Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDon't worry, I'm fine now (Côsie)
Le Deal du moment :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
Voir le deal
35 €


Don't worry, I'm fine now (Côsie)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Allongé sur ton lit d'hôpital, tu étais en train de ruminer tes erreurs et tout. Pourquoi ne t'étais-tu pas rendu compte que ton corps menaçait de lâcher ? Ton excuse la plus acceptable c'était que t'occuper des patients de l'hôpital, qui étaient bien plus dans le besoin que toi, ça t'avait empêché de penser à toi. Tu n'étais pas un égoïste, bien au contraire tu te sacrifiais toujours pour le bien des autres. Oui tu étais prêt à mourir pour que tes patients puissent vivre heureux parce qu'à tes yeux, tu ne méritais nullement le bonheur. Depuis ton plus jeune âge, tu subissais les affres de la vie donc c'était difficile au jour d'aujourd'hui d'accepter que tu puisses un jour connaître le goût du bonheur. C'était même impossible ! C'était peut-être pour cela que tu détruisais tout sur ton passage parce que c'était bien trop beau pour être vrai quoi ! Fin bref, tout à tes pensées plus sombres les unes que les autres, tu attendais l'arrivée de ta meilleure amie Rosie. Celle-ci avait décidé de quitter le Japon pour revenir à Boston plus tôt que prévu. Tu étais content de la retrouver parce que tu allais pouvoir t'ouvrir un peu plus à une personne. Elle n'allait pas te juger, elle se montrerait compréhensive. Du moins tu l'espérais sincèrement parce que là tu avais besoin de ton principal soutien. Tu allais aussi reparler en japonais, parce que cette langue te manquait un peu.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
On dit souvent que la vie ne tient qu’à un fil, j’ai pu en prendre conscience quand mon meilleur ami Côme m’annonça qu’il était hospitalisé à la suite d’une overdose aux somnifères qu’il a faite, à la suite de cette an-nonce mon sang n’a fait qu’un seul tour ce qui m’obligea à m’asseoir sur une chaise près de moi. Un mélange de tristesse et d’inquiétude semblait être dans l’atmosphère tout d’un coup mais l’envie d’aider à ce qu’il aille mieux est plus forte que tout à cet instant car il est mon meilleur ami, un des hommes à qui je tiens énormément dans cette foutue vie dans lequel nous vivons tous. Des larmes coulèrent sur mes joues car j’ai mal pour lui mais ma décision est prise : retour à Boston de toute urgence, de toute façon je comptais repartir d’ici peu de temps du Japon. J’ai pu profiter de ma famille ainsi que de revoir des personnes que j’apprécie énormément même si nous sommes séparés par mal de kilomètres mais je sais qu’ils pensent à moi tout comme je pense à eux souvent. Tokyo, ma ville natale va me manquer oui encore mais plus vite que je serais au côté de Côme apaisera ma peine. Je pense qu'instinctivement ma mère a compris que je devais repartir de toute urgence car elle m’aida à faire mes valises sans me poser des questions et m’emmena directement à l’aéroport. Après des adieux déchirants, je partis donc pour Boston pour plusieurs heures avant de me rendre à l’hôpital ou se trouvait mon meilleur ami.

Après quelques heures d’avion encore un peu déboussolée par le jet lag, je pris un taxi direction l’hôpital avec mes bagages sans passer par ma confrérie ou j’aurais pu déposer mes affaires. L’envie de retrouver mon ami est plus forte que tout… Arrivée à l’hôpital après quelques minutes de route, certaines personnes pouvaient me regarder bizarrement car je suis sans doute fatiguée, inquiète ou alors c’est dû à mes bagages mais je m’en fiche royalement de leurs regards. J’interpella une infirmière pour connaitre le numéro de chambre de Côme et me précipita comme une furie près de sa porte en ayant laissé toutes mes affaires à l’accueil au préalable. Des larmes coulèrent sur mes joues le long du chemin puis je les essuyais tout doucement en arrivant devant sa porte, après avoir respirer profondément, je frappa à sa porte et entra en disant « kon'nit-chiwa Côme » des larmes viennent de faire leur réapparition…
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le pire truc pour un médecin, c'était de se retrouver à la place de ses patients... Et c'était ce qu'il t'arrivait actuellement. Tu le regrettais tellement mais tu ne pouvais pas trop revenir en arrière. Tu avais fait de ton mieux pour chasser tes insomnies qui devenaient de plus en plus chiantes alors que tu pensais que c'était terminé depuis belle lurette. En effet, tu avais toujours été sujet à des insomnies chroniques mais depuis quelques mois, tu arrivais à faire des heures de sommeil correct... Du coup, tu pouvais en déduire que c'étaient tes problèmes, les principales causes de ta difficulté à trouver le sommeil dernièrement. Ce n'était pas uniquement à cause du fait que tu n'arrêtais pas de bosser... C'est plutôt une des conséquences de tes insomnies. Qu'importe, tu allais profiter de ces quelques jours de repos forcé pour réfléchir à tout ce que tu avais fait dernièrement, parce que là il fallait que tu fasses un véritable travail sur toi-même. Tu avais fait énormément de conneries alors que d'ordinaire, tu étais le mec le plus sage voire plutôt le mec le plus peureux du monde. Mais voilà, il fallait croire que toi aussi, tu pouvais changer en mal... Et tu n'aimais pas trop ça, mais quelque chose t'empêchait d'arrêter ça. Fin bref, il fallait que tu penses à autre chose surtout que ta meilleure amie allait arriver d'une minute à l'autre. D'un côté, tu étais content de revoir Rosie mais d'un autre, tu étais déçu de l'accueillir en si piètre état quand même. Fin bref, quelques petites minutes plus tard, elle fit son apparition dans ta chambre, avec les larmes. « Ohayo Rosie-chan... Ne pleures pas s'il te plaît. » dis-tu avant de l'inviter à te rejoindre pour que tu puisses la prendre dans tes bras. « Tu m'as manqué chaton. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Pendant le trajet en avion et dans le taxi, je ne pensais qu’à mon meilleur ami malgré le bruit ambiant se trouvant proche de moi surtout dans l’avion… mon esprit et mes pensées se sont toujours diriger vers le jeune homme qui est cher à mon petit cœur. Notre amitié est tellement précieuse à mes yeux et si belle aussi, je suis contente d’être son amie en tout cas et aussi il a une très grande place dans mon cœur, je me demande souvent comment je ferais s’il ne devait plus être présent dans ma vie… Dans le taxi m’emmenant à l’hôpital, des petites larmes coulèrent sur mes joues puis je secouai un peu la tête pour essayer de ne changer les idées mais le pire est presque arrivé. A peine arrivée sur place, je pris toutes mes affaires de la voiture et rentra dans le hall de l’hôpital ou des personnes me confisquèrent mes affaires…  

La fatigue dû au trajet et la peur de perdre Côme ont eu raison de moi car des larmes coulèrent sur mes joues instinctivement, je me doute bien que cela lui fait mal de voir que je pleure mais je n’y peux rien après tout, j’ai bien failli le perdre. A partir de ce jour, il pourra compter sur moi pour le protéger du mieux que je le peux, il est hors de question que je le laisse tomber suite à cet événement pas facile que ça. Il avait beau me dire de ne pas pleurer, j’allais faire un effort oui mais les larmes continuèrent à couler tout doucement sur mes joues. Néanmoins, je m’approchai tout doucement de son lit et m’asseyais à ses côtés afin qu’il puisse me prendre dans ses bras « tu m’a tellement manqué aussi » je veux ressentir de nouveau son souffle chaud dans mon cou et ses mains autour de moi pour vraiment que je me dise qu’il est vraiment là, que je ne rêve pas en quelque sorte. « Tu m’a fait si peur »  
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)