Cap protects Scarlett Witch {Megara}

Sortant de la piscine dans laquelle tu t'étais allé car il faisait très chaud, tu mets tes lunettes de soleil sur le nez tandis que tu séchais ton corps bien formé. Soudain, tu sens le vibreur de ton portable. Le prenant entre tes doigts, tu vois un message de la part de Megara. Cette dernière faisait partie de la bande d'Avengers. Tu étais son captain et elle, la sorcière rouge. Oui, elle était bien et belle ta petite protégée. La brunette ne semblait pas dans son assiette depuis que son petit-ami avait dû quitter le Summer Camp, car son ex avait accouché. Quelle relation tordue quand même. Mettant un polo sur le dos, ainsi que ta serviette autour du cou et tu pars à l'intérieur de l'hôtel en cherchant la chambre 422. Mais avant d'y aller, tu étais parti chercher de bonnes choses à manger qui pourrait la réconforter à l’épicerie du coin. Désormais, tu étais devant la porte où tu toques. Attendant impatiemment qu’elle t’ouvre histoire de la voir et de ne pas te retrouver derrière la porte pendant cent plombs.

Le temps derrière la porte semblait une éternité. Limite, si tu étais en train de tripiner d’impatience. Non pas que ça te réjouissait de la voir triste, mais tu étais impatient de la consoler, pouvoir lui redonner le sourire. En voyant et surtout en entendant la porte de la poignet bougeait signe que Megara allait ouvrir la porte, tu lui fais voir le sachet avec plein de bonnes choses à manger. Tu n’avais pas eu le temps d’entrer dans la chambre que la brunette vient se blottir contre toi ou plutôt dans tes bras. Son moral était au plus bas. La pauvre. Tu trouvais qu’elle ne devait pas subir ce genre de choses. Non pas que tu n’aimais pas ce Lenny, mais la voir malheureuse, à cause, de lui, te rendait fou intérieurement même si tu ne l’exprimais pas. « Je t’en prie. » Dis-tu en lui offrant ton sourire le plus chaleureux. Tu souris un peu plus en sentant tes lèvres contre ta joue, te laissant entrer dans sa chambre. T’asseyant sur le lit, tu sors du sachet, une tablette de chocolat, son préféré que tu lui tends, posant tes yeux bleus sur la femme de vingt-quatre ans. « Cette fille ? Quelle fille ? » Dis-tu en te foutant clairement de sa gueule. Si ça pouvait la réconforter. « Je ne serais pas par où commencer pour être totalement honnête avec toi. Elle est tarée sur les bords, mais très gentille. Méfiante pour je ne sais pas pour quelle raison, mais très jolie. Je crois que ça fait un joli portrait de la demoiselle, tu ne crois pas ? » Tu lui souris en attendant une réaction de la part de ta petite protégée.

Mégara était une demoiselle adorable, qui avait besoin d’être entourée et surtout sur bonne surveillance en cas de coup dur. C’est ce que tu fais en veillant sur cette demoiselle comme un grand frère tout en laissant l’espace dont elle avait besoin pour faire sa vie et savait qu’elle pouvait t’appeler à chaque moment de la journée comme de la nuit dans les moments où elle était bien et dans d’autres où le moral n’était pas au rendez-vous comme tel est le cas. Après lui avoir donné un câlin et qu’elle t’ait fait deux bisous, tu viens t’installer ou plutôt t’asseoir sur le lit. Tu savais que le chocolat réconfortait la plupart des personnes ayant un chagrin ou un coup de mou. « Concernant sa méfiance, je pense que c’est autre chose, je ne serais pas t’expliquer, mais ça à l’air d’être plus compliqué que ça. Je l’ai rencontré un soir alors que je sortais de la caserne après avoir terminé mon service. Il y avait deux mecs qui voulaient la faire chier pour je ne sais pas quelle raison. Malgré qu’elle sache très bien se défendre, je suis allé l’aider, puis j’ai dû l’amener à la caserne étant donné qu’elle était épuisée et dans les pommes. j’ai l’impression que sapeur-pompier aide beaucoup à rencontrer les filles. » Tu te mets à rire, puis en entendant les paroles de la brunette, tu lui tends la main pour qu’elle t’en coupe un bout pour pouvoir goûter à la tablette de chocolat. « J’espère que lenny te fait le même effet quand vous êtes proches. » Un franc rire sort de ta bouche, mettant ta main sur le coeur. Alors qu’elle te tend le morceau de chocolat, tu le mets dans la bouche et il était très bon. « Je comprends pourquoi, même si ça n’a pas totalement le même effet sur moi. » Tu t’attendais à recevoir un oreiller dans la gueule.