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Le crush impossible (Milow)

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Rendez vous au bar pour l'apéro ? J'avais bien lu ? Alors non seulement Milow se rappelait de moi mais en plus il acceptait de me voir. Bon ok, je n'y avais pas été cash en lui disant 'tu me plais je veux te revoir' j'avais brandi l'excuse du choix de confrérie, véritable dilemme pour moi, comme occasion pour discuter à nouveau avec lui, mais j'avais quand même glissé quelques petits sous entendus, comme quoi j'étais contente de le revoir et tout… J'avais un large sourire accroché aux lèvres après notre échange de sms et je pianotais quelques messages à mes amies Louison ou encore Bambi, pour les informer de mes avancées avec le garçon, sans pour autant mentionner son nom, ne me doutant pas qu'il pouvait les connaitre l'une ou l'autre. Je filais ensuite dans la salle de bain, histoire de me préparer comme il se doit. Je buguais ensuite mon placard, analysant les tenues qui m'avaient suivie en Grèce pour le voyage… Peut être que j'aurais du demander à mes copines de m'aider pour ça ? Finalement je saisis une robe légère colorée, longueur décente et pas de décolleté ravageur, Milow avait beau me plaire je n'avais pas l'intention de changer mes habitudes vestimentaires pour autant. Je descendis ensuite directement le bar de l'hôtel, cherchant le lowell des yeux, souriant de plus belle en le repérant. Je m'avançai jusqu'à lui et lançai, taquine, faisant référence à notre rencontre et aux sms récents que j'avais reçus : "Black Panther ? Tu serais pas un peu ambitieux concernant ton teint mon cher ? Ou alors t'as besoin d'un miroir je crois." Tirage de langue amusé avant de m'approcher pour déposer mes lèvres sur sa joue doucement. "Je suis contente de te revoir en tout cas…"

@Milow Schäfer
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Le crush impossible
Cassie & Milow

A l'heure convenue je me rendis au bar, prenant place à une table pour attendre la blonde. Ça m'intriguais un peu toute cette histoire, c'est pas mon premier SC et le contact à beau passer, c’était rare de se recontacter pendant le séjour, disons que souvent on part avec notre petit groupe et on reste ensemble. Le regard vers l'horizon, j’attendais la demoiselle, et si je réfléchissais dans un premier temps à ce que j'allais pouvoir lui dire de la Lowell, mes penser dérivèrent bien vite à nouveau sur le brun qui me manquait tant. Honnêtement, si nous étions sur la terre ferme, je crois que j'aurais mis fin à ce voyage pour le rejoindre et je me tâte vraiment à partir à la prochaine escale, quitte à passer une journée entière à l’aéroport Je suis sorti de mes pensées par mon invitée qui est loin de ménager mon égo. Ca me fais sourire c’est indéniable, pourtant je l’efface bien vite pour prendre une mine renfrogné tout en croisant mes bras sur ma poitrine.

« Bon d’accord, ma séance d’UV à un peu foiré… Mais t’aurais pu me laisser croire que pour une fois ma peau avait décidé d’arrêter de faire sa tête de mule et accepter de se coloré un peu. »

Je continue de jouer les boudeurs quelques secondes avant de lui envoyer un clin d’œil et de l’embrasser à mon tour. D’un geste de la main, je l’invite à s’installer avant d’appeler le serveur.

« C’est partagé miss. Alors ton séjour se passe bien ? »
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 Il était là. Donc non seulement il se rappelait très bien de notre rencontre, non seulement il était opé pour me revoir, mais il était bien présent au 'rendez vous'… Trop de bons points pour que je ne m'emballe pas. C'est donc souriante et taquine que je m'approchai du lowell, fidèle à notre première rencontre, lançant une pique au jeune homme en guise de salutations. Que voulez vous, j'étais une brèle quand il s'agissait de flirter, peut être pour ça que j'avais si peu d'expérience en matière de relation et de petits copains. J'étais bien plus douée pour sympathiser que pour draguer. Et puis Milow prenait un air vexé, me faisant un instant perdre mon sourire. Mince, j'avais gaffé ? Il allait partir ? A cause d'une blagounette sur son teint porcelaine ? "Non mais c'est bien aussi les peaux claires… Le bronzage c'est plus vraiment à la mode tu sais, avec le cancer de la peau et tout ça…" tentai-je maladroitement de me rattraper alors qu'ensuite il m'adressait un clin d'oeil amusé et venait me biser à son tour. "Hey, j'y ai cru… On se connait pas assez, je me suis dit que j'avais finalement à faire à un monsieur susceptible." Et en plus, avec sa comédie de boudage, j'avais pas eu le temps de savourer le contact de ses lèvres contre ma joue dommage. Mais je retrouvais quand même le smile en l'entendant me retourner son contentement de se retrouver ici. Je me posais face à lui alors qu'il prenait de mes nouvelles, commandant un thé glacé au serveur qui s'était approché. "Et bien, y'a eu quelques petits imprévus, quelques tracas, mais rien de méchant…" Je n'allais pas commencé à lui raconter que je me prenais la tête à cause de la relation entre mon ex et ma soeur, ou encore que je m'inquiétais pour le moral de mon autre ex ? J'étais peut être nulle en drague mais je savais une chose : parler de ses exs à un garçon qui nous plaisait c'était aller droit dans le mur. "Mais globalement ça se passe bien. J'ai même retrouvé mon ancienne copine de chambrée de la Cabot House et elle m'a proposé de vivre avec elle dans son loft." lançai-je avec entrain. "Et toi alors ? Comment ça se passe de ton côté ?"
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Une soirée magique ou pas au bal
Chad & Milow

Je pensais pas que mon jeu d’acteur s’était amélioré au point que la demoiselle cours dedans à ce point. Je riais de ses justification, amusé qu’elle aille jusqu’à parler du cancer pour me faire passer la pilule.

« Mais quel cliché ! Juste parce que je suis artiste, je suis forcement sensible et susceptible ? »

Je continuais de la taquiner sans pouvoir m’en empêcher, mais cette fois, si je posais la paume de ma main sur mon cœur pour feindre un égo blessé, je gardais un petit sourire en coin. La faire marcher oui, mais pas culpabiliser, tout ça n’était que pour rire. Je l’invitais à s’installer, lui demandant si son séjour se passait bien. Une petite grimasse étira mes lèvres quand elle avoua avoir eu quelques péripéties.

« Que serais un SC sans sa petite dose de drama ? C’est ce qui fait tout le charme non ? C’est comme les bals de fin d’année, en moins pire peut être.»

Je lui adressais un petit sourire Cette année j’ai esquivé les désagréments, mais le prix à payer était cette solitude, bon et puis le voyage n’est pas encore fini.  Heureusement, au milieu de tout ça la blonde profitait de son séjour, ce qui était le principal.

« Alors tu comptes abandonner les chambres collectives des maisons ?»

Demandais-je amusé. Personnellement je me vos pas vivre ailleurs qu’a la Lowell, je trouve que la collocation à grande échelle est une bonne expérience. Après j’ai toujours vécus en internat, et je crois que me retrouver seul dans un appart ou même à plus petit nombre me fais un peu flipper.

« Oh, je travaille durement sur mon teint ! Ca me demande toute mon énergie tu sais Rester allonger sur un transat toute la journée, c’est plus dur que ça en a l’air ! Et je m’accorde de temps en temps une pause pour composer.»

L’avantage c’est que j’avais bien remplis mon carnet, mélodie, texte, dessin tout y était passé.
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Je crus un instant avoir fini par le vexer, même si les taquineries avaient été de mises dès notre première rencontre, je m'empêtrais dans des justifications alors, jusqu'à son clin d'oeil. Et il en rajoutait, peut être un peu trop pour être crédible, histoire de me culpabiliser un peu plus, même si je n'étais désormais plus dupe. "Hey je suis sensible et susceptible, c'est moi qui vais finir par prendre la mouche si tu continues." répliquai-je en riant. "Puis j'suis une actrice philosophe, alors je serais mal placée pour te cataloguer, ou bien il faudrait que je me mette dans la même case que toi." Peut être que c'était ce qui faisait que je me sentais bien avec le lowell, ce côté artiste libéré, parfois incompris, très souvent stigmatisé et catalogué à cause de clichés qui ne nous correspondaient pas forcément ? Oui peut être que c'était ça qui me plaisait dans le fait d'être avec lui, ou peut être était-ce le fait qu'il me faisait craquer… La suite de notre entrevue nous le dirait. Prenant place face à lui, c'est en parlant vaguement de mon début de SC mitigé que je commençais. "J'imaginais peut être que mon retour serait plus… discret." Partir un an et revenir comme si de rien n'était ? Mais forcément, entre mes exs qui avaient fait n'importe quoi, mes copines qui avaient une vie agitée, ma roomie qui était malade… Le retour s'était fait sur le chapeau de roue. C'est de ma colocation que je parlais ensuite, LE point positif de mon comme bac. Ca étonna mon interlocuteur que je quitte les logements collectifs de confrérie. "T'oublies que je sais même pas où signer l'an prochain. Si ça se trouve je resterais en dehors des confréries." Allez go Milow, tente de me convaincre. Petit sourire joueur à l'intention du garçon alors que j'écoutais ensuite le jeune homme me conter son début d'été. "J'aimerais bien t'entendre jouer…" Et probablement que c'est le genre de choses qui me ferait encore davantage craquer pour lui…


Hj : sorry j'étais un peu overbook Le crush impossible (Milow) 2474380249
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LE CRUSH IMPOSSIBLE

Cassie & Milow

Après autant de moment passé dans mon coin, un peu de compagnie me faisait le plus grand bien, je retrouvais ma joie de vivre qui me semblaient loin avec ce dilemme qui me colle au basque depuis le début du Summer Camp. Alors évidemment, j’étais taquin comme pas permis, trait de caractère qui amusait la blonde qu’à petite dose si je suivais bien ses propos à moins qu’elle me fasse le coup de l’arroseur arrosé, une hésitation que son rire trancha rapidement.

« Outch ! C’est pas très gentil ça, de vouloir me mettre dans une case qui à l’air de te répugner !

Je grimasse faussement, continuant dans le même registre, de toute façon le sérieux allait finir par nous rattraper, alors autant profiter de la légèreté tan que possible non ?
La discussion pris ensuite la direction de notre voyage, et lorsque la blonde parla de retour agité, je pensais un petit moment au mien, au bordel et scandale que ça aurait pu mettre si mon père n’avait pas étouffé l’affaire. Seulement nos situation devait être bien différente, du moins je l’espérais, et curieux je me risqu’a à lui demandé ce qui l’avais poussé à quitter Harvard.

« Ton retour, comment ça ? Enfin si c’est pas trop indiscret ?»

On en venu à parler des confréries, c’était certes un des sujets évoqué dans son texto, mais il était venu naturellement sur la table quand elle me parla de colocation.

« Les confréries font partie intégrante de la vie universitaire ! Je trouve ça réellement dommage de zapper cet aspect. Personnellement la Lowell m’a apporté tant que je lui serais toujours redevable. L’entraide qui y règne, le partage des connaissances, les discutions quelques fois animés qui finissent en grosses crises pour avoir disparus le lendemain, la possibilité de voir le monde au travers des yeux d’un autre. Franchement je ne sais pas si c’est pareil dans les autres maisons, mais je ne quitterais jamais la Lowell je pense.»

Je parlais en toute sincérité, avec mon cœur, ne cherchant pas à vendre ma maison, parce que je reste persuadé que tout le monde ne peut pas se plaire là-bas. Cependant, il y a tellement de maison au principe divers et varié que je doute que quelqu’un ne trouve pas sa place.

« Pour ça, il faudrait qu’on dégote une guitare ou un piano. Ça m’a fendu le cœur de devoir la laisser à Cambridge, mais la pauvre est trop volumineuse pour avoir une place en cabine, et trop précieuse pour subir un voyage en soute !»

Je grimasse à la fois désolé et mal à l’aise. Jouer devant quelqu’un, bien que ma progression ne soit pas moindre me rendait toujours mal, seul Chad arrivait à calmé le poids dans ma poitrine et mes tremblement, sauf que là, il était à des kilomètres. Pourtant, si jamais nous trouvions un instrument, j’essayerais, disons que se serais un bon exercice.
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En réalisant qu'il s'amusait de moi, l'actrice en moi prit le dessus et ce fut mon tour de jouer les effarouchées. Rires et bonne humeur entre deux plaintes surjouées de star susceptible. "Je suis sûre qu'on peut faire tourner en bourrique le serveur quand il reviendra. " Suggerai-je ensuite. Se confiant sur notre début d'été, c'est l'évocation de mon 'retour' qui intrigua le garçon. Je m'expliquai :" Je suis partie un an avec une troupe de théâtre. " Il comprendra ainsi mon goût pour le jeu, la comédie, les rôles et mimiques qu'on pouvait prendre.  "C'était une année de folie. On a fait des représentations dans différents états autour de Boston, dans des théâtres magnifiques. On jouait beaucoup de comédie grecques, mes préférées. C'était sensas'" racontai je avec un air passionné mais également cette teinte de nostalgie dans la voix. Et puis parler de l'été me fit forcément évoquer mes retrouvailles avec ma roomie,  ex copine cabot,  Bambi m'avait proposé de cohabiter avec elle, chose que j'avais accepté avec entrain. J'en étais presque impatiente de rentrer du coup. Et donc on parlait confrérie et le fait qu j'allais déserter les dortoirs de la mienne pour habiter avec la demoiselle. Sauf que je ne savais toujours pas où aller. Je souris en écoutant le jeune homme parler. Il n'en faisait même pas exprès mais il vendait super bien la Lowell house. "Tu devrais te présenter aux présidentielles en tout cas, tu respires lowell." Commentai-je avant d'ajouter un bémol : "Je crois que mes parents préféreraient que je signe chez les bleus. " Alors est-ce que j'allais encore jouer les petites filles sages ? En tout cas, je partageais mon envie de voir Milow jouer et il me confia ne pas avoir emmener sa gratte, ni son piano mais c'était logique, avec lui en voyage. "on peut partir en mission de recherche après notre verre, qu'est-ce que tu en dis ?" Si il n'y avait que ça, j'allais lui trouver des instruments moi.
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LE CRUSH IMPOSSIBLE

Cassie & Milow

Les taquineries battent leur plein dans les deux camps, et si cela me suffit amplement, la blonde voudrait berner une autre personne, jetant son dévolue sur le pauvre serveur qui n’a rien demandé.

« Le pauvre, il est en train de taffer et je pense qu’il se tape assez de crise de client pas satisfait pour qu’on lui en joue une.  »

Je ris légèrement, même si dans le fond je suis sérieux et surtout apitoyer par l’avenir proche de ce pauvre type. Heureusement pour lui, la conversation prend une toute autre tournure, bien plus joyeuse. Effectivement, contrairement à moi, le départ d’Harvard de la miss est tout à son honneur. Je comprends mieux sa facilité à imiter, jouer et sur-jouer.  

« La classe ! Tu m’étonnes que ça devais être génial. Pas trop dégouter que ce soit fini ? »

Jusqu’à tout à l’heure, j’ignorais totalement que la demoiselle touchait de si près à mon monde.  Et je trouve ça assez extraordinaire que le hasard nous ait mis sur la même route. On a peut-être même plus en commun que je ne l’imaginais. Du moins c’est la sensation que j’ai lorsqu’elle m’avoue que ses parents aimeraient la voir chez les Eliot. Ca tournure de phrase me ramène quelques mois plus tôt, et à mes problèmes familiaux maintenant loin derrière.

« L’important, c’est pas tes parents, c’est toi Cassie. J’ignore la relation que tu as avec ces derniers, mais même si ils te semblent totalement hermétique, fais en sorte qu’ils t’écoutent vraiment, explique leurs tes choix,  et tu verras que peut-être ils te pousseront dans une autre direction. Je pense que nos parents veulent le meilleurs pour nous, seulement nous ne leurs parlons pas assez sincèrement pour qu’ils puissent nous aider à prendre les meilleurs décisions.  »

C’est ce que j’avais retenu de ma mésaventure, et si Cassie pouvait éviter de frôler le pire pour le découvrir c’était aussi bien. Après nos situations était sans doute différente, et venant tout juste de se rencontrer, il est bien trop tôt pour se confier sur de tel sujet.

« Mission délicate, je doute que grand nombre de voyageur est pris un instrument sur ce paquebot ! Mais on peut toujours essayer ! »

Extérieurement tout allait bien, mais intérieurement, j’en menais pas large quand même. Il me restait plus qu’a compté sur la difficulté de la tâche pour pouvoir y échapper. Mais d’un côté, réussir à trouver une guitare me permettrait d’enfin entendre les mélodies qui pour le moment ne sont que des notes dans mon cahier.
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Décidant de finalement laisser le pauvre serveur travailler, gardant nos talents d'acteurs pour nos propres délires, on devint quand même plus sérieux ensuite. Je racontais mon départ d'Harvard, la troupe, la tournée, les représentations, révélant ainsi mon côté 'artiste' au lowell, même si pour le coup nous ne faisions pas dans le même registre lui et moi. Forcément, vu l'engouement quand je confiais mes impressions sur l'année écoulée, il me questionna naturellement sur la fin et sur mon sentiment vis à vis de cela. Mon sourire s'estompa un peu. "Si, si, bien sûr, je suis triste ça va me manquer. Le club du théâtre du campus ça ne fait pas pareil." Pas autant de représentations, un public bien moins nombreux, moins de représentations, moins de frissons en perspective donc… "Mes parents tenaient à ce que je reprenne mes études…" Alors me voilà. Petite fille sage au rapport. D'ailleurs en parlant de mes chers géniteurs, je révélais leur ambition côté confrérie pour moi : ils me voulaient chez les bleus. Mon interlocuteur insista sur le fait que ce n'était pas eux l'important. "Je sais pas trop tu sais… On ne parle pas beaucoup et j'ai… J'ai pas toujours été la petite fille modèle que je suis actuellement. J'ai quelques 'squelettes dans mon placard' comme on dit." Ou plutôt une énorme bêtise à mon actif. Qu'importe, c'est ce qui me poussait à leur faire plaisir, à rentrer dans le moule, à être si perfectionniste. Je voulais indirectement me rattraper. "Mais t'as l'air de parler en connaissance de causes. Tes parents te voulaient pas à la lowell ?" supposai-je alors. Et puis c'est e musique qu'on parlait finalement. "Tu me feras de l'air guitare sinon." proposai-je en riant, sans me douter du malaise du garçon qui pour le coup était plutôt bon acteur. Et pour continuer ma démo, illustration :" J'ai fait du violon dans ma jeunesse. Regarde je te montre." Et retrouvant mes gestes de violoniste, je mimais une mélodie dans le vide, instrument imaginaire dans ma main gauche, archer dans ma main droite, avant de croiser le regard de Milow et de me mettre à rire : "Je te promets que ça existe, y'a même des gens qui font des compet'"
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LE CRUSH IMPOSSIBLE

Cassie & Milow

Sa réponse n’avait rien de surprenant, faut dire que sa situation s’approchait d’un dur retour à la réalité après un long rêve éveillé. Mais au moins elle avait eut la chance de vivre son rêve, et vus notre âge tout ça est une première expérience, un tremplin pour l’avenir.

« Je veux bien te croire ça ne doit même pas être vraiment comparable. Après ce n’est qu’un début, tu as pris de l’expérience, et ça ne peut que t’ouvrir des portes ! Qui sait la prochaine sera peut-être à Broadway !»

Je l’encourageais, essayant de lui remonter le moral que je venais de lui baisser avec ma question pourri. Et bien vite j’apprenais que la miss avait aussi des problèmes avec ses parents. Je lui parlais donc le cœur ouvert, de ma propre expérience, me doutant bien que ça situation différait de la mienne. La blonde se confia un peu, restant toutefois vague, cependant, vue notre relation naissante, cela était amplement justifié.

« Justement, parle leurs. Si ils ne savent pas ce que tu veux, comment pourraient-ils comprendre tes choix ? Ou même juste savoir que tu es amplement consciente de ce que tu fais ? Ils attendent peut être juste d’être sûr que tu as pris une décision réfléchie. »

J’essais de m’expliquer, un fois de plus, jusqu’à ce que la miss comprenne que je parlais par expérience. Je pris un gorgé de café, histoire de me donner du courage, de rassembler, et d’organiser ce qui allait être une longue tirade plutôt difficile. Parler de tout ça restais dur pour moi.

« Mmm la lowell est rien à côté de la musique… J’ai toujours crus qu’il ne voudrais jamais de cette branche pour moi, il a même cassé la guitare que mon ex m’avait m’offert. Pour lui, tout ça n’était qu’une distraction, une perte de temps…  Sauf qu’au final, c’est à cause de moi, à vouloir lui faire plaisir… Depuis tout petit, il a toujours voulu que mon frère, et moi on le suivent dans la politique, alors j’ai suivi sagement le chemin qu’il avait tracé pour nous. Donc pour lui, je m’écartait de mon but à passer tout mon temps sur des instruments. Je m’en suis rendu malade quand je me suis inscrit ici en musique dans son dos. Tout ça pour rien. Aujourd’hui, il sait, et c’est lui qui se rend malade de ne rien avoir vus et de m’avoir mis autant de pression. Et il est prêt à remuer ciel et terre pour m’aider à me faire une place. Il a même fait d’une des pièces du manoir une salle d’enregistrement…  C’est pour ça que je ne peux que te conseiller de parler à tes parents Cass.»
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