C'est le 1 janvier à Liverpool, que les membres de la famille Fitzmartin m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Hoël. Je suis amoureux et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis Bisexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de langues et en minorité en musique depuis nombre d'années ans. OU je travaille en tant que métier depuis quatre ans ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy ou les Mathers.
10 choses à propos de moi
Hoël est du genre à être perturbé par des trucs complètement stupide. Il ne pourra pas jouer si ce n'est pas sa guitare qu'il a dans les mains. Si la porte de son garde-robe est ouvert ▲ Il a une phobie des fantômes. Il peut s’alarmer seulement par une planche qui grince proche de son lit ou une lumière qui clignote un peu trop souvent. ▲ Il adore les animaux. Il devient tout mignon et super attachant en les voyant. Il a souvent d'ailleurs plusieurs chez lui .▲ Il est instable au niveau émotion comme ce qu'il fait dans sa vie.Il pourrait partir n'importe quand du jour au lendemain tout laisser tomber et quitter pour une nouvel endroit. C'est tout simplement un vagabond qui adore les plaisirs de la vie , autant les joins que la cigarette et l'alcool. ▲ Hoël collectionne les souvenirs de chaque ville qu'il a visité. Il essaie de prendre à chaque fois quelque d'original que personne ne penserait à ramener de l'endroit en question▲ Il a perdu sa mère à l'âge de 6 ans. Elle se disait ne pas être assez bien pour s'occupe de lui et d'ailleurs il croit qu'elle c'est refait une nouvelle vie. La vérité c'est qu'elle était partie en désintoxication. ▲ Il compte faire le tour du monde un jour . Il c'est promis de le compléter. L'Europe est déjà coché sur sa liste comme fait.▲ Il arrive à parler 5 langues avec quelques difficultés , mais il peut se débrouiller sans problème. ▲ Maintenant qu'il est amoureux , il voit déjà tout à l'échec. Il ne peut s'empêcher d'être autant adorable que distant. Il a peur de s'y abandonner complètement et pourtant il ne se rappelle pas avoir entendu son coeur battre aussi fort.▲ Adore traîner les nuits à des heures tardives à l'extérieur dans les parcs et s'étendre sur un banc de parc pour regarder les étoiles.
Vie de merde
▲ À ses 16 ans après une soirée avec des amis , il c'était réveillé au beau milieu de la nuit et avait cru voir une silhouette. Il a hurlé et c'est enfermé dans la salle de bain. Il n'a jamais entendu autant de gens rire en même temps.
Tu passes au cash ! ~ Harvardiens seulement
Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?
Sans hésitation je m'y rend!
Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?
Une bonne façon de voyager tout en aidant les gens.
Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?
Même si je fais des compositions je ne suis pas prêt à les présenter devant les gens
Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?
Bien premièrement je ne veux pas lui ressembler ! De deux je la trouverai jolie et puis voilà!
Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?
Participer oui ça serait bien amusant.
Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?[list]Bravo pour lui , mais j'en ai rien à faire ./list] Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?
Je peut-être studieux , mais pas au point d'aller voir ce genre de trucs beaucoup trop ennuyeux.
Derrière l'écran
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Tweetyfruity et j'ai 16 ans. Je suis Canadienne et j'ai connu le forum grâce à autre. alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, entre les deux. J'utilise Josh Franceschi comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 500-600 cela dépend toujours de mon inspiration mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je déteste les oiseaux. Non pas qu'ils ne sont pas mignons et magnifiques avec leurs multiples couleurs , mais bien parce qu'ils me volent mon rêve. Eux ils partent comme ils veulent en battant de leurs petites ailes sans problème et même planer au dessus des nuages. J'ai beau essayer non rien à faire. Même une journée dans la cours de récré j'ai sauté comme pour faire superman vous voyez...ça m'a valu les rires des mes camarades et quelques éraflures . Et encore même se coller des plumes sur les bras ne m'a pas fait sentir le vent dans les voiles. Et leurs petits gazouillis transformés en chant merveilleux je n'en ai irrité toutefois. Je chante comme une vrais rossignol , j'ai été si enthousiaste la journée où j'ai réalisé que je ne chantais bien et pas uniquement dans ma douche. Oui j'avais encore une chance d'être un oiseau. Hoël - Huit ans
«Maman ! Maman ! Où vas-tu comme ça ?» Tes petits doigts faibles et maigres s'accrochaient tant et bien fort à celle de sa génitrice qui la repoussait doucement. Son visage s'effaçait dans la baie vitré alors que son manteau retombait lentement sur ses épaules. Tu étais figé , désorienté au point de voir apparaître ces perles au bord de tes prunelles chocolats.Elles tombèrent lentement sur le long de tes joues , brillantes puis vint mourir sur ton ours en peluche. Elle ne se retournait pas , elle n'osait tout simplement pas te regarder. Te prendre dans ses bras et afficher des excuses. Désoler était un de ces mots qui ne faisait point partie de ton vocabulaire.La porte s’entrouvrit laissant les cordes retombé sur tout l'étendu de l'extérieur. Les éclairs déchiraient le ciel orageux et tu la vis partir sous un parapluie dansant. La seule chose dont tu te souviens c'est ces gouttes de pluie qui roulaient sans relâche sur la fenêtre alors qu'elle s'engouffrait dans une voiture. Son regard déviant dans sa peine , dans ces promesses essoufflées , dans l'abandon de ce petit garçon qui plongeait dans ses sanglots.
Le vent prenant l'assaut sur tes joues , le froid picorait doucement la peau de ton visage si délicate ainsi tu t'empourprais de plus en plus. Tu retenais ton petit chapeau qui manquât de s'envoler au creux des bourrasques. Tu avais l'impression d'être qu'une poussière sous l'étendue de ce liquide vital dans a couleur cyan. Le petit voiliers surfait doucement s'emportant sur les quelques vagues. Tu t'avançais à la coque pour observer si tu ne pourrais pas voir quelques êtres marins. Ton endroit de paradis , ta petite étincelle , Un nuage de brouillard limitèrent ta vu et l'horizon clair se perdit dans tes iris. «Hoël ? Réveille toi petit bonhomme ! »Ton père secouait ta petite épaule et tu revenais peu à peu sur le droit chemin de la réalité. Tu regardais de nouveau le petit bateau que tu avais soigneusement déposé dans la fontaine du parc. Ton paternel replaça ton petit chapeau de matelot et te faisait un grand sourire. «Dit papa...Un jour on fera le tour du monde pas vrais ?». Il ria de bon coeur et te pris dans ses bras refermant son bouclier autours de ton corps menu . «Je te le promets...»«Juré juré ?»«Promis !» Tu n'avais eu le droit qu'à une promesse pour que ton coeur vole , pour que tes rêves sentent une lueur de vie. Aussi bien que tout ça en devenait presque nocif. Te dépouillais de plus en plus en ce qui était la réalité , les choses réalisables. Tout devenait un vaste terrain de jeux , par de là ta cours ainsi que ta grande salle jeux. Ta maternel ? Il ne te restait plus qu'une simple photographie déposé sur ta mince table chevet de bois. Ce que papa disait ? Une femme droguée qui n'a jamais eu la force de revenir à la maison. Non tes oreilles étaient bien trop fraîches et jeunes pour faire face à ces dures mots , alors il te prenait sur ses genoux et essayait de te rappeler de minces détails. En partant par l'odeur de sa chevelure blonde finissant par son rire cristallin résonnant dans l'immense demeure. Son départ fit révélateur pour certains point. D'abord ce fut ta grand-mère Olivia qui prit en charge de ton éducation. Tu découvris l'art des touches blanches immaculées et noires sombres du piano. Elle te voyait déjà comme un grand prodige. Puis ton père revenait à la charge brisant ses espérances te montrant la beauté des cordes d'une guitare.
❝Si faire la fête est un crime, qui sera arrêté le premier ?❞
«Rends moi ce joint !»«Ça mérite un moment de réflexion »Curtis fila une main entre deux cuisses qui te fit lâcher un petit gémissement de surprise avant de reprendre son joint qui venait de retomber mollement sur ton jean. Une petite tâche noircie s'y dessinait maintenant suivit de quelques cendres déjà déposées.Yeux écarquillés tu poussa un grognement en te replaçant en indien sur le matelas. «C'est de la triche !» Il te tira un sourire malin au rictus de ses lèvres et il s'avançait lentement vers toi alors que tu reculais sans cesse jusqu'à ce que ton dos heurte le mur. Il te souffla une bouffé au visage et tu voilas tes yeux sous tes paupières en soupirant de bien être . Autant tu sentais ta respiration qui s'alertait et tombait à court , autant tes pensées virevoltaient dans l'extase du moment. Tu repris contact avec la lumière et tu vis ton nez collé au siens. Vous souffles se mêlaient et les frissons vint couvrirent ta nuque. Une main se glissa sous son t-shirt pour parcourir la chaire de ton torse et tes soupires ne tardèrent pas à tomber de tes lèvres.«Curtis , Hoël ! Qu'est-ce que vous faites la dedans ?» Tout ton corps sursauta alors que ton ami était resté proche de toi. La seule chose que tu avais réussi à entendre à ce moment là , c'est les mots qui se sont élevés et des pas qui repartaient dans l'autre direction. «Rien soeurette ! Retourne avec les autres on arrive bientôt.» Tu pouvais le sentir les soupires de Juliet de l'autre cotée de la porte , mais qui pourtant lâchait prise. Il se mit à rire et vint s'asseoir en califourchon sur toi te brûlant de ses yeux de charbons. Son regard venait chatouiller ton âme et frissonner ta colonne vertébrale . Il effleura tes lèvres et tu mordis ta inférieur. «Putain , arrête Curtis s'il te plait...» L'envie te faisait souffrir ,oui parce que la tentation devenait de plus en plus forte , toutefois il représentait l'interdit.Cette fameuse Juliette qui martelait la porte si souvent était nu l'autre que ta copine , alors que Billt ne représentait que son frère aîné. Ce n'était point la première fois qu'il te faisait ce genre de démarche. Dès la première fois que tu avais pénétré le salon , tu l'avais vu , cette lueur dans ses yeux et son pincement de lèvres. Tu avais rougis d'ailleurs et baissé le regard sur le sol . Par la suite il avait profité de chaque moment seul pour venir t'attiser . Ça te rendait dingue et effrayé.«Oh Babe je sais que tu as envie. Elle ne saura jamais rien je te le promets.» Tu plaça une main entre vos deux poitrines en faisant un léger non de la tête. Tu te relevas puis tu te retiras de la chambre. Tu vins la rejoindre cette jolie rousse la tête posé sur le sofa. Tu la caressas d'un baiser sur le front. «Je suis là mon coeur...» Les mensonges et l'hypocrisie en était devenu les points centrales de votre relation. Lorsque elle se serrait contre toi , tu n'avais qu'une envie la serrer et lui dire que tout allait aller et pourtant chacun de tes membres restaient sur la corde raide. Ces je t'aime si fins à ses oreilles au début de votre relation se dissipèrent que par des sourires.
«BORDEL CURTIS QU'EST-CE QU'ON A FAIT ?»Tes yeux se chargèrent de larmes qui roulèrent sur ton visage blême sans relâche alors que tu fracassais ta tête sur le mur. «On l'a tué...je ne peux pas croire ...non...»Aussi faible qu'une statue du verre , tu retombas contre le sol te fracassant en mille morceaux.Rongé par les remords , étranglé par tes actes , tu ne pouvais porter qu'une étiquette à présent celui qui venait de mener à mort sa copine. La sensation d'avoir commis un meurtre , l'envie d'en vomir ces tripes , les tremblements par millier. «C'est uniquement de ta faute. C'est toi qui es resté avec elle...» La douleur embrasèrent tes tempes et vola ta conscience dans un labyrinthe d'amertume. Ton point fracassa son nez laissant jaillir une longue trainé de sang de ses narines. Tes doigts n'avaient qu'eux une filée sur le long de l'index. Puis tu partis à une vitesse folle courant en exploser ton coeur contre ta cage thoracique. Demeure atteinte tout volait dans tout les sens. Tes larmes mouillaient sans relâche ton t-shirt et les vêtements que tu essayais tant bien de mal à enfiler dans une valise.«Hoël ?»Tu te retournas alarmé et tu sortis en une flèche. «Pardonne moi papa , mais je ne peux pas rester une minute de plus ici...». Ce jour là tu avais 18 ans.
❝L'Univers n'est qu'un vaste océan, sur la surface duquel nous apercevons quelques îles plus ou moins grandes, dont la liaison avec le continent nous est cachée.❞
C'est en deux ans que tu te permis d'offrir la moitié de l'Europe pour en évacuer tes noirs pensées. En pensant par la «France» où malgré les grandes complications tu finis bien un jour à te débrouiller avec le français. Tu jouais pratiquement tout les soirs dans un bar où seul de vieux célibataire ou alcoolique depuis quelques années y séjournaient au moment des étoiles élevées. Très peu s'attardait au sons des belles notes qui fusaient de ton instrument.«Italie . la Grèce , l'Allemagne» fut tes pays regorgeant d'histoire et d'architectures fabuleuses. Tu n'oublias pas de passer par «Pays Bas» afin de fumer un joint dans un bon café à Amsterdam.Même si tu étais plein d'argents , tu étais devenu rapidement une sorte de vagabond qui avait parfois l'idée de se trouver une compagne que pour avoir un lit une nuit.Le confort de ta vie , que maintenant tu plaçais comme antérieur, ne t’intéressait point. Qu'une envie , vivre différemment. Ton père t'avais promis un tours du monde , tu n'as pas eu besoin de lui pour le commencer. Tu as finalement changé de continent pour déposer tes valises sur les États-Unies . Le temps des études étaient commencés pour après repartir pour de bon.Tu avais pris le temps de prendre une année complète et te voilà maintenant prêt à tes 19 ans.
❝I will try to fix you❞
Il le regardait et il sentait déjà les frissons lui lécher la nuque et courir sur son épiderme sans relâche.Ses doigts relâchés contre les draps , à ses traits étampés sur l'oreiller , le sommeil l'avait emporté aux premières étoiles sonnées. Les lianes avaient déjà enroulés ses poignets et aucun effort ne pouvait le faire bouger d'une poussière. Destiné à rester là , son cœur n'avait pas tourné dans l'autre sens voulant toujours plus se rapprocher. Insouciant à l'idée d'y croire lui avait échappé comme à chaque fois. La sensation du baiser revenait sans cesse sur ses lèvres. Il le voyait encore danser sous la neige , une cascade d'image défilait , il les vivait une nouvelle fois. Chaque page , chaque ligne , elles paraissaient aussi parfaite qu'à la première lecture. C'est trop dur , si irréaliste. Le levée du jour déchirera une fois de plus le tout , car les valises se déposeront au pied de la porte. Alors pour les dernières heures il le prit contre lui , se cajolant contre son dos , bercé par la douceur de sa peau.
Je l'ai quitté. Je l'ai déchiré , comme je le fais à moi même. J'ai vu ses larmes , je les entendu , les miennes se sont jointes aux siennes. Aurais-je la chance de récupéré cette âme qui se selle à la mienne ?