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Johanna Onfroy
feat. Sonia Ben Ammar
ID CARD
- 10 Juin 1998
- Santa Marta, Colombie
- 20 ans
- Colombienne
- Bisexuelle
- Célibataire
- Aisé
- Études de droit
- Études de restauration
- Serveuse dans les boîtes de nuit
- NON BOURSIÈRE
ADMISSION
TON ADMISSION À HARVARD - Harvard c'est une université qui obtient chaque année les meilleurs résultats selon mon père alors pour lui faire plaisir j'ai décidé de tenter ma chance parce que j'avais sois disant toutes les qualités pour y entrer et surtout que ça serait peut-être une opportunité de pousser mes études au plus loin. J'ai passé les sats et obtenu une super bonne moyenne ce qui m'a vraiment choqué de mes capacités et la dissertation était trop facile parce que mes parents m'avaient bien entraîné à ce truc. Pour finir l'entretien c'était quelque chose de nouveau pour moi fallait bien s'habiller, prendre ses marques et parler de soi ce que j'aime pas trop faire généralement et puis j'ai réussi avec beaucoup de chance à vrai dire.
MAISON OU NON ?
MATHER HOUSE
Je souhaiterai intégrer cette maison car c'est dans celle-ci que je me vois le mieux, je n'écoute que mes propres règles et personne ne pourra m'imposer les siennes. Je suis quelqu'un qui adore bouger et faire la fête sans limite mais malgré ça je serais toujours présente si un des membres de la maison me demande.
STUDENT
Je ne me vois dans aucune autre maison sauf la Mather c'est celle qui me correspond le plus donc si je n'arrive pas à y entrer je préfère rester student, oui je fais ma capricieuse..
Elle est d'un tempérament très calme et posé. Elle aime beaucoup s'amuser, elle profite de la vie comme elle mérite d'être vécue selon elle, ne s'énerve pratiquement jamais donc faut vraiment la chercher. Johanna adore partager, jouer et rigoler car elle détient un sens de l'humour assez développé. Cette fille est très directe elle ne passe pas par 4 chemins pour dire les choses elle est aussi réaliste, une chance que peu de personnes ont.
JoueuseDrôleNaturelleManiaqueDirecteRéaliste
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Aamethiste et j'ai 17 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Sonia Ben Ammar comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bloggif. Je fais environ plus de 100 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Je souhaite ▲
adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainé
je souhaite participer au Summer Camp en tant que vacancier
Je recense mon avatar ▲
personnage inventé:
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personnage inventé:
- Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8522]☆[/url] ☆ <span class="pris">SONIA BEN AMMAR</span> ◊ “ Johanna Onfroy ”[/size]
STORY OF MY LIFE
please tell us more
Johanna Onfroy ou Jo de mon surnom née le 10 Juin 1998 ce qui fait de moi une jeune fille « dans la fleur de l’âge » comme dirait ma mère. 20 ans, le bel âge comme on dit, ni trop jeune, ni trop âgé. Les parents te font confiance pour faire ce que tu veux mais son toujours là pour amortir tes conneries ! Dieu merci.
Mon père Colombien un grand homme qui à démarré en tant qu’auto-entrepreneur dans le E-Commerce, il a bâtit sa fortune sur un misérable capital de 10 000$ que son père lui avait bloqué jusqu’à sa majorité. Monsieur à développé un E-Shopping dans le domaine de l’automobile. Quand son affaire fut assez fructueuse il eut l’idée d’ouvrir un restaurant. Un succès si fou qu’il lui permit d’ouvrir sa propre chaîne de restaurants présente dans le monde entier. Un empire de près de 20 millions de dollars, un génie un peut trop aveuglé par l’argent.
Ma mère, elle, était sommelière, de nationalité Anglaise, elle avait rencontrée mon père lors d’un de ses déplacements professionnels en France ; le pays du vin. «Un coup de foudre » comme elle avait l’habitude de répéter. Ma mère avait déjà tout : un travail, une maison, un petit capital déjà bien conséquent elle décida de tout quitter pour partir vivre avec lui. L’amour direz-vous…
Et enfin moi, le fruit de leur amour inconditionnel. Une petite fille unique née à Santa-Marta, là j’y ai passé la plus grande partie de ma vie, un vrai parcours de petite fille modèle jusqu’à mes 14 ans.
Mes parents, comme je vous l’ai dit étaient aveuglés par l’argent et ont laissés leur « petite fille chérie » sous l’aile d’une bonne femme, Serena, une colombienne. Elle m'a épaulée durant toute mon enfance, présente pour mes premiers pas, aux spectacles de l’école en fin d’année, à mon entrée au collège, à mes petits chagrins d’amour, tout ça à la place de mes parents (à qui je n’en veux pas le moins du monde aujourd’hui).
Malgré la présence de Serena, les pulsions d’une adolescente pubère en manque de reconnaissance ont surgit, j’ai dérapé : excès de drogues, d’alcool, je fumai des joins avant les cours et buvais des bières à la sortie. Chaque week-end était pour moi une nouvelle raison de m’en mettre plein la gueule, entre drogue dure, alcool, sexe, et délires débiles de jeunes lycéens. Je peux vous dire que j’ai tout fait..
Serena, aussi vaillante qu’elle était au vu de ma débauche si soudaine en à informée mes parents. Qui ont cru bon de m’envoyée en pension, ce fut le cas.. Enfin, pour ce qui était des notes, j’avais pris conscience que mes facilitées pouvaient être un atout dans pour mon avenir mais j’avais toujours gardé quelques mauvaises habitudes, comme fumer un join chaque soir avant de m’endormir ou bien sortir le week-end « se déchirer » pour rentrer complètement bourrée au pensionnat et faire comme si rien ne s’était passé le lendemain.
Mon diplôme fut obtenu haut la main, mon père ferma les yeux sur mes excès commis à l’internat, l’idée que je me drogue semblait être si lointaine pour lui et pourtant.. Il m’accorda une somme assez conséquente pour parfaire ma vie dans une université à l’autre bout du monde en tant qu’étudiante en droit à l’université d’Austin au Texas.
Mon père Colombien un grand homme qui à démarré en tant qu’auto-entrepreneur dans le E-Commerce, il a bâtit sa fortune sur un misérable capital de 10 000$ que son père lui avait bloqué jusqu’à sa majorité. Monsieur à développé un E-Shopping dans le domaine de l’automobile. Quand son affaire fut assez fructueuse il eut l’idée d’ouvrir un restaurant. Un succès si fou qu’il lui permit d’ouvrir sa propre chaîne de restaurants présente dans le monde entier. Un empire de près de 20 millions de dollars, un génie un peut trop aveuglé par l’argent.
Ma mère, elle, était sommelière, de nationalité Anglaise, elle avait rencontrée mon père lors d’un de ses déplacements professionnels en France ; le pays du vin. «Un coup de foudre » comme elle avait l’habitude de répéter. Ma mère avait déjà tout : un travail, une maison, un petit capital déjà bien conséquent elle décida de tout quitter pour partir vivre avec lui. L’amour direz-vous…
Et enfin moi, le fruit de leur amour inconditionnel. Une petite fille unique née à Santa-Marta, là j’y ai passé la plus grande partie de ma vie, un vrai parcours de petite fille modèle jusqu’à mes 14 ans.
Mes parents, comme je vous l’ai dit étaient aveuglés par l’argent et ont laissés leur « petite fille chérie » sous l’aile d’une bonne femme, Serena, une colombienne. Elle m'a épaulée durant toute mon enfance, présente pour mes premiers pas, aux spectacles de l’école en fin d’année, à mon entrée au collège, à mes petits chagrins d’amour, tout ça à la place de mes parents (à qui je n’en veux pas le moins du monde aujourd’hui).
Malgré la présence de Serena, les pulsions d’une adolescente pubère en manque de reconnaissance ont surgit, j’ai dérapé : excès de drogues, d’alcool, je fumai des joins avant les cours et buvais des bières à la sortie. Chaque week-end était pour moi une nouvelle raison de m’en mettre plein la gueule, entre drogue dure, alcool, sexe, et délires débiles de jeunes lycéens. Je peux vous dire que j’ai tout fait..
Serena, aussi vaillante qu’elle était au vu de ma débauche si soudaine en à informée mes parents. Qui ont cru bon de m’envoyée en pension, ce fut le cas.. Enfin, pour ce qui était des notes, j’avais pris conscience que mes facilitées pouvaient être un atout dans pour mon avenir mais j’avais toujours gardé quelques mauvaises habitudes, comme fumer un join chaque soir avant de m’endormir ou bien sortir le week-end « se déchirer » pour rentrer complètement bourrée au pensionnat et faire comme si rien ne s’était passé le lendemain.
Mon diplôme fut obtenu haut la main, mon père ferma les yeux sur mes excès commis à l’internat, l’idée que je me drogue semblait être si lointaine pour lui et pourtant.. Il m’accorda une somme assez conséquente pour parfaire ma vie dans une université à l’autre bout du monde en tant qu’étudiante en droit à l’université d’Austin au Texas.
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