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EMRYS + HECATE.
Le corps renversé en arrière sur le canapé, le plafond sous ses yeux bleus, une pièce qui roule entre les doigts, alors que son verre alcoolisé se dessine, encore frais mais déjà à moitié vide, sur sa table basse. Coquille vide ces derniers temps, peut-être même un peu trop souvent, elle profite pas forcément de son été comme elle devrait, Cat. En fait, elle en profite pas du tout. Se contente d'aller et venir au Nirvana, se dénude et danse pour payer son loyer, remet de plus en plus en question son avenir à Harvard et sa présence dans la région. Rares sont ceux qui lui donnent encore envie de s'accrocher à Boston. A cette pensée, la brune tend les doigts vers son portable, situé à l'opposé du canapé, et laisse échapper un sourire soulagé quand enfin, le smartphone glisse entre deux de ses doigts, suffisamment pour qu'elle l'attire à elle. Ses contacts défilent sous ses doigts, s'arrêtent au niveau d'un prénom familier, qu'elle n'appelle pourtant pas assez ces derniers temps. Elle reste plantée là, devant sa photo, lèvres pincées, à mi-chemin entre un désir violent de rester seule et livrée à elle même, et ce besoin qu'elle tait mais est pourtant bien présent : celui d'avoir quelqu'un à ses côtés pour la délivrer de ses idées noires. Et après de longues secondes, peut-être même minutes à fixer son écran comme s'il allait se mettre à bouger par la simple force de son esprit, elle fait glisser son doigt sur le prénom d'Emrys pour envoyer un message, rapide, relativement clair le connaissant :
Le message défile, l'envoi se confirme, et alors qu'elle bascule pour s'allonger correctement dans le canapé, le sang commençant sérieusement à lui monter à la tête, elle troque son téléphone pour son verre, qu'elle vide d'une traite. Restait à voir si Firelies allait ramener son postérieur, ou bien jouer les divas. Pour l'un comme pour l'autre, ça a toujours été soit blanc, soit noir. Elle rattrape le téléphone, et rajoute un :
Journée de merde. Trop de bouteilles pour une seule personne dans mon appart. J'te paie un verre, tu me paie une clope ?
Le message défile, l'envoi se confirme, et alors qu'elle bascule pour s'allonger correctement dans le canapé, le sang commençant sérieusement à lui monter à la tête, elle troque son téléphone pour son verre, qu'elle vide d'une traite. Restait à voir si Firelies allait ramener son postérieur, ou bien jouer les divas. Pour l'un comme pour l'autre, ça a toujours été soit blanc, soit noir. Elle rattrape le téléphone, et rajoute un :
Au fait, la clé est sous le paillasson. Flemme de me lever.
©️ MADE BY LOYALS.
@Emrys Firelies
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