Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityBAESEONG ☆ un jour sans toi, me paraît une éternité sans joie.
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BAESEONG ☆ un jour sans toi, me paraît une éternité sans joie.

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un jour sans toi, me paraît une éternité sans joie
Au fur et à mesure que j'avançais, au cœur de la nuit noire qui était désormais tombée sur moi pour me couvrir de son manteau d'obscurité, je sentais l'excitation et la crainte grimper en moi. Je repense à mon parcours, je repense à mon couple, à toi Hae-Seong. Avec toi, j'ai embelli, j'ai gagné en grâce et en maturité ! Allais-tu bien ? ... Après ces jours loin de moi, voudrais-tu toujours être à mes côtés ? Le doute enserra mon cœur, ce cœur qui battait la chamade en pensant aux retrouvailles qui m'attendaient par delà la ville : j'étais comme une enfant trop excitée, me trouvant à laisser échapper un rire léger, trop léger, en imaginant tout ce qui se passerait, tout ce qu'on se dira. Éclairée par la lune, l'astre des amants, je progressais vers mon but, incapable d'avoir pu trouver le sommeil, espérant que je trouverai rapidement mon joyau. J'avais tant de choses à te dire... Aurais-je encore ce droit ? Si ça trouve, durant ce road trip, tu t'es rendu compte que tu pourrais avoir mieux que moi. Que je n'étais pas assez bien pour toi. Et puis devant l'hôtel, je vois vos véhicules se garer. Je regarde ma montre, deux heures du matin. Nuit du vendredi donc. Je te vois descendre avec ton sac et je te laisse t'éloigner un peu des autres, puis je cours comme une furie pour m'élancer et sauter sur ton dos. Mes bras s'enroulent automatiquement autour de ton cou, mon nez niche le creux de ton cou et mon rire s'évapore dans les airs. « T'éloignes plus de moi aussi longtemps... » un murmure à la volée. Ça ne faisait qu'une ou deux semaines et pourtant ça m'avait paru une éternité. Je plaque mes lèvres sur ta joue et je t'embrasse aussi fort que possible jusqu'à y laisser un peu de bave. « Je n'ai pas réussi à dormir, je voulais te voir. J'en pouvais plus. » Je voulais déjà te bombarder de questions, mais il se faisait tard, j'aurais tout le temps demain pour ça. Pour l'heure, je te guidais jusqu'à notre chambre. Je te laissais te changer et te mettre à l'aise sur le lit en m'installant dans tes bras pour te couvrir de baisers et de câlins. Nous nous sommes endormis et moi j'avais sombré comme un petit bébé. Les rayons du soleil traversa la fenêtre de notre chambre, éblouissant mes yeux et m'obligeant à me lever. Je commandais rapidement le petit-déjeuner allant ensuite prendre une petite douche en attendant. Les cheveux mouillés, j'enfile mon peignoir lorsque le room service toqua à la porte. Je me dépêchais d'ouvrir pour récupérer le petit chariot en remerciant le personnel au passage. Je poussais le chariot du petit dej près du lit, de ton côté et je grimpais sur toi pour m'asseoir à califourchon. Tout doucement, je penchais mon corps pour que mes lèvres et ma langue viennent suçoter ton lobe d'oreille et ainsi, te murmurer ces quelques mots. « Mon beau et sexy futur fiancé au bois dormant... Ouvres les yeux. »
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le voyage a été éreintant, seong il est crevé alors qu'il sort les valises de la voiture mais rapidement il sent sa petite amie se jeter sur son dos et enrouler ses bras autour de lui. un sourire s'empare des lèvres du coréen, il lâche un petit rire joyeux ; il aurait aimé avoir sa belle asiatique à ses côtés durant le voyage mais elle n'avait pas souhaité faire partie d'une équipe. en tout cas il est vraiment heureux des retrouvailles, il trouve le temps long sans elle et encore plus depuis leur promesse de fiançailles. peut-être que ça va se passer dans ce cadre idyllique d'ailleurs parce que c'est l'endroit vraiment parfait. il plaque ses lèvres sur celles de la jeune femme pour un baiser langoureux et tendre, sa main remonte dans sa chevelure pour la caresser lentement puis il attrape son visage entre ses mains. « tu m'as tellement manqué ! » mais maintenant ils sont enfin réunis tous les deux entre amoureux et il peut profiter d'elle autant qu'il le veut. mais pour l'heure il a surtout envie de gagner les bras de morphée, ils montent dans leur chambre d'hôtel pour un sommeil réparateur dont il a bien besoin. il ne sait pas si ce sont les rayons du soleil sur sa peau ou la présence de sa fiancée à califourchon sur lui qui le réveille mais un sourire béat s'accroche à ses lèvres lorsqu'il ouvre les yeux sur le corps de la belle. « j'aime beaucoup ce genre de réveil. » il glisse ses mains sur les hanches de sa petite amie pour caresser sa peau, le viol est encore bien ancré dans son esprit mais il n'est pas là pour le lui rappeler, au contraire il veut tout faire pour qu'elle l'oublie grâce à la force de son amour. il attrape fermement ses hanches pour la faire basculer sur le lit et se mettre au dessus d'elle, ses lèvres dévalent son cou jusqu'à la pointe de son épaule. « t'as fais quoi durant mon absence ? t'as pas dragué d'autres garçons j'espère ? »
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Bordel ce que ça faisait du bien de te serrer dans mes bras à nouveau. Ce que ça faisait du bien de t'entendre dire que je t'ai manqué. Toute la crainte qui enserrait mon cœur venait de mourir à la suite de ces quelques mots pourtant si banal. Quelques mots qui m'ont permis de m'endormir l'cœur léger, le sourire aux lèvres. C'était enfin une belle nuit que je passais. Preuve que le remède à mes insomnies s'était avéré être ta présence à mes côtés. Le réveil était encore plus beau. Le petit déjeuner présent aux premiers rayons du soleil, mon corps nu sous un peignoir accueillant les gouttelettes d'eau de mes cheveux encore un peu mouillés. Mes lèvres et ma langue qui jouaient avec ton lobe jusqu'à ce qu'enfin, tu ouvres les yeux pour glisser tes mains sur mes hanches. Je me redresse doucement, sentant un frisson me parcourir toute l'échine. Bordel. Tu me faisais tellement d'effets en seulement, un léger touché. « Et ce n'est que l'début mon amour. » j'eusse à peine le temps de terminer ma phrase que tu me faisais pivoter pour inverser les positions. Je me suis mise à rire aux éclats, rire qui se mourrait rapidement dans les airs à la suite de tes lèvres dans mon cou. « Mh... J'aime ce genre d'attention.. » Quand tu prends soin d'chouchouter mon corps par les délicieuses sensations que me procure tes lèvres sur chaque parcelle de ma peau. J'hausse légèrement mon épaule quand tu glisses tes charnues dessus, parce que ça m'donne la chair de poule. Parce que ça m'donne des frissons et parce que ça réveille les petits papillons dans mon ventre. C'est à ce moment là que tu décides de profiter pour me poser la question fatidique. Ah ben toi, tu m'voles carrément mes répliques. Je fais semblant de réfléchir avec cette envie de te titiller un peu. « Pardon chéri, il y avait tellement de beaux garçons, que je n'ai pas pu empêcher mes yeux de se rincer l'œil. Putain et t'as vu leur accent portugais ? C'est limite si je ne mouillais pas ma culotte à chaque fois qu'un Portugais m'invitait à boire un verre. » j'essayais de garder mon sérieux, ô combien j'avais envie d'exploser de rire. « Ils ont organisé des jeux ici, et je crois qu'il y a eu plusieurs garçons qui m'ont retiré un œuf entre les seins avec...Mh la bouche... J'y pouvais rien, c'était le but du jeu. On devait gagner. On n’avait pas l'droit d'utiliser nos mains... » Ok stoppe Bae. J'allais finir par créer un meurtre-là. Vu ta tronche qui se décomposait petit à petit, j'avais l'impression que tu établissais déjà des plans de meurtres. Je pouffe enfin de rire avant de prendre ton visage entre mes mains et de la plaquer d'un coup sec à mes lèvres, pour t'embrasser le plus goulûment possible. Mêlant nos baves et nos langues dans une danse endiablée. « J'ai été sage, rassure-toi, aucun n'arrive à ta cheville mon amour. Je te le promets. » Mes yeux te regardant d'un œil à l'autre. Mes pupilles se dilatent et brille d'amour. Je t'aime tellement, qu'aucun autre homme ne réussira à changer ça. « J'ai peut-être revu Emrys par hasard dans une ruelle. M'bon, rien de passionnant. D'ailleurs, je ne comprends pas pourquoi il a une dent contre toi... » ah ben naïve jusqu'au bout des ongles c'te fille. Je n'avais pas très envie d'parler d'ex, mais je voulais quand même qu'il le sache par moi et non par un fouteur ou une fouteuse d'merde. « Et toi alors ? Tu n'as pas dragué d'autres filles ? Tu ne t'es pas trouvé une meilleure qu'moi ? » je me pinçais les lèvres nerveusement, l'coeur qui battait si fort, limite si je n'implorais pas bouddha pour avoir une réponse positive en ma faveur.
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il est vraiment heureux avec elle, elle a cette capacité de lui coller un immense sourire sur les lèvres dès qu'elle apparaît dans son champ de vision. elle l'apaise, le rassure dès qu'elle est à ses côtés et il se sent presque comme un homme nouveau. il ne regarde pas les autres femmes parce qu'il est concentré sur elle, n'a d'yeux que pour elle et ne compte pas changer ça. finalement il prend goût à la fidélité parce qu'il est amoureux, qu'il ne veut pas la perdre. aujourd'hui il peut affirmer qu'elle est vraiment ce qu'il a de plus précieux sur terre, ce n'est pas pour rien qu'il l'a demandé en fiançailles, une promesse de mariage en somme. et dès qu'il plonge son regard dans le sien il sait qu'il est prêt pour cette nouvelle vie à ses côtés, encore plus après la dure épreuve qu'ils ont surmonté ensemble. il glisse son visage dans le cou de sa petite amie pour le parsemer de baisers brûlants jusqu'à les terminer contre son épaule, son souffle est comme une caresse sur sa peau de porcelaine. mais il se bloque brusquement parce qu'elle est là à tenter de le rendre jaloux. lui se redresse pour plonger son regard dans celui de sa fiancée, il sait qu'elle plaisante mais cherche quand même à se venger. il n'aime pas quand elle essaie de le rendre jaloux parce qu'elle y arrive toujours. et il est pas encore tout à fait prêt à montrer sa jalousie parce que c'est reconnaître tout l'amour qu'il lui porte et les sentiments aussi forts c'est vraiment nouveau pour seong. « j'ai bien peur que nous devions annuler nos fiançailles alors, je refuse de passer la bague au doigt d'une femme qui fricote avec des kékés portugais. » il garde son regard sérieux pendant peut-être une trentaine de secondes, maximum une longue minute puis finit par éclater de rire et elle le rassure mais il le sait déjà qu'elle plaisante. il a totalement confiance en elle, il sait qu'elle n'est pas du genre à lui planter un couteau dans le dos. il fronce quand même les sourcils lorsqu'elle évoque son ex, il hausse les épaules le coréen et lève les yeux au ciel. « c'est ton ex c'est normal qu'il a une dent contre moi. ça fait pas plaisir de comprendre que t'aimes un autre homme plus que tu l'as aimé lui, il a sa fierté. » c'est forcément ça, de toute manière seong refuse qu'il puisse avoir encore des sentiments pour sa petite amie, future fiancée. il plisse les yeux à sa question, à son tour maintenant de la taquiner un petit peu. « mh, j'ai un peu bu à une soirée et y'avait cette fille ouais. .. » il fait exprès de retomber sur le côté, l'air soudainement coupable en se murant dans le silence parce que la vengeance est un plat qui se mange froid et il compte bien jouer avec ses nerfs.
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A.. quoi ? Annuler nos fiançailles ? Mais alors là, never ! Mes yeux s'écarquillaient, mes sens complètement alarmés. Ma tête elle, divaguait presque comme si un gros mirage venait de passer au-dessus d'elle, me faisant dérailler complètement. Je tournais la tête sur le côté droit. Rien. Sur le côté gauche, rien à part le petit déjeuner et sur la table de chevet, mon paquet de chewing-gum. Ah bah, j'en attrapais un que je débarrassais de son emballage pour la fourrer dans ma bouche et mâchouiller jusqu'à obtenir une substance bien mole. Je tirais une ficelle de chewing-gum entre mes lèvres et je coupais avec mes dents. Ok, tu pourras me traiter de folle après, mais là, j'entourais ton annulaire de mon chewing-gum de sorte à former un anneau. « J'suis désolé bébé, mais par la force de cette bague en chewing-gum, te voilà prisonnier d'moi. Félicitations pour ces heureux fiançailles tout baveux et tout collant ! » p'tin ce que j'étais irrécupérable. J'pouffais de rire en écoutant ta version sur le comportement de mon ex. Je ne pouvais pas croire qu'il avait encore d'sentiments pour moi. Ni qu'il était jaloux. Fin, au final, je ne pouvais pas lire dans les pensées d'Emrys. « J'en sais trop rien, mais si par hasard, il se soucie d'moi, j'aimerais qu'il voit à quel point tu me rends heureuse. Qu'il voit que tu n'es pas comme il semble le penser... » et contrairement à lui, tu as été correcte toi. Tu ne me faisais pas souffrir, au contraire, je n'ai jamais connu une telle joie dans un couple. J'aimerais qu'il arrête de penser mal de toi et je ne supporterais pas de remarques désobligeantes à ton égard, tu comprends ? Je ne pourrais pas me taire. Quoi que là, quand tu prenais cet air culpabilisant en te laissant tomber sur le côté pour me parler d'une fille, je ne retiens que l'essentiel. Je tournais la tête vers toi, clignant trois fois des yeux pour me persuader que j'avais mal entendu. En fait, sur le coup, je ne pensais pas à la revanche, j'étais comme pétrifiée, médusée. Il y avait une autre ? T'as couché avec elle ? Non. Pas possible. Tu ne ferais jamais ça. Je te connais et je nous connais. Je réalisais alors que tu étais en train de me faire marcher à ton tour, mais je ne pouvais pas m'empêcher d'être jalouse. Je me redressais d'un coup pour me mettre à genoux face à toi. « Tu n'es pas sérieux ein, tu m'fais marcher ? » Rassurez-vous, j'étais en train d'jouer la comédie. Je te connaissais assez et donc je savais reconnaître lorsque tu mentais ou lorsque tu étais sérieux. Tu étais trop calme pour quelqu'un qui avait péché. « J'te déteste ! J'te déteste ! » Et je te ruais de coups d'coussin tandis que des mousses s'en échappaient et volaient partout dans la pièce comme une pluie de neige. J'éclatais de rire et je continuais jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'mousses dans l'coussin. Par contre, j'en avais pleins sur la tête, et sur le bout de mon nez. « Bien joué bébé ! Mais tu oublies que je t'connais trop t'sais. Ceci dit, je n'aime tout de même pas quand tu parles d'une autre. » que je soufflais en passant une jambe au-dessus de ton corps pour m'asseoir à califourchon sur toi. « T'es à moi ! Je ne te partage pas. Jamais. » mes mots s'étouffaient sur ta lippe supérieure que j'agrippais avec fougue pour t'embrasser goulûment et à pleine bouche histoire que tu n'oublies pas où est ma place et te rappeler qu'aucune fille ne t'embrassera de cette manière.
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