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We used be friend - GABRIEL

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    En ce moment j’étais assez tourmenté, je ne savais plus quoi faire. J’étais en plein dilemme, j’étais enceinte depuis quelques jours maintenant je n’avais pas fait de test de grossesse mais j’étais sûre de moi. Tous les signes ne trompaient pas : nausées, fatigue, absence de règles, douleurs aux ventres et prise de poids. Je m’en voulais énormément d’être tombé enceinte car je savais que River ne voulait pas d’enfant, cette situation me pesait beaucoup. Je n’osais pas lui en parler, j’avais peur des conséquences que cela pourrait entrainer pour notre couple, je ne voulais pas me retrouver seule avec un enfant comme ma mère l’avait fait après que mon père soit parti en hôpital psychiatrique. Je faisais tout pour qu’il ne s’aperçoive pas de ma grossesse mais c’était dur de porter un tel secret. J’étais convaincue qu’il ferait tout pour que j’avorte mais je ne voulais pas tuer mon bébé, celui qui était dans mon ventre…Les hommes peuvent pas comprendre ce genre de truc, pour eux c’est beaucoup plus facile. Dans le hall de l’université, je me sentais comme désœuvré je ne savais plus quoi faire. Je tournais et je virais d’un côté puis d’un autre. J’avais besoin de parler de cela à quelqu’un mes amies semblaient avoir trop de problèmes pour que j’évoque les miens. Lorsque je tentais de trouver un visage familier pour continuer ma route que j’avais commencé toute seule je reconnu quelqu’un…Enfin reconnaitre c’était un bien grand mot car son visage me disait quelque chose mais je n’arrivais pas à voir qui il était. Quelques secondes plus tard les souvenirs me revinrent à la surface, il était mon ami lors du lycée, j’ouvris grand la bouche, jamais je n’aurais pensé le revoir ici. Il m’avait complètement mis de côté du jour au lendemain et je n’avais jamais su pourquoi, cela m’avait beaucoup peiné à l’époque mais malheureusement les gens avaient toujours tendance à m’abandonner de la sorte. J’allais alors doucement vers lui mais je me méfiais beaucoup, peut être qu’il ne voudrait toujours pas communiquer avec moi. Une chose était sûre je ne pourrais pas me prendre de vent avec lui puisqu’il était muet, si il refusait de me parlait cela passerait inaperçu. Je murmurais doucement « Gabriel ? ». J'étais si peu convaincu qu'il aurait très bien pu ne pas entendre ma remarque, je soupirais puis reprit un peu plus fort « Tu te rappelles de moi ?».
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It's too late to apolozige, it's too late. I said it's too late to apolozige.
Je m’étais levé du bon pied ce matin. J’étais heureux voilà tout, je n’avais aucune contrainte, j’allais bien, mes cours me passionnés toujours autant et ma mère m’avait annoncé sa venue dans les prochains jours. La magie de Noël se faisait de plus en plus présente et le campus rayonnait de toute cette magie. C’est bizarre mais j’ai toujours eu l’impression que les fêtes faisait des miracles et que tout le monde était heureux. C’était la période de l’année où tout était possible. Je sortis de ma chambre après m’être lavé, habillé et emplit mes poumons. Je lâchai un soupir heureux, la journée allait être bonne, je le sentais. Je saluai mes amis Quincy qui passaient par là d’un signe de main, tout le monde avait le sourire aux lèvres. En même temps, c’était Noël. Je vagabondais dans les couloirs sans réel but, je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire aujourd’hui. Je pensais encore à cette belle jeune femme que j’avais rencontré il y a peu, Kaelyn je crois. Le sourire aux lèvres, les mains dans les poches, je marchais d’un pas léger à travers la multitude d’élèves. Je décidai finalement d’aller voir le panneau d’affichage pour voir les nouveautés du jour et surtout, pour voir si notre action caritative avait recueilli quelques signatures. A mon grand bonheur, quelques élèves avaient signé pour la cause des enfants d’Afrique, la journée devenait de plus en plus réjouissante. Je rajustai mon béret sur ma tête avant de regarder les autres annonces en tout genre. « Gabriel ? ». A l’entente de mon prénom je me retournai, le regard surpris, cherchant qui avait bien pu m’appeler. Je ne reconnaissais pas la voix, du moins elle ne me disait rien. Une jeune femme typée s’approcha alors de moi. « Tu te rappelles de moi ? ». La personne qui m’avait appelé, je la connaissais bien. Je ne l’avais pas oublié malgré moi. Je me souvenais très bien de June, j’avais été fou amoureux d’elle à Paris mais elle avait donné son cœur a un con de première. D’un seul coup je m’étais éloigné sans lui donner de raison. J’étais surpris de la voir ici, comme quoi Noël fait vraiment des miracles. Mon cœur était partagé entre joie immense et tristesse profonde. Je la regardai avec un léger sourire aux lèvres et je hochai la tête doucement pour répondre à sa question. Suite à cela je sortis mon calepin et écrivit. Comment tu voudrais que je t’oublis ? . Je lui tendis mon calepin pour qu’elle puisse lire. Je ne comprenais pas vraiment pourquoi elle était venue me parler, surtout après tout ce temps. Mon esprit était un peu confus. Mais bon, je n’allais pas gâcher ma journée pour cela et je l’invitai alors à marcher un peu. Mon stylo en main, je continuais d’écrire. Tu deviens quoi ? Ça me fait drôle de te revoir ici. . Faire comme si de rien était n’était sans doute pas la meilleure solution mais je ne voulais pas lui avouer les sentiments que j’avais pu avoir à son égard.

(c) AMIANTE

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    J’avais revue son visage et beaucoup d’émotions étaient revenus à la surface, d’un seul coup, comme si les quelques années depuis notre séparation avaient été oubliés. Même si je me rappelais de notre complicité, je me rappelais aussi de la façon dont il m’avait ignoré après que je me sois mise en couple. Je n’avais pas compris cette attitude, je savais qu’il détestait le genre de personne dont j’étais tombé amoureuse, moi aussi je le détestais avant qu’il me charme. Il m’avait tellement bien fait croire que c’était un garçon sensible que j’avais espéré que quelqu’un de bien pouvait se trouver derrière une personne superficielle. Mon ex avait été la seule personne qui c’était intéressé un minimum à moi, il était le seul qui m’avait dragué et qui me trouvait jolie à l’époque. J’avais été conquise par ses belles paroles, son physique plutôt attrayant et puis je m’étais rendu compte que je m’étais trompé à son égard. En effet c’était juste un beau parleur et quand il avait eu ce qu’il voulait j’avais découvert qu’il avait fait ça pour un stupide pari. Une chose est sûre, lorsque j’avais eu besoin de Gabriel après avoir eu le cœur brisé il n’avait plus jamais donné signe de vie, je n’avais pas compris pourquoi. Même si il me manquait quand je m’étais mise en couple, il m’avait manqué davantage quand je m’étais retrouvé seule, comprenant à quel point il était important pour moi. Je n’avais jamais compris pourquoi après ma rupture nous n’étions pas redevenus amis puisque c’est mon compagnon qui le dérangeait apparemment. Certaines questions restaient sans réponse...Le voyant prendre son petit calepin je me rappelais aussi de ce qui faisait la force de notre amitié : nos différences. Moi bien trop ronde pour rentrer dans le moule et lui, muet, écrivant sur son calepin, cela ne m’avait dérangé. Je raclai ma gorge pour lui répondre d’une manière plutôt froide : « Tu m’avais déjà oublié en France alors ce n’était pas bien difficile… ». J’avais du mal à être franche, glaciale et presque méchante, j’avais eu tellement d’affection pour lui mais il m’avait fait beaucoup de mal en m’abandonnant du jour au lendemain sans me donner aucune explication. J’essayais de lui rendre avec difficulté la monnaie de sa pièce. Je lui expliquai ensuite les raisons de ma venue à Harvard : « Moi aussi ça me fait bizarre…J’aurais voulu te revoir avant…J’ai suivit l’homme que j’aime aux Etats-Unis mais malheureusement pour moi cela se complique entre nous. Et toi que fais-tu ici ? »
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It's too late to apolozige, it's too late. I said it's too late to apolozige.
Sa présence me troublait, tous les souvenirs que j’avais réussis à ancrer bien au fond de moi refaisaient surface. Ma tête n’arrivait plus vraiment à réfléchir et malgré mes espérances, faire comme si de rien était ne marcherait sans doute pas très longtemps. Il y avait cette gêne entre nous, toutes ces choses inavouées qui nous éloignaient encore plus que ce qu’on l’était avant. Elle était si proche et pourtant si loin. « Tu m’avais déjà oublié en France alors ce n’était pas bien difficile… ». Sa remarque me blessa au plus profond de moi, si seulement elle savait pourquoi je m’étais éloigné d’elle. Je ne l’ai jamais oublié, même après toutes ces années il m’arrivait encore de me souvenir de June avec une grosse nostalgie. J’étais fou d’elle en France et je ne lui avouerai sans doute jamais. Je voulus lui répondre que non, que jamais je ne l’ai oublié malgré cet éloignement soudain mais à quoi bon, ce serai lui tendre une perche pour me demander «pourquoi ?» et je n’aime pas du tout mentir. Je préférai donc me taire, en même temps, en tant que muet, je n’avais pas vraiment le choix. De plus la présence de la jeune femme me troublait je finis alors par lui dire. « Moi aussi ça me fait bizarre…J’aurais voulu te revoir avant…J’ai suivi l’homme que j’aime aux Etats-Unis mais malheureusement pour moi cela se complique entre nous. Et toi que fais-tu ici ?» . Je la troublais aussi, c’était peut-être bon signe ? Ou pas. Son départ pour un homme aux USA ne m’étonnait pas beaucoup. Le française avait toujours était comme ça quand elle était amoureuse, toujours à fond. Mais le fait que tout cela se complique me rendait vraiment triste, j’avais de la peine pour elle et je voulus presque lui prendre la main comme avant. Lui serrer pour lui dire « je suis là, je te lâche pas ». Mine de rien, même après toutes ces années, June était encore une personne chère à mon cœur… On tournait en rond dans le grand hall magnifique d’Havard. J’enfonçai mes mains dans mes poches et inspira profondément, j’étais bien ici, les gens m’acceptaient tel que j’étais. Malgré ce bien-être, je voulais faire comprendre à Jude que j’étais là pour elle. Je lui pris alors la main et lui serra doucement, lui souriant doucement. J’espère qu’elle avait compris le message. Je faisais vraiment comme si de rien était… Mais le contact de sa main dans la mienne me fit frissonner et je ne voulais pas la lâcher. Je finis alors par m’intéressé à sa question « Et toi que fais-tu ici ? ». Je pouvais lui dire la vérité ou lui mentir comme à tous les autres qui me demandaient ça. La jeune femme était au courant pour mon père mais je ne sais pas si c’était une très bonne idée de lui dire, seulement je ne supportai pas l’idée de lui cacher une seconde vérité. Je pris alors une grande inspiration, me jetant à l’eau je lui décrivis le pourquoi j’étais là. Mon père ne m’accepte toujours pas. Il me renie de plus en plus et ne répond jamais à mes mails. Je suis venu à Harvard pour l’impressionner mais ça ne marche pas vraiment… . Ma journée qui avait très bien commençait virait alors au noir, je n’aimais vraiment pas penser à mon père, tout cela me faisait mal..

(c) AMIANTE

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    Je lui aurais menti si je lui disais que sa présence ne me faisait rien, j’étais très contente de le retrouver, il avait été un ami chère, un ami fidèle en qui je me retrouvais souvent car nous avions tous les deux notre petite différence à nous. En même temps ces retrouvailles avaient un goût amer, j’aimerais tant savoir pourquoi il m’avait rayé de sa vie du jour au lendemain, juste parce que j’étais sortie avec le mauvais garçon. Je pensais qu’il allait me revenir un jour, j’étais tellement attaché à lui mais malgré mes efforts rien n’y avait fait. Jusqu'à mon départ pour Boston je ne l’avais pas revu, je n’avais jamais eu de nouvelles de lui et aujourd’hui je n’avais toujours pas d’excuses. Pourtant ma tête était toujours remplie de question, comme a l’époque. Je fis un léger sourire lorsqu’il me prit la main, je comprenais qu’il voulait me prouver son soutien mais pourquoi ? Pourquoi alors qu’il m’avait si violement abandonné, qu’il m’avait privé de son amitié et qu’il m’avait aussi fait souffrir sans le vouloir. Au contact de sa peau sur la mienne, je sentis un léger frissonnement de sa part mais je mettais ça sur le compte du froid hivernale, après tout, nous étions en plein hiver. Je lui demandai pleine de tendresse : « Tu as froid Gabriel ? ». Ce n’était pas très important c’est vrai, mais je ne voulais pas qu’il se sente mal, j’avais cet aspect protecteur avec les gens dont j’étais proche. Je serais certainement une vraie maman poule quand j’aurais un petit bébé. Je lui avais demandé par la suite la raison de sa venue, sachant très bien qu’il était français. Il m’expliqua tout en écrivant sur un petit post-it, apparemment cette histoire le peinait. Je sais que les relations qu’il avait avec son père étaient plutôt tendues. Je voulais le réconforter mais je ne savais pas quoi faire, à mon humble avis il ne devait pas être à Harvard pour son père mais plutôt pour lui. Si son père était incapable de voir la personne que Gabriel était entrain de devenir et bien c’était le pire des imbéciles. Prenant le morceau de papier dans ma main je lui répondis avec un sourire : « Tu sais quoi…Ton père ne mérites pas autant d’attention, il est tout simplement débile si il ne voit pas que tu es quelqu’un de…. ». Je n’osais pas dire génial car après tout il m’avait laissé tomber et m’avait fait souffrir aussi, j’avais perdu un ami sans aucune explication et je ne pouvais pas lui pardonner aussi rapidement, je poursuivis pourtant : « De bien, ne cherche pas à l’impressionner, ne fais pas les choses pour lui mais pour toi ! Pour les gens qui prêtent suffisamment attention à toi, ceux qui t’aiment vraiment ! ». C’est vrai que c’était simple à dire mais quand j’avais pris conscience que mon père était dangereux j’avais du adopter une attitude spéciale envers lui et plus jamais j’avais essayé de me comporter normalement, j’avais du faire avec. Je pris alors le petit morceau de papier entre mes mains avant de le déchirer en plusieurs confettis avant de souffler doucement dessus et de lui dire : « Voilà l’importance que tu devrais accorder à ce qu’il pense… ». Les petits morceaux de papier se mirent alors à tourbillonner dans le vent, je lui dis en riant : « Tu as vu, il neige ! ». Oui, j’étais un peu gamine dans mes propos mais la magie des fêtes de fin d’année m’avait inspiré et puis je trouvais ça juste magique d’avoir réussit à créer de la neige artificielle en deux temps, trois mouvements.
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