Valentin Breingh ► Xavier Samuel

C'est le Dix Octobre mille neuf cent quatre-vingt sept à Londres, que les membres de la famille Breingh m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Herni Valentin. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuelle et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' art plastique depuis sept ans. OU je travaille en tant que métier depuis nombre d'années ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Lowell House ou les Dunster House.

Je suis gentil ▲ Je suis attentionné ▲ J'ai un manque de confiance terrible en moi. ▲ Je suis très susceptible ▲ J'ai un art avec le crayon▲ Je me drogue un peu ▲ Je n'ai jamais fait l'amour (a) ▲ Je crois au vrai amour▲ Je suis assez têtu ▲ J'ai besoin de toi dans ma vie

▲ Le plus gros vie de merde de mon personnage c'est quand il a voulu se passer sa bombe de axe sous les bras mais qu'à la place il a prit la laque de cheveux de sa mère. Je ne vous raconte pas la suite...

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Non je n'y vais pas car les soirées ce n'est vraiment pas mon genre...

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

J'y participerai peut-être en effet. Et je trouve que c'est une excellente idée.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Oui j'y participerai volontier en essayent de représenté une de mes oeuvres par mes propres mains. Quoi que... C'est nul donc non je n'y participerai pas.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Si elle est vraiment gentille et drôle je serais ravis de prendre son numéro.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Je veux bien essayer...

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je pense que c'est un idiot (a) nonjenesuispasjaloux :lol2:

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

J'irai volontiers vu que déjà l'anglais est ma langue d'origine !

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Ctich' et j'ai entre quinze et vingt ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. Je le trouve terriblement parfait alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Xavier Samuel comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par beaucoup de créateur de bazzart. Je fais environ moyennement (5 - 10 lignes) de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ J'espère que je vais m'amuser

« Non Théo, me laisse pas… Je t’en supplie … » Disais-je à mon bien aimé. Au seul homme de ma vie et au tout premier. J’étais prêt à le laisser découvrir mon corps, j’étais prêt à tout pour lui. Cela fessait dix mois que nous étions ensemble. Il est allongé, sa tête sur mes jambes, mains dans la main, des larmes coulèrent sur ma joue. Son souffle qui devient de plus en plus faible. « Je… Je t’aime Valentin… » Nous étions à notre lycée de Londres, Birkbeck. Un élève armé a décidé de péter un câble en nous tirent dessus, il était touché. Une balle bien pré de sa poitrine, ma mère sur sa blessure que je tiens fort pour que le sang arrête de couler. « Il arrive bientôt. Tiens le coup mon amour… » Ceux que j’aimais bien dans notre lycée, c’était qu’on était jamais juger sur ce qu’on était. Beaucoup de personne étaient vraiment contente, pour moi comme pour lui. Du moins sauf mes parents. Et quand ils l’ont appris j’ai été viré de ma maison. Lui il m’a accueilli. Je dormais tous les soirs dans ses bras, on se fessait des caresses sans jamais que cela n’aille plus bas. Car il me respectait. « Je… peux … plus … » Il essaie de se battre, puis je vais le blottir contre moi en pleurent de toutes mes larmes. Je ne supportais pas de savoir qu’il allait mourir. Puis, ses yeux se ferment, son cœur s’arrête, sa vie se termine. A dix-sept ans elle se termine. « Théo… » Disais-je d’une voix triste. Une seconde après les secours arrivent, et moi je pleure. Il avait bien vite compris notre relation ainsi que sa vie. Je lui caresse sa joue, puis ses parents eurent le droit de rentré dans ce lycée car ils ont appris la nouvelle. Se mère m’autorise à aller dans ses bras. Ce moment que j’aime car on se comprend bien vite. Après ce jour-là je ne suis pas allé au lycée pendant une semaine. Quand je suis revenue j’avais eu beaucoup de soutien. Son casier était avec le mien, nous nous le partagions. J’ouvre la porte de notre casier, nous deux, en train de s’embrasser, je me mets à pleurer.
Après ce jour-là, et ses semaines infernales j’ai réussi. J’ai réussi à m’en remettre et la seule chose que je fessais c’était dessiner après les cours. Théo était ma moitié, il savait ce que je pouvais faire ou non. Un gros manque de confiance vient de semaine en semaine en moi. Puis à force de chercher, je me suis mis à travailler dans des bars, j’ai fait des rencontres sympas, mais je n’ai pas trouvé ma moitié. J’ai beaucoup économisé, et je me suis acheter un billet à Cambridge. J’ai réussi à me trouver un appartement puis j’ai payé mes études à Harvard, dans l’art plastique. Je refais ma vie. Je veux trouver l’amour, l’amour auquel j’y crois plus que tout ?