My Understandings

But I can see it has to be you, love that I've been dreaming of.
And if we climb this high, I swear we'll never die

J'étais rentrée. Oui de nouveau ici sur ce terrain qui me donnait des hauts de coeur. l'avion c'était posé et je n'avais pas eu le choix de tirer ma valise jusqu'au campus.Si ça n'avait été que de moi je serais reparti pour une nouvelle aire , mais nous sommes à présent deux et je nous ai divisé en n'épargnant pas mes blessures. J'aimerais pouvoir nous additionner de nouveau alors la première chose à faire , revenir sur un chemin déjà emprunté. Ce n'est pas seulement quelques heures qui se sont écoulés , mais deux longues semaines. Deux longues semaines à revoir encore la scène . Revoir mon poing fracassé son visage. Au moment du fracassement j'ai ressenti la même douleur comme si je venais d'intercepter le choc. Je venais de blesser la partie de mon coeur. J'ai tremblé et tout est resté bloquer pendant un moment et pourtant j'ai hurlé.Crier en m'en brûlant la gorge qu'il s'en aille , alors que je l'aurais pris contre moi pour ne jamais le laisser se détacher de moi. Le seller à moi pour l'éternité . Mes neurones ne sont ébouillantés et les étincelles ont percutés pour me retrouver sur une planche vacillante entre l'état paisible et la violence. Tout au long du trajet j'ai regardé par le hublot et je me suis demandé s'il n'était pas déjà trop tard. Si je devais renoncer à cette quête et me dire que ce chapitre était déjà terminé. Il n'y aurait de pas de suite ni d'effacement. Il n,est plus question de laisser filer de nouveau cette amour qu'on m'offre. En m'installant de nouveau dans la maison des quincy , j'ai croisé une connaissance autrefois faite durant mes périples. Un simple salut et un bienvenue il me l'avait rendu avec un grand sourire. Je connaissais son nom , mais cette personne ne savait pas le miens. Je partageais les souvenirs dont moi je me rappelais , mais il restait sur le point négatif. Une alarme sonna dans ma tête. Je réalisais que si moi je pouvais partir et oublier les gens et faire comme si rien n'était ils pouvaient le faire eux aussi aussi bien.J'avais pris deux heures de tourmente avec le combiné à la main pour réussir enfin à entendre sa voix. À me mordre la lèvre jusqu'au sang , à me taper la tête sur les murs , à déchirer des feuilles , si bien que mes compositions ont failli passer au déchirement de mes doigts aussi. J'ai vite réalisé que je n'arrivais pas à lui parler , à enfiler une phrase complète. Un seul je t'aime , une simple excuse s'était faufilé entre mes lèvres. Je désirais entendre qu'il m'aime encore. Qu'il ne m'oubliera pas . Le silence nous avait engouffré et le tout c'était terminé par un point de rendez-vous dans un bar. La raison est simple si j'avais choisi cet endroit c'est pour me perdre dans un verre si on se sépare. Si il décide de se détacher pour de bon de moi. Je crois qu'il est fort possible qu'il puisse me repousser à son tour comme je lai fait à de multiples reprises. Je ne lui donne pas la vie facile et pourtant il reste là. J'ai vite compris que je ne pourrais pas me débarrasser de Naël , car il est destiné à être dans mon parcours jusqu'au cercueil. Premier arriver je l'attends en faisant taper mes doigts sur le comptoir. Déjà de l'alcool dans le sang , je me dis que c'est la seul chose qui pourrait m'aider à vider mon sac. Je regarde la porte presque à tout les dix secondes de peur qu'il ne se pointe pas. Mon visage se démolit sous la fatigue . Mes yeux se creusent sur ma peau finis par des cernes mauves. On pourrait presque encore la fine traces des larmes sur mes joues.Sur le point de flancher , je le vois comme un ange enfin franchir la porte. Je me retiens pour ne pas lui sauter au cou , j'aimerais tant l'embrasser. Oh Naël reste avec moi...

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WHEREVER WILL GO

(verlaine) ▽ Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville, Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ?

Je n'aurais pas cru avoir de nouveaux ses nouvelles, je me suis lever en ce début décembre un peu sur le cul après avoir passer la nuit enfin quelque minutes au téléphone avec lui. Cela faisait une semaine que j'étais revenu à Harvard avec un vague souvenir de mon acharnement a retrouver Hoël qui c'étais encore echapper tel l'oiseau qui guide ses utopies. J'étais completement déboussollé j'ai quitté ceux que j'aimais, mes responsabilité pour retrouver l'homme qui a attendu avant de me dire qu'il m'aimait... Je ne pouvais pas l'abandonner, mais quand je l'ai retrouvé c'est son poing qui ses retrouver à s'ecraser contre mon nez tel du carton fin. Le cristal qui protegeait mon coeur se brise laissant echapper mon organe éphémère de l'amour dans un monde infernal baigner dans lhorreur et les larmes. J'ai quitté Hoël pour mon bien et le sien, il voulait partir je ne pouvais pas l'en n'empecher, mais sur la route j'ai fait un détour pour partir me changer les idées ne prévenant personne, sur le chemin du retour j'ai un accident, je me suis pris un platane une plaque de verglas qui etait la au milieu de la voie que je n'avais pas vu. Mon volant a glisser et j'ai rencontrer le platane a travers mon part brise, n'ayant pu eu de téléphone j'ai décidé de retourner dans ma chambre voir Nevada quel m'emmène à l'Hopital. Enfin bref passons je ne vais pas raconter ma vie. On c'était donner rendez vous dans un petit café non loin du campus, je me suis habillé sorbrement javais emprunté la voiture de Emma pour venir, c'était elle dailleur qui ma poussé a venir. J'ouvris la porte du café, j'étais habillé d'un sweet de sport gris avec un pantalon en toile beige, une paire de converse basique, les cheveux mi long en bataille blond comme le blé et les écouteurs aux oreilles... Je refermis la porte, on ne voyais plus rien sur mon visage plus d'hématome ni de trace de blessures, par contre sur le torse j'ai un hématome qui forme une barre qui fait la largeur de mes cotes. Je m'approcha vers le bar quand j'apperçu Hoël, je retirais donc mes écouteurs pour m'approcher vers lui. En le regardant j'avais la scene qui passait en boucle dans ma tête comme si mon cerveau me disait de fuir et de refaire ma vie.. « Salut... » dis-je d'un ton assez calme...

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Aucune seconde n'avait été encore ajoutée au compteur que je voyais déjà la scène en plusieurs plan défiler dans ma tête. Un moment il fuyait , dans les plus belles espérances il m'embrassait et dans un autre temps c'est moi qui prenait le bord dans l'autre direction. J'étais lasse et rien de plus qu'un démon qui s'était éveillé il a quelques jours. Le petit monstre rouge me mangeait les neurones et mes nerfs et oubliait celui que je pouvais être. Calme et attachant avait sombré dans quelques gouttes d'alcool. Mon antidote ? Il se tenait juste là devant moi et pourtant je l'avais éloigné de moi comme on fuit la peste. Son simple salut me retourna le coeur le noyant dans mes larmes que j,avais ravaler. Sous l'océan je ne trouvais plus rien pour remonter à la surface. Je suffoque et l'oxygène n'est plus rien. À quelques centimètres de moi je sens mes mains comme des aimants qui aimeraient le ramener à moi , mais dur comme le fer je les laisse sur le cotée de mon corps , les doigts crispés. Je pouvais voir sur son visage l'endroit exact où mon poing avait atterri même si sa peau ne renvoyait plus d'indices. Certaine personne aurait déjà tournée la page et ne se serait pas pointé ici , mais il faut croire que j,avais déjà une lueur d,espoir comme il c'était présenté. Que pouvais-je faire ? répété en boucle sans cesse ce que j,avais déjà dit au téléphone. Lui rapporter mes excuses comme elles ne suffisent pas au regret qui me ronge. Je pourrais revenir au moment où il venait se loger contre moi après l'amour. Les moments où il faufilait ses lèvres sur mon cou pour faire pousser une traîner de frissons. Mes prunelles dessinent son torse parfait sous son habit sombre , sans oublier son coeur qui s'y cache que j,ai entendu battre furieusement à mainte reprise. «Salut...» Je repris ma place lui faisant signe qu'il prenne celle à cotée. Je baissais mes yeux sur mon verre vide en un commandant un autre. Je le fis tourner entre mes doigts quelques seconde avant de le vider cul sec. Les mots tournaient comme dans un manège et je n,arrivais pas à les aligne ensemble pour faire une phrase constructive. Je mourrais d'envie de l'entendre dire de nouveau qu'il veule que je revienne. Qu'il me supplie en larme qu'il a besoin de moi , comme il est vital pour moi.«Est-ce que je te manque ?...» Je relevais mes yeux vers lui. Je cherchais la réponse au creux de son esprit que je n,arrivais pas à atteindre. Fermer comme une huitre je ne pouvais plus le lire comme j,aurais pu avant. Je ne peux plus rien définir , tout c'est transformé en énigme. «Je t'en prie...Tu le sais bien que tes important pour moi. Je sais pas ce qui me prends , mais ce que je sais c'est que je meurs de te voir là à cotée de moi dans ce sale état. De pas pouvoir te serrer et de me dire que tout ça est de ma faute. J'aimerais pouvoir me dire que tout ça c'est un cauchemar , mais ce que je redoutais est en faite la réalité...» J'arrête , car je n'en peux plus. Mes lèvres tremblent comme jamais. Je me retourne et essaie de le prendre contre moi , mais je sens déjà le vent me frapper en plein visage.

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Je dois dire que rien que de rentrer dans ce bar me mettait mal à l'aise, je ne savais pas non plus comment réagir face à Hoël, je m'approchais de lui en le saluant, il se décala pour me permettre de s'asseoir a coter de lui. Ayant pris place je leva ma main au barman pour lui demander un Rhum avec une rondelle de citron et du sucre de canne. Je regardais Hoël qui d'une voix faible me salua... Je sentais dans sa voix qu'il n'arrivais pas a m'oublier... Aussitôt qu'il commenda une autre boisson il me posa une question : « Est ce que je te manque? » Je ne savais pas quoi lui répondre à par un oui tu me manques bien sur... Mais avec tout se qu'il c'est passer je me demandais encore se que je fichais ici. Je lui répondit: « Biensur mais avec ce qui c'est passé j'ai du mal à sourire en pensant à toi... » Un nez cassé, des mots qui perda leurs sens aussi tôt... Je dois dire qu'il m'en a fait voir des vertes et des pas murs durant ce mois de Novembre mouvementé. Il essaya encore de s'excuser mais je ne savais vraiment pas comment le faire réagir a ce moment là. «Je t'en prie...Tu le sais bien que tes important pour moi. Je sais pas ce qui me prends , mais ce que je sais c'est que je meurs de te voir là à cotée de moi dans ce sale état. De pas pouvoir te serrer et de me dire que tout ça est de ma faute. J'aimerais pouvoir me dire que tout ça c'est un cauchemar , mais ce que je redoutais est en faite la réalité...» Il s'en voulait tellement... J'entendis se soubressaut dans sa voix qui annonçais un flot de larmes imminent... Je tena mon verre pour en saisir une gorgée, soupirant après avoir bu laissant echapper les vapeur de l'alcool et je lui dit d'un ton sans émotion: « Ecoute Hoël... Je le sais... Mais avec ce qui sait passer à Vancouver je ne sais pas si j'arriverai a me remettre avec toi... Comprend moi aussi, Même si tu me dit que ce que tu as fait et dit ce jour là n'était dù qu'à ton sale caractère, comprend que tout ça m'a bléssé... Cela fait deux ans que je t'aime et te savoir si dur avec moi ma retourné... J'ai retourné cent fois ses mots dans ma tête me disant que tout ceci n'était qu'un rêve et que j'allais me réveiller seul ou avec toi peu m'importe... On ne peut plus faire marche arrière il me faut du temps... J'ai tout perdu pour te chercher... » Je regardais le fond de mon verre j'avais du mal à regarder Hoël j'avais peur que mes Larmes coulèrent comme un nuage ouvert...

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Comment je pouvais penser deux secondes revenir et lui faire oublier tout ça. Effacer les autres années précédentes. Faire comme si je ne l'avais jamais embrassé pour la première , qu'on ne s'était pas revu ici depuis quelques mois et la plus grande de toute faire comme si je lui avais jamais donné mon coeur. Par ses phrases je comprenais qu'il était maintenant bien loin de moi. Un océan n'était même pas en comparaison avec la distance que je ressentais. Je commençais à me demander si je restais dans sa vie , à persister à le garder à mes cotées , je serais sans doute destiné à le détruire pour de bon. Comme un vrais poison en train de creuser son âme. Le remord me ronge tout autant et la douleur me brûle. «Oui à ce que je comprends maintenant c'est que tu veux refaire ta vie sans moi et donc...» Mes larmes jaillirent de mes yeux et tombèrent sur le bar , ruisselant aussi sur mes joues , envahissant ma bouche d'un goût amer et salée. « Si tu veux plus de moi dit moi de partir et je ne reviendrai plus. Car crois moi si ça ne serait que de moi Naël je ne te laisserais pas quitter ce bar. Il n'est pas question que je t'écarte de ma vie de nouveau , de devoir te dire adieu. Adieu à ce que je considère...» Vous savez les scènes d'amours clichés au cinéma , je le savais qu'à ce moment je sortira quelque chose de complètement pathétique. Mais je voyais bien qu'il n,avait pas d'autre forme pour le dire. Quelque chose que je refuse de croire depuis bien des semaines et même depuis 2 ans. Si je ne l'ai pas oublié comme j'ai pu le faire avec des tas de personnes , c'est qu'il doit être bien plus. «L'homme de ma vie...». Je me retourna vers lui et pris son visage entre mes deux mains. Je l'embrassais , même si je le sentais se raidir contre mes doigts.«Je t'aime...» Je frôlais son nez que j'avais blessé. Je jetais l'argent sur le bar prêt à m'en aller. Il m'a dit qu'il avait besoin de temps . Et ce terme invisible aller me faire saigner jusqu'à la dernière goutte.

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Il ne me comprenais pas j'avais du mal a lui dire se que j'avais vraiment sur le coeur.... Je l'aimais je l'ai toujours aimé pourquoi il ne comprend pas que j'ai besoin de temps. J'aimerais refaire ma vie avec lui mais comprend t'il que sait difficile de refaire si facilement confiance à une personne qui nous trahit pour la deuxieme fois. je ne voulais pas lui dire se que j'avais sur le coeur je trouvais ca trop tot et sa réaction aurait été de fuir. il me repondit les larmes aux yeux. «Oui à ce que je comprends maintenant c'est que tu veux refaire ta vie sans moi et donc...» Je me tourna vers lui je voyais ses larmes qui coulèrent je sentais un enorme pincement au coeur en voyant ca,mais je ne savais pas quoi hélas lui dire après tout! Alors il me retorqua: « Si tu veux plus de moi dit moi de partir et je ne reviendrai plus. Car crois moi si ça ne serait que de moi Naël je ne te laisserais pas quitter ce bar. Il n'est pas question que je t'écarte de ma vie de nouveau , de devoir te dire adieu. Adieu à ce que je considère... L'homme de ma vie...» Je le regardait assez bizarrement son ton si mielleux me retournait completement je ne savais vraiment plus quoi lui dire ni quoi penser, j'étais entrain de boire essayant de reflechir quoi lui dire et c'est la qu'il s'approcha de moi pour m'embrasser et la tout est devenu clair... Je me laissa embarquer dans se baiser quand il l'arreta je fus bouleverser il me redit qu'il m'aimais... Et il essaya de s'enfuir mes jambes ne voulais pas bouger en quittant le bar jessayais de tout faire pour sortir je pris la porte sans payer en entendant hurler le patron je vis l'eau tomber en trombe je vis Hoël je couru vers lui l'arretant kidnappant son bras je le retourna l'embrassant sous la pluie. Mes cheveux dégoulinait et je lui dit : " Ne crois pas ça... Je ne serai pas du genre à t'abandonner, mais comprend moi un instant... Tu m'as abandonné je fus sur le cul ne te voyant plus le matin... Je t'ai chercher partout dans le pays avant de te retrouver... Tu crois que je ne t'aime pas assez au point de tout faire pour te retrouver... Je t'aime Hoël... Laisse moi du temps pour digerer tout ceci s'il te plait... "

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Le rideau de pluie couvrait mon chemin et cela me plaisait je pouvais ainsi dissimuler mes larmes qui n'avaient pas cesser leur chute. Le désordre au point d'oublier comment revenir sur le campus. Prendre le prochain vol et relancer les dé sans oublier de brasser les cartes de nouveau. L'espoir essayait de faire surface entre les fuites et l'amour qui perdait quelques plumes.Et même si ce sentiment perdait une partie il pouvait encore me faire tournoyer dans tout les sens. Oui L'espoir essaya de nouveau quand il tira ma main et il me retourna. Il m'embrassa , un baiser dont je ne perdis pas de temps à répondre. Même si je n,avais pas eu le temps de voir qui c'était j'aurais pu reconnaître ses lèvres entre mille. J'essayais de faire ami avec la notion «besoin de temps» , mais ça rimait à ce qu'il ne revienne jamais dans ma vie. J'avais peur de tout perdre , qu'il m'oublie dans les bras d'un autre bien au chaud«Je t'aime aussi..Et très fort même alors je vais te laisser le temps que tu me demande , même si ça me torture comme jamais» J'étais prêt à tout à présent. Me présenter comme une âme si frêle pour lui , peu importe je ferai tout. Je compterai les secondes et les minutes. Je regarderai la deuxième place dans mon lit non occupé. Je l’embrassais une dernière fois et un long moment pour ressentir le plus possible la sensation de ses douces lèvres.D'une voix faible je partis en lui disant «Prends bien soins de toi...et oublie pas...»Je lui pointais ses fesses «Elles m'appartiennent»Habituellement j,aurais dis cela avec mon sourire habituel , mais à la place je partais contre le vent le coeur serré.

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