortir ou passer. Toujours imprévisible et rapide, je la connaissais par cœur parce qu'elle faisait partie de ses personnes qu'on peut compter sur les doigts de la main : les amis, les indispensables. Alors que je tapotais sur mon clavier la fin de mon article d'humeur prouvant avec clarté à mes fans, l'humeur maussade et une certaine transparence, aucun mensonge sur ma vie : ma colocataire décida de sortir et j'osais lui dire de ne pas claquer la porte d'entrée, imaginant une visite prochaine. Je la connaissais et juste pour jouer les originales, Jackie aurait été prête à crocheter la serrure alors, je prévoyais. Quelques minutes plus tard, j'entendis des pas, j'analysais une démarche féminine ainsi je savais que ce n'était pas Rylan et bientôt, culottée, la belle blonde arrivait bel et bien dans ma chambre ironisant la situation. Ouais, ça ne risque pas très chère... La belle touchait si bien la corde sensible que je dus très vite dissimuler des petites larmes perlant sur mes joues ; le début de la dépression. Je ne lâchais jamais donc entendre ces mots et l'évidence de ma vie ratée dans la bouche d'une si tendre amie me fit trop réagir. Je passais ma main sous mes yeux, nerveuse et fermait mon macbook. Je me levais, mine de rien et venait l'embrasser sur la joue. Ça fait du bien de te voir... dis-je sans savoir cacher ma baisse de régime moral.

@Jackie-Elie Stevenson

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La maladresse faisait aussi partie de mes défauts. Mon regard s'attarda sur ses larmes. Bordel, je venais de dire le truc qu'il ne fallait pas. J'étais peut être une amie présente mais concernant le désespoir, je n'avais aucun remède. Je m'approchais d'elle pour venir la serrer dans mes bras. Elle n'allait vraiment pas bien. Les hommes. S'était devenu un problème " Ça fait du bien de te voir... " ces paroles étaient frèles. Je finis par sourire " excuse moi... je suis une amie médiocre. " dis-je en faisant la moue tandis que je l'avais toujours dans mes bras. Noalyne, rare était les amitiés comme celle ci. Je n'en comptais que très peu et elle me suffisait amplement. J'avais totalement confiance en elle et j'espère qu'elles avaient confiance en moi. Je me reculai légèrement. " Allez sèche tes larmes et on va aller se chercher un pot de glace " dis-je en lui faisant un clin d'oeil. Rien de mieux que la bouffe. S'était médicale, j'en étais persuadée. " Qu'est-ce qui t'arrive ? " dis-je en l'emmenant avec moi dans la cuisine

@Noalyne R. De Glücksbourg
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Je suis trop minable. Je me contrôle plus. Je pleure pas devant les gens, devant mes amis. Je ne suis pas comme ça. Je grimace et les larmes me surprennent carrément. Jackie est tout aussi surprise et s'insulte presque au niveau de son amitié. Je me sens coupable. Non, c'est pas toi le soucie. Dis-je en la suivant alors que la cabot m'annonce vouloir m'aider avec mon chagrin grâce à un pot de glace. J'avoue que l'idée reste réjouissante. On se dirige vers la cuisine. Elle me demande aussi ce qu'il m'arrive et je ne sais que dire surtout qu'en ce moment, je me confie trop, ce n'est pas moi mais merde, je me rend compte que ça fait du bien de tout déballer. Mes démons me hantent ... dis-je à celle qui est comme une sœur à mes yeux en arrachant presque la glace de ces mains quand elle arrive à en trouver dans mon congèle. Une cuillère et hop, je grignote parlant presque la bouche pleine loin de mon éducation de princesse. Écoute, j'en parle jamais mais ces derniers temps, je sais pas j'y arrive et ça fait du bien... je l'ai dit en étant bourré à une nana et adelaide le savait déjà car elle était là à ce moment de ma vie mais j'ai été violé et depuis mes 16 ans, a ce drame, j'ai jamais réussi à ravoir de mec ca commence à me peser... Je voulais pas que la belle le prenne mal et je ne pensais pas tant elle était une femme bien. Là, je poursuivais, spontanée : Mais si c'était tout, mais j'ai trop de tracas dans le crane ! Je me tient la tete des deux mains.

@Jackie-Elie Stevenson
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" Non, c'est pas toi le soucie. " il était rare de la voir pleurer. Les raisons devaient être bien là, il y avait quelques chose qui n'allait pas. Je n'allais pas tarder à le savoir. Une fois dans la cuisine, je m'adossais au plan de travail comme pour avoir des explications. Je ne pouvais pas me contenter de peu, j'avais beau ne pas me confier non plus. Savoir que sa n'allait pas pour elle, était presque inconcevable. " Mes démons me hantent ... " j'étais la mieux placé pour savoir de quoi elle parlait. Nous étions identique. Hanter par des souvenirs trop douloureux. Il était difficile de faire abstraction. On se donnait une image mais au fond on hurlait pour être vu pour ce qu'on est vraiment. L'étiquette de la fille facile me suffisait. Je ne bataillais pas pour me défendre en tout cas pas avec les personnes qui m’importaient peu. " essaye de les oublier. " conseil de merde Jackie ! t'arrive déjà pas à les oublier toi même.... Je mis le pot de glace entre nous. Mangeons. Une cuillère chacune, on se partageait nos fardeaux. "  Écoute, j'en parle jamais mais ces derniers temps, je sais pas j'y arrive et ça fait du bien... je l'ai dit en étant bourré à une nana et adelaide le savait déjà car elle était là à ce moment de ma vie mais j'ai été violé et depuis mes 16 ans, a ce drame, j'ai jamais réussi à ravoir de mec ca commence à me peser... " alors que je mangeai, ma bouche s'arrêta subitement au mot viole. Pardon ? je la fixais. Jaugeant son sérieux. Elle me balançait sa comme sa. Persuadé à m'attendre à un petit problème de coeur. J'avais face à moi un véritable problème. Que devais-je dire. En vrai, j'étais complètement hébétée." je... je comprends. Enfin non je comprends pas mais j'imagine comment tu dois te sentir. " enfin même l'imagination n'était rien. Je posais ma cuillère. " Tu sais Noa... tu ne devrais pas te définir par la chose qui a ruiné ta vie. Je pense que tu as le droit d'être heureuse. Il ne peut rien t'arriver si c'est toi qui prends les décisions. Je te parle pas d'amour mais tu sais des fois, une bonne partie de jambe en l'air avec quelqu'un qui te plait vraiment sa fait du bien. "  

@Noalyne R. De Glücksbourg
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J'avais balancé une nouvelle fois avec moins de force le lourd secret. Oui, je l'avais fait. je me sentais à chaque fois un peu plus soulagé et c'est comme si, à chaque discussion, chaque conseil, mon petit esprit, mon petit cœur guérissait. J'inspirais bien fort néanmoins bien grimaçante de la voir si mal pour moi. Je la sentais déconfite et mal de l'apprendre d'un coup et de voir mes blessures encore présentes. Je ne savais quoi dire : je ne pouvais le rassurer car cela signifierait mentir. Mon état vis à vis de ce passé, de ces situations étaient effectivement catastrophique alors à part aggraver son état vis à vis du mien, que faire ? Je passais nerveusement ma main dans mes cheveux alors que Jackie reprenait la discussion avec difficulté et quelques balbutiements, confuse. Je pouvais imaginer qu'elle comprenait sans vraiment comprend : ça restait très logique. La blonde poursuivit donc en philosophant vis à vis des évènements dans la vie. Néanmoins, je fus choquée sur le moment qu'elle ose me dire que je pouvais aussi oser prendre une bonne partie de jambe en l'air. Je m'avachis sur un fauteuil du salon très proche de la cuisine américaine et je reprenais, dépitée : J'ai peur Jackie... Je baissais le regard et me repliais sur moi, rien que dans ma position. Je rêverais d'une belle relation, mais dès que j'ai l'impression qu'un rapprochement physique se fait, j'ai peur qu'il aille trop vite et que si je me sens mal, il me lâche pas le mec tu vois ? Je me demandais si elle comprendrait, ce qu'elle allait penser.

@"Jackie-Elie Stevenson "

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J'ai peur Jackie... ma cuillère se stoppa. Pourquoi donc ? qui avait-il d'effrayant dans le plaisir. En même temps, je vivais depuis des mois dans cette philosophie. J'avais tout vu et j'avais appris. Aujourd'hui, impossible pour moi de me faire avoir. S'était moi qui prenait les autres pour des merdes. Ces mecs, je les utilisais aussi lâchement qu'ils pouvaient parfois le faire. Je rêverais d'une belle relation, mais dès que j'ai l'impression qu'un rapprochement physique se fait, j'ai peur qu'il aille trop vite et que si je me sens mal, il me lâche pas le mec tu vois ? Noa était repliée sur elle même, elle avait presque honte de ce qu'elle disait. Au fond, j'arrivai à percevoir ces peurs. Nous étions différentes, tellement différente et pourtant celà ne m'empêchait pas d'être à ces côtés. Je pouvais être une connasse, mais je pouvais être adorable aussi. Je m'avançais vers elle et m'installa sur l'accoudoir du fauteuil. " Noa, c'est toi qui décide et sa sera toujours toi ! l'homme qui ne respectera pas sa, n'entrera même pas dans cet appartement. " c'est vrai, je faisais comme sa et jusque là, je n'avais jamais été surprise. " Tu veux d'une vrai relation ? " dis-je en la regardant tandis que la scrutait " Et arrête d'avoir peur que je te juge Noa... " j'hochais la tête. J'étais peut être blonde mais j'étais loin d'être stupide.  

@Noalyne R. De Glücksbourg
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Je tapotais sur le bar de la cuisine. Je me sentais minable : en ce moment, je suis vraie déchet. Je me montre mal en point, faible devant les gens ... c'est comme si j'avais balayé ma reine des glaces qui me protégeait tant. Je passais une main dans mes cheveux ajoutant vite la deuxième comme pour mimer que je me les arrachais et m'avachir sur le buffet, toujours sur mon tabouret. Bientôt, j'étais partie me jeter dans un fauteuil du salon telle une loque et hop, la belle venait me sermonner et me rassurer en se posant sur l’accoudoir. Jackie m'assura que je déciderais et que personne entrerait sans mon consentement dans ma vie soit dans cet appartement où je passais ma vie. Par ailleurs, elle me questionna sur les relations sérieuses : Oui, je crois... je me verrais pas coucher pour une nuit, quoique tu me diras, je suis un déchet alors devenir pute pourquoi pas ? dis-je dépitée en laissant ma tête tomber en arrière. Comment voulait-elle que je pense pas qu'on me juge ? j'avais besoin de personne, je le faisais toute seule, mais sincère, je levais les yeux en mode chien battu et je reprenais : désolé sœurette... mais tu sais, je vis mal en ce moment, ça ne va pas du tout et je n'ai pas été comme ça depuis ce dur moment de ma vie. Je grimace et me mord la lèvre. Elle me connaissait pourtant si bien en mode fille qui se la joue un tout petit peu et surtout, se montre inaccessible. Là, j'étais une vraie loque. C'est de la daube la vie en vrai ! M'escalmais-je en m'enfonçant dans mon fauteuil.

@Jackie-Elie Stevenson
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