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shut up and let me go [ Dorian ]

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shut up and let me go [ Dorian ] 924229Sanstitre1 shut up and let me go [ Dorian ] Text_fuck shut up and let me go [ Dorian ] Icon162hayley

« Je ne pige absolument rien à ton truc. » Soufflais-je à mon ami, tout en écarquillant les yeux. Le Starbucks c'est surement le meilleur endroit pour étudier. J'y passe la plus part de mon temps, mais aujourd'hui je commence à perdre légèrement patience. Les mathématiques n'ont jamais été ma tasse de thé et je finis toujours par m'embrouiller les neurones dès qu'il y a des formules à apprendre. Parce que c'est bien joli de toujours tout apprendre par coeur, mais si on est pas foutu de se servir de sa formule, je n'en vois pas trop l'intérêt. Depuis que je suis gamine, j'ai toujours eu un espèce de blocage en maths. Allez donc savoir pourquoi. Même les problèmes basiques que font les enfants en primaire, sont un véritable problème pour mon cerveau. Je ne sais pas, mes parents ont du oublier de me filer le gène « scientifique » à la naissance pour que je sois aussi nulle. Mais bon, parait-il que l'on ne peut pas être bon partout. Moi je suis plus littéraire en fait. J'aime écrire et lire, des choses qui sont accessoirement compréhensibles pour moi. Ce qui exclu bien évidemment toute matière scientifique. Et pourtant je suis en médecine, ce qui peut paraître étonnant. Mais jusqu'à aujourd'hui j'ai réussi à m'en sortir. « Mais c'est pourtant pas compliqué. Regarde.  » S'exclame Mathias en attrapant pour crayon des mains afin de me montrer la solution. En fait c'est tout con. Peut-être trop con d'ailleurs. Moi je vais toujours chercher midi à quatorze heures. Je me complique toujours la vie à chercher des A + B et tout le tralala. Face au résultat écrit sur ma feuille, je pousse un soupire avant de m'affaler sur la table, ma main droite me servant d'appuie-tête. « Ca m'énerve, j'en ai marre.  » Dis-je en faisant une moue boudeuse. La grande main de Mathias trouve refuge dans ma chevelure rouge-orangée, puis l'ébouriffe rapidement. Je fronce alors le nez tout en laissant échapper un rire amusé. Je ne sais pas si c'est la couleur plutot originale de ma coiffure mais, toutes les personnes que je connais sont comme aimantées vers celle-ci. Enfin surtout leur main. Peu importe. D'un geste rapide, ferme mon cahier – laissant au passage déborder des feuilles presque froissées – et fixe mon ami d'un air blasé. « Bon, tu ne vas pas passer ta journée à te prendre la tête pour un exercice de maths.  » Me dit-il en jouant avec mon crayon. Bein si, j'ai l'intention de me faire chier à réussir ce putain d'exo. Je pousse alors un soupire tout en levant les yeux au ciel. « J'te paye un truc à manger. Tu vas pas me refuser ca.  » Enchaine aussitôt Mathias. Effectivement, vu sous cet angle là... « Puisque tu me prends par les sentiments...Je mangerai bien un Begel Cesar !  » M'exclamais-je avec un grand sourire. Morfal un jour, morfal toujours. […] Le ventre bien rempli, je suis fin prête à affronter une après-midi entière de cours. « Le professeur n'est pas là.  » Mon cerveau reste bloqué un instant, avant qu'un sentiment d'énervement ne s'empare de mon être. « Génial !  » m'exclamais-je sur un ton plutot agacé. Rebroussant chemin, je longe les couloirs de l'université afin de sortir rapidement du bâtiment. Une fois dehors je continue d'avancer tout en fouillant dans mon sac à la recherche de mon paquet de cigarettes. Soudain je percute quelque chose, ou plutot quelqu'un. Sous l'effet du choc j'atterris sur les fesses. Grimaçant je relève la tête et fixe la personne qui se trouve en face de moi. « Tu pouvais pas regarder où t'allais ?  » Je lui cingle tout en me relevant. « Suis-je bête ! Tu ne peux pas te pavaner et regarder où tu mets les pieds. Faire deux choses à la fois est bien trop difficile pour ton unique neurone.  »
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Dorian Z. Kremer a écrit:


Shut up and let me go !





    Dorian venait de sortir de son tout premier cours, c'était l'avantage qu'il avait d'arriver en ville, il n'avait pas du se farcir des heures de cours de mathématiques, ou d'astronomie. S'il avait choisi la voie des étoiles c'était parce qu'il en était passionné, mais il fallait avouer que jamais il n'aurait voulu mettre les pieds ici. C'était, sa servante qui l'avait inscrit à son insu, et il se voyait désormais forcé de se lever tous les matins pour faire semblant d'écouter les cours. Evidemment, il savait qu'il finirait par trouver un point positif à tout cela, néanmoins il le cherchait encore. Il venait de sortir d'un cours plus tôt, car il venait d'avoir un léger différent avec un de ces professeurs, rien de bien méchant, mais assez pour qu'il en vienne à quitter le cours. Il cheminait alors dans les couloirs, dans l'espoir de rentrer chez lui et de passer une petite journée à traînasser en ville ou simplement à aller voir des amis. Dorian, n'était pas très sociable, d'ailleurs il détestait son premier prénom, "Dorian". Il préférait largement qu'on appelle Zayn, ou Do'. Il n'était pas du genre à se précipiter sur les gens, il était légèrement extraverti, mais pas assez pour se faire remarquer à tout va. C'était un peu, quand on le regardait, le fils à papa. Pourtant, il ne s'agissait que d'apparences. Alors qu'il continuait à cheminer lentement dans les couloirs de l'université, seul et solitaire, pas l'ombre d'une personne à l'horizon, il fut bien surpris de percuter quelque chose. Il releva alors la tête, il s'agissait d'une jeune femme, dont la couleur des cheveux lui faisait vraiment mal aux yeux. Il allait s'excuser, ce qui n'était pourtant pas à son habitude, mais il se sentait quelque peu responsable. Il entendit alors la roussette en question commencer à geindre et l'engueuler. « Tu pouvais pas regarder où t'allais ? » Il souleva un de ces sourcils, était-elle réellement sérieuse d'employer ce ton ? Il n'eu le temps de rétorquer que déjà elle ré-ouvrait sa bouche. « Suis-je bête ! Tu ne peux pas te pavaner et regarder où tu mets les pieds. Faire deux choses à la fois est bien trop difficile pour ton unique neurone. ». Là, c'était vraiment la goûte d'eau qui faisait déborder le vase, il releva alors son regard poignant dans celui de la jeune femme et lui avoua d'un ton froid. « Dis-moi ma petite, tu te trouves intéressante à juger les gens au premier abord ? Tu te penses réellement plus intelligente que moi sur ce coup ? Non parce que je sais pas ce qui me fait le plus de peine chez toi, ton égo sur-dimensionné, ou ton look. T'es vraiment le genre de fille que je ne peux pas supporter, alors casse-toi de là, tu me fais mal aux yeux. » Il avait dit ça et avait quitté la jeune femme pour recommencer son chemin, comme si rien ne s'était passé.

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En temps normal je ne m'énerve jamais. D'ailleurs je ne vois franchement pas quel est l'intérêt de hurler toute la journée après tout le monde pour tout et n'importe quoi. Personnellement je ne sors de mes gonds qu'en cas de force majeure. Ma patience a des limites plutot hautes, mais il y a des personnes avec lesquelles ca ne passe tout simplement pas. Les gens sur lesquels je m'énervent sont à compter sur les doigts d'une main. Généralement j'essaie de prendre sur moi et d'ignorer la personne. C'est bien simple, je déteste les conflits. Mais apparemment ce n'est pas le cas de tout le monde. Depuis que je suis arrivée à Harvard, j'ai eu le plaisir – ou plutot le déplaisir – de constater qu'une bonne partie des gens prenaient un malin plaisir à rabaisser les âmes les plus faibles, sensibles ou bien les personnes jugées « différentes » que ce soit par leur façon de penser ou bien par leur style vestimentaire. Jusqu'à aujourd'hui j'avais eu de la chance, personne ne m'avait vraiment critiqué sur ma façon de m'habiller ou bien de me coiffer. Tout du moins, rien ne m'avais été dit en face à face. Peut-être que les gens ne me disaient rien, mais je n'était pas aveugle non plus. Lorsque je déambulais dans les couloirs de l'université ou bien même sur le campus, les regards insistants de quelques étudiants ne passaient pas inaperçus. Mais l'avantage c'est que moi je m'en fiche que l'on me juge sur mon physique. A notre époque, les gens jugent trop par rapport aux apparences et non pas en fonction de la personne elle-même. Alors non, écraser les plus faibles et avoir une réputation de grosse garce sans coeur ne faisait pas partie de mes futurs projets professionnels. En fait je n'étais ni la fille la plus gentille de la planète, ni la plus méchante. Si on me cherchait on me trouvait voilà tout. De toute façon mes parents ne m'avaient pas élevé de façon à ce que je devienne comme tous ces filles et fils de riches, hautain et qui se croient absolument tout permis. Moi aussi je venais d'une famille très aisée et je n'étais pas pour autant le genre de personne à me prendre de haut. Je crois d'ailleurs que c'est la chose que je déteste le plus au monde. Ceux qui se prennent pour les rois du monde ont tendance à me rebuter. Mes parents étant des catholiques très croyants – même si je dois reconnaître que c'est légèrement barbant de se retrouver tous les dimanche le cul assis sur un banc à écouter un curé pendant deux heures - il était parfaitement hors de question que j'agisse n'importe comment. Sous peine de subir les foudres de l'Etre Suprême en fait. Alors imaginez un peu quand j'ai déboulé chez moi avec mes cheveux oranges et mes piercings ce fut en quelques sortes le drame familial. Ma mère était persuadée que Dieu allait me punir pour ca.

Du haut de mon un mètre cinquante-cinq et demi, je ne peux nier que j'ai tout de même un fort caractère sous mes aires de petite rousse adorable. Non pas que je ne sois pas une fille adorable – je fais quand même partie des Quincy donc la gentillesse ca me connait – mais je m'adapte en fonction de la personne qui se trouve en face de moi dirons nous. Et en l'occurrence la présence de Dorian – après que nous nous soyons violemment rentrés dedans – fait surgir en moi mon Dark Side. Forcément, il avait fallu que je percute cet abruti de Kremer ! Quelle journée merdique franchement ! Je me demande bien ce que les gens peuvent lui trouver franchement. Il a beau avoir une gueule d'ange, il ne me fait pas vraiment d'effet. Je dirai même que c'est tout l'inverse. A vrai dire je ne sais même plus d'où vient notre haine mutuelle, mais une chose est sûre, jamais je ne pourrai saquer ce mec. Je crois bien que c'est physique et psychologique. Tout chez lui m'agace. Alors forcément, je ne peux m'empêcher de lui hurler dessus, comme si une partie hystérique de ma personnalité dormait en moi depuis des années. Bien entendu, je m'attendais à ce que Dornian réplique dans le seconde où je lui aurai gueulé dessus. Ce qui est plutot logique. « Dis-moi ma petite, tu te trouves intéressante à juger les gens au premier abord ? Tu te penses réellement plus intelligente que moi sur ce coup ? Non parce que je sais pas ce qui me fait le plus de peine chez toi, ton égo sur-dimensionné, ou ton look. T'es vraiment le genre de fille que je ne peux pas supporter, alors casse-toi de là, tu me fais mal aux yeux.  » Face à cette longue tyrade je croise les bras et lève les yeux au ciel. « Je ne juge pas les gens au premier abord. Je constate juste ce qui se trouve sous mes yeux. » Répondis-je. « Je ne pense pas avoir un égo surdimensionné, mais je pense tout simplement être réaliste. Alors oui, je me penses réellement plus intelligente que toi. Si j'étais à ton niveau je viserai une réorientation vois-tu. Navrée de te dire les choses telles quelles sont mais tu devrais grandement y songer. » Cinglais-je en le toisant de haut en bas avec un sourire en coin, avant que ce dernier ne reprenne son chemin. Bien qu'il m'ait tourné le dos, je ne démords pas. « Et moi c'est ta connerie qui me fait mal au crâne pauvre imbécile. »
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