Colson " Cole Campbell ►Billy Huxley

1 Je suis née à Birmingham dans l'Etat l’Alabama, ce qui fait de moi un petit gars du sud. Très vite mes parents mon éloigné de la ville et ils ont tenté de reprendre l'affaire familiale, un vieux ranch miteux perdu en pleine campagne. 2 Y avait toujours plein de trucs à faire au ranch, et on était loin de rouler sur l'or, malgré tout on s'accrochait et on formait une chouette famille. 3 L'adolescence fut quelque peu... contraignante. J'étais assez grand pour aider d'avantage ma famille, pour gérer mes deux sœurs toutes deux plus jeunes et aussi pour assurer des notes correct en cours. J'aurais sans doute pété un câble si le Basket n'était rentré dans ma vie à ce moment là. Chaque entrainement était l'occasion de s'échapper des responsabilités quotidienne. 3 Je passerai peut être sous silence mes petits écarts disciplinaire, une ou deux bagarres, un cours séché par-ci par-là. Rien de trop grave qui pourrait faire tâche sur mon dossier. 4 Le lycée fut déterminant pour moi. Mon talent pour le basket ne cessait de se développer et mon équipe réussit à remporter championnat de l'Etat. J'étais en permanence sous les projecteurs, et un défilé de chasseur de tête entra dans ma vie. J'avoue que la célébrité me monta un peu à la tête. Mais heureusement, les valeurs que m'avait inculqué mes parents m'évitèrent de trop sombrer. 5 Finalement arriva la dernière année un choix d'université s'imposa à moi. Pour être honnête sur moment je prospectais surtout sur les universités proches de chez moi afin de pouvoir rester dans les parages pour aider mes parents et aussi car c'était généralement les moins chère. 6 Cependant face à la pression que me mettaient mes vieux je tentai des universités plus prestigieuse. De bonne, mes notes passèrent à excellentes. Je parlerai même pas des longues heures d'entrainement au Basket. 7 En vérité pas un seul instant j'ai pensé que la grande Harvard voudrait d'un redneck du sud comme moi et pourtant.... si. 8 Avant d'arriver à Boston je n'avais jamais réellement quitté le ranch et même si ça me fais chier de l'admettre, j'avais un peu les jetons de partir aussi loin de ma zone de confort. 9 Enfin comme on dit, à foie vaillant, rien d’impossible. Une fois quelques mois passer à Boston et Cambridge, et une bonne trentaine de bar, j'ai pus remplir mon répertoire et surtout me trouver un job.10 Grandir dans un ranch permet d'apprendre tout un tas de chose, réparer une clôture, choppé une vache au lasso et surtout bricoler tout plein de truc en particulier les moteurs. Grand passionné de bécane, le rare temps libre que j'arrivais à me dégager était consacré au bricolage de ses beautés à deux roues. Bref après une essai concluant, je fut engagé comme mécanicien à mi-temps dans un garage de Boston.