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ANAYAH KAHLI ► madison beer

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ANAYAH INES KAHLI

feat. madison beer




ID CARD
  • 17 septembre 1995
  • beyrouth
  • vingt-deux ans
  • libanaise
  • bisexuelle refoulée
  • lonely af
  • aisé
  • DROIT
  • ARTS VISUELS
  • photographe
  • non boursier
ADMISSION
TON ADMISSION À HARVARD tout a commencé par ton dossier, que tu avais si peur d'envoyer. il était parfait jusqu'à ta troisième année de fac. parce-que t'avais déserté cette dernière. pour toi il y avait pas moyen que tu rentres à Harvard avec ça mais tu t'es dit que tu devais tenter. puis t'as tout misé sur les appréciations et recommandations, t'as recontacté tes anciens profs, tes maîtres de stages et les directeurs de tes clubs. Et si t'avais pas fait ça, ils auraient mis ton dossier à la poubelle sans hésitation. enfin, tu t'étais dit que tu pouvais te rattraper sur les trois autres épreuves et c'est que tu as fais en travaillant d'arrache pied. tes résultats aux SATs étaient assez satisfaisant, 2150, fallait tout donner sur l'entretien et ton essai. d'ailleurs ce dernier porté sur les passions, un sujet qui te touche tout particulièrement. tu as mené ton entretien sur ce même axe essayant de montrer ta dernière année d'absence à l'université comme une année sabbatique pendant laquelle tu as pu te consacrer à la photographie, ta passion.

et maintenant, te voilà à Harvard, enfin dans quelques mois.


STUDENTS

Harvard ça t'a toujours fait rêver, les maisons jamais. les discussions avec ta meilleure amie, ton frère ou ta mère sur ces fameuses fraternités n'ont fait que confirmer le fait qu'aucune ne te convenait. peut-être il y a quelques temps, tu aurais pu être tentée par la Mather House mais avec ton frère qui te surveille tout le temps, impossible. les Eliots... rien que d'y penser, t'as des relents, les snobs qui se sentent plus parce-qu'ils ont eu la chance de naître avec une cuillère en argent dans la bouche. très peu pour toi. puis t'es pas assez intelligente ou cultivée pour être une Dunster ou pas assez bienveillante pour faire partie des Quincy. et t'es pas assez talentueuse pour devenir une Lowell. non, les maisons ne sont définitivement pas faites pour toi.


anayah... qui es tu ? une gamine passionnée par son appareil photo qui souhaite capturer tout ce l'entoure et une adolescente en quête d'aventure, à la recherche de sa liberté capturée par ses parents durant son enfance. mais t'es aussi une femme têtue qui a du mal à reconnaître ses torts et qui pour rien au moindre ne laisserait un être lambda lui dictait sa vie. puis t'es aussi celle qui n'es jamais tombé amoureuse, pourtant tu rêves de trouver cette personne à qui tu donnerais tout ton amour et attention, mais ça te fait trop peur ça, te de livrer, cœur et âme ouverts, à quelqu'un. en bref, anayah kahli c'est juste un esprit innocent (à moitié) qui vagabonde à la recherche de quelques minutes de bonheur.




compréhensiveémotive(trop) patientetêtueinsouciantespontané


Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle icy girl et j'ai l'âge de dumbledore. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site à la base. ILH c'est bae donc j'suis de retour alors j'ai décidé de m'inscrire . J'utilise Madison Beer comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par obstina.. Je fais environ ça dépend mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite
adhérer un flood d'intégration
je veux être parrainé
je souhaite participer au Summer Camp en tant que vacancier
Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8504]☆[/url] ☆ <span class="pris">MADISON BEER</span> ◊ “ Anayah Kahli”[/size]
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STORY OF MY LIFE

please tell us more


Une enfance ? Oui, tu pouvais appeler ça comme ça. Dans une famille aussi conservatrice que la tienne, c'était assez difficile d'en avoir une. D'un côté un père musulman à l'éducation africaine dans laquelle la femme n'a aucune place dans la société. A part celle dans la cuisine bien sûr. De l'autre côté, il y avait ta mère, une parfaite chrétienne chez qui la pudeur et la chasteté étaient primordiales chez une femme. Puis y avait ton frère, qui profitait de ses privilèges sans vraiment t'enfoncer non plus. Il ne t'a jamais supporté face à tes parents. Il t'a toujours laissé dans la merde. Son regard et sourire mesquin t'ont dit pendant toute ton enfance et adolescence "allez, démerde toi.". C'est ce que tu fis, tu devins la parfaite petite fille. Docile et silencieuse, tu te pliais aux exigences de tes parents, mais rien n'était jamais assez bien pour eux. Malgré toutes tes bonnes notes et ton comportement irréprochable, tu ne pouvais pas sortir. Les amis, les amours, jusqu'à tes dix-huit ans, tu dus les oublier. Tu t'es réfugiée dans la natation, la course et la photographie. Ces activités restent encore aujourd'hui un moyen pour toi de te défouler et de te ressourcer. Sinon la plupart du temps, tu étais dans ta chambre à travailler ou à trier tes photos. Eviter le plus possible tes parents, c'était ton objectif, t'as pas trop connu la notion de vie de famille. Il ne fallait qu'un regard ou un mot de travers pour que ton père pète les plombs. Sur toi ou sur ton frère, ça dépendait de son humeur. T'as arrêté de compter le nombre de bleues après quelques mois, mais t'as surtout arrêté d'espérer que ta mère intervienne. Tout ce qu'elle savait faire c'était se taire et le laisser faire puis elle venait s'excuser dans la nuit comme si ça allait miraculeusement calmer ton corps et ton cœur meurtris. Tu considérais que ta jeunesse avait réellement commencé lors de tes premières années de fac. Venant d'un foyer assez stricte, tu avais toujours suivi les ordres de "papa maman" à la lettre. Tu avais peur de leurs réactions et surtout celle de ton père, si tu osais désobéir. Cette habitude t'était restée lors de ta première année d'université. Dans ton coin, tu suivais sagement tes cours, puis tu rentrais dans ta chambre où tu travaillais et c’était à peu près tout. Tu étais si craintive des gens (ça n'a pas réellement changé), tu ne t'ouvrais à personne, c'était plus facile d'être seule. Lors de ta deuxième année, l'emprise qu'avait tes parents sur toi s’est progressivement dissipé. Au fil des mois, tu réussis à te faire quelques amis et tu passas l'été avec eux. Ils étaient intrépides, audacieux et au fil du temps, ils commencèrent à déteindre sur toi. Tu te rendis compte que ce mode de vie téméraire te correspondait beaucoup plus. Sauter d'une falaise, entrer dans une propriété privée ou n'importe quelle activité qui pouvait te procurer un minimum d'adrénaline, te faisait désormais envie.

Puis y a eu l'université ; toi qui avais l'habitude d'être seule, tu te retrouvais en amphithéâtre avec des centaines de personnes et à partager un appartement avec quelqu'un d'autre. Tu mis quelques temps à te faire à l'idée qu'à l'université, tes parents n'avaient quasiment plus d'emprise sur toi et tu pris goût à cette liberté. Au bout de ta troisième année, tu n'allais quasiment plus en cours ; tu préférais passer tes journées à vagabonder dans les rues de San Francisco, accompagnée de ton appareil photo. Ta passion pour la photo a commencé à tes seize ans. Comme à chaque Noël, accroupie devant le sapin, tu t'attendais à ouvrir des cadeaux inintéressants. Tu savais que c'était ton père qui les achetaient et il ne connaissait rien de toi. Tu te retrouvais souvent avec des cadeaux qui ne te plaisaient pas : un vélo, une maison de Barbie, une encyclopédie ou encore un télescope. Cette année, pour tu ne sais quelle raison, il avait fait un bon choix. C'était sûrement ta mère qui lui avait soufflé cette idée dans l'oreille, tu ne voyais aucune autre possibilité. Tu te revois encore, les yeux pétillants, déchirer ce papier cadeau qui laissait apparaître au fur et à mesure un appareil photo. Cet appareil, tu l'as utilisé tout le reste de ton adolescence. C'était la seule chose qui te permettait d'immortaliser les quelques moments de joies de ta jeunesse. Tes nuits se caractérisaient par le visionnage incessant de tes albums photos. Depuis, tu essayes de te lancer dans la photographie, malgré ton manque de confiance en ton talent.

Tu savais que tout au tard, tes parents allaient recevoir une lettre les alertant de tes nombreuses absences. Tu avais beau te considérer intrépide, t'avais pas le courage d'affronter tes parents qui étaient ta seule faiblesse. Devant eux, tu tremblais de peur ou de tristesse... 'fin des deux. T'avais souvent pensé à fuir, tout laisser derrière toi et à la fin de ta dernière année de licence, t'as décidé de te lancer. Une nouveau ville, une nouvelle identité, une nouvelle vie : c'est ce que tu voulais. Ton plan s'est rapidement acheminé ; t'as juste eu besoin d'une carte des Etats-Unis et de quelques recherches étymologiques pour te trouver un nouveau prénom. La chose la plus dure était de faire tes adieux, pas à tes amis t'en avais pas tellement, mais à ton frère. Il n'avait pas toujours été là pour toi mais vous aviez vécu la même merde ; vous vous ne l'êtes jamais vraiment dit, mais vous vous compreniez et vous aimiez. Fuir, c'était l'abandonner. Comme d'habitude, tu choisis la solution la plus facile et tu sautas l'étape des adieux. Les formalités administratives faites, tes économies en poche, tu pris le premier vol vers Boston. Après quelques semaines de galères, tu finis par trouver un loft dans Charles River et un job de secrétaire. Tu étais définitivement prête à commencer une nouvelle vie, la seule chose dont tu n'arrivais pas à te détacher est ton nom de famille. Hormis quelques cicatrices, c'était la seule chose qui te restait en commun avec ton frère. Non, tu ne pouvais pas l'effacer. Tu commençais à te faire à ta vie à Boston : un job, un appart' et même un copain. Un copain genre un petit-ami, le premier. Même à l'université, tu t'étais pas intéressée aux garçons et encore moins aux filles. Si c'était pour finir comme tes parents, t'en voulait pas de l'amour. T'étais quelqu'un de très secrète et t'ouvrir aux autres t'était difficile, tu ne pouvais pas dire que t'étais avec ton copain actuel par dépit.. mais un peu.

Boston, c'était ta maison, ça t'étais jamais arrivé de te sentir "chez toi" parce-que'à San Francisco, la maison rimait avec peur et violence. Des rires, des pleurs, des cris ont rythmé ta vie bostonienne et tu y as rencontré les personnes les plus importantes de ta vie. Assise sur ton canapé à Charles River, tu t'étais dit "Non, jamais je ne retournerais à San Francisco, pour rien au monde." Tu t'étais bien trompée, puisque quelques jours plus tard te voilà à l'aéroport prête à embarquer dans l'avion qui te ramerais en Enfer. Hakim, ton frère, t'avais retrouvé et il n'a pas hésité une seule seconde à t'obliger à rentrer au bercail. Une fois arrivée, tu tremblais de peur devant ta porte d'entrée, tu savais que t'allais te faire massacrer -littéralement-. Pour toi, ils avaient déjà prévu ton enterrements, les funérailles, le cercueil, tout. Finalement, seulement quelques coups portés par ton père s'étaient abattus sur ton corps, il t'a laissé des bleus certes mais rien n'était cassé. Alors ça allait. Depuis qu'il s'était déchaîné sur toi, ton père ne t'avait plus adressé la parole. Selon ta mère, il t'avait renié. Ta seule réaction fut un haussement d'épaule, il n'avait jamais était un père pour toi de toute façon.

Une semaine passa, tes activités consistaient à être dans ta chambre ou avec ton frère qui ne pouvait pas s’empêcher de te faire la morale encore et encore. Puis tu te décidas enfin à annoncer les résultats de tes examens à ta "famille". Personne n'a vraiment réagit, Hakim et ta mère ont esquissé un sourire mais il valait mieux ne pas trop montrer sa joie devant ton père toujours énervé. Sa réaction fut un long silence et pourtant le soir, tu l'entendais se vanter de TA réussite auprès de ses amis. Vivement Boston, t'en pouvais plus de toute cette mauvaise énergie, cette hypocrisie. T'avais besoin de fuir à nouveau et le parfait prétexte était des vacances. Elles te furent accordées par ta mère en guise de récompense sous une condition. Que te frère soit avec toi partout. En vacances, à Boston... partout.

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Ottis Heimann

Âge : 25
Lieu de naissance : florence (italie)
Quartier d'habitation / Colocation : South Boston
Situation sentimentale : en couple avec kat
Études / Métier : étudiant en technologie et innovation (6ème année)
Date d'inscription : 10/08/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : overlander (elle)
Icon : ANAYAH KAHLI ► madison beer 20fa7210
Faceclaim : Arón Piper
Crédits : lumos solem
Multicomptes : tatum ferguson & wilhem oswald
Description (1) :

If everything was perfect
you would never learn and you would never grow

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Ottis , il a le syndrome de peter pan. il veut pas grandir, il est bien dans son confort enfantin, gamin dans l'âme, tête à claques à l'humour de con. c'est simple, soit on le supporte, soit on le supporte pas. et même si t'arrives à le supporter, y'a forcément des moments ou tu veux l'étrangler. mais c'est un bon vivant, l'italien, une pile électrique, électron libre que tu peux pas attraper à mains nues. ambitieux, il a confiance en lui et s'il pense aller loin dans la vie, il va tout donner pour y arriver. n'a jamais connu l'amour, s'est toujours contenté de lui-même et c'est peut-être mieux comme ça. fêtard, un peu trop accro à la coco, mais c'est qu'un détail. sociable, toujours opé pour faire de nouvelles rencontres et il a tendance à mettre les gens à l'aise dès les premiers instants... ou pas.
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populaire ⬖ amical ⬖ blagueur ⬖ studieux ⬖ fêtard ⬖ loyal ⬖ capricieux ⬖ zen ⬖ sensible



Description (2) :

ANAYAH KAHLI ► madison beer SL6w7W2Q_o

Description (3) : Katalia Borgia : petite amie (29.06.20) ⬖ Magdalena Heimann : soeur ⬖ Rosa Gimenez : cousine ⬖ Lexie Coleman : amie ⬖ Harlem Wayne : ami
RPS en cours : katalia - harlem - james - saphyr - quentin - zephyr
Warnings : maladie/cancer, sexe

RPS : 197
Messages : 53979
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Ottis Heimann
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PFORZHEIMER HOUSE › prestige redefined
Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t114720-ottis-heimann-aron-piperRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t155331-ottis-gustin-easton-loyd-quito-repertoire-rpsFiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t155389-ottis-gustin-easton-loyd-fiche-de-liensProfil meetsachussets : https://www.i-love-harvard.com/t155368-meetsachussets-hottis#6932223
Bienvenue ANAYAH KAHLI ► madison beer 3850463188
(Ottis Heimann)


✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

ANAYAH KAHLI ► madison beer UqVihWUg_o
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ce pseudo, j'suis in love !
bienvenue à la maison chaton :heaart:
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bienvenuuuuue chez toi :heaart:
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Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche ANAYAH KAHLI ► madison beer 3850463188
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bienvenu ANAYAH KAHLI ► madison beer 2511619667
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Rebienvenue ANAYAH KAHLI ► madison beer 3850463188
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merci tout le monde :heaart:
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Bienvenue !
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