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come back and haunt me (ernesto)

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Serait-ce une invitation ? Je l’ignorais. Entre nous, ce n’est que jeux et provocation à longueur de journée. On passait de superbes moments ensemble et c’était encore plus plaisant quand on ne se retrouvait pas coincé pour ce road trip. « Faut pas me dire ce genre de choses, tu sais. » parce que tu ne savais pas dans quoi tu t’embarquais avec moi. J’voulais pas me faire des films, me projeter et me dire ce qui se passera une fois que les vacances seront terminées. Profiter de l’instant présent et ne rien regretter. C’était ce dont j’avais envie avec toi. J’avais du mal à cacher cette pointe de jalousie en voyant ces femmes te regarder comme si elles allaient te sauter dessus. Je n’aimais pas ça. J’te le disais, mais je prenais beaucoup sur moi là. On va pas s’mentir, t’es un bel homme et n’importe quelle nana tuerais pour être à ma place et avoir ce moment privilégié dans cette boutique de sous-vêtement. « Oh… Vraiment ? Tu attise ma curiosité là. » Je mordillais ma lèvre au contact de ta main qui descendait avec douceur jusqu’au bas de mon dos. Rien que ce geste, ça ne me laissais pas indifférente. Il avait cette emprise, ce pouvoir en me touchant juste à travers mes vêtements, c’était dingue. « J’sais vraiment pas ce qui me retiens de te sauter dessus, là, tout de suite. » avouais-je dans un murmure. Sûrement le monde autour de nous parce que j’voulais garder ça pour nous. Que ce moment ne soit pas partager à toutes ces folles qui n’attendait qu’une chose : se retrouver en tête en tête avec toi et sûrement plus si affinité. J’quittais ton emprise quelques secondes pour prendre un autre ensemble qui me tapait dans l’œil. La distance était bien de trop que j’revenais aussitôt en t’entendant me dire qu’une cabine venait de se libérer. « Qu’elle essaye… Elle devra me passer sur le corps pour pouvoir te frôler du doigt. » Mes yeux se posaient dans les tiens quand tes bras s’enroulent autour de moi. J’peux que sauter de joie intérieurement en te voyant proche et tactile. J’peux pas m’empêcher de lancer un regard à cette nana qui allait vite être dégoûté, laissant mes lèvres gagner ton cou pour y déposer quelques baisers. « Je meurs d’envie de lui faire partager le plaisir qu’on va avoir… » parce que j’savais déjà qu’on allait pas jouer aux cartes dans la cabine. Un endroit très étroit qui ne donnait qu’envie de se rapprocher un peu plus. Le hic, il ne fallait pas faire trop de bruit sous peine de se faire prendre et se faire virer… Ouais, ça compliquait les choses, mais un petit challenge de plus. Un dernier regard vers le groupe de femme et tu gagnais à ton tour les cabines d’essayages. Au moment où j’arrivais, la cabine du fond venait de se libérer. C’était un signe ça. « Attend qu’il n’y ai personne pour venir, j’vais être sage, promis. » Ne traîne pas trop sinon j’risque de m’amuser toute seule et ça serait dommage de ne pas profiter à deux. J’entrais dans la cabine, tirant sur le rideau pour me cacher de la vue de tous. Tour à tour, j’enlevais mes chaussures, laissais tomber mon short à mes pieds suivi de mon haut qui suivait le même destin et t’arrivais furtivement dans la cabine. Un court instant, j’me suis demandé si tu n’avais pas pris la fuite en me laissant toute seule dans la boutique. « Tu m’as presque fait attendre. » je croisais les bras contre ma poitrine en oubliant presque que j’me trouvais en sous-vêtement devant toi.

@Ernesto Calabrese
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« je pourrai continuer à te le dire tu sais » puisqu'il était hors de question que tu passes tous les autres jours en compagnie de d'autres personnes alors que tu pourrais les passer avec elle, que tu pourrais faire de vos moments, des souvenirs inoubliables. Elle te plaisait et tu ne pouvais le nier, elle commençait sérieusement à hanter tes pensées et ça te plaisait. Et même si certaines femmes te regardaient avec une certaine envie, ça te faisait ni chaud ni froid, tu n'sais même pas si tu la trouves belle ou pas, tu n'y accordais aucune importance en fait. Seule Clary t'intéressait réellement. Et alors que tu revenais avec un ensemble, tu glissais ta main dans le bas de son dos, effleurant ses fesses que tu aimais tant. «oui, j'ai une bonne mémoire » tu te mordais la lèvre inférieure, en effet tu te souvenais parfaitement de ce qu'elle appréciait. «j'aime ce que tu me dis là, un peu de patience et tu pourras me sauter dessus » ton regard se posa dans le sien, rempli de choses salaces dont tu avais hâte de partager avec elle. Ses lèvres sur ton cou te donna quelques frissons alors qu'elle était toujours dans tes bras «ce sera un moment long et exquis, elle aura la haine tandis qu'on aura du plaisir » tu venais glisser une de ses mèches de cheveux derrière son oreille, prenant ses lèvres en otage pour partager un baiser. Fort heureusement, à ce moment-là, une des cabines se libéra et tu allais en direction ce celle-ci, Clary te rejoignait rapidement afin qu'elle y rentre en premier. «soit sage oui.. pour le moment » tu attendais quelques instants, le temps d'aller prendre l'ensemble noir que tu avais repéré et tu rentrais discrètement dans la cabine où Clary y était, venant sourire quand elle croisa ses bras. Tu souriais malicieusement, venant te mordre la lèvre inférieure, elle était tellement sublime. «c'était pour la bonne cause.. » tu venais lui montrer l'autre ensemble que tu avais caché derrière ton dos, LA pièce du magasin. «elle te plait ? » que tu venais lui demander, glissant ta main le long de son corps.
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Tu te montrais légèrement possessive et étrangement, j’aimais ça. D’habitude, quand j’voyais ça chez un mec, j’prenais mes jambes à mon cou et je fuyais très loin pour ne plus le revoir. Toi, c’était différent. Plus le temps passait et plus j’voulais passer du temps avec. Chaque instant en ta compagnie était un pur délice et pas que nos parties de jambes en l’air. Non, même ces petits moments « calme et sage ». C’était un tout qui me faisait succomber petit à petit. J’baissais cette armure que j’me suis forgé au fil du temps pour ne pas souffrir. M’amuser, jouer avec les hommes c’était un passe-temps et t’arrivais à me faire oublier les autres. La preuve, tu commençais à hanter mes pensées. Le fait de passer tout l’été à tes côtés était plaisant. Quand on avait nos journées de libre, j’voulais qu’une chose : te voir. J’sais pas ce que tu m’as fait ou quel sort tu m’as jeté, mais si ça continue, j’vais devenir accro et ça va être de plus en plus difficile de me passer de toi. Ta façon de remettre ma mèche de cheveux derrière l’oreille, de venir prendre possession de mes lèvres alors qu’on n’est pas ensemble c’est agréable. J’sais que c’est pour faire comprendre à cette nana que t’es pas intéressé par elle et ces copines. J’me languissais de toi, seule dans la cabine. Rien que d’imaginer tes mains frôler ma peau, j’me mordillais la lèvre. Le rideau s’ouvrait et tu me rejoignais. Ça faisait quelques minutes que je t’attendais avec si peu de vêtement sur le dos. « Tu vas devoir te faire pardonner… J’ai attrapé froid sans toi tu sais… » je décroisais mes bras quand j’voyais l’ensemble. Impossible de t’en vouloir bien longtemps surtout en voyant l’ensemble que tu venais de prendre. Celui qui m’a fait de l’œil dans la vitrine avant d’entrer dans le magasin. En plus d’avoir des points communs, on avait bon goût non ? « C’est ma préférée entre les trois. » Un coup de foudre dès que mes yeux s’étaient posés dessus. Je m’avançais vers toi, venant poser mes mains sur ta chemise à moitié boutonné par cette chaleur. « J’ai hâte de l’essayer et de voir le résultat dans tes yeux. » disais-je dans un murmure comme on aimait tant se parler. C’était notre « truc ». Un murmure par-ci et par-là pour faire grimper un peu plus la température. T’allais être mon miroir et au fond, j’espérais te plaire, te séduire un peu plus dans ces sous-vêtements.

@Ernesto Calabrese
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tu ne pourrais rêver mieux en fait. tu allais passer une excellente journée en sa compagnie. compagnie que tu aimerais avoir pour toi tous les jours, toutes les nuits. elle te plaisait énormément, tu pensais souvent à elle alors rien qu'à l'idée de partager une cabine d'essayage ainsi que des essayages en sa compagnie, tu ne pouvais qu'être heureux. tu agissais comme son homme depuis le début, trop de femmes dont une en particulier t'avait dans le viseur, elle ne cessait de t'observer, de te lancer des clins d'œil à répétition et pourtant tu n'en avais rien à foutre d'elle. elle était comme les mannequins devant les vitrines, elle ne servait à rien. quand Clary rentra dans la cabine qui venait de se libérer, tu n'avais qu'une hâte : la rejoindre mais avant ça tu venais récupérer la pièce que tu avais repéré depuis le début. "je vais te réchauffer.. ne t'en fait pas pour ça" tu te mordais la lèvre inférieure, lui montrant ce que tu cachais derrière ton dos. "je t'imagine déjà avec.. tu seras merveilleuse avec cet ensemble" tu étais ravi qu'elle te plaise vraiment. à croire que tu avais de bons goûts. ses mains au contact de ta chemise à moitié boutonnée te donna des frissons. tes lèvres se posaient sur les tiennes pour l'embrasser avant de lui dire : "mais vas-y donc" ta patience était mise à rude épreuve, tu avais hâte de la voir avec. tes mains parcouraient son corps un instant. corps qui sera tien dans les moments à venir.
@Clary Bushnell
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J’savais bien que t’allais me réchauffer et ce n’était qu’une question de minute avant que la température ne grimpe dans la cabine d’essayage. En plus de ça, t’as pas choisi la plus grande. On s’trouvait à l’étroit à deux. Parfait pour un propice rapprochement. Entre nous, c’était si simple, sans prise de tête. Tout venait naturellement et à nous regarder, on pouvait croire à un jeune couple fou amoureux. On en était pas un. On se cherchait, s’amusait comme deux adultes consentant et sans aucune promesse derrière. « Encore un peu de patience, tu pourras l’arracher comme bon te semble après. » C’était le but de l’essayage. La banalité, très peu pour moi. J’aimais quand il n’y avait pas de routine, que chaque instant de la vie était différent. Le goût de tes lèvres, un vrai délice à chaque fois. En public ou en privé, tu ne te privais pas pour t’accaparer de ces dernières ce qui me donnait des frissons à répétition. Tes mains frôlant ma peau, c’était une agréable torture. Tu savais me rendre folle avec si peu de moyen. « J’ai besoin de tes doigts experts. » Je me retournais pour te laisser détacher ce vêtement qui cachait ma poitrine. J’pouvais le faire moi-même, mais sentir le bout de tes doigts me l’enlever c’était plus agréable. Tu l’as dit : t’allais prendre plaisir à me déshabiller et m’habiller. C’était ta mission du jour. Je laissais glisser mon soutien-gorge sur le sol en me retournant, cachant ma poitrine de mon bras. J’voulais te torturer encore un petit peu. « Ferme les yeux… » que je te murmurais en venait poser ma main sur tes paupières pour qu’ils se ferment. J’voulais te faire languir jusqu’à la dernière minute et que tu découvres le bouquet final qu’au dernier moment. Sadique ? Non du tout… J’te faisais faire un demi-tour sur toi-même pour être sûr de ne pas te voir tricher. Tu pouvais bien jouer à ce petit jeu avec moi, toi le grand joueur. J’attrapais l’ensemble, le dernier choisi pour l’enfiler à l’abri de ton regard voyeur. Il était magnifique sur le mannequin et j’espérais lui taper dans l’œil comme il m’a tapé dans l’œil dans la vitrine du magasin. Tu ne bougeais pas, ne trichais pas. Je m’approchais de toi-même si la distance entre nos deux corps était mince. Mes mains venaient t’enrouler en venant se poser sur le haut de ta chemise, descendant doucement pour déboutonner le reste des boutons. Mes lèvres se posaient au creux de ton cou, remontant délicatement jusqu’à ton oreille « C’est dommage, tu rates tout le spectacle… » venais-je te murmurer, mordillant ton lobe au passage, laissant mon souffle chaud effleurer ta peau.

@Ernesto Calabrese
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tellement de jeux entre vous qu'un jour ou l'autre, tu finiras par craquer, si ce n'est pas déjà fait, bien entendu. Sa présence auprès de toi comptait réellement, tu l'appréciais vraiment elle et son blabla. Tout un ensemble si merveilleux. Et dans cette boutique où tu étais le seul mâle, tu comptais agir tel quel et montrait à toutes les autres que cette jolie blonde t'appartenait, même si véridiquement ce n'était pas le cas, pas encore du moins. Tu la rejoignais rapidement dans cette cabine étroite, qui allait être occupée durant de longues minutes. « je saurai être patient alors » tu possédais un sourire amusé sur ton visage, la phase du dés-habillement était encore plus excitante que de la voir vêtue avec ces ensembles-là. «mes doigts sont toujours là pour te servir » tu glissais tes mains de sa nuque jusqu'à l'attache de son soutien-gorge afin que ce dernier ne soit retiré mais elle voulait garder le suspens encore un instant, se retournant sans que tu puisses voir quoique ce soit, quelle torture. Tes yeux se fermaient et tu acceptais de te retourner sans tricher, gardant le suspens jusqu'à la dernière seconde. Cette seconde te semblait si longue mais le temps allait passer vite et tu pourras revoir la lumière du jour et la femme qui se trouvait dans la même cabine que toi. Tu sentais ses doigts au niveau du haut de ta chemise, descendant jusqu'à ce que tous les boutons ne soient retirés et que le tissus ne tombe à terre. Tu souriais déjà à l'entente de ses paroles. Tu te retournais tout doucement, étant émerveillé par ce que tu yeux voyaient. Tu beuguais un peu, ayant des étoiles dans les yeux. « tu es.. sublime » l'ensemble lui allait parfaitement bien et puis elle était déjà ravissante, alors sa beauté ne pouvait qu'être supérieure. Une de tes mains se posait sur sa cuisse, remontant tendrement jusqu'à se poser sur sa hanche. « cet ensemble ta va mieux à toi qu'à la mannequin » tes lèvres venaient jouer avec les siennes avant de les lier de nouveau. «je me retiens de ta sauter dessus » tu venais lui murmurer ces paroles. Tu voulais faire les choses bien, prenant ton temps. Vous avez tout le temps devant vous après tout..
@Clary Bushnell
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