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JUPITER COSMOS WESTERBERG
feat. nick jonas
ID CARD
- 12 AOÛT 1993
- STOCKHOLM, SUÈDE
- 24 ANS
- SUÉDOIS
- BISEXUEL
- CÉLIBATAIRE
- AISÉ
- PHOTOGRAPHE
- ARTS PLASTIQUES
BOSTON
depuis combien de temps vis tu ici ? - Aller sans retour, la valise érodée par les vautours, en direction du paradis ou de l'enfer loin des aïeuls et de leur amour. Le ticket annonce une date, une seule, celle du 5 juillet 2018. L'exil me lègue un arrière goût d'inachevé, une sensation acerbe d'inexploré qui garrotte mon sternum. Incapable, c'est le seul mot qui semble être en capacité de me définir lorsque je fais face à un jugement, celui du bon ou du mauvais. Mes ambitions demeurent grandes quand bien même mes raisons de revenir à travers ces décors, elles, subsistent carcasse et parcimonie.
comment te vois tu dans 10 ans ? - Je me vois partout et nul part. Je me vois grand, un sourire tailladé à la chair sur l’érubescence de mes pommettes. Je me vois essuyer des échecs, brandir des réussites, vernir des affaires et parcourir la terre. Je me vois seul, puis avec eux, puis avec elle ou lui, ou les deux. Je me vois artiste de demain, innovant, innové, serein. Je me vois à travers les rues pluvieuses, les quartiers déserts, tout autour de moi les gens noyés dans la misère. Je me vois droit, les épaules au carré, la tenue soigneusement repassée, traverser un futur bonifié aux côtés du présent et du passé. Je me vois tout, je me vois rien, je me vois aujourd'hui, je me vois demain. Incertain, tout est incertain, de mes désirs à la température du lendemain.
comment te vois tu dans 10 ans ? - Je me vois partout et nul part. Je me vois grand, un sourire tailladé à la chair sur l’érubescence de mes pommettes. Je me vois essuyer des échecs, brandir des réussites, vernir des affaires et parcourir la terre. Je me vois seul, puis avec eux, puis avec elle ou lui, ou les deux. Je me vois artiste de demain, innovant, innové, serein. Je me vois à travers les rues pluvieuses, les quartiers déserts, tout autour de moi les gens noyés dans la misère. Je me vois droit, les épaules au carré, la tenue soigneusement repassée, traverser un futur bonifié aux côtés du présent et du passé. Je me vois tout, je me vois rien, je me vois aujourd'hui, je me vois demain. Incertain, tout est incertain, de mes désirs à la température du lendemain.
BOSTON CITIZEN
J'aime Boston, les souvenirs qui y résonnent, l'odeur des petits matins débarrassés de l'arôme du café. J'aime ses ruelles aux pavés humidifiés, aux reflets irisés. J'aime sa prestance, ses courbes, ses cicatrices. J'aime sa peine, celle qu'elle compte à travers les pages des journaux et les articles médiatisés. J'aime son atmosphère, sa chaleur, ses torpeurs. J'aime et je l'ingurgite pour oublier tout ce que jadis je n'ai pas aimé. Parfois, la pilule est rance, m'imprègne et m'asphyxie de pensées corrosives et d'offenses. Celles qui m'ont fait quitter les lieux, le palpitant de roche.
Je suis tout, je ne suis rien. Artiste sans doute, âme et corps ne sont qu'outils à ma créativité qui déborde et dégouline sur les toiles et matières premières. Nuancé, gris, parfois plus noir que blanc et inversement. Requin aux crocs massifs, agressif, prêt à régner et détrôner dans les courants d'une ambition maladive. Escroc, fauve à l'estomac béant, maître dans l'art du faux-semblant, de mes lippes sans culpabilité s'échappent des vérités faussées, des choses que les oreilles à l'écoute veulent entendre, que les consciences navrées veulent croire. Écorché par l'indécision, égaré entre les multitudes de décisions. Toujours perplexe, jamais convaincu, à la recherche de la meilleure possibilité sans ne jamais finir par la trouver sans ressentir sous l'épiderme le moindre regret. Je pense ne rien savoir de tout, de tour savoir sur rien. J'aime tout remettre en question, constamment, incessamment. Ego éraflé, sentiments déchirés, dépouillé par la haine, lâché dans une arène. Tout en impulsion, la défense des autres puis la mienne. Protecteur, c'est le bon mot pour excuser cette absence de tenue, ces réactions au quart de tour à l'échange d'un regard, d'une phrase fluette au sens imaginaire fondé sur des paradigmes du monde et de ses horizons. Ma jalousie s'écume du venin qui abreuve les veineuses, comme les éléments chimiques, je fluctue du sédatif au corrosif. Je suis le bien dans le mal ou simplement bien dans mon propre mal, celui dont j'érige les limites, celui qui s'étend un peu plus loin que ceux des autres.
opportunistecréatifjalouxprotecteurmanipulateurambitieux
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle sweven (jason) et j'ai 21 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à bazzart en 2015. Il s'agit du meilleur forum city/university alors j'ai décidé de me réinscrire. J'utilise Nick Jonas comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi-même. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
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je souhaite participer au Summer Camp en tant que vacancier
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[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8521]☆[/url] ☆ <span class="pris">NICK JONAS</span> • “ Jupiter Westerberg ”[/size]
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