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i spoke to the devil in miami, he said everything would be fine (olympe)

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i spoke to the devil in miami, he said everything would be fine
( @a.-h. skyler hasselhoff   )
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Brighton. Angleterre. Une destination pour le moins inconnue pour le jeune Benjamin, lui qui n'avait connu que Boston et Paris (et la Normandie aussi), ce voyage l'excitait aux premiers abords, une nouvelle ville s'ouvrait à lui, qu'il pouvait photographier de son propre chef puis redessiner grâce à un mélange de mémoire et des photos qu'il avait en sa possession, mêlant la fantaisie avec la réalité. Moins fantaisiste, mais plus réel, ce SMS de cette fille qu'il pensait avoir réussi à oublier. Comme si le hasard -ou le destin- voulait le torturer au plus haut point. Il avait bien assez de ses sentiments avec Skyler à gérer de son propre côté. La discussion se passe, Benjamin passant par plusieurs état d'esprit, virant du blanc espoir au rouge colère, jetant son téléphone contre son lit -parce qu'il faut pas déconner non plus-. C'était ce matin. Encore en cette fin d'après-midi, il était resté cloîtré dans sa chambre, persuadé au plus profond de lui qu'Olympe ne débarquerait pas ici, ne prêtant aucune attention à la porte, la laissant même déverouillée, Brighton n'était pas une ville connue pour ses crimes, loin de là.

Il regardait encore et encore son téléphone, espérant un message de Skyler, vainement, comme s'ils s'étaient oubliés pour ce Summer Camp mais, même dans ces instants, il retombait inévitablement sur cette récente conversation avec la française : plus le temps passait, plus il semblait douter, il commençait à croire qu'elle serait finalement capable de venir. L'esprit perturbé, il se levait alors, main prête à refermer le verrou pour empêcher une possible intrusion. Non, c'était impossible, il se frotta les yeux, la fatigue prenant le pas sur lui. Il se déshabilla aussitôt, laissant ses affaires traîner dans la chambre, se dirigeant nu vers la salle de bain, allumant la douche et commençant à profiter de l'eau tiède, rafraîchissant sa peau sans pour autant la geler.

Il ne se doutait absolument de rien, faisant dos à la porte permettant l'accès dans la pièce où il se trouvait.

@A. Olympe Rothschild
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Quelle folle idée.. J'ai appelé mon père en catastrophe pour qu'il m'envoie son jet privé. Parlementer un long moment pour lui prouver que je n'allais pas au Soudan, et d'ailleurs, je suis certaine qu'il a payé le pilote pour détourner le vol si je demande d'aller en Afrique. Mais après lui avoir expliqué par A+B que je voulais aller à Brighton, il avait fini par accepter. Rien ne va. Mais ce garçon, Benjamin, il reste toujours gentil avec moi. Et après lui avoir écris ça par sms, il s'obstine à me tenir tête. Je suis certaine qu'il ment, pas capable de me laisser sur le palier de sa chambre d'hôtel. Est ce qu'il joue le mec « méchant » pour que je m'intéresse plus à lui ? Je n'arrive qu'à le voir comme un ami, mais ce refus me pousse à savoir ce qu'il pense vraiment. En y repensant, c'est le genre d'homme parfait : beau, intelligent et terriblement gentil. Mais il ne me faut pas un homme comme ça. Jet me manque, l'adrénaline de son arme braquée sur moi, notre baiser et notre nuit ensemble. Et puis Victoria, mon problème du moment. Ne pas penser à tout cela. Je descends de l'avion, prends un taxi et lui indique l'adresse de l'hôtel. Benjamin va comprendre que si on me met en défis, je réponds toujours par la positive. Ma robe noire et rouge, un peu transparente, se balance au rythme de mes escarpins lorsque je monte les marches vers sa chambre. Je frappe à la porte, mais aucune réaction. Je ne resterai pas sur le pas de la porte, hors de question. La main sur la poignet, je me rends rapidement compte que c'est ouvert. Je passe juste la tête par la porte, cherchant le jeune homme du regard, mais rien. L'eau coule dans la salle de bain. Je suis obligée de me dire « encore », parce que cette histoire de douche avec Yaël est toujours dans mon esprit. Je pourrais rester assise sur son lit, mais la curiosité est plus forte que le reste. J'avance vers l'eau qui coule, comme attirée malgré moi. Mon corps s'appuie dans l'encadrement de la porte alors que je me sens obligée de détailler le corps du jeune homme sous la douche. Je me mords la lèvre, satisfaite de ce que je vois. Son corps musclé n'est vraiment pas déplaisant à regarder. Et après quelques minutes, je finis enfin par parler. « Bonsoir Benjamin. » Parce que je me fais un plaisir de le surprendre dans cette position..

@Benjamin A. Evans
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( @a. olympe rothschild   )
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L'eau coulant le long de son corps l’apaisait, le bruit même de l'eau finissant sa course contre le sol de la douche sonnait comme une douce mélodie à ses yeux. Passant ses mains sur con corps pour le mousser, il se mit alors, comme quatre-vingt-dix-neuf pour cent de la population sur Terre, à se poser des questions existentielles : "pourquoi la vie ?" "pourquoi la mort ?" "pourquoi les fleurs ?", bref. Il se retourna un court instant, ayant juré entendre des bruits de pas dans sa chambre, craignant à nouveau la présence d'Olympe ici. La voir l'aurait fait sortir de ses gonds, elle occupait certes son esprit mais plus de la même manière qu'auparavant, il voulait lui dire toutes les vérités qu'il ressentait dorénavant. Il s'arrêta net, oubliant le bruit de l'eau, la couleur des murs, plongeant dans une légère obscurité lorsqu'il entendit son prénom d'une voix féminine, une voix qu'il pouvait reconnaître parmi de nombreuses tant il l'avait entendu résonner dans sa tête, dans son esprit. Il se retourna alors, lentement, le visage marqué par une terrible colère, il avait l'expression fâchée, jetant un coup d'oeil par-dessus son épaule mais même cette simplicité était marqué par la noirceur de son regard « Alors t'as vraiment osé... » disait-il sans plus, arrêtant l'eau après avoir enfin été rincé, la mousse s'écoulant sous ses pieds. Il se saisissait alors d'une serviette qu'il installa autour de ses hanches.

Voir Olympe lui rappelait les bons souvenirs où il s'imaginait avec elle mais, au fur et à mesure qu'il continuait de la regarder, ces mêmes souvenirs semblaient brûler dans un feu qu'on ne pouvait pas éteindre, le ramenant à la dure réalité que lui avait fait découvrir la jeune fille. Il ne disait pas un mot, se contenant de serrer les dents au maximum. Il s'approcha alors d'un rythme rapide, saisissant le poignet d'Olympe, fermement « Tu crois que je déconnais ? Que j'étais pas sérieux ? J'ai assez souffert comme ça pour rester celui que je suis », il l’emmena alors, la main toujours ferme, jusqu'à la porte avant de la lâcher, non pas pour lui laisser une seconde chance « Soit tu sors de ton propre gré, soit je t'y aiderais par la force... Je ne joue plus Olympe. » disait-il alors qu'il lui faisait dos, ne voulant même plus lui porter un seul regard.
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Si j'avais osé ? C'était une évidence. Il était hors de question que je reste au Portugal alors qu'il m'avait lancé le défi. Cap ! De tout. Mais ce soir, Benjamin n'avait pas l'air enclin à jouer, loin de là. Je ne m'attendais pas à ce qu'il me saute dans les bras, ni d'explosions de joie mais là, c'est la chute du soufflet. Je n'ai pas été sympa, mais je ne suis pas une fille pour lui. Sa gentillesse est de trop pour moi, et j'avais besoin de lui faire comprendre que je ne suis pas la douce fille que je peux montrer parfois. En amour, j'ai besoin de cette violence que je ne peux décrire. L'expliquer est encore plus difficile. Mais c'est ainsi, et malgré moi. Il sort de la douche, pas gêné, et enroule une serviette autour de sa taille. La courte vue de ses fesses me donne chaud malgré moi. Rapidement, il fonce sur moi, m'attrape le poignet et me traîne dans la chambre jusqu'à la porte. Je me laisse faire, le léger sourire un peu satisfait sur le visage. Il est furieux, je le comprends. Je l'aurais aussi été si on m'avait dit ce que je lui ai dit. Mais je n'arrive pas à comprendre comment, en si peu de temps, il a pu s'attacher à moi de cette façon. « Je m'excuse si je t'ai fait souffrir... » Il me lâche, ne m'écoute pas et reprend vivement. Je laisse le silence créer l'atmosphère dans la chambre. Je ne partirai pas, et il le sait. Je n'ai pas pris un avion depuis le Portugal pour me faire jeter maintenant que j'ai mis un pied dans cet hôtel. « Il va falloir que tu me fasses sortir alors... » Je sens la colère en lui, et c'est ce que j'aime chez les hommes. Je ne sais pas pourquoi, j'en ai juste marre qu'on me prenne pour une poupée en porcelaine, et j'aime ce contact que je peux aussi retrouver sur un ring de boxe. Il me tourne le dos. Un pas en avant, et j'attrape ses épaules. Les muscles tendus me surprennent, parce que je ressens totalement sa rage dans ce moment. Je le lâche de suite, le contourne pour me placer devant lui. « Je ne suis pas une fille bien Benjamin, tu le sais déjà. Et j'ai manqué de tact dans mes sms... Alors je comprends ta colère... » Je ne veux pas que tu t'accroches. Et pourtant, c'est moi qui ait fait le déplacement pour le retrouver ce soir. Parce que je l'aime bien Benjamin, et encore plus quand il est comme ça. « Je découvre une autre partie de toi ce soir en tout cas... » La partie immergée, la partie sombre. Et c'est loin d'être déplaisant.

@Benjamin A. Evans
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( @a. olympe rothschild   )
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Oui, elle avait osé. Venir de Portugal jusqu'à Brighton, rien que pour le faire chier, il le pensait, il en était sûr ce qui avait pour effet de l'énerver encore plus. Il n'était pas décidé à rigoler plus longtemps, il était temps pour lui de faire du ménage dans sa vie, de savoir où il allait sans oublier d'où il venait. Ne pas répéter les mêmes erreurs. Putain que c'était compliqué, les femmes semblaient vouloir simplement jouer avec ses nerfs, lorsqu'il voulait être gentil, elle le fuyait comme la peste, quand il semblait faire preuve de méchanceté, cela lui était reproché. Cette fois-ci, il en avait presque marre, l'indécision de Skyler, les intrigues d'Olympe, la folle aventure de Soledad, rien n'allait. Il s'en arrachait presque les cheveux ,bien qu'il y tenait trop pour le faire. Il soupira un long moment, il ne devait pas laisser la colère régir ses actes, seulement ses paroles tant qu'elle ne le poussait pas à bout « C'est trop tard, casse-toi avec tes excuses » disait-il, toujours sans la regarder, jetant son regard dans le couloir une fois qu'il avait ouvert la porte, "invitant" Olympe à sortir. Le silence s'installa légèrement, il serra alors sa prise sur la poignée de porte si fort qu'il aurait presque pu avoir envie de l'arracher. Lorsqu'elle lui demanda de la faire sortir, il serra les dents, les grinçant, prêt à exploser. Être méchant n'était pas un trait de caractère omniprésent chez lui, cependant Olympe parvenait à créer chez lui ce sentiment, elle le trouvait "gentil" ? Et bien fini, il ne sera plus gentil avec elle, il ne sera même plus en contact avec elle. Il sentait alors ses mains se déposer sur ses épaules, provoquant son interrogation. Il se retourna brièvement, toujours les sourcils froncés, la regardant le contourner pour arriver devant lui « Non Olympe, tu n'es pas une fille bien... Oui Olympe, tu as manqué de tact... Mais pose-toi les bonnes questions : est-ce que j'en ai encore quelque chose à foutre maintenant ? Non... Disparais, ne complique pas les choses » disait-il, serrant son poing. Il la regarda alors, de haut en bas. Avant, elle était belle, magnifique à ses yeux. Maintenant, elle était juste tellement banal. Jamais il n'avait tellement été dégoûté de l'amour, jamais depuis Soledad « C'est bien la dernière chose que tu découvriras de moi. » finissait-il, lui indiquant de se dépêcher de sortir.
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Il est furieux, d'une colère monstre. Et mes idées folles me font croire que j'aime le voir dans cet état. Pourquoi j'ai cette capacité masochiste ? Pourquoi j'apprécie les hommes qui me font du mal ? Les hommes qui me montrent leurs yeux noirs et leurs idées malsaines ? Je ne sais pas. Le visage de Jet apparaît dans ma tête, ce mec qui me fait vivre mes cauchemars et qui disparaît du jour au lendemain. Rien ne va. Et Benjamin qui était gentil se transforme sous mes yeux. Il fronce les sourcils, et mon regard suit la courbe de son bras pour observer son poing serré contre la poignée de la porte. Je suis certaine qu'il pourrait l'arracher en une demie seconde. Il me donne son point de vue, et crache son venin. Il y a quelques heures, tu en avais encore quelque chose à foutre. Si je complique les choses ? J'ai toujours aimé ça Benjamin, c'est sûrement pour ça que je ne suis pas une fille bien. L'héritière de l'empire Rothschild n'est pas une fille rangée et hautaine comme on peut le penser. C'est pire que ça. « Je ne partirai pas Benjamin. » Pour mettre un point final à cette discussion. Sa colère en fasse de moi. Je fais un pas, et un autre. Mon corps s'approche du sien, la main se pose sur la sienne pour qu'il lâche la poignée. Une seconde d’inattention, et je referme la porte derrière lui. Mes mains se posent sur ses épaules et le poussent contre la porte close. Je ne lui laisse pas le temps de réagir, et d'un geste rapide, je retire sa serviette et la laisse tomber au sol. Le regard glisse sur son torse alors que je me mords la lèvre. Puis descend au creux des reins. Un soupire sort de ma bouche. Il est plus beau de face encore, le torse toujours un peu humide. Le ventre se tord. « Si tu n'en as rien à foutre, je ne quittes pas ma robe alors.. » Il va me jeter, je le sens. Je le coince de mon corps, entre la porte et moi. Son parfum se mélange au mien, flotte jusqu'à mes narines. Les yeux remontent vers son visage. Il est beau avec cet air hargneux. Je ne souris pas, j'ai bien trop peur qu'il est l'impression que je me moque de lui. Mais là, j'ai juste envie de l'embrasser pour qu'il se détende.

@Benjamin A. Evans
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Pourquoi, pourquoi, pourquoi elle reste ? Pourquoi est-elle encore ici ? Merde, Benjamin aurait préféré que tous ce passe sans histoire, qu'elle accepte son refus de la voir. Mais non, elle compliquait les choses, à son image. Cependant, peut-être était-il beaucoup trop en proie à la colère pour se laisser embourbé dans les complications, il se contentait pour l'instant de simplement regarder Olympe de manière froide, espérant au plus profond de lui qu'elle partirait sans faire d'histoire mais les petits jeux commençaient à l'exaspérer, à le rendre fou. Son esprit avait été torturé, il n'était pas réparable, pas le moins du monde All Girls Are The Same « Alors je vais t'y aider » disait-il alors que, par manque d'inattention, elle venait de s'approcher pour fermer la porte, ses mains se posant contre son corps, le poussant sur ce qui venait de se fermer. Son dos ressentait le froid glacial de ce morceau de bois tandis que son torse commençait à se réchauffer à l'approche de cette fille qui semblait vouloir toujours et encore jouer à des jeux stupides, elle était attirante, oui mais rien ne semblait la rattacher à Benjamin désormais si ce n'était cette histoire de jeu de danse au Tommy's Arcade où il avait battu Olympe, lui offrant une glace, cette mauvaise joueuse. Encore une fois, il ne perdrait pas, il ne tomberait pas dans le panneau, il connaissait trop bien l'issu si jamais il venait à faillir dans sa mission. Encore un moment d'inattention et sa serviette se retrouve au sol, laissant son entrejambe à l'air libre, un court moment de gêne mais plus rien ne sembler compter, il n'en avait plus rien à faire, il ne se laisserait pas déstabiliser par de telles gestes « Je te l'ai déjà dis Olympe, je ne suis pas con » disait-il. Cette fois-ci, les limites commençaient à être franchies, il ne pouvait plus se retenir, il se décolla de force de la porte, brusquant un peu Olympe avec son corps nu, de sa main gauche, saisissant sa gorge, sans trop l'étrangler et ouvrant de nouveau la porte « C'est ta dernière chance Olympe... Quitte - cette - chambre. » disait-il de manière autoritaire, cette fois-ci elle devrait -en théorie- lui foutre la paix.
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A quoi joues tu Benjamin ? Penses tu me faire peur avec tout ça ? Je suis venue du Portugal pour te voir. Je suis ce que je suis, j'ai beaucoup de défauts, mais quand je te vois réagir de cette façon, je me dis qu'il est vrai que je t'ai jugé sans te connaître. Tu es vraiment étrange en fait, violent même. J'ai cette image de lui encrée dans ma mémoire, celle où il m'offre une glace après que j'ai perdu à ce jeu de danse dans les arcades. J'ai boudé, et tu m'as quand même acheté une glace. Un con ? Je n'ai jamais dit ça. J'ai écris « trop gentil », parce que je le sentais capable de me défendre contre le reste du monde. C'est triste, avec tout ce que je suis capable de faire. Etre nu ne semble pas le déranger au final. Violemment, son corps se détache de la porte, me pousse alors que ses doigts se serrent autour de ma gorge. De sa main libre, il ouvre de nouveau la porte et me menace. « Pourquoi prends tu ton air autoritaire ? » Ma dernière chance ? Vraiment ? De toute façon, je ne peux même pas bouger. J'ai l'impression que ses doigts se serrent de plus en plus autour de ma gorge. Le sourire léger que j'arborais devient un peu plus malsain. Je ne sais plus si tu fais exprès de jouer ce rôle, ou si c'est vraiment toi. Mais si c'est la deuxième solution, je suis de plus en plus intriguée par sa personnalité. « Tu sais Ben, j'ai été enlevée, enfermée et humiliée. On m'a menacé avec une arme à feu il y a peu. Penses tu vraiment me faire peur avec tes mains ? » Je pourrai utiliser mes capacités en boxe, mais je ne veux pas le frapper. Ma main gauche se pose sur le bras qui me tient fermement. Il ne peut pas comprendre, mais il commence à m'exciter. Et même s'il doit me virer en quelques secondes, il aura au moins réussi à faire naître ça chez moi. Je laisse le silence nous envahir, sans bouger. Des pas dans le couloir, et je vois le visage d'une femme de ménage. D'un coup de pied, je referme la porte violemment pour qu'elle n'est pas le temps de nous voir dans cette position. De ma main gauche, je glisse la fermeture éclair du côté de ma robe. Encore quelques centimètres, et elle pourrait tomber au sol.

@Benjamin A. Evans
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i spoke to the devil in miami, he said everything would be fine (benjamin & olympe)
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Merde. Que faisait-il ? Tout cela ne lui ressemblait pas, user d'autant de force. Son corps semblait réagir tout seul, prisonnier de sa détresse, de sa solitude, il aurait presque pu en pleurer à l'instant présent, la gorge d'Olympe dans sa main. Il lui aurait suffi d'une simple pression pour entre le craquement de ses os mais il n'aurait jamais pu vivre avec ça sur la conscience, surtout pas si c'était elle. Que faire ? Il était là, ridicule, une femme qui n'avait rien à faire de lui, sa gorge dans le creux de sa main, main provenant de son corps nu. Ridicule, il était ridicule. Mais pourtant, il ne lâchait pas prise, il ne pouvait pas se permettre de faiblir maintenant « ARRÊTE ! ... De poser des questions aussi connes... Tu as provoqué tout ça ! TOUT ! ». Oui, elle avait provoqué ce drastique changement chez ce jeune garçon pourtant si gentil. Il souriait moins, profitait moins de la vie, préférait s'enfumer et boire des litres plutôt que de faire du sport comme il en avait l'habitude. Il ne faiblissait pas. Ce sourire qu'elle commençait à arborer alimentait sa colère qui commençait à se transformer en haine, une profonde cicatrice qu'elle continuait de taillader toujours plus, sans relâche, heurtant Benjamin de la plus horrible des manières, s'il pouvait hurler de douleur, il le ferait « Humiliée ? Alors tu sais ce que je peux ressentir maintenant » disait-il, ignorant les deux premiers supplices énoncées par la française « Et pourtant tu es là... le sourire aux lèvres... Il me suffirait d'une simple pression Olympe et tu souris... » continuait-il. Olympe referma la porte violemment sans que Benjamin n'ai eu le temps de voir pourquoi ou comment. Il entendait les bruits de pas et comprenait ainsi. Son autre main étant libre, il la posa sur la bouche d'Olympe comme si il fut prêt à passer à l'acte, l'écrasant à son tour contre la porte, un léger boom se faisant entendre, les bruits de pas s'arrêtant sûrement par intrigue. Un silence s'installa, le regard haineux du garçon plongé dans celui excité de la fille.

Fiche by Lavender J. Trevena
Crédits gif : TUMBLR



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Ce qu'il peut ressentir de cette humiliation ? Ce n'est rien, rien du tout. On m'a mise nue, traînée dans le camps. On m'a craché dessus, embrassée, touchée. J'ai été enfermé dans une cage avec l'impossibilité de me coucher ou de me lever, les poignets attachés l'un à l'autre. Et j'en passe. Tout ça, juste au Soudan. Mais il y a eu cette nuit dans le hangar sur Boston, enfermée avec les autres étudiants récalcitrants. On a du se faire mal, taillader la peau des autres ou la sienne, se frapper sur les ordres de petits étudiants jaloux d'une autre université. Et ton humiliation à toi Benjamin, elle est où ? Tu ne pourrais pas comprendre, tu ne m'écoutes même plus. Alors je ne préfère même pas te raconter tout ça, que ma vie n'a pas été rose tout le temps. Tu vas croire que je mens pour vouloir ta pitié. Alors je garde le sourire, parce que vraiment, tu es un petit joueur avec tout ce que j'ai pu connaître. Je claque la porte alors qu'il me plaque dessus, la main sur la bouche pour m'empêcher de parler. Les yeux rieurs, je laisse le bruit des pas s'évanouir au fond du couloir. J'entrouvre la bouche et finis par lui mordre la main pour qu'il me lâche. Je fuis ce rapprochement alors que mon cœur se serre dans ma poitrine, le feu au creux du ventre. Un pas sur le côté alors que je referme la fermeture éclair de ma robe. Non, ce n'est pas le moment. Pas ce soir. Pas alors qu'il se transforme de cette façon devant moi. Pas de cette façon. J'ai encore besoin d'attente, j'ai encore besoin d'une bataille, j'ai envie de voir jusqu'où il peut aller. « Tu ferais mieux de te coucher, tu as raison. » Tu as peut-être, tout le temps raison en fait Benjamin. « Et vais rentrer au Portugal. »

@Benjamin A. Evans
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