in all this bitterness you stay so sweet (wolfgang)

Ce soir encore, les nouveaux avaient fait de la bonne merde, épuisé et foutue avant même que les 2h du matin ne somme, totalement souler, elle les avaient envoyer nettoyer les stocks et faire l’inventaire des bouteilles histoires de ne plus les voir sous son nez, sous peines de faire une crise de nerf et leurs balancer des shooter à la gueule. Elle avait donc décidée d’endosser la fermeture à elle toute seule, commençant a nettoyer les tables inoccupé avec ardeur, munie de son seul allier : le chiffon humidifier et la balayette. ça aurait pu se passer bien et se terminer rapidement, si ce cretin de Bernie le soulard l’avais pas attirer l’attention de tout ces compatriotes pédophile sur le derrière de la demoiselle. cambrer pour choper l’intégralité de la table, ces potes et lui se rinces l’oeil avec délice, n’oublions pas de la siffler au passage. elle soupira grandement avant de tourner son regard vers la table de Bernie le soulard pour lui faire un doigt, suivit d’un : « commencez pas vous, j’ai peut être des petits bras mais j’peux vous foutre dehors sans hésitation et vous virez d’ici pour toujours. » elle insisté bien sur le mot toujours, car aucun autre bar que celui de cet immonde Liam n’accepterais de tel être répugnant dans son enceinte.
mais Bernie ne lacher pas l’affaire et les 2h du matin approcher avec rapidité. avant de partir et alors que la gamine terminer de nettoyer leurs tables, le vieux dégueulasse claqua son cul, avant de pouffer de rire. Zora se retourne, la bouche béante et le regard choquer. « je vais te démolir, crétin. » elle avait avancer d’un pas, le poignet serrant le chiffon entre ses doigts. mais le groupe de vieux croutons se mis à l’encercle, et elle se sentit soudainement petite et frêle. bien qu’elle garde un regard de lion sur son visage, prête à bondir, ses jambes ne répondit plus vraiment d’elle meme et son coeur tambouriner dans sa cage thoracique. tu es Mulan, défonce les tous à coups de pied ! ou alors, si Chang pouvait arriver pour filer un coup de main ce serais pas mal.

une journée de plus au paradis! ou pas. j'me fais un peu chier en ce moment, depuis le début du summer camp surtout car une bonne partie de mes potes sont parties. me reste le travail... m'enfin c'est pas si mal le travail après tout. juste que du coup j'essaie de suivre les conseils de maddox et je tente de changer mes habitudes et je tente des nouveautés pour passer le temps. par exemple, je vais un peu moins au nirvana et je test d'autres endroits comme dernièrement le lord hobo et ici le drink. moins de filles sexy mais disons qu'il y a quand même de jolis profils et bonne ambiance donc ça passe. fin bonne ambiance... disons que c'est relatif selon l'heure et la soirée. il est tard, je tente de finir mon j'saispucombientième de verre quand j'entends non loin derrière : « commencez pas vous, j’ai peut être des petits bras mais j’peux vous foutre dehors sans hésitation et vous virez d’ici pour toujours. », j'arque un sourcil et tourne le regard curieux en direction de la table en question. une bande d'ivrognes qui ont décidés de casser les couilles à la serveuse/barmaid. tss il y en a qui ne savent vraiment pas se tenir, encore moins bourrés. j'ai au moins la qualité de rester à ma place, peu importe la quantité que j'avale, fin dans les grandes lignes avec les filles du moins. je ne prête pas plus attention à la scène, continuant de boire en répondant à skyler quand j'entends que ça s'enflamme derrière « je vais te démolir, crétin. » je regarde à nouveau et je vois qu'ils sont tous là à se lever autour d'elle. je regarde à nouveau devant moi, hésitant un instant à repenser à ce que disait willa à propos de ma manie à toujours trouver un moyen d'me battre. ouais fin là y'a une fille en danger quand même, c'est important non..? j'inspire un coup pour soupirer et finir mon verre d'une traite, le prenant dans ma main avant de marcher vers eux d'un "HEY!" ferme et menaçant. et quand le Bernie en question tourne la tête vers moi, pas de bol, j'approche d'un pas vif et lui éclate le verre dans le visage d'un coup sec avant de lui écraser la tête sur la table la plus proche d'un "la demoiselle elle vous a demandé de pas la toucher, alors maintenant toi et tes potes vous sortez ou je vous brise un genou chacun, vu?" mais un des autres gars décide de s'en mêler... moue il grogne en tentant de m'en coller et j'me pousse à temps alors qu'il s'écroule à moitié sur son pote et que je le cogne à son tour, un puis deux coup, les poussant d'un coup de pieds pour qu'ils s'écroulent comme deux grosses merdes au sol. je regarde les autres, écartant les bras d'un "y'en a d'autres qui veulent négocier?" les provoquant du regard. un moment d'hésitation et ils secouent la tête négativement avant de reculer, de ramasser leurs potes au sol et de s'en aller. le Bernie il va avoir besoin de points de suture on dirait. oups? ou pas. je secoue alors ma main qui saigne aussi à cause des restes du verre que je lui ai éclaté au visage "et merde.". je prends alors l'un des whisky posé sur la table pour le boire.

Bien jouée Zora, vraiment bien jouée. tu fais ta maligne, tu fais ta gamine, mais tu sais que si ils se mettent à plusieurs tu vas te faire défoncer. le regard féroce, elle ne lache pas l’affaire, le tête haute et le poing serrer, un mélange de rage, de colère et de peur la traverser. elle aurait aimer être une pro du karaté et les foutre tous par terre à la Deadpool. Mais rien de tout ça, elle n’était ni éternelle, ni doter d’un super pouvoir, ni même aussi sexy que Ryan Reynolds pouvait l’être. C’est juste une gosse au mauvais caractère, qui pensait qu’elle pouvait tout faire. elle peut toujours en bousculer un et essayer de s’enfuir à quatre patte, mais il fallait déjà qu’ils arrête de refermer le cercle autour d’elle. « fais gaffe, Bernie, je peux être très mauvaise. » toujours de la gueule, mais rien qui va avec. un mec, habituer, beau garçon et assez baraquer attire leurs attentions, vous vous tournez tous vers lui, tel un super héros qui aurai attendue le bon moment pour donner sa ligne. Pas une, pas deux, le beau gosse pris la relève et venait écraser sa boisson contre Bernie lui même, des morceaux de verre éparpiller partout virevolte autour de lui. Zora profiter de l’agitation pour quitter le centre du cercle, non pas qu’elle n’aimais pas être au centre de l’attention, mais pour le coup elle pouvait s’abstenir. par réflexe elle se jeta de l’autre coter du bar pour s’y cacher, observant la scène de l’extérieur, mais dans son élan, un autre mec lui avait chopper le poignet pour la tenir dans l’action. « lache moiiii, gros dégueulasse! » elle secoua son bras pour s’extirper mais rien à faire, elle s’agiter, mais toujours rien à faire. Un autre coup et les vieux se sont précipité vers leurs amis avant de quitter l’établissement en titubant. « bon débarras saleté et que je vous revoit plus ici. » le bras de zora fut relâcher et elle choppe un chiffon propre pour venir enrouler la man du jeune homme. « ça va? putain, wow, je… merci ? enfin.. wow. » les mots lui manque, le souffle aussi, court et maladroit. elle lui tend le chiffon, maladroit pour presser la blessure. son coeur battait encore la chamade et elle relever une mèche de sa tignasse en bordel. « j’t’en sert un autre ? cadeau de la maison. » toute la bouteille même si il voulait, elle lui fit un geste pour qu’il retourne s’assoire et se dépêcher de retourner de l’autre côté du comptoir pour lui servir un autre verre de whisky, en profiter pour se remplir un verre aussi et lever celui-ci. « à toi, merci. » avant de boire un cul sec. pas bien de boire au boulot, mais faut pas déconner liam.

ouais ça va clairement trop loin cette fois « fais gaffe, Bernie, je peux être très mauvaise. », plusieurs mecs gros gras et bourrés sur une petite nana toute frêle franchement faut pas abuser. donc ouais, cette fois je décide d'intervenir et si ils sont pas coopératifs ouais, ça risque de saigner mais bon, c'est le risque du métier non? alors sans hésiter je fonce dans le tas, cassant un verre dans sa gueule au gros pervers avant de l’aplatir sur la table. la demoiselle en profite pour se sortir du troupeau mais même pas le temps d'aller se cacher derrière le bar qu'un des types en profite pour l'attraper « lache moiiii, gros dégueulasse! » secouant son bras pour s'en défaire. obligé de cogner le deuxième mec un peu plus fort pour le foutre au sol avec son Bernie en guise d'avertissement et ça semble faire son effet puisque le type lâche la demoiselle et rejoint son groupe pour ramasser les deux dégueulasses et se diriger vers la sortie. la miss en profite pour leur gueuler dessus « bon débarras saleté et que je vous revoit plus ici. » et le calme revient enfin, d'un coup même s'en est presque perturbant mais ça fait un bien fou. ma main elle... elle a moins aimé la blague par contre. c'est là que la barmaid attrape un chiffon pour venir me l'enrouler autour de la main « ça va? putain, wow, je… merci ? enfin.. wow. » grimaant légèrement, je regarde encore ma main d'un "ouais ça va c'est rien." avant de relever les yeux sur elle d'un "et y'a pas de quoi. toi ça va?", elle me tend le chiffon et je fais pression sur ma main, grimaçant encore un peu alors qu'elle est toute agitée à se recoiffer pour me dire « j’t’en sert un autre ? cadeau de la maison. » un regard sur la table et je réponds "si c'est cadeau je prends." je crache jamais sur un verre, encore moins quand il est offert! elle m'invite à me rasseoir, ce que je fais tranquillement, la suivant du regard elle qui repasse de l'autre côté du bar pour nous servir deux whisky. elle lève son verre et lâchant ma main blessée, j'attrape mon verre et le lève également « à toi, merci. » souriant en coin avant de me l'enfiler cul sec pour répondre "comme j'ai dis y'a pas de quoi, j'allais pas laisser faire ça." me léchant les lèvres en reposant le verre pour regarder ma main amochée "ils viennent souvent?" ou venaient hein, ça me semble plus d'actualité.

il n’était ni plus ni moins qu’un vaillant chevalier venu à la rescousse d’une jolie demoiselle. zora n’aimais pas la sensation de devoir être secourue, mais elle aimais savoir qu’elle ne finirais pas en morceau emballer dans un sac poubelle ce soir. quand ces crétins fut partit, elle lâcha un soupire de soulagement et annonça que boire été la meilleur solution. elle ramener deux verres, mais également toute la bouteille de whisky, pas très fan de se breuvage, mais le beau gosse avait l’air d’apprécier. elle trainer ensuite la boite à premier soin, des vieux trucs qui avait le mérite d’être changer mais Liam ne lésine jamais sur une économie et semblait n’en avoir rien à faire que ses employés soit mal au point. « soit pas modeste, tout le monde aurait pas fait ce que tu viens de faire. » elle limite en buvant son verre d’une trait, une grimace se dessine sur son visage avant qu’elle secoue celui-ci dans tout les sens. pas fan j’vous l’avez dit. elle saisi ensuite la main du jeune homme pour retirer le  chiffon humide et analyser la plaie. « tu t’es pas rater, laisse l’infirmière zora s’occuper de toi. quand j’étais gosse j’étais un vrai casse cou et pour cacher à mes parents que je faisait la java en solo, j’ai appris à soigner moi meme mes blessures. » un rire, suivit d’un sourire, pourquoi tu lui raconte ça ? contente toi de faire ton travail, elle nettoyer d’abord la plaie à l’alcool avant de venir retirer les morceaux de verres avec que pince a épiler. Son regard se tourner de nouveau vers le jeune homme, alors qu’elle finissait de retirer le dernier morceau, elle secoue positivement la tête à sa question. « avant y’avait que le chef, Bernie, mais plus le temps passe plus ils sont devenu un groupe. Liam, le patron, m’a dit que des vieux comme ça avait besoin de lâcher la pression et se retrouver à boire ici un soir de semaine c’était typiquement ce qui les aider à lacher cette dite pression. » elle enrouler un bandage autour des doigts du beau gosses, et fait un TADA avec ses mains. « voilà, comme neuf. ah, la touche final. » ses mains saisies avec précaution celle du jeune homme pour l’amener à ses lèvres et y déposer un bisou magique dessus. c’était la partie magique de l’acte, c’était ce qui sceller tout le reste. elle lui adresse un sourire, puis un autre verre, il serait peut être temps qu’elle se remette au travail, mais l’envie n’était pas très présente. « comment s’appelle mon chevalier en fait? »

deux verres, une bouteille de sky, une boite de soin et un tête à tête avec la responsable du bar ce soir. intéressant comme fin de soirée. je bois et relève les yeux sur elle qui m'dit « soit pas modeste, tout le monde aurait pas fait ce que tu viens de faire. » avant de m'imiter en buvant cul sec, finissant d'avaler sur une belle grimace et je ris légèrement en voyant ça "c'est pas ton truc hein." ouais le whisky est pas très apprécié par les jeunes en général. mon père en buvait beaucoup, c'est peut-être de famille mais moi j'aime bien. quoi que j'aime une gamme vraiment très large divers et variée d'alcool en vrai... m'enfin bref. voilà qu'elle récupère ma main pour retirer le chiffon alors que je baisse mon regard sur celle ci quand elle l'arrose pour nettoyer tout ça « tu t’es pas rater, laisse l’infirmière zora s’occuper de toi. quand j’étais gosse j’étais un vrai casse cou et pour cacher à mes parents que je faisait la java en solo, j’ai appris à soigner moi meme mes blessures. », je regarde ma main en sang, sans broncher... ça fait mal et pourtant j'bouge pas, j'réagis pas. disons que j'ai connu pire et la voir ainsi me rappelle quelques sales souvenirs. heureusement qu'elle trouve le moyen de me sortir de ça et je souris en coin répondant "une vraie petite tomb raider on dirait." la regardant de nouveau qui me retire les morceaux de verres restants dans ma chair. je regarde de nouveau ce qu'elle fait, elle est soigneuse en tout cas c'est bien. et je l'écoute me parler de ces types « avant y’avait que le chef, Bernie, mais plus le temps passe plus ils sont devenu un groupe. Liam, le patron, m’a dit que des vieux comme ça avait besoin de lâcher la pression et se retrouver à boire ici un soir de semaine c’était typiquement ce qui les aider à lacher cette dite pression. », et je relève à nouveau mon regard sur elle "et ton patron il sait que ces types te parlent comme ça? voir même qu'ils te touchent?" ouais, parce que si il le sait et laisse faire et bien c'est un gros con. elle finit de me soigner, enroulant ma main dans un bandage pour écarter les bras fière de son oeuvre « voilà, comme neuf. ah, la touche final. » et je souris d'avantage quand je sens ses lèvres sur ma main avant de la récupérer pour l'examiner un peu plus en détail "bien joué c'est propre. tu as jamais pensé à faire médecine ou au moins infirmière?". elle me sourit et me serre un autre verre pour me demander « comment s’appelle mon chevalier en fait? », et j'en bois une bonne gorgée avant de répondre "wolfgang. et ma princesse elle s'appelle comment?" bah ouais si j'suis un chevalier elle c'est la princesse qu'il faut sauver non? un regard autour en ne voyant plus personne d'autre et j'ajoute "t'es toute seule à fermer ce soir?" c'est pas hyper prudent je trouve.