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ROXANNE L. BATES ► béatrice martin

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ROXANNE LAUREN BATES

feat. béatrice martin (coeur de pirate)


   

   

   
ID CARD
  • 12 AVRIL 1995
  • EASINGTON, ANGLETERRE
  • 23 ANS
  • BRITANNIQUE
  • PANSEXUELLE
  • DIVORCEE
  • MODESTE
  • MATHEMATIQUES APPLIQUEES
  • SERVEUSE / CHANTEUSE
  • BOURSIERE
  •  
ADMISSION
TON ADMISSION À HARVARD - Laborieuse. C'est le mot pour définir l'admission de Roxanne en cinquième année. Poussée par les professeurs de son école de mathématique peu prestigieuse et motivée par son ambition nouvelle, qu'elle nourrit depuis la naissance de sa fille, Roxanne assemble un dossier et demande l'inscription. Mais voilà, le jour de l'entretien, le jury voit débarquer une minette tatouée de la tête aux pieds, une gamine sur les bras, divorcée : pas le profil qu'on accepterait à Harvard les bras ouverts. Mais si ce n'était que ça... La blondinette ose être sans le sou et demande une bourse ! C'en serait presque trop pour le jury qui l'aurait volontier congédié s'il n'y avait pas un hic, un couac, un élément qui ne va pas absolument pas avec le reste, qui jure avec ce profil d'adolescente rebelle : Roxanne est une génie des mathématiques, ses résultats en BAC+4 de mathématiques appliquées sont sans appel : elle surpasse (et de loin) tous les autres élèves de sa promotion et même certainement la majorité des élèves d'Harvard. Le jury se concerte, bien embêté : au final, c'est d'accord ! On offre à Roxanne une place ainsi qu'une bourse bien maigre, pas assez pour payer la moitié des frais de scolarité mais c'est une occasion que Rox ne peut refuser.

   

   
MAISON OU NON ?

Une confrérie pourquoi pas, Roxanne se dit qu'elle pourrait y rencontrer des gens de confiance qui pourront la pousser pour donner le meilleur d'elle même. Mais une confrérie où s'enchaînent les beuveries certainement pas, ça aurait pu être tentant il fut un temps mais à présent, elle est maman et se doit de protéger sa fille. Si Rox fait le choix d'intégrer une confrérie c'est à condition que celle-ci lui offre les clés de la réussite, lui permette d'accomplir ses nouvelles ambitions. Roxanne n'a jamais été une élève particulièrement studieuse mais elle sait à présent que si elle s'en donne les moyens, elle pourra briller et elle doit ça à sa fille.


   
impulsive Roxanne n'a jamais écouté sa tête, ni les élans de sa raison qui lui hurlent d'être raisonnable, de rebrousser chemin. Elle se laisse guider par ses sens, par ses émotions et prend les décisions les plus importantes de sa vie sur des cris du coeurs. affectueuse Rox s'attache aux gens d'un coup et sans aucune retenue : elle donne tout son amour sans jamais rien garder pour elle. Et c'est ainsi qu'elle enchaîne les déceptions amoureuses et les désillusions amicales. terre à terre Roxanne a connu une vie modeste qui dès son plus jeune âge lui a fair prendre conscience de la valeur des choses. Depuis plus de deux ans, la grossesse et la maternité l'ont fait mûrir très vite, elle se sent vieille à 22 piges. sarcastique championne d'humour noir et d'auto-dérision, rire des malheurs et des pépins du quotidien a toujours permis à la blondinette de dédramatiser : relativiser est son crédo. sanguine enchaînée à la volonté de ses nerfs, de son sang chaud, Rox peut se montrer violente et dure, parfois injuste : elle a inhibé une violence dans ses mots et dans ses gestes suite aux relations tumultueuses qu'elle a vécu auprès de types peu recommandables. ambitieuse c'est une ambition très récente, que Roxanne s'autorise seulement après la naissance de sa fille : elle veut pour elle une vie confortable et stable, elle veut être une maman dont sa fille sera fière alors depuis peu, elle s'autorise à voir les choses en grand (ou en moins petit qu'autrefois) insécure Rox peut donner l'impression opposée sous des airs de grande gueule et de fêtard, mais elle a toujours tendance à douter d'elle-même, à se sous-estimer. égoïste Roxanne est loin, très loin d'être une méchante sans coeur. Mais elle fera toujours passer ceux qu'elle aime avant, avant tous les autres. Et elle fera tout son possible pour assurer leur bonheur, parfois même au risque d'écraser un peu ce qui l'entoure. C'est particulièrement vrai lorsqu'il s'agit de sa fille : pour la protéger, elle devient une vraie tigresse.

   


   

   impulsiveaffectueuseterre à terresarcastiquesanguineambitieuse


   
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle liesou et j'ai 17 ans. Je suis franco-allemande et j'ai connu le forum grâce au petit bonheur la chance. Il est magnifique, actif et il laisse une grande liberté par rapport aux personnages alors j'ai décidé de m'inscrire. J'étais déjà présente sur le forum sous les traits de Pia M. Ciantelli. J'utilise Coeur de Pirate comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé mais basé sur un pré-lien de @Callum Fraser.

   Je souhaite ▲ (retire la balise le symbole et sa couleur qui ne correspond pas)
    adhérer un flood d'intégration (?)
    je veux être parrainé
    je souhaite participer au Summer Camp en tant que vacancier

   Je recense mon avatar
   si personnage inventé:  
   
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8363]☆[/url] ☆ <span class="pris">BEATRICE MARTIN</span> ◊ “Roxanne L. Bates ”[/size]
   
   
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STORY OF MY (complicated) LIFE

I climb to my fall


   

YOU DON'T HAVE TO PUT ON THE RED LIGHT
Je nais à Easington, une ville minière du Nord de l'Angleterre.Mon père, fan de rock, insiste pour me donner le nom éponyme d'une chanson de Police. C'est ainsi que je suis baptisée Roxanne et que j'échappe à Bobby, Paige ou Madison, en évitant le plouc et le terriblement ringard. Le moins que l'on puisse dire c'est que je grandis dans une famille modeste : mon père est un ancien mineur qui na pas retrouvé de boulot depuis la fermeture des mines alors ma mère supporte le foyer à elle seule, avec son salaire de maîtresse d'école. Alors que j'ai deux ans, mon père tombe gravement malade, les médecins ne le disent pas encore mais ma mère sait : le passé de mineur de mon père le rattrappe, c'est les poumons. Je suis encore trop petite pour comprendre que la vie sera dure. Ma mère double ses heures : un malade coûte cher.
Quand j'ai quatre ans, après deux années où ma mère a maigri à vue d'oeil, où les potages se sont de plus en plus maigres et les cadeaux de plus en plus rares pour Noël ou mon anniversaire, mon père meurt. Une bouche de moins à nourrir, me direz-vous. Sauf que personne ne se dit ça en perdant un père ou un époux. A vrai dire, ma mère ne dit plus rien du tout. Pas un mot pendant un mois. Et puis un matin, elle me réveille très tôt alors que je me suis endormie en suçotant la jambe de ma poupée. "Roxy, mon ange, on se lève. J'ai fait ta valise. On va prendre le bateau." Ma petite valise dans une main, ma poupée dans l'autre, j'embarque sur un gros ferry qui nous emmène loin de l'Angleterre, loin de l'Europe. Nous passons par le port de New York, nous faisons escale dans une petite ville du Kentucky, dormons dans un motel dans l'Etat du Mississipi. Et puis un soir, après de longues heures de route, ma mère me dit que le long voyage est fini. Je ne sais pas trop où on est, nous descendons de l'autobus puis traversons quelques ruelles avant que ma mère ne me pointe une chaumière du doigt, dans l'obscurité, j'avance jusque sur le palier à pas prudents. Avant que j'ouvre la porte, ma mère me chuchote : "Ouvre, c'est chez nous !"
Nous nous installons dans cette petite maison de la Nouvelle-Orléans en Louisiane. Ma mère trouve rapidement du boulot et voit ses bulletins de salaire augmenter. On ne roule pas sur l'or mais on se débrouille. Ma mère, très attachée à la religion protestante et à une éducation traditionnelle, m'envoie dans une école privée religieuse. Les frais de scolarité s'en prennent aux fins de mois mais ma mère parvient toujours à joindre les deux bouts. On pourrait croire que ma situation modeste se serait camouflée dans les plis de mon uniforme mais il faut croire que nos difficultés financières sautent aux yeux de mes petits camarades de classe. Je ne suis pas l'enfant la plus sociable, faut dire que mon accent des provinces britanniques repoussent mes camarades et puis, je suis une "plouc", une "pète-sec", pas le genre que les mamans invitent volontier jouer à la maison. M'enfin, ça ne m'importe pas tant que ça, voyez, je suis le genre la tête dans les nuages, je m'invente toutes sortes d'aventures avec mes amis imaginaires et je déborde d'affection pour ma mère. Et puis, il faut dire qu'il y a quelque chose qui rend rapidement dingue mes petits camarades de classe : dès mon entrée à l'école primaire, je développe des facilités déconcertantes pour les nombres, les additions, les soustractions. Si bien qu'à la fin de l'année scolaire de mes sept ans, je saute une classe sans le moindre mal. Je les vois bien : ils sont verts de rage, les petits qui me prenaient de haut.
Et puis un jour, pour l'anniversaire de mes huit ans, moi qui ne demande jamais rien, j'aimerais un piano. Je ne l'ai que quelques mois après, avec des sous mis de côté. Dès lors, je joue tout le temps. J'apprends très vite et ma mère s'émerveille de mes progrès en autodidacte : en plus d'avoir la bosse des maths, je me révélais mélomane. Progressivement, je m'accompagne en chantant. Et puis je décide d'écrire mes propres chansons. Des textes souvent nostalgiques, que je fredonne en jouant des airs graves. Mon père, mon Angleterre natale, ma différence... Je pense que c'est là que ma mère s'est dit que je serai une fille compliquée.

YOU DON'T HAVE TO WEAR THAT DRESS TONIGHT
Effectivement, les choses se compliquent. Comme un revers, après cette enfance où j'ai été le vilain petit canard dans une école de bourges coincés des fesses, je vis une sacrée crise d'adolescence. Je commence par sècher les cours, ce qui se sent dans mes résultats scolaires, sauf en maths où je semble toujours exceller sans le moindre effort. Et je me mets à fumer, un geste de rebellion à la con. Je teste mes limites en enchaînant les soiréees qui dégénèrent. Je traîne avec des "mauvais gars" comme les appelle ma mère qui me sent toujours plus lui échapper alors qu'elle endure mes premières fugues. Pour mes dix-sept ans, je me fais tatouer, avec l'argent que j'ai économisé en bossant.
Depuis mes seize ans, je travaille dans un café après les cours alors que j'enchaînais jusqu'alors les baby-sittings, les cours particuliers de maths, les promenades de chiens, un rien qui puisse arrondir les fins de mois du foyer. Premier job, premier amour. Un type qui me fait vivre un rollercoaster sentimental, qui me fait sortir de ma zone de confort, qui me pousse à oser, à prendre confiance, qui m'encourage dans la musique. Le mec parfait ? C'est aussi une personne sanguine, parfois violente, lunatique. Et un vrai voyou. Tous deux nous élaborons un plan, on veut prendre nos cliques et nos claques, partir loin d'ici, lui a chopé de la coke, il me dit que je deviendrai une super-star de la chanson. Au lieu de filer mon salaire mensuel à ma mère pour dépanner, je garde l'argent. Ca fera l'affaire avant que notre business ne se lance. Un soir, je m'enfuie à pas de loup hors de la maisonnée et j'embarque au dos de son scooter. On roule, on roule, on roule. On part pour le Mexique. On part vivre une vie de rois. La frontière à peine atteinte c'est le bordel. On passe une soirée bien arrosée dans un bar latino. Et puis il veut passer à la vitesse supérieure, alors que je danse, je sens qu'il m'attrappe par les hanches, commence à tirer ma jupe, à déziper son pantalon. Je me débats. Il me retient. Je me dégage. Il me frappe. Et je déguerpis, attrappe son scooter et roule jusque chez moi, l'aventure si vite et si mal terminée.
Cette escapade est à l'image de mes années adolescentes : des années où je voulais vivre plus vite pour croire à l'ivresse et au bonheur qui vient avec, mais bon sang, j'étais mal dans ma peau. Dès mes quinze ans, je commence à me couper les poignets, les cuisses. Jamais au point de mettre ma vie en danger. Jamais trop profond, ni trop loin sur ma peau, pour que cela reste un secret. De moi à moi.
Ma pauvre maman, je lui fais endurer le pire. Et pourtant, je sais bien ce qu'elle fait pour moi, ce qu'elle a toujours fait. Alors non, c'est pas la plus parfaite des mères avec son éducation rigide et ses vieux principes, mais je sais que j'ai été injuste, que je lui dois beaucoup, que j'ai été une ingrate. Mais si c'est une autobiographie que je fais là, je ne peux pas mentir, j'étais une gosse infernale.


YOU DON'T HAVE TO SELL YOUR BODY TO THE NIGHT
En sortant du lycée, je suis finalement une élève plutôt moyenne, voire carrément médiocre. Excepté, encore une fois, en maths, où les profs se voient obligés de me mettre d'excellent résultats, toujours à contre-coeur. J'intègre une petite école de maths, en Lousiane. Je grandis vite, je me rends compte que j'étais une sale gosse et je m'investis dans mes études, comprenant le poids qu'elle représente pour ma mère. Ce coup-ci, y a pas photo, dans une école centrée sur les mathématiques appliquées, c'est le carton plein.
Ma vie bascule. Une amie du lycée qui a bien réussi (ça peut surprendre) m'invite à sa fête d'anniversaire. C'est une soirée étudiante sur le campus d'Harvard. Comme à mon habitude, je bois bien, je fume un peu aussi, je me déhanche. Et je me rapproche d'un gars. Il a un accent britannique aussi. Peut-être la seule chose claire dans ma mémoire à son compte aujourd'hui. Bref, on se taquine, on se lance des regards, on danse, on finit sous les draps. On se dit au revoir le matin et chacun repart à sa petite vie. Sauf que bien vite, cette partie de jambes en l'air me rattrappe. J'ai des vertiges, des nausées, et puis surtout je n'ai plus mes règles. Un gros coup de flippe et un test de grossesse plus tard, la nouvelle tombe, je suis enceinte. Je pense bien sûr à l'avortement, mais, finalement, je renonce. Pourquoi ? Je ne sais même pas. Peut-être les restes de mon éducation protestante, ou alors comme un besoin d'un déclic dans ma vie, une inspiration après une vie tumultueuse, des histoires d'amour terribles. Ou alors ma nature impulsive qui me souffle de le garder ce bébé, que ça finira comme une belle histoire.
Alors que je suis enceinte, je me remets à bosser, ma mère ne pourra pas assumer financièrement ma décision dont j'ai l'entière responsabilité. J'enchaîne les petits boulots et je continue de travailler sur ma musique, caressant le rêve d'un jour aboutir sur un projet.
Et puis ma vie prend encore un nouveau tournant quand je rencontre quelqu'un pour qui j'ai un coup de foudre, quelque chose de fort qui semble m'enchaîner à cette personne qui me promet d'être, avec moi, le parent de cet enfant. Alors encore une fois, guidée par mon coeur, mon impulsivité, et puis aussi cette volonté secrète de vivre enfin mon conte de fées, d'offrir une vie stable à mon bébé, je l'épouse. Notre histoire commence bien, animée bien sûr par des hauts et des bas. J'accouche : c'est une fille, l'espiègle Jane Loïs Bates. Mais le bonheur ârfait ne dure pas. Est-ce que j'attire toutes les mauvaises personnes ? Je reconnais dans les gestes, les mots, le regard de celui que j'aime, la violence que j'ai déjà connu auprès de mes anciens amours. Un jour, s'en est trop, je claque la porte, emporte ma fille avec moi et demande le divorce. Un peu moins d'une année après qu'on s'est passé la bague au doigt.
A la naissance d ema fille, je m'autorise à être plus ambitieuse, je veux pour elle une grande maison, une vie de princesse, tout ce que l'école de Louisiane ne suarait m'offrir. Poussée par mes professeurs, je décide d'intégrer Harvard en mathématiques appliquées et y parviens après une admission laborieuse. Je redouble d'efforts pour me payer mes études et élever Jane car la bourse est loin de couvrir l'entièreté de mes frais. Mais l'album que j'ai enregistré durant ma dernière année de BAC+4 dans un studio cheap semble enfin décoller, un producteur repère une chanson et je passe enfin sur des petites radios. De quoi arrondir les fins de mois. Je jongle entre la musique, les mathématiques, mon boulot comme serveuse et Jane.
Alors que je me promène dans le campus, j'aperçois un visage que je pensais avoir absolument oublié et que pourtant, je suis capable de distinguer entre mille sûrement parce que j'en retrouve les traits sur le minois de ma fille. Le père de ma fille est là, à Harvard. Je suis sur la paille, je peux plus enchaîner les mecs mauvais qui pourissent ma vie et surtout celle de Jane, je dois offrir le meilleur à ma fille. Jane a un an et demi et elle est sur le point de rencontrer son papa.
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Re bienvenue par ici ROXANNE L. BATES ► béatrice martin 2511619667

Bon courage pour ta fiche ROXANNE L. BATES ► béatrice martin 152426858
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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : ROXANNE L. BATES ► béatrice martin 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

ROXANNE L. BATES ► béatrice martin SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 197
Messages : 53979
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
Coeur de pirate ROXANNE L. BATES ► béatrice martin 1365124802 il me semblait bien que le nom de cet avatar me disait quelque chose ROXANNE L. BATES ► béatrice martin 1616978029
Rebienvenue ROXANNE L. BATES ► béatrice martin 3850463188
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

ROXANNE L. BATES ► béatrice martin UqVihWUg_o
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reee :)
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Re Bienvenue parmi nous ROXANNE L. BATES ► béatrice martin 2511619667
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(re)bienvenuuuuue chez toi :heaart: .
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re-bienvenue et bon courage pour ta fiche ROXANNE L. BATES ► béatrice martin 1230098378
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rebienvenue :heaart:
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Bienvenue parmi nous ROXANNE L. BATES ► béatrice martin 1365124802
Good luck pour ta fiche and have fun ROXANNE L. BATES ► béatrice martin 1230098378
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