NOVELLIOT ◇ chasseurs d'adrénaline

chasseurs d'adrénaline

feat @Elliot Maxwell

Ville d’aventure et d’adrénaline, cela te semblait le lieu parfait pour tester toutes sortes de nouvelles choses et notamment le saut à élastique au-dessus d'une magnifique mer bleue. T'avais convié Elliot pour cette journée. Journée placée sur le signe de sensations fortes et d'adrénalines à gogo. Tu voulais que ce soit une journée dont il s'en souviendra longtemps et pour cela, tu ne lui avais pas informé de ce que vous alliez faire. Un saut à l'élastique, la hauteur laissait d'ailleurs à désirer. T'avais toujours souhaité en faire un et quoi de mieux que choisir ton partenaire de sensations fortes pour ce genre de plan presque foireux ? Son défi sera de sauter avec toi. Si tu tombes, il tombe, mais t'avais super confiance en vous. Vous allez bien vous amuser en laissant votre peur à Boston. Tu lui avais donné le lieu de rendez-vous et pendant qu'on te préparait, tu regardais ta montre. Toujours pas d'Elliot à l'horizon. Peut-être s'était-il perdu ? Alors, tu saisis ton portable dans la ferme intention de l'appeler jusqu'à ce que tu l'aperçoives dans ton champ de vision. Un sourire s'étire sur tes lèvres tandis que tu tends ton portable à l'instructeur qui s'occupera de tout vous expliquer. Tu colles tes lèvres sur les joues de ton ami pour lui faire la bise. Il n'avait pas l'air de comprendre ce qui se passait et donc tu posais ta main sur son épaule, tapotant doucement. « Bébé on va vivre notre première fois. » jeux de mots pervers, mais c'était fait exprès pour rigoler un peu. Ces temps-ci, il n'avait pas l'air dans son assiette, rien ne passait sous tes yeux curieux après tout. « Dis-moi que t'as jamais fait de saut à l'élastique ? Parce que ce sera ton défi. Sauter avec moi ! » vous aurez qu'à vous tenir la main et à vous faire confiance pour être capable de sauter sans avoir peur de finir noyé ou péter contre un rocher.

Novella, c’est toujours des plans totalement déjantés et parfois même un peu foireux dans lesquels elle m’embarque. J’la blâme pas, je lui fais la même chose. On est comme ça, un duo un peu cocasse mais qui fonctionne drôlement bien. Un peu taré ouais, mais qui n’a pas besoin d’un peu de folie, d’aventure, d’insouciance et d’inconscience dans sa vie ? On est jeunes et un peu intrépides. Moi, j’ai besoin de ressentir cette sensation qui te noue l’estomac, qui veut te faire vomir tes tripes mais dans le bon sens du terme, que t’en ressortes avec un sourire qui te fend le visage en deux tellement t’es heureux d’avoir surmonté tes peurs et de l’avoir fait, d’avoir frôlé un peu plus les limites de la vie, d’un peu plus près. J’suis pas suicidaire non, juste aventurier – et irresponsable. C’est pour ça que, quand elle m’envoie une adresse sans m’en dire plus, je ne cherche pas à savoir où ça mène sur Google, je ne la questionne pas : je m’y pointe juste. Un peu en retard, certes, mais on est à Albufeira, j’y connais rien moi, j’me suis un peu perdu en route. Et je fronce les sourcils, l’air un peu perplexe. Plus je m’approche de toi et moins ça va. T’as un drôle d’équipement sur le dos et j’vois un panneau écrit en portugais que je ne comprends pas. Okay… C’est parti pour l’aventure. Alors je te rejoins et commence les hostilités par un bon rire franc à ta première remarque. « Fallait demander y’a deux mois chérie, maintenant je suis casé, t’as loupé ta chance. » Casé, pour combien de temps ? Ça, j’en savais rien. Et j’espérais vraiment que le Summer Camp règlerait tous les problèmes qu’il pouvait y avoir entre Vega et moi. Parce que j’l’aimais mine de rien, et j’voulais pas que ça se termine comme ça. Et là, le verdict tombe : du saut à l’élastique. Trop bien. Trop flippant, mais trop bien. « Jamais. T’as pas peur qu’on s’écrase sur la falaise là ? Ou qu’on saute un peu trop bas et que notre tête finisse dans l’eau ? Ou que l’élastique lâche ? » Est-ce que j’essayais de te faire peur ? Peut-être un peu. Mais c'était de bonne guerre.

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feat @Elliot Maxwell

Ton ami enfin là, les choses allaient pouvoir commencer. Tu lui faisais une petite remarque dans le but de le taquiner parce qu'il n’y avait pas de tabou entre vous et il te le rendait très bien. Tu rigoles à sa réplique bien placée, puis tu viens pincer l'une de ses belles fesses. « J'suis tellement dégoûtée, j'pourrais même pas tâter ces belles fesses ! » t'éclates de rire avant de relâcher ton étreinte et de reculer pour terminer de mettre ton équipement. Toi t'étais enfin prête, manquait plus qu'on se charge de ton ami, mais bien avant, il se rapprocha de toi pour essayer de te faire peur et de te faire changer d'avis. Tu fronces un sourcil, étirant un sourire dans le coin de tes lèvres. Tu laisses ton cœur s’emballer… Ton souffle court soulever rapidement et fréquemment ta poitrine. Tu te mets en position de ressentir et profiter de ce moment comme si c’était le dernier. Tu laisses ce léger vent traverser ta crinière blonde, te caresser et jouer malicieusement avec ton esprit. Ces mots ne te semblent donc pas effrayants. Tu aimes te faire peur, tu aimes sentir la montée d’adrénaline qui se diffuse lentement dans ton corps. Peut-être est-ce pour ça que tu es ici, pour ressentir cette sensation que tu n’as pas la force ni l’envie d’apprivoiser. Arriveras-tu à la dompter ? Tu te rapproches d'Elliot et te postes sous ses yeux. Tu plantes ton regard dans le sien et tu plaques tes mains sur tes hanches. « Tu parles à une Francescov mec. Et une Francescov n'a peur de rien ! » Ton index s'écrase contre son torse et le pousse vers l'instructeur derrière lui qui le récupère pour commencer à lui mettre l'équipement. Tu tires la langue à ton partenaire de crime et tu te tournes vers le vide. « Au pire des cas, on meurt ensemble comme Bonnie et Clyde. C'est une belle fin tu ne trouves pas ? » sadique, vous le voyez ce sourire ?

« Eh ! » que je peste quand tu pinces mes fesses. Y’en a une qui ne serait pas très contente de savoir ça. Elle me pousserait sûrement elle-même de cette falaise, sans me laisser assez de temps pour que j’attache mon élastique. Et vu la profondeur du précipice, il faudrait des jumelles pour voir les morceaux de mon corps en lambeaux en bas, mon sang servant de confiture à la mûre aux rochers. Non, pas à la mûre, c’est violet. A la fraise ? Hm. Suffira juste de sucrer un peu et hop, bon à déguster. Une bonne recette. « Non mais tu sais, j’rigole pas, ce truc, ça pourrait nous tuer. Un beau spectacle pour promouvoir l’activité aux touristes qui passent par là, tu crois pas ? Deux morts dans un saut à l’élastique à Albufeira. Ca ferait vendre. Dans le genre, magasin de l’horreur. Comme les maisons hantées aux Etats-Unis. Tout un business. » Bon, c’était sûrement le stress qui me faisait parler autant. Ouais, parachute, j’étais serein. Elastique… Hm, pas trop. Toi, askip, t’as peur de rien. Ben tant mieux, tu seras mon soutien. « Tu me pousses si j’refuse de sauter ? » Si j’ai pas les couilles de le faire ? Tu me pousses déjà en arrière pour que je me cogne contre le moniteur qui m’enfile l’équipement. « Euuuurk, c’est pas confortable, ça me pince les couilles. » Je gesticule un peu, faisant la grimace. Et les mots qui sortent de ta bouche, je les déteste. « Ah génial, super, rassurant, j’adore ! » que je peste pendant que l'autre finit de me préparer et nous donne le feu vert pour sauter en mode 'allez, c'est quand vous voulez'. Euh...?

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feat @Elliot Maxwell

Qu'est-ce que dirait sa copine si elle te voyait lui pincer le cul ? Tu n'en savais rien, et tu t'en fichais pas mal. T'espérais juste qu'il ne soit pas allé choisir une folle hystérique encore avec qui ce serait un problème de garder vos habitudes. Vous n'aviez jamais l'habitude de faire attention à ce que vous faisiez, bien-sûr, ça n'allait jamais au-delà des limites qu'il s'est posé pour ne pas perdre sa gonzesse, mais tout de même. Tu voulais pouvoir quand même garder votre petit cocon de dégénéré. Ma petite Véla, tu restais sans voix face au spectacle que le winthrop te donnait. Il balançait un amas de mots totalement incompréhensibles. Et en plus, monsieur était super sérieux. T'en pouvais plus, tu voulais lui exploser de rire au visage, mais tu l'écoutais jusqu'à la dernière note. « T'as fumé un joint avant de venir ou comment ça se passe ? T'as de la fièvre ? T'as choppé L'Ebola ? » le dos de ta main vient se plaquer contre son front pour vérifier qu'il n'avait pas de fièvre. Heureusement, non et donc tout était normal sauf son cerveau qui disjonctait. Secouant la tête, tu le pousses déjà vers le moniteur. « Elles te servent à quoi les deux boules entre tes jambes ? » Ton doigt fixe son anatomie, ton sourire se fait plus large et plus joueur. « Hey poule mouillée ! On saute ensemble façon, je te tiendrais la main et j'porterais tes couilles, ça te va ? » alors une fois les équipements enfilés, tu te positionnes à l'endroit indiqué en tendant une main vers ton ami. « Tu m'fais confiance ou non ? » Parce que c'était super important pour la suite des événements.

Je déblatère des tas de conneries à la minute mais c’est pas de ma faute, c’est le stress. Ça fait longtemps que j’ai pas fait quelque chose qui me challengeait vraiment, qui me foutait vraiment la trouille. Je roule des yeux quand tu me tâtes le front pour t’assurer de mon bien-être. "Je touche plus à la drogue, tu sais bien." Eh oui cocotte, ne l’oublie pas, j’étais clean depuis le mois d’avril. Donc l’hypothèse Ebola était bien plus probable actuellement. Je virais ta main de mon visage d’un revers de la mienne en grognant quelque peu quand le moniteur m’enfilait l’équipement. "Askip elles servent à concevoir un gosse, mais j’en veux pas, donc… à rien." Allez, bisous, ciao. "Ensemble? Et si on se cogne l’un contre l’autre?" Jésus, t’en avais d’autres des idées aussi merdiques? C’était une mission suicide en fait? On s’avance — moi à contre-coeur hein, j’vais pas prétendre le contraire — vers l’endroit d’où on devra sauter. Et là, je tourne la tête vers toi. "Faire confiance à une folle comme toi? Ça va pas la tête ou quoi?" Allez, c’était de bonne guerre… You jump I jump, comme disait ce putain de con dans Titanic.

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feat @Elliot Maxwell

« Donc tu ne triches pas ? Même pas dans certaines occasions ? Juste un par exemple ? Parce que sinon, je veux le secret de cette résistance ! » Toi, tu n'arriveras pas à arrêter complètement, pas que tu en abusais maintenant cela dit en passant, mais dans de grandes occasions oui, tu ne te privais pas, au contraire, tu te faisais plaisir. Tu secoues la tête face à une réponse digne de lui. « Avoir les couilles ne sert pas juste qu'à ça, mais si tu veux. Moi qui te prenais pour un mâle alpha, je crois que je suis en train de découvrir une triste réalité ! » rétorques-tu en sifflotant dans le vent. C'était de bonne guerre effectivement, mais ce n'était pas de ta faute si tu aimais bien taquiner ton ami. T'aimais bien comment il te le rendait et vous ne prenez jamais la mouche. Toujours dans la bonne entente et dans l'amusement. Tu fais mine de grogner quand il te traite de folle, pas que ça te déplaisait, mais parce que tu savais qu'il avait totalement raison. Tu savais que tu étais folle, tu savais que la folie faisait partie de toi, et que certaines personnes n'arrivaient jamais à te suivre. Mais lui, Elliot, il y arrivait très bien. C'est pour cela qu'il était là aussi. « Rhoooo, fais pas ta fillette mec ! Viens par là. » Tu glisses une main dans la sienne et tu l'attires à toi. « On va se faire un groooooooos câlin et rester accrochés l'un à l'autre comme des koalas et comme ça, on ne se cognera pas. Bingo ! » que tu esquisses et sans lui laisser le temps d'encaisser, tu plonges dans ses bras et passes les tiennes autour de son cou, ton menton sur son épaule et tu regardes le moniteur. « Vous pouvez nous pousser, on est prêt ! » On est prêt, ein Elliot ?

"Non, je triche pas. Y’a pas de secret, t’as qu’à frôler la mort à cause de la drogue et tu te rendras compte que ça n’apporte rien de bon." Aller en prison, manquer de tuer ta passagère. Ça, c’est grave. Et quelques heures d’exaltation n’en valent finalement pas le coup. "Moi, un mâle alpha? To-ta-lement." Genre, vraiment. Ou pas. Ou alors au contraire, les femmes arrivaient à me mener par le bout du nez. Sûrement. Mais chut, j’voulais pas parler de ça, j’voulais pas penser à ça. À ma nouvelle faiblesse face à l’amour. Ce genre de réflexion, ce n’était pas pour aujourd’hui. Aujourd’hui, j’allais me jeter dans le vide. Littéralement. À cause de toi. Ou grâce à toi, ça, je n’avais pas encore décidé. Ça se trouve, c’était la dernière chose que j’allais faire de ma vie. Eurk. Pas très rassurant. Tu me tires par la main, passes tes bras autour de moi pour m’enlacer. "Mouais." Non, j’étais pas convaincu, mais quand faut y aller, faut y aller. Quoi? Hein? Nous pousser? "No…aaaaaaaargh!" J’ai pas le temps de finir que le portugais là, bat-les-couilles, il nous a poussé dans le vide dès que tu lui en as donné l’autorisation. Et moi… Moi, pendant la chute, j’hurle comme une fillette. Parce que ça fait flipper, et que je vois ma vie défiler devant mes yeux.

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feat @Elliot Maxwell

« J'suis pas encore arrivée à ce stade et je ne compte pas y arriver babe. » T'avais pas l'intention de consommer jusqu'à ce que tu fasses une overdose ou un truc du genre. T'allais tout simplement pas en abuser. Tu en consommais modérément dans de grandes occasions juste pour pouvoir bien t'éclater, rien de plus, rien de moins. Tu consommais bien plus d'alcool que de drogue pour tout vous dire. « Prouve-moi que t'es un mal alpha alors ! » Parce que là, t'étais peu convaincu vu sa tronche. Ça aurait dû être ta tronche en fait, mais toi, tu restais plutôt sereine, tranquille. T'étais surtout super excitée à l'idée de pouvoir sauter. Folle. Oui tu l'étais. Ceci étant dit, tu t'accrochais à ton ami pour donner le feu vert. T'étais prête, mais pas lui visiblement. C'était bien dommage puisque le moniteur n'entendit pas son signal de détresse et vous poussait tous les deux dans le vide. Tu fermais automatiquement les yeux, mais tu ne pouvais t'empêcher de crier parce que t'avais senti comme si ton cœur avait lâché. Bordel. Elliot te cassait les tympans avec ses cris de fillettes, mais tu ne le blâmais pas, parce que même pour les amoureux d'adrénaline, cette expérience était effrayante. Après le choc, vous vous balancez dans le vide, tes cris se transformaient en éclats de rires. En cris de joie. Par contre, tu sentais Elliot te serrer un peu plus fort, limite t'étouffer. T'en pouvais plus. On vous remontait rapidement histoire que la corde ne lâche pas à force de balancer. On vous roule sur le sol parce que monsieur ne voulait pas te lâcher. Il était comme pétrifié. Même le moniteur tentait de retirer ses mains de tes hanches, mais rien à faire. Tu regardais ton ami en lui donnant de petites claques. « Allô Houston, ici la Terre ! Vous me recevez ? » aucune réponse. Il n'avait pas dead, si ? Vous allez le savoir très vite. « J'crois qu'il veut un second round ! Repoussez-nous ! » Si avec ça, il ne réagit pas... T'étais sur le point d'exploser en larmes de rire t'en pouvais plus.

Tant mieux pour toi, si t’es pas accro, si t’y risques pas ta santé. Bon, j’considère qu’il y a toujours un risque. T’es moins responsable, t’es moins réfléchi, t’as plus tendance à faire des conneries. Donc on sait jamais ce qui peut arriver. Mais j’suis pas ton daron, c’est pas à moi de te faire une leçon de morale. Tu sais ce qui s’est passé pour moi, tu sais que j’ai eu un accident qui a failli coûter la vie à Dina. Tu sais pas que j’ai fini en taule. Ça, très peu le savent. Nath, Hae, Megara, Meghan, Cléo, Dina. Personne d’autre. Mais t’as pas besoin de savoir pour comprendre que les substances restent dangereuses. Mais bon, j’avais même pas le temps de te prouver que j’étais un mâle alpha que le psychopathe de portugais nous envoyer valser dans le vide. Comme ça, sans pression. Ah. AH. Bah moi, ouais, j’hurlais mes morts. Parachute c’était cool. Bien plus cool que l’élastique. Là, j’avais l’impression de crever, d’avoir fait une tentative de suicide en sautant d’un pont ou d’un toit. Mais très vite – soit, très lentement dans ma tête – ça se terminait et on se balançait la tête en bas dans le vide. Et j’avais envie de gerber en fait. Je restais en haleine, figé, essayant de me concentrer pour ne pas vomir mes tripes en contrebas (ou pire, sur toi). On nous remonte après ce qui semble être une éternité et moi, je retiens toujours ma respiration. Sauf que tu me donnes des claques et je fronce les sourcils. Bizarrement là j’ai envie de te vomir dessus pour punir ta connerie. Mais non, en fait la connerie, c’était que tu réclamais un deuxième round. Euuuh no way. Alors je m’échappe de ton étreinte pour m’éloigner sur le côté ultra rapidement – tellement rapidement que ça me fait tourner la tête et que... ouais, là, je déballe mes tripes en crachant sur le sol. Et j’crois que tu peux voir que je suis vraiment pas bien. J’suis tout pâle, j’ai les pupilles toutes dilatées et la gorge sèche. Le saut à l’élastique est boycotté des sensations fortes, forever.