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crédit/ tumblr@Levi Fawkes Underwood

Deux hommes devant moi, l’un qui me regarde d’une façon plus que bizarre et qui soit dit en passant, a une mauvaise hygiène buccale et l’autre qui s’amuse à rire comme une hyène. De mon côté, la tête me tourne et je ne sais pas trop quoi faire d’autres que dire de me laisser tranquille, en le repoussant le plus fort que je peux, étant donné les circonstances. C’est-à-dire, à peine d’un millimètre. Je ne sais pas ce qui m’a passé par la tête de venir à cette fête, je n’y connais personne, chose qui est rare et je ne m’attendais pas à ce que les personnes ici présentes soient aussi lourdes. Non, mais vraiment, lorsqu’une femme dit non, c’est facile à comprendre, n’est-ce pas ? Je me laisse donc glisser sur le sol, dos contre un rocher sur la plage, toujours mon mojito à la main, priant pour que ce gorille et son acolyte décident de se trouver un autre poids. Sauf, qu’il en décida autrement, évidemment. Il se pencha vers moi et son haleine de chacal eu le don de me lever le coeur. « Oh Mon Dieu, c'est horrible bordel ! Partez. Laissez-moi tranquille ! » Je le pousse de nouveau et cette fois-ci, il tombe sur le derrière. J’en profite pour me lever, mais dès que je me retrouve sur les deux pieds, l’autre mec, m’agrippe par le bras. « Aie ! Lâche moi !  » Criai-je plus fort que nécessaire, priant pour que quelqu’un me vienne en aide. Il va me laisser une marque, cet imbécile !
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crédit/ tumblr@Anisa Kolaneva-Poutine

Qu’est ce tu peux bien branler là, toi. T’es l’anti sociale de première. Un psychologue te dirait que t’es probablement un putain d’agoraphobe. L’monde te fait chier, les gens te casses les ovaires. Tes gros ovaires qui prennent trop de place au gout d’la société. T’aurais jamais dû venir là, rester dans ta chambre là-bas, t’enterrer, dans tes draps. Netflix, le vrai. T’avances, travers la foule, tu veux rejoindre le bar. Boire, douceur. Calmer cette haine qui monte en toi. Tu vas finir par hurler. Cette meuf-là, elle, qui t’pousse depuis tout à l’heure. Son cul qu’essaye de se déhancher. Ça frôlerait presque une crise de convulsions. Soupire entre tes lèvres, tu la pousses littéralement, ton chemin qui se dégage. Grosse merde. Merde. Tes prunelles bleutées se posent sur cette silhouette. Cheveux long, impeccablement brillants. Tu sens d’ici son après-shampooing d’eau de rose. Une fleur parmi les pissenlits. Un sourire qui se trace sur ton visage, inconsciemment Pourquoi tu souris. Tu ne devrais pas, ce n’est qu’elle, la voisine chiante. La voisine rabat-joie. La voisine au cul de pêche, la voisine à la voix sensuelle, la voisine aux yeux envoûtants. Merde. Qu’est-ce qui t’prends. Ton sourire se rabaisse, ces hommes, qui l’entourent, de trop près, une main sur elle. Sourcils qui se froncent. Bouledogue Levi. On pourrait presque voir tes grosses canines ressortirent de cette mâchoire tendue. Tu t’approches rapidement. Ton corps tatoué se faufile, entre elle et ce connard. Sourire machiavélique sur tes lèvres à peine maquillées. J’te conseille de faire ce qu’elle dit si tu veux pas finir au goulag connard. Il finit par la lâcher, il reste planté la, ses pieds cloués dans l’sol. Il ne comprend pas, l’gorille. Ok les gars j’vais devoir briser vos rêves et refaire tomber vos queues. Tu te retournes vers elle, Anisa. Ses yeux croisent les tiens, un instant. Tes paupières qui retombent, tes lèvres sur les siennes. Baiser, fougueux. Tes mains entourent son visage, si fin. Sa peau d’bébé, sans un seul bouton d’acné. Putain, comment elle fait ? Cet instant, si court, déjà terminé, tu te retires, lâche ton emprise. Un regard, ses chiens d’la casse, choqués, sans savoir quoi aboyer. Elle est pas intéressée vous, tu vois ? Tu prends la main d’Anisa. Doigts entremêlés. Ton cul, de gauche à droite, à peine subtilement, une épaule qui pousse un de ces connards. Bandez pas trop, vous êtes pas à l’abri que j’ai une plus grosse bite que vous. Un ricanement cette fois. T’arrives à te frayer un chemin un peu plus loin, un coin plus tranquille. Tu relâches rapidement sa main. J’suis déçue j’pensais que la belle Russe bien foutue avait des années de krav maga derrière elle pour se défendre. Tu ricanes, encore une fois, c’est même pas méchant.

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crédit/ tumblr@Levi Fawkes Underwood

C’est comme si tes prières venaient d’être exaucées, même si en réalité, tu ne comprenais pas trop ce qui était en train de se passer. Cette fille qui est en train de prendre ta défense, tu la connaissais, elle te dit vaguement quelque chose, mais tu n’arrives pas à t’en rappeler. Sans doute l’alcool que tu as ingéré qui te fait perdre la boule. Et puis là, tout te revient, la folle d’à côté, comme tu aimes si bien l’appeler. Celle qui n’arrête pas de te déranger avec ses musiques de lourd dingue. Tu n’en peux plus de cette meuf. La seule fois où tu peux l’apprécier est lorsqu’elle t’invite à boire. Et là, elle s’adresse au gorille à l’haleine de chacal de te laisser tranquille, qu’elle va leur briser leur rêve ? What ? De quoi elle parle, celle-là ? Tu les regardes bouche bée, jusqu’à ce que tu sens des lèvres sur les tiennes et des mains qui encadrent ton visage. Bordel… Non, non non non ! Ton premier réflexe fut de lui mordre la lèvre, mais voyant que ça ne faisait rien, tu lui as littéralement mordu la langue. Dégage la pouffiasse. C’est ce que tu avais envie de lui dire, mais elle était peut-être en train de te sauver la vie. Tu te voyais violée et lancé aux requins par la suite. L’horreur. Tu es trop belle pour mourir de cette façon. Levi finit par te prendre par la main, alors que tu lui rentres les ongles dans sa paume. Tu veux lui faire mal, te venger de ce qu’elle t’a fait faire. Et elle te relâche enfin, tandis que tu es encore éméchée par l’alcool. « TA GUEULE ! » Cris-tu après elle, la frappant de ta main sur son épaule. Ça ne semblait pas très cohérent tout de même, puisque tu avais du mal à te tenir sur tes deux jambes. Ont-ils ajouté quelque chose dans ton verre, ces idiots ? « C’est quoi ton foutu problème ? D’où t’as crus que tu pouvais m’embrasser ? T’as perdu la tête ? T’as manqué d’oxygène à naissance ou quoi ? » Aucun merci, aucune réponse qui en valait la peine. Non, pour toi, elle ne venait pas de te sauver. Pour toi, elle n’était pas en train de se moquer de ta personne, non… Elle t’avait embrassé, c’était encore pire.
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