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Never let me go

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Jeno & Solweig
« Never let me go ... »



J'avais donné rendez-vous en cachette à Jeno dans ma chambre pendant que mes parents étaient partis se coucher. Il avait plus l'habitude de passer par la fenêtre que par la porte d'entrée, simplement parce que mon père ne le supportait pas. Je l'aimais, mais il me répétait sans cesse, qu'il ne pourrait prendre soin de moi, qu'il était un bon à rien. Je savais que c'était faux, seule ma mère me défendait, mais ça n'allait pas changer la décision du paternel. Celle de nous quitter. Mais comment se quitter lorsqu'on s'aime encore ? N'est-ce pas une chose affreuse ? Pour moi, il était hors de question que j’arrête de le voir, je l'aimais point !
Il était là, j'entendais ses pas. Je dévalais les escalier en chaussettes essayant de ne pas faire de bruit, et manqua de m'étaler la face contre le sol. J'alla ouvrir à Jeno et le regarda dans la pénombre déposant mon index sur mes lèvres pour lui dire de ne pas faire le moindre bruit. Nous montâmes ensuite discrètement dans ma chambre, nous en avions l'habitude, c'était devenue notre routine, puisque personne n'avait l'air d'approuver notre couple.
Une fois dans ma chambre, je pu enfin expirer tranquillement et m'approcha de mon copain pour l'embrasser amoureusement. Il savait très bien ce qui se passait avec mon père depuis longtemps, et il semblait en avoir marre. J'avais peur qu'il ne m'aime plus à cause de ça. Je le regarda dans les yeux et posa mes deux mains délicatement sur son visage.
" Ça ne va pas ? " Je savais très bien ce qui n'allais pas ... mon père. Mais j'en avais rien à foutre, moi je voulais continuer.



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solweig&jeno
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J'avais reçu un texto cet aprèm. Mais pas n'importe quel genre de texto, pas celui qui te dis d'aller faire les course ou de récupérer le junior à l'école. Non celui là, il sentait le soleil. J'peux pas m'empêcher de sourire quand je vois son nom s'afficher sur mon portable. Un rendez-vous. Et chez elle. Je sais bien ce qui se trame, le daron a encore du faire des siennes. Je sais qu'il m'apprécie pas, mais putain, j'essaie tellement d'être à la hauteur. Mais il calcule rien. Au moins, y a un truc qui j'arrive chez elle, c'est son balcon; un super balcon, un peu à la romeo et juliette. d'ailleurs j'aime bien c't'idée. Je m'approche de la porte, je sais qu'elle m'attend, y a pas de doute. J'lui envoie quand même un texto, histoire que je lui dise que je suis là et aussi pour pas faire de bruit, parce que si je me fais attraper par le chef de famille, je crois que j'vais me prendre son pied au cul, ou pire, c'est Solweig qui va prendre à ma place. J'attends devant la porte, en me faisant discret. J'la connais par coeur sa maison, je sais où se trouve sa chambre, celle de ses parents, comme ça, si je vois une lumière s'allumer, je sais direct d'où elle vient.

Je vois la poignée de la porte bouger et je croise les doigts pour que ce soit pas son père. pitié. je sais qu'avec sa mère ça passerait, si je lui fais les yeux doux, mais sinon, j'suis mort. Et c'est le plus beau visage que j'ai jamais vu qui m'ouvre. bienv'nue au paradis. J'ai envie de la prendre contre moi et de plus jamais la lâcher, mais elle me fait signe de pas faire de bruit, alors j'obéis. Jamais je nous grillerais. Ou alors pas volontairement. Puis, on monta les escaliers, discrètement, mais faut dire qu'on avait l'habitude et qu'on maitrisait parfaitement le fait de se déplacer à pas de loup. Quelque part, j'trouve ça excitant ce danger ! Une fois qu'elle eu fermé la porte de sa chambre, je m'étirais, comme si je m'étais retrouvé coincé dans un tout petit endroit. J'avais tellement peur de me faire prendre, que j'en oubliais presque de respirer, et elle, ça la faisait rire. Elle s'approcha de moi et posa ses lèvres sur les miennes, alors que je l'entourais de mes bras. 'Tain, j'me dis toujours que je la laisserais jamais partir, mais c'est un truc plus fort que moi tout ce qui se passe, et j'ai pas le pouvoir de faire quoi que ce soit, ça me tue. « ça ne va pas ? ». J'crois bien qu'en ce moment, c'est la question qu'elle me pose le plus souvent, mais j'pense que c'est une manière de se rassurer aussi. Ca va toujours quand elle est là évidemment. Je soupire et lui souris. Je l'attire encore contre moi et l'embrasse sur le front. « bien sûr que si, tu sais très bien que ça va, quand t'es là. ». J'ai pas envie qu'elle s'affole, qu'elle s'emporte et qu'on se dispute. Ou qu'il se passe un truc encore pire que la dispute, un truc dont on n'a pas du tout envie tout les deux. Je passe ma main dans ses cheveux et je regarde chaque partie de son visage, elle est toute fine, elle a l'air tellement fragile, alors que putain pourtant, elle a un sacré caractère. C'est ça que j'aime chez elle. « même si c'est clair, ça pourrait aller mieux, si tu vois ce que je veux dire. » Evidemment, qu'elle comprend.
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Jeno & Solweig
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Alors que je lui demande si ça va, il soupire un bon coup avant d'esquisser son grand sourire chaleureux et de m'attirer contre lui, là ou je me sens le mieux. Il m'embrasse le front puis me répond « bien sûr que si, tu sais très bien que ça va, quand t'es là. » Je me blottie encore plus fort contre son torse fermant les yeux, comme si je voulais demeurer dans ses bras. Je sais que je me mens à moi-même. J’ai l’impression que lui et moi ça va durer parce qu’on s’aime et parce qu’il est tout pour moi, mais au fond, je sais très bien qu’il y en a un pas bien loin pour nous mettre les bâtons dans les roues .. Et même si je me voile la face, au fond de moi, j’ai le sentiment qu’il va réussir. Voilà pourquoi je suis angoissée constamment, et pourquoi je demande sans cesse à Jeno s’il va bien. Pour rien au monde je ne voudrais qu’il soit comme tous ces autres aristos ou héritiers, des gens comme moi tellement prévisibles. Je sais que mon copain se retient de ne pas dire ce que nous pensons tout bas. On le sait, mais ça ne sert à rien d’en parler, parce que finalement, ça va changer quoi ? J’ai pas envie de m’engueuler avec lui, pas ce soir.
Il glisse ses doigts dans mes cheveux et observe la moindre parcelle de mon visage. Chaque fois qu’il fait ça je sens mon cœur battre à mille à l’heure. Il le sait et c’est troublant. Je le regarde droit dans les yeux l’air complètement paumée, hypnotisée.« Même si c'est clair, ça pourrait aller mieux, si tu vois ce que je veux dire. » reprend-il. A ces mots je me ressaisi et hoche la tête positivement comprenant ce qu’il veut dire. ‘ De toute façon, je m’en fiche de son avis, c’est moi qui suis avec toi pas lui. Il pourra pas nous empêcher de nous voir. ‘ J’aimais mon père. Mais je ne supportais pas ses principes aristos qui ne lui étaient jamais sortis de l’esprit. Les temps ont changé et on est pas dans la monarchie. Il n’a même pas fait l’effort de le connaitre. Nous chuchotons, toujours dans le noir pour plus de prudence. Je me cale contre la rambarde de mon balcon sortant une clope et en tendant une à mon copain. Le silence que nous sommes obligés de perpétuer est pesant. J’entends même la respiration de Jeno, limite mon cœur battre. Je le sens s’approcher de moi et tâte dans le vide jusqu’à avoir son avant bras sous la main et le rapprocher de moi pour lui faire une place à coté. J’ai envie de profiter de sa présence, de la chaleur de son corps, de sa voix, de lui tant qu’il en est encore temps, même si ça sonne déjà presque comme des adieux, mais même ça c’est compliqué vu l’illégitimité de sa présence dans ma chambre. Je cale ma tête contre son épaule tout en tirant une latte de ma clope et chuchote. ‘ Tu sais Jeno, je voudrais que tu saches que quoi qu’il arrive, je t’aimerai toujours … ‘ Je ne voulais pas qu’il ressente cette phrase comme un au revoir prématuré, pourtant, inconsciemment, c’est peut-être ce que je faisais, bien que ce soit contre mon gré …




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Tout sans sa chambre est parfait, a l'air parfait, et sent le parfait. Ses parents ont voulu faire d'elle une petite chose prévisible, alors qu'elle est tout le contraire, ils ne la connaissent pas. Comment peut-on vouloir le bonheur de quelqu'un qu'on ne connait pas réellement ? J'pige même pas comment Solweig fait pour vivre dans ce monde de pures apparence et de qu'en-dira-t-on. Ses yeux me transpercent, elle me tue doucement, je suis vraiment accro à ce genre de sensation et j'me d'mande c'qui se passera le jour où on m'l'enlèvera. Ca a l'air tellement proche pourtant. Est-ce que j'arriverai à rire, est-ce que j'arriverai à sourire ou même à pleurer ? J'ai peur de plus rien ressentir, d'être un nerf endormi, quand elle est pas avec moi. « De toute façon, je m’en fiche de son avis, c’est moi qui suis avec toi pas lui. Il pourra pas nous empêcher de nous voir. ». J'souris. Elle est tellement naïve des fois, plutôt inoffensive et j'la trouve hyper forte en même temps. Évidemment, ce serait parfait si tout pouvait être aussi simple que ce qu'elle pense. Mais c'est pas si mal d'être à part des fois, t'encaisses plus facilement, d'un certain côté, parce qu'on se ment à nous même, sans l'ombre d'un doute.

Elle se détache de mon emprise et je la regarde se diriger vers son balcon, que je connais par coeur à force, dans la pénombre. Elle est juste éclairée par les lampadaires dehors. J'suis certain que la plupart trouveraient ça romantique comme scène, mais moi ça m'fait pitié. J'ai pitié d'nous, qui nous aimons, et qui sommes soumis à quelqu'un qui n'connait finalement rien de nous. Je la suis, et elle me tend un clope, et me l'allume, une fois que je l'ai coincé entre mes lèvres. Notre p"tit rituel. Roméo venait dire des poèmes à la con à sa Juliette et bien nous on vient se bousiller les poumons ensemble. Aucun de nous deux parle, on a la tête trop en bordel pour sortir quelque chose de drôle, parce qu'on est trop stressés par cette situation, on peut même pas la laisser de côté, parce que nos minutes ensemble sont en sursis. Je viens près d'elle, j'ai pas envie de m'éloigner, mais j'veux pas non plus être faible et lui faire une scène avec des larmes et quoique ce soit. J'aime le fait qu'elle apprécie ma simplicité. Elle vient caler sa tête contre mon épaule et tire une latte. J'l'imite. « Tu sais Jeno, je voudrais que tu saches que quoi qu’il arrive, je t’aimerai toujours … » J'peux pas m'empêcher de sourire, parce que c'est mignon. Moi qui voulait rester soft. J'veux pas qu'elle pense que je me fous de sa gueule, mais les relations compliquées comme ça, j'ai toujours tenté de les garder loin, très loin de moi. Pas d'chance pour moi, Solweig est un aimant. Plus j'veux aller loin pour la protéger de son paternel, plus j'suis attiré. J'relâche la fumée que j'avais dans la bouche et la regarde s'envoler ; c'est un peu comme nous, finalement. « dis pas des trucs pareils ; j'veux pas qu'on finisse liés l'un à l'autre par une promesse à la con. » Je la sens se raidir ; mais j'veux pas la vexer, juste éviter qu'elle souffre dans le futur, j'vois trop d'problèmes inutiles. Je pose ma main sur son épaule pour la rapprocher un peu plus de moi. J'veux amortir cette putain de fin. « j'peux même pas te dire combien tu comptes parce qu rien est assez grand. tu vois l'océan ? c'est pas assez grand. tu vois le ciel ? C'est pas assez grand. » Me v'la parti dans un sacré discours. « j'veux juste que tu comprennes que si t'es la bonne, si c'est toi la seule qui doit compter pour moi, alors on va se retrouver. Et tu sais bien à quel point j'ai un putain de caractère, donc j'te laisserai pas filer comme ça. » Et je tire une nouvelle latte.
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Jeno & Solweig
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Suite à ce que je venais de lui dire, Jeno me sourit, mais finit par répondre « dis pas des trucs pareils ; j'veux pas qu'on finisse liés l'un à l'autre par une promesse à la con. » Je baisse les yeux et hoche la tête de haut en bas. Je comprenais ce qu’il me disait, et bien qu’il avait totalement raison, ça m’énervait rien que d’y penser. Je me sentais alors nulle, un peu comme ces filles de qui je me moquais souvent dès qu’elles rencontraient un mec et qu’elles le prenaient pour l’homme de leur vie. Faut croire que l’amour me rendait aussi naïve qu’elles, mais je sais pas … Jeno, c’était ma faiblesse. Il était unique. Je n’étais pas prête à vivre sans lui. Il constituait mon monde au final. Depuis l’enfance, on m’avait tout donné. Je faisais partie d’un certain cercle qui m’ennuyait un peu plus chaque fois que je passais mon temps avec ces gens. Au début, Jeno devait me voir comme une pauvre petite fille riche qui ne se contente même pas de ce qu’elle vit, c’est ce que j’avais constamment l’impression d’être. Pourtant, il était tout ce qu’on ne m’avait jamais montré. Et ça, pour moi c’était un trésor. Je sens alors sa main sur mon épaule qui me rapproche de lui, et il continue.
« j'peux même pas te dire combien tu comptes parce que rien est assez grand. Tu vois l'océan ? C'est pas assez grand. Tu vois le ciel ? C'est pas assez grand. » Les yeux toujours vers le sol, je finis par sourire, il vient de me refaire ma journée. S’il savait combien c’était réciproque. Mais moi j’avais un certain mal à exprimer combien j’aimais une personne. Je ne devais peut-être pas savoir comment m’y prendre, j’étais maladroite avec les sentiments. « J’veux juste que tu comprennes que si t'es la bonne, si c'est toi la seule qui doit compter pour moi, alors on va se retrouver. Et tu sais bien à quel point j'ai un putain de caractère, donc j'te laisserai pas filer comme ça. » Reprit-il. Je levai le regard vers lui l’air sérieuse. Et je savais qu’il avait un putain de caractère. Une des nombreuses choses que j’aimais chez lui. Moi qui avait toujours eu peur que l’amour me rende faible, déjà que j’étais fragile à la base, ça me faisait tout le contraire avec lui. J’avais l’impression d’être plus forte rien qu’à vouloir me battre pour lui, pour nous. Je posais mon index sur ses lèvres pour l’arrêter puis souris me mettant en face de lui. ‘ Mais pour l’instant, on a pas à se laisser filer … pour l’instant, on s’aime, on est ensemble, et on est heureux. D’accord ? ’ J’avais une si grande facilité à me voiler la face, c’était dingue. Parfois à force de me mentir à moi-même, je finissais par croire à mes mensonges, mais pour l’instant, mes propos étaient encore fondés, bien que je ne fusse persuadée que ça dure aussi longtemps que nous l’aurions voulu. J’enlaçai sa nuque de mes bras et l’embrassa dans le creux du cou inhalant le doux parfum masculin qui émanait de sa peau. Je tenais à profiter de chaque instant passé avec lui, ils étaient si précieux. Parfois j’aimerai tellement tout plaquer et m’casser avec lui, mais ce serait insensé, et je ne suis pas assez courageuse pour faire une telle chose à mon entourage, j’suis encore qu’une gamine. Je tire une dernière latte de ma clope, l’écrase contre la rembarre et la jette. ‘ J’pense qu’on devrait arrêter de se prendre la tête avec ces conneries, on devrait juste se faire discret avec mon père, et peut-être que ça lui passera, qu’il comprendra que les fils de ses sbires sont pas pour moi, qu’il n’y a que toi … ‘ Je le regarde dans les yeux, puis observe ses traits dans la pénombre, si parfaits. Je les repasse avec attention du bout du doigt, de sa tempe jusqu’à son menton, puis m’approche lentement de son visage. Je ferme les yeux. Je laisse les secondes s’écouler, le temps de sentir son souffle contre le mien. J’peux entendre le rythme de nos respirations dans le silence et finis par déposer délicatement mes lèvres sur les siennes. Mes mains se glissent dans ses cheveux tandis que j’approfondis notre baiser …





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solweig&jeno
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Ouais ouais, c’est pas mon genre de truc les déclarations de ce genre, mais j’me dis que des fois, faut s’ouvrir aux autres, sinon on passe à côté de pas mal de trucs. Des beaux trucs surtout, comme elle, par exemple. Elle a l’air simple et compliquée à la fois, et j’adore ça. J’adore penser savoir ce qu’elle se dit quand elle me voit, mais je sais que je suis à côté d’la plaque. Cette fille est surprenante. On la prendrait petite fille timide, et j’suis bien content d’être le seul à connaitre la petite rebelle du balcon. Rien que pour moi. Elle se met face à moi et pose son index sur mes lèvres. J’aimerais photographier ses yeux, son regard, histoire que ce soit toujours gravé en moi. Tu sais comme les aurores boréales que tu vois une fois dans ta vie si t’as du pot. Ben cette fille, c’est la même chose, je sais jamais quand je la reverrais librement, et ça m’fait peur. J’me contiens parce que j’me dis que si je craque, ça va vraiment pas la rassurer. Mais finalement, c’est elle qui me rassure. Les rôles s’inversent, on dirait. « Mais pour l’instant, on a pas à se laisser filer … pour l’instant, on s’aime, on est ensemble, et on est heureux. D’accord ? » J’souris. Elle a raison. Elle a toujours raison sur tout, en fait. Dès que j’m’emporte dans une histoire, elle est là pour me calmer. Et heureusement, d’ailleurs, sinon je ferais de sacrées conneries. Elle me sauve de moi-même, en fait.

Je l’attire contre moi, alors qu’elle passe ses bras autour de mon cou. J’me répète sans cesse que je la lâcherai jamais mais je suis trop faible. Trop faible vis-à-vis de sa famille. J’me battrai, c’est sûr, jusqu’à ce que je comprenne que je la fais souffrir. J’ai pas envie de la retourner contre sa famille. C’est sacré ces trucs-là, même moi je l’ai pigé. Je sens ses lèvres contre mon cou et ça me sort de mes rêveries. Ou plutôt de mes cauchemars de rupture. J’veux pas lui avouer que ça me fait peur et que c’est vraiment moi le faible entre nous deux. Je descends mes mains le long de son dos et ferme les yeux. Dieu, j’aimerais vraiment sauvegarder ses formes dans ma mémoire. Elle se détache de mon étreinte, à mon grand regret et termine sa cigarette, l’écrasant contre la rambarde et la jetant. Je l’imite dans les secondes qui suivent. C’est vrai qu’il faut pas qu’on reste dehors trop longtemps, si on veut pas se faire repérer. C’est toute une technique, chez Solweig. J’compte aussi sur sa mère pour étouffer nos rires ou le bruit de nos voix. « J’pense qu’on devrait arrêter de se prendre la tête avec ces conneries, on devrait juste se faire discret avec mon père, et peut-être que ça lui passera, qu’il comprendra que les fils de ses sbires sont pas pour moi, qu’il n’y a que toi … » Je rigole, même dans la merde elle me fait rire. Sacrée nana. Qui aurait cru qu’elle s’intéresse pas tellement aux gars tous propres sur eux et qu’elle préfère fréquenter un p’tit merdeux comme moi ? J’en ai conscience, c’est clair, puis mes potes le chambre tout le temps. J’suis chanceux, c’est sûr, mais aussi égoïste, j’la partage pas. Ca m’plait de savoir que ces moments sont rien qu’à nous deux. « ouais, c’est clair que tu leur donnerais du fil à retordre, ma p’tite ! ». J’rigole en voyant la mine qu’elle fait. Elle s’y attendait pas à celle-là ! J’adore la taquiner. Elle s’approche à nouveau de mon visage et fixe mes yeux. Les siens sont tellement clair que j’ai envie de détourner le regard, ça m’gène. Finalement, elle ferme les siens et approche son visage encore plus près du mien. Si près du fruit défendu tu sais. Comme si elle aimait me tester. Tout comme son apparence, sa respiration est légère, toute à son image. Elle ouvre doucement ses yeux et pose ses lèvres sur les miennes. J’deviens fou quand je suis avec elle. J’veux profiter, comme si je pourrais plus jamais la voir. J’en suis complètement accro, et pourtant, putain que je détestais l’être avec ces autres meufs. Mais j’aime ça avec elle. Parce que finalement, au contraire de ce que dit son père, c’est sain comme relation. Pas intéressé. J’avais peur de ça ; qu’elle croit que j’m’intéresse parce qu’elle est riche. Mais j’m’en fous tellement. Elle serait belle tout le temps, et resterait spéciale. Solweig passe sa main dans mes cheveux, alors que je pose la mienne au creux de son dos, pour la tenir contre moi. Elle lâche plus mes lèvres, mais j’peux pas m’empêcher de laisser un sourire se dessiner dessus. Je détache mes lèvres des siennes et les passe le long de son cou, j’respire son odeur ; c’est comme une drogue, je m’en lasserai jamais. J’la soulève et je vois à son regard qu’elle s’y attendait pas vraiment. « ‘tain t’es lourde en fait ! ». Puis je souris. « J’rigole. » Je pose à nouveau mes lèvres sur les siennes, j’adore sentir ses cheveux sur mon visage. Je la repose à terre, m’assois sur son lit et la tire vers moi. « tu m’fais un bisou ? ».
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Jeno & Solweig
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Suite à ma déclaration, Jeno rigole. Ce qui est bien avec lui, c'est que finalement, même quand notre couple est en danger, on est toujours détendu, on profite comme si tout allait bien, on rigole, on s'aime. « ouais, c’est clair que tu leur donnerais du fil à retordre, ma p’tite ! ». reprends-t-il avant de rire à nouveau. J'arbore ma mine d'enfant vexée, baissant la tête et le regardant droit dans les yeux, mais je ne peux m’empêcher de finir par sourire, parce que oui, faut avouer que c'était drôle.' J'crois qu'il n'y a que toi qui arrive à m'supporter ' Je savais que j'avais parfois un caractère de cochon, et entre mes moments de fragilité et ceux ou je jouais aux grandes gueules, je trouvais Jeno courageux de me supporter. Oui, j'avais beaucoup de chance de l'avoir, et c'est ce que je m'évertuais à faire comprendre à mon père, qui était totalement aveugle.
Un moment, Jeno me regarde, et moi ben je relâche le sourire, parce que ses regards, ça agit comme de la kryptonite sur moi. Ça me déstabilise, j'sais plus quoi faire. Limite je tremble et je sens mes jambes se transformer en coton. Je l'embrasse passionnément, et je sens ses mains glisser le long de mon dos. J'en ai des frisson, et je ferme même les yeux pour mieux ressentir l'effet qui me provoque. C'est grave d'être aussi atteint que ça, c'est grave d'être amoureux. C'est comme si tout mon monde tournait autour de lui.
Jeno stoppe notre baiser pour glisser ses lèvres le long de mon cou. Ma tête est reposée sur son épaule, je pourrais rester éternellement comme ça, les yeux fermer à sentir son souffle contre ma peau. Ma main droite qui caressait ses cheveux descend le long de sa nuque, je le serre fort contre moi, le plus fort possible à vrai dire, comme si c'était la dernière fois que je pouvais le faire. Je ne préfère même pas y penser.
D'un seul coup, mon copain me soulève sans que je ne m'y attende. Je me retiens de pousser un petit cri et rigole en silence. « ‘tain t’es lourde en fait ! » J'arque un sourcil, puis le vois esquisser son magnifique sourire « J’rigole. » Je souris à mon tour. ' Gros malin ! ' Mes cheveux viennent partout sur mon visage et par la même occasion sur celui de Jeno qui viens m'embrasser avant de me reposer au sol. Il s’assoit sur mon lit et me tire vers lui par la main « tu m’fais un bisou ? ». Je souris de plus belle. Ciel c'qu'il me rend heureuse ! Parfois je me demande s'il réalise à quel point il est exceptionnel, unique. J'me dis que jamais je ne croiserai un deuxième Jeno dans toute ma vie, et c'est bien pour ça que je compte bien profiter de chaque moment passé avec lui comme si j'étais en train de vivre les derniers instants de ma vie. C'est d'ailleurs toujours comme ça avec lui. Encore debout face à lui, je pousse légèrement son torse en arrière, puis grimpe doucement, de façon à me retrouver à califourchon sur lui. Je prends ses deux mains dans les miennes et les plaques contre le lit avant d'esquisser un petit sourire malicieux. ' t'aura droit à bien plus qu'un bisous Jeno '. Je me penche de plus en plus vers lui, mes cheveux viennent même chatouiller son visage et sa gorge. Finalement, mes lèvres rejoignent les siennes et je l'embrasse faisant jouer mes doigts avec les siens. Je me redresse finalement toujours sur son corps, et le regarde avec sérieux avant de lentement déboutonner ma chemise que je vais laisser tomber au bord du lit. J'esquisse alors un petit sourire timide et ramène ma chevelure d'un coté avant d'enlever son haut à son tour. Je ne sais même pas vraiment ce que je suis en train de faire à vrai dire, je ne me connaissais pas aussi spontanée, ça doit encore être l'effet Jeno sur moi ... En tout cas, lorsque son t-shirt vient rejoindre ma chemise, je fais glisser mes mains le long de son torse aux lignes aussi parfaites que son visage, puis me penche à nouveau pour le couvrir de baisers dans le cou. Si jamais mon père rentre dans cette chambre maintenant, on peut dire que Jeno et moi sommes morts, et que nous finirons certainement comme ces pauvres Antigone et Hémon. Mais en fait, j'en ai rien à faire, puisque pour le moment, je suis avec lui, et ça, ça n'a pas de prix. L'argent de mon père ne pourra jamais acheter mon amour pour Jeno. Je le regarde avant de reprendre la parole avec sérieux ' J'pense que maintenant tu as les pleins pouvoir sur moi, Jeno. Tu m'as carrément eue, là ... '






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never let me go
Des fois j’me dis que j’suis quand même vraiment un gros veinard. J’pensais vraiment qu’les filles du genre de Solweig me calculeraient même pas. Qu’elle me calculerait pas. Puis finalement, les contraires s’attirent, apparemment. Faut croire que c’est possible, parce que j’pensais pas du tout. Je regarde son sourire se dessiner sur ses lèvres ; j’m’en lasserai jamais. Elle me pousse doucement en arrière et se met à califourchon sur moi. J’peux pas m’empêcher d’afficher un grand sourire ; débile. C’est pas du tout drôle comme situation, mais le contraste entre ce que Solweig laisse paraitre à ses parents et comment elle est avec moi et complètement impressionnant. C’est décidément pas la même personne, et j’adore être dans la confidence. Je touche sa jambe du bout des doigts, comme si j’voulais pouvoir la tenir si l’idée de se barrer lui traversait l’esprit. Puis finalement, c’est elle qui prend le dessus, en posant ses lèvres sur les miennes et en capturant mes mains. En fait, c’est moi qui pourrait pas m’enfuir. J’veux pas d’ailleurs. Elle plaque mes mains contre le lit et j’essaie de faire durer notre baiser le plus longtemps possible, afin qu’elle ne s’éloigne pas de moi. Pas d’chance ; enfin pour entendre ce qu’elle va me dire, je suis prêt à lui laisser un peu de distance. « t'auras droit à bien plus qu'un bisous Jeno » J’rigole, parce que j’aime entendre des choses comme ça, surtout venant d’elle. Heureusement que ça tue pas, d’aimer, sinon j’serais mort depuis longtemps.

A mon plus grand bonheur, elle se penche à nouveau vers moi. Ses cheveux caressent mon visage, j’adore ça. J’adore ses cheveux, ils sont tellement beaux, et longs. Elle m’embrasse à nouveau et je sers ses doigts entre les miens, pour ne plus la lâcher. Elle se redresse, presque sérieuse. « ça me va aussi, tu m’connais, je suis pas compliqué ». Les blagues et moi feront toujours trois mille. Moi j’me fais rire, c’est le principal. Sans relever, elle commence à déboutonner sa chemise et moi je la regarde faire. J’adore ce genre de spectacle. Elle la laisse tomber du lit et j’peux pas m’empêcher de me redresser et de l’attirer contre moi, pour l’embrasser dans le cou. Mon Dieu, je prie que pour le daron ne rentre pas et ne me l’enlève pas. Si y a un peu de justice dans c’monde, ayez pitié. Solweig passe les mains sur mon torse et enlève ensuite mon haut. C’est vrai qu’elle aime prendre les directives, la p’tite. J’repose ensuite mon dos contre le lit, histoire d’admirer le spectacle d’une superbe vue panoramique. Elle passe ses mains sur mon torse, ça me fait frissonner, elles sont encore glacées à cause de la température extérieur, alors que moi je bous intérieurement. C’est à son tour de m’embrasser dans le cou, j’peux pas dire non, évidemment. J’en profite pour passer mes mains le long de ses hanches, en redessinant ses courbes parfaites. Elle va me rendre complétement fou si elle s’arrête pas. « J'pense que maintenant tu as les pleins pouvoir sur moi, Jeno. Tu m'as carrément eue, là ... ». Et ouais que veux tu. Mon sex appeal, chérie. Des fois j’me dis que c’est vraiment complétement taré qu’on soit autant dépendant de l’un à l’autre. Voir même incroyable. Parce qu’on se lasse jamais. Enfin, j’parle pour moi et mes conquêtes passées. J’sais pas pourquoi, impossible de m’attacher plus que ça. Alors que là c’est différent, j’m’attache, j’m’attache mais j’ai même pas peur d’être blessé par ce qui arrivera. J’profite d’être avec elle, je crois. Je me redresse et lui caresse la joue. Faites que son père entre pas, sinon j’me fais castrer. « tu sais qu’j’adore quand tu dis ça ! ». Je rigole, parce qu’elle est tellement sérieuse, je peux pas m’empêcher de la trouver trop mignonne. Je pose ma tête contre son épaule, histoire d’avoir deux secondes de répit. Putain, je sais que son père se doute d’un truc, et ça m’rend toujours autant mal à l’aise de savoir qu’il est là. Je descends ma main le long de son dos et détache son soutien-gorge. Ouais d’une main. J’en ai longtemps chié, mais bon, l’entrainement, ça change un perdant en vainqueur. J’le laisse tomber au sol, histoire qu’il aille rejoindre nos autres vêtements. Je repose contre le lit et regarde le spectacle. « des fois j’me dis que tes seins ont vraiment été fait pour mes mains ! ». Puis j’me marre, encore.
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Jeno & Solweig
« Never let me go ... »



Je venais de lui dire que j'étais définitivement, irrévocablement sous son emprise. C'était incroyable ce sentiment de vouloir se donner entièrement, corps et âme à un être. Il s'avérait que dans mon cas, c'était Jeno. C'était en même temps bon mais d'un coté déstabilisant de ne plus pouvoir contrôler ce qu'on ressent. J'ai toujours eu l'habitude de tout gérer, d'avoir le contrôle, mais là, Jeno me l'avait enlevé. Parfois je me demandais comment avait-il pu ne serait-ce que poser les yeux sur moi la première fois que je l'ai vu. C'est vrai. Les filles dans mon genre, avec des parents pleins aux as, on les prends pour des gamines qui connaissent rien à la vraie vie, au monde qui les entourent, aveuglée par la superficialité de ce qu'on leur offre, de ce qu'elles vivent. Qu'en savais-je si c'était mon cas sans même m'en rendre compte ? Rien, au final. J'aurais été lui, je serais allé vers une fille mure, qui n'a rien avoir avec moi, la pauvre petite fille riche. Mais non, au lieu d'être heureux avec une fille qui n'avait pas un papa à ses trousses, il m'avait choisie moi, et bien que je ne comprenne toujours pas son choix, j'en étais pas moins comblée.
Jeno se redressa et caressa ma joue de sa main douce. Je l'observais « tu sais qu’j’adore quand tu dis ça ! » me dit-il avant de lâcher un rire. Je souri timidement. Il pose sa tête sur mon épaule. J'enlace alors son cou de mes bras et laisse une main se glisser dans ses cheveux, lorsque je sens ses doigts dégrapher mon soutien-gorge, d'un seul coup. C'est bien, il s'améliore ce malin ! Il lâche le bout de tissu qui séparait nos chair, et ce dernier va rejoindre nos vêtements près du lit. Jeno s'allonge et regarde ma poitrine. Je lui lance un petit regard coquin et le sourire qui va avec lorsqu'il me sort en rigolant. « des fois j’me dis que tes seins ont vraiment été fait pour mes mains ! » 'éclate de rire avant de passer ma main sur ma bouche à cause du bruit que j'viens de faire. ' Tu va nous faire griller Carpenter avec des blagues pourries ' dis-je en rigolant plus silencieusement. Je me roule momentanément sur le coté manquant de me casser la gueule pour enlever mon short en jean, puis reviens sur lui, presque totalement nue avec un grand sourire. J'ai peut-être l'air d'une folle, mais je m'en fiche à ce stade là, il doit bien se douter de toute façon que je suis folle de lui. Je pose une main sur son torse et m'approche de son visage en faisant attention à ce qu'il n'avale pas mes cheveux. J'effleure ses lèvres avant d'aller lui murmurer à l'oreille ' J'ai envie de toi, Jeno. '


© Chieuze

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