you can't do epic shit with basic people (simson)

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{you can't do epic shit with basic people}
crédit/ tumblr ✰ w/@simon e. durand

retour au bercail après un mois et demi de péripéties. le vol paris-boston m’a fracassé, mais je n’ai pas dit mon dernier mot. louison chamberlain renaît toujours de ses cendres. ainsi, en quittant maxence sur le parking de l’aéroport, j’suis partie à la recherche d’un camion de location, vous savez, ceux qui servent à déménager par soi-même. je l’ai loué, étonnée que mon permis de conduire puisse d'ailleurs me le permettre. une fois tout en règle, j’suis partie en trombe pour te retrouver. tu veux savoir qui je suis non ? alors vis ma vie quelques heures et on verra si tu veux toujours de moi comme colocataire. bref, perchée en hauteur sur mon siège, je zigzague dans la circulation, une musique country en fond qui m’est impossible de stopper sur ce putain d’auto-radio. le volant est énorme, je galère à garder le cap ou bien à simplement tourner à un coin de rue. mais je n’ai pas le choix. le proprio du box où j’ai entreposé mes affaires m’a harcelé ces derniers jours pour que je dégage. aujourd’hui, c’est le dernier jour. je risque de retrouver ma vie intime sur le trottoir, en mode vide grenier. je dois me dépêcher. j’écoute donc attentivement le gps de mon téléphone qui doit me guider à ton lieu de résidence. je roule vite, trop vite. tout à coup, gertrude, la voix du gps me dit que j’suis arrivée. mes réflexes au max, je freine sec et aperçois sur ma droite la piaule dans laquelle tu dois vivre. wow, c’est vraiment monumental. tu ne m’as pas menti. klaxonnant aussitôt comme une forcenée, j’ose espérer que tu auras compris que c’est le signal pour que tu descendes tes jolies fesses de là-haut. oui, bon, je dois avouer que j’ai un peu louché sur ta frimousse pendant qu'on échangeait. de manière objective, il faut dire que tu es assez séduisant et pour ma part, le package papa poule m'excite encore plus..  mais chut. « en camion simoooone ! »

Pour toi les vacances étaient terminées depuis quelques jours. Tu avais repris le boulot et ton père pouvait à nouveau te harceler par téléphone. Tu dirigeais l'entreprise familiale avec lui. Non tu ne regrettais pas ton choix parce qu'un jour ou l'autre tu savais qu'il allait partir à la retraite et tu serais enfin débarassé de ton vieux. Bon ça bien sûr tu évitais de lui dire. Tu avais bloqué ton après-midi. Eh non tu n'avais pas oublié qu'une folasse blonde allait débarquer devant ton appartement dans un camion. Oui, un de ces camions te déménagement. Le genre de camion énorme que tu rêvais de conduire quand tu étais gamin. Tu es plus à l'heure qu'elle puisque tu l'attends depuis dix minutes dans le hall de ton immeuble. Tu vivais dans un appartement très luxueux et tellement grand que tu pouvais accueillir une vingtaine de colocataires. Tu faisais des envieux ça c'est clair et tu kiff ça mais chuut faut pas le dire. Louison débarque dans son camion, elle a l'air maline là-dedans. Elle klaxonne plusieurs fois. Bordel elle avait réveillé tout le monde ça c'est sûr. Tu sors immédiatement de l'immeuble. Tu ne l'avais jamais vu et pourtant c'était comme-ci vous vous connaissiez depuis dix ans. « bouge ton petit cul de là. Laisse l'homme conduire ! » dis-tu après ouvert la porte du camion. Tu l'aidais à descendre parce que bon c'est pas facile quand même. « Louison. » Tu la regardes de haut en bas c'est pas trop discret mais bon tant pis. Tu la trouves canon. « ravi de te connaître ! » Hop ni une ni deux tu grimpes dans le camion. Bon rien à voir avec ta Lamborghini ça c'est clair. « tu n'as même pas emménagé que les voisins vont déjà te détester ! » dis-tu de façon ironique en faisant référence à la façon qu'elle avait eu de klaxonner. « bon j'espère qu'on va arriver en un seul morceau.. » tu te mordilles la lèvre. Bon et si tu démarrais ce camion.

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crédit/ tumblr ✰ w/@simon e. durand

je klaxonne et je j’écrase mon mégot encore fumant dans le cendrier du véhicule qui ronronne. je tapote ensuite sur le volant au rythme de la musique et je te vois enfin apparaître au grand jour. t’es trop mignon. je souris timidement, mais j’écarquille grand mes yeux lorsque tu t’adresses à moi comme si nous nous connaissions depuis toujours. mon petit cul ? tu ouvres ma porte et tu me fais déguerpir de ma place en moins de deux, sans que je ne puisse avoir le temps de rouspéter. sautant sur le bitume face à toi, je te scrute autant que tu me scrutes. on a fini le scan ? « simon. » répondis-je en ajustant ma robe au-dessus de mes genoux. oui je sais, c’est tout sauf pratique, mais je n’avais rien d’autre à me mettre, tous mes pantalons sont dans ce fameux hangar « moi également » et hop, tu te hisses dans la cabine en me laissant en plan. je parie que ça doit te changer de tes bolides de petit riche. je crains le pire. contournant le camion, je grimpe côté passager et ris de bon coeur à tes pensées « ceux qui me détestent n’ont rien compris à la vie » je peux être agaçante sans le vouloir, mais j’pense être une bonne personne dans le fond. « super encourageant, t’aurais dû me laisser aux commandes, macho va ! » accrochant ma ceinture pour avoir plus de chance de m'en sortir vivante, je fais un signe de croix et je m’accroche au siège fermement lorsque tu parviens à sortir de la place de stationnement. « tu n’as pas ta fille cette semaine ? ça marche comment pour la garde si ce n’est pas trop indiscret.. » bah, fallait bien que je sache si j’allais jouer à la nounou de temps en temps si tu acceptais toujours de m’héberger chez toi.. « ralentis ! on va se retourner dans le tournant wesh ! »

Louison débarque devant ton immeuble. Tu l'aurais entendu arriver du dixième étage. Une chose est sûre c'est qu'elle ne sait peut-être as conduire mais le klaxonner elle sait faire. Tu la fais immédiatement descendre parce que oui tu as terriblement envie de conduire ce camion. Tu lui parles comme-ci vous vous connaissiez depuis des années en même temps tu te sens à l'aise avec elle et puis t'es pas du genre à prendre des pincettes. Tu la mates un peu avant de monter dans le camion. Elle est canon. Bon tu n'as pas été super discret mais elle non plus après tout. Tu as la sensation d'être avec toi-même mais au féminin. « olala madame a l'air bien sûr d'elle dis donc ! » T'étais pareil qu'elle alors tu ferais mieux de te taire. Lorsqu'elle te dit qu'elle aurait mieux faire de conduire tu lèves les yeux au ciel. « vu comment tu t'es garé je préfère conduire c'est plus prudent je crois.. » dis-tu avant de te mettre à rire, tu te moquais d'elle oui. Tu démarres alors le camion tout en faisant exprès de donner un grand coup de frein histoire de lui faire une petite frayeur surtout qu'elle venait de faire un signe de croix. « oups désolé.. » Petite vengeance. Tu te mets à rire à nouveau en voyant sa tête. Si elle savait à quel point tu pouvais être gamin. Te voilà partis avec la demoiselle. Lorsqu'elle te parle de ta fille tu fronces les sourcils en lui demandant. « elle vit chez sa mère le plus souvent.. sinon elle est chez moi un weekend sur deux.. » tu tournes la tête vers elle. « t'as peur de devoir jouer les nounous ? » tu te mordilles la lèvre en riant bon en attendant tu n'as plus trop fait gaffe à la route et le virage était un peu sec. « mais non je contrôle.. on dirait j'ai fait ça toute ma vie.. » Mouais on va dire ça comme ça. Après quelques minutes de trajet tu arrives à l'endroit où Louison vivait il n'y a pas encore si longtemps. Il y a un sacré bordel sur le trottoir, tu ne peux même pas t'arrêter. « Non mais c'est quoi tout ce bordel ? » Il semblerait que ce soit le bordel de Louison. Aoutch. Tu t'arrêtes, feux de détresses. Apparemment le propio avait déjà commencé le déménagement. Dans un sac poubelle se trouvait des vêtements. Tu attrapes une petite culotte à Louison. « je te prends toi et tes petites culottes sans problème. » tu te mordilles la lèvre avant de te mettre à rire. Clairement valait mieux en rire qu'en pleurer.

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crédit/ tumblr ✰ w/@simon e. durand

j’hallucine. comment oses-tu t’attaquer à mes qualités de pilote ! à peine attachée, tu démarres et appuies brutalement sur la pédale de frein. ma chevelure blonde fouette mon visage. « espèce de.. » con, oui, j'allais déjà t'insulter, simple réflexe. me dégageant ensuite de ma tignasse ébouriffée, je m’accroche au tableau de bord pour éviter de taper le front dessus la prochaine fois que tu freineras. ok, tu gères plutôt pas mal en fin de compte. je me permets même de faire un brin de causette avec toi. je suis plutôt curieuse de nature et depuis que tu m’as parlé de ta fille, et bien je me demande comment ça se passe pour toi. « non non pas du tout ! pis ça serait un plaisir de la garder si ça devait arriver. t'sais, je devais être maman normalement, mais ça ne s’est pas fait.. longue histoire » en d'autres termes, j’ai une vdm. si le destin m’a pris mon futur milo, c’est peut-être que je n’étais pas prête. je le prends désormais comme ça, je n’ai pas le choix. il ne reviendra pas. woooow. le camion se penche violemment sur la gauche. je glisse sur la banquette et me cogne à ton épaule. eum, je reviens sur ce que j’ai dit, t’es une catastrophe. et ça te fait rire en plus ? « euh pas du tout mec, t’es pas sébastien loeb » arrivant enfin devant mon box, je me rends compte que la moitié de mes affaires sont jetées sur le trottoir. « le bâtard ! » m’écriais-je en m’éjectant du camion pour rassembler mes affaires. non mais oh ! y a déjà les drogués du coin qui rôdent en mode the walking dead. me rejoignant par la suite, tu tombes rapidement sur un sac contenant ma lingerie. t'as un radar à cet effet ou quoi ? « ah oui ? rrrr » m’approchant de toi, j’ose enfin le premier vrai contact physique en griffant ton beau visage de premier de la classe. « elles sont mieux sur moi, j’suis sûre que tu auras l’occasion de le constater. je traîne souvent en sous-vêtements après les cours » murmurais-je près de ton oreille avant de déguerpir vers l’arrière du camion. bah quoi ? y a pas marqué vierge marie sur mon front, j'suis assez libérée comme nana. « hey monsieur parfait, t’as assez de muscles pour charger tout ça ? » te demandais-je en ouvrant la porte coulissante du véhicule.

Tu te mets à rire lorsque tu mets un coup de frein au point de voir son visage frôler le tableau de bord. Elle se retient de ne pas t'insulter chose qui te fait bien rire. Mademoiselle est curieuse apparemment puisqu'elle se met à te parler de ta fille. Elle avait plutôt l'air d'aimer les enfants d'ailleurs elle te confie qu'elle aurait du devenir maman mais que ça ne s'est pas fait. Tu fronces les sourcils. « Il y a des chances que tu la croises en tout cas.. » Tu t'arrêtes de parler quelques secondes. Tu étais assez curieux de connaître le pourquoi elle n'était pas devenu maman. « On vient de se rencontrer mais en tout cas si tu as envie de me raconter un jour.. » Tu affiches un petit sourire. Peut-être que c'était trop douloureux pour elle d'en parler après tout tu ne connaissais pas du tout l'histoire. Pfiou, tu prends le virage n'importe comment. Tu te fais une frayeur mais tu fais genre que tu contrôles le bolides. Menteur. T'as rien contrôler du tout mais sa réflexion à le don de te faire pouffer de rire. M'enfin elle va moins faire la maline lorsqu'elle va voir toutes ses affaires sur le trottoir. Louison saute du camion pour ramasser toutes ses affaires. Coup de chance toi tu tombes sur un sac avec des vêtements et pleins de petites culottes. C'est trop tentant tu es obligé de la charrier. Petite culotte en dentelle très sexy au passage. Tu te mordilles la lèvre à sa réflexion. Elle te le chuchote à l'oreille en plus c'est trop sexy. Ca te donne chaud d'ailleurs. « C'est très amusant d'avoir une coloc en fait.. j'aurais dû en prendre une avant.. » Ah bah ouais tu disais pas non pour avoir un défiler tous les jours de Louison en sous-vêtements. Bon maintenant faut charger tout le bordel dans le camion. Tu lui montres tes bras musclés ou pas avant d'attraper plusieurs trucs.« Évidemment. Non mais tu as vu ces bras.. » Bon ça va les chevilles ? Tu continues de charger le camion. « Eh ben heureusement que mon appartement fait la taille d'une maison sinon je sais pas où tu aurais stocké tout ce bordel.. » Alors que tu te fatiguais à charger dans le camion toutes les affaires de madame, elle préférait ne rien faire. « Je sens que tu vas dormir sur le balcon toi. » dis-tu en te mordillant avant de te mettre à rire.


@louison chamberlain

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crédit/ tumblr ✰ w/@simon e. durand

je crois que ça pourrait être une colocation fort enrichissante. jouer la baby-sitter, ça me permettra de savoir si j’étais vraiment prête à devenir mère ou si je pourrais toujours l’être un jour. « ce n’est pas vraiment un secret.. j’ai perdu mon bébé à même pas trois mois de grossesse en janvier, on m’a rué de coups alors que je sortais voir une amie » plus j’en parle mieux c’est non ? heureusement, un virage très serré et peu contrôlé me permet de passer à autre chose. je n’ai pas forcément peur de mourir, mais j’aurais quand même préféré vivre deux ou trois trucs avant. pis je te fais confiance. je ne pense pas que tu voudrais décéder aussi bêtement, surtout pas avec ta bouille d’ange qui t’attends chez sa mère. et hop, grâce à tes compétences en pilotage, on parvient à bon port. mes affaires sont étalées sur le trottoir. je rage. je tourne autour de tous les cartons sans savoir par où commencer. et toi, tu tombes miraculeusement sur mes petites culottes, celles que j’fous quand j’suis en mode hot louison. « bah non, t’en aurais pris une nulle, là, t’as choisi la crème de la crème » est-ce que je vais être à la hauteur pour vivre avec toi ? je te donne même pas deux semaines avant que tu me foutes dehors. puis au bout d’un certain temps, je vais me sentir affreusement mal de vivre dans tout ce luxe sans te payer comme je le devrais. bref, c’est l’heure de suer. je me demande si tu as la force pour tout transporter. en véritable petit macho, tu te la joues bodybuilder et j’en profite alors pour tâter tes biceps. « pas mal du tout ! tu es sportif ? » fin, tu passes pas tout ton temps derrière ton bureau en haut d’une tour tout en buvant des litres de whisky ? « vas-y ! ce bordel vaudra de l’or quand je passerais l’arme à gauche et que j’aurais fait une grande carrière de cinéma » pouffant de rire, je sors mon téléphone qui vient de faire vibrer mon postérieur. ah, enfin, liam. je pianote plusieurs textos, je donne de mes nouvelles ici et là lorsque tu m’interpelles pour me rappeler à l’ordre « oh putain t’as un balcon ? mais ça me suffit un balcon ! un placard à balai aussi hein » disons que c’est mieux en intérieur pour éviter de manger les intempéries, ça peut vite dégénérer à boston « on peut parler français ensemble ? j’en ai marre de cette langue chewing-gum sans charme » les monégasques parlent le français nan ? chargeant les dernières caisses comme si je venais de tout me taper, je referme les portes du camion, prête à découvrir ton palace « je crois qu’on va avoir besoin d’une bonne douche tous les deux » ensemble ou séparément, ça me va hein. me dirigeant vers l’avant du véhicule, je retrouve ainsi ma place et je boucle ma ceinture sagement en t’attendant.

La révélation de Louison te laisse sans voix. Whaat ? Elle avait perdu son bébé parce qu'elle s'était fait tabasser. Non mais son histoire était juste horrible. Tu compatissais beaucoup. Tu n'imagines même ta réaction si tu avais perdu ta fille parce qu'il serait arriver la même chose à la maman. Impossible d'imaginer ce qu'elle avait bien pu ressentir. Tu te sentais mal. Cette histoire t'avait calmé sur le coup. « Je suis désolé.. sincèrement.. » Tu ne savais pas quoi dire d'autre, après tout tu ne la connaissais pas depuis longtemps puis tétais pas très doué pour parler de truc comme ça à quelqu'un. Bref.. vous arrivez devant l'ancien lieu de résidence de miss Chamberlain. Pfiou rien à voir avec ton palace ça c'est sûr. Tu tombes sur une des petites culottes à Louison qui se retrouve sur le trottoir dans un sac poubelle. Bon au moins le proprio avait eu la délicatesse de les mettre dans un sac. Tu te mets à rire lorsque la demoiselle te dit que tu avais choisi la crème de la crème, elle parlait d'elle oui. Tranquille les chevilles. Tu la regardais de haut en bas. « eh bien ça c'est ce qu'on verra ma belle. » Bon maintenant il faut ranger tout ce bordel dans le camion. Flemme. Mais bon t'es là pour ça. Tu lui montres tes biceps et elle en profite pour toucher. « Tu n'as pas pu t'empêcher de toucher hein.. dis-tu en te mordillant la lèvre. Elle te demandait si tu étais sportif. Le sport c'est toute ta vie. « Je joue beaucoup au foot. J'adore le sport. Je fais beaucoup de muscu d'ailleurs j'ai une salle rien que pour moi dans mon palace. » Tu me poses le premier carton dans le camion. « Tu pourras venir me mater quand je m'entraînerais.. enfin me regarder. » dis-tu avant de te mettre à rire. Quel petit coquin tu étais. Tu lèves les yeux au ciel avant de foutre d'elle lorsqu'elle te sort qu'elle va faire une grande carrière au cinéma. « Euh excuse-moi Meryl Streep. » En attendant tu te tapais tout le boulot tout seul pendant que madame textotait. Tu lui lances une petite réflexion qui a le don de la faire réagir. Elle avait l'air toujours aussi surprise de ce que possédait ton palace. Lorsqu'elle se mit à te parler du balcon tu te mets à rire. « Ah ouais je vais te foutre dans le placard là où ma gouvernante range les balais comme Harry Potter. » Tu continues de charger le camion. « Quoique sur le balcon il y a la piscine alors c'est à toi de voir.. » dis-tu en te mordillant la lèvre. Ca c'était surtout pour l'impressionner même s'il est vrai que tu avais une piscine sur ton balcon. C'était presque terminé enfin TU avais presque terminé de ranger tout le bordel de Louison. « Le français c'est la plus langue de toute façon. » Tu savais parler le monégasque, l'italien et l'anglais. Mais le français restait la plus belle langue à tes yeux. Louison finit par se rendre utilise et décide de charger les deux dernières caisses. Elle ferme la porte. Sa réflexion te fait exploser de rire. « Tu rigoles t'as rien foutu ! » Tu 'l'observais avant de dire. « C'est moi qui mérite de prendre une douche.. et que tu m'y rejoignes d'ailleurs.. » Tu grimpes à l'avant du camion. C'est toi qui conduit encore. Le retour se passe beaucoup, on dirait que tu as conduis ce genre de camion toute ta vie. Tu es fier et tu te vantes. Après quelques minutes de trajet vous arrivez devant ton palace. Tu descends de la voiture. Tony le gars de la sécurité te regarde bizarrement ben ouais jamais il ne t'avait vu conduire ce genre de voiture. « C'est une longue histoire. Tony je vous laisse rentrer le camion au garage, vous déchargez tout le bordel de la demoiselle et vous stockez les trucs où vous trouverez de la place. Par contre vous montez rapidement les affaires importantes de la demoiselle. » Bon après tout a par ces fringues elle n'avait besoin de rien d'autre. Heureusement que tu n'avais pas a débarrasser tout ce bordel. C'était cool d'être riche quand même. « Bon et si je te montrais mon palace ? » dis-tu un sourire en coin. A la minute où Louison allait entrer chez toi elle n'allait plus jamais vouloir en sortir.

@louison chamberlain sorry pour le pavé..

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crédit/ tumblr ✰ w/@simon e. durand

une salle rien que pour toi dans ton palace et quoi d’autre encore ? un aquarium avec requins et tout ? « te mater c’est le mot oui » affirmais-je avant de te confier mes ambitions pour le futur, notamment ma carrière d’actrice. sauf qu’à l’instant où tu me causes et que tu me tacles, moi j’suis carrément à fond sur mon téléphone et je n’émerge que quelques secondes plus tard lorsque tu me parles d’aller crécher sur ton balcon. « une piscine sur un balcon ? c’est possible ? tu parles pas du toit de l’immeuble carrément ? » je serais bien curieuse de connaître le montant de ta fortune. je vais vraiment pénétrer dans un monde qui m’est inconnu. dans tous les cas, je sens que l’on va bien s’entendre tous les deux. ton humour ainsi que ton franc-parler me parlent beaucoup. je me sens à l’aise avec toi, tellement à l’aise que j’arrive même à te proposer une douche commune quoi. « ok ok, je laverai volontiers ton corps d’athlète pour me faire pardonner de ma flemmardise » hop, la ceinture bouclée, on dégage de ce taudis pour rejoindre ton palais. le chemin se passe sans encombres, toutes mes félicitations monsieur durand. enfin arrivés devant chez toi, je colle mon nez à la fenêtre, complètement impressionnée par le luxe qui se  dégage de la bâtisse. je te rejoins ensuite sur le trottoir en t’écoutant t’adresser à un homme tout droit sorti de matrix. « oui, s’il vous plait monsieur.. j’ai mis les trois valises importantes sur la gauche du camion, merci ! » wow, t’as même un gars qui fait tout à ta place, la classe. « oui montre moi petit esclavagiste » plaisantais-je en te suivant à l’intérieur. wow. ça me fait penser à l’appartement dans laquelle vivait une de mes amies sur paris. des dorures de partout, des matériaux qui coutent la peau du cul. « tony il t’aide aussi à baisser ton pantalon quand tu vas faire pipi ? » t’embêtais-je en pouffant de rire comme une gamine. pénétrant enfin dans ta baraque, mes yeux se mettent à scintiller face à la décoration et aux équipements qui se trouvent tout autour de moi. ça va être dur d’aller vivre ailleurs après avoir goûté tout ça « c’est magnifique.. et grand.. merci de m’héberger alors que tu ne connais quasiment rien de moi, à part que j’suis française, j’étudie à harvard, j’ai perdu un gamin et euh, que j’suis chiante »