feat. Martina Stoessel
- 14/06/1997
- Buenos Aires
- 21 ans
- Argentine
- Libre
- Célibataire
- Etudiante
- Anthropologie
- Danse
- Serveuse dans un bar
- Boursier
C’est ici qu’entre en scène cette université qui se trouvait proposer un cursus à la hauteur des ambitions de mes parents. Issue d’une famille argentine modeste, autant dire l’équivalent d’une famille pauvre en Amérique, je demeurais la fierté de mes parents et le modèle qu’ils auraient voulu que je sois pour mes frères et sœurs.
J’étais la seule de la famille à réussir à l’école, peut-être la seule à écouter un tant soit peu. Je ne jette pas la pierre à ma sœur ainée qui caressait d’autres rêve, ni aux plus jeunes qui avaient encore le temps de faire leurs preuves, mais le fait était que mon père n’hésitait pas un instant à sacrifier le peu d’héritage qu’il avait mis de côté pour me faire sortir du pays.
Il disait que je gagnerais assez pour financer moi-même les études de mes petites sœurs et du plus jeune des frères, mais il ne m’avait pas vraiment demandé mon avis. Depuis toutes jeunes j’étais à l’aise avec les chiffres, avec les sciences et j’adorais me poser tout un tas de questions sans réponses. Je ne faisais aucuns efforts pour mes cours, ça venait tout seul, comme une évidence.
Mes parents étaient persuadés qu’ils allaient faire de moi une grande scientifique, je n’avais jamais vraiment osé leur avouer que même si j’avais autant de facilité à l’école, ce qui me plaisait vraiment c’était la danse. J’avais commencé tôt dans une troupe débutante, une façon pour une petite fille de développer son corps. Mais plus les années passaient, et plus cette passion dévorante consumait tant mes espoirs que mon temps libre.
Harvard, c’était une façon pour moi d’échapper à ce choix cornélien qu’était devenu mon avenir. J’avais les meilleures notes de mon école en argentine, et même si la réputation de nos établissements ne valait pas celle d’une école prestigieuse américaine, les lettres de recommandations de chacun de mes professeurs suffisaient à attirer l’attention d’Harvard.
Je passais le SAT en obtenant 2234 points, une moyenne suffisante pour cette spécialité d’anthropologie à laquelle j’aspirais. Pour ce qui était de mes études secondaires en danse, ça resterait un secret que je n’ébruitais pas aux oreilles de mes parents. Officiellement j’assouvirais cette quête du scientifique à en devenir, pour m’affirmer un jour en tant que danseuse.
C’est là-dessus que portait mon essay, j’expliquais cette passion refoulée qui me poussait à quitter le nid et qui me donnait des ailes. J’appuyais ma motivation sur le fait que l’université me coûterait si cher que je devrais trouver un job étudiant pour subvenir à tous mes besoins, mais que je comptais bien me battre jusqu’au bout pour faire partie de l’université. C’est ce que j’essayais également de défendre pendant mon entretien où j’axais tout de même un peu plus la réflexion sur ces sciences qui m’avaient permis de décrocher en argentine une bourse d’étude qui m’aiderait en plus du reste à financer une partie de ma scolarité.
J’ai longuement étudier les différentes maisons d’Harvard, et même si plusieurs pourraient correspondre à celle que je suis, la maison Lowell est celle qui correspond le mieux à celle que je voudrais devenir. L’idée de m’entourer de personne à l’esprit aussi créatif me parait stimulant au possible. J’ai toujours refoulé ma passion pour la danse, ou du moins je ne l’ai pas exposé autant que je l’aurais voulu.
En entrant dans cette maison, j’aspire à une certaine liberté de vivre au grand jour ma passion. J’ai envie d’exprimer ce que je ressasse depuis trop longtemps, et je n’imagine pas pouvoir l’exprimer ailleurs qu’ici. Je n’ai jamais été spécialement une adepte du violet, et pourtant plus j’y pense, et plus j’aime cette couleur qui symbolise pour moi une vie de rêves et d’étoiles pleins les yeux.
Je dirais que je suis une fille affectueuse. Je ne dis pas ça pour me faire mousser, c’est plus une façon de dire que j’ai tendance à m’attacher facilement, certain diront plus facilement que je suis du genre totalement insouciante. J’ai tendance à faire passer les besoins de l’autres avant les miens, mais ça ne veut pas dire que je ne saurai pas me battre pour obtenir ce que je veux.
Je pense être une fille juste, une fille naturelle, même si parfois j’ai du mal à afficher la vraie Vainilla, j’ai toujours été une vraie pille électrique, et ça personne n’arrivera à le changer. J’ai tendance à dire ce que je pense, sans forcément me rendre compte que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, on dira que je suis directe et impulsive.
Je reste douce te prévenante, facilement influençable quand on sait me prendre par les sentiments. Je suis déterminée et tout le monde vous le diras, quand j’ai une idée en tête, je ne l’ai pas ailleurs ! Mais c’est pour ça qu’on m’aime, nan ? Pour le reste, je crois que je suis une fille encore un peu mystérieuse, un mystère qu’il vous restera à découvrir pour les plus dévoués !
HyperactiveGénéreuseDéluréeNaïveCourageuseEntêtée
Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé
je souhaite participer au Summer Camp en tant que vacancier
Je recense mon avatar ▲
si personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8572]☆[/url] ☆ <span class="pris">Martina Stoessel</span> ◊ “ Vainilla Meldova ”[/size]