oops i did it again [Davi]

«oui » pour tout. Parce qu'il te plaisait réellement, tu avais limite eu un coup de cœur pour lui, le premier d'ailleurs. Et oui pour ton père même si ce n'était pas tout, tu préférais attendre encore quelques minutes avant de lui dire une autre partie de la raison, même si ce ne sera pas la plus facile. Tu étais lancée Claudia et tu ne pouvais pas refaire machine arrière, c'était impossible. Tu posais ton regard sur lui qui se trouvait à présent devant toi et devant sa question tu ne pouvais que de retirer le regard. «je pense pas que tu aurais compris. » du moins pas tout parce que vous étiez plus jeunes et dieu sait que quand vous êtes jeunes vous êtes horribles entre vous, laissant dire des critiques qui peuvent être blessantes, qui peuvent renfermer les personnes sur elles-mêmes, même si toi ce n'était pas le cas. «écoute Davi » que tu lui disais en le regardant un court instant avant de détourner le regard une fois de plus. «je n'étais jamais sortie avec quelqu'un avant notre rencontre. Et jamais peur. J'savais pas ce qu'il fallait faire, ce qu'il pouvait se passer.. c'était nouveau pour moi ça, de faire des rencontres, de poser mes yeux sur quelqu'un » parce que tu es sûre que lui était déjà sortie avec quelqu'un avant votre rencontre. Et même si tu ne comptais pas lui parler de ça, tu venais l'faire. C'était trop tard. Peut-être que tu lui diras pour sa carrière, si tu en as la force, s'il ne partait pas avant, s'il te pensait sincère, parce que ouais tu l'étais.

(Invité)

Au moins, il y a cela de satisfaisant de savoir que je n’étais pas un laideron sans aucune foutu chance pour elle, lorsque nous étions adolescents. Et que si je n’ai pas eu la chance d’avoir une quelconque relation avec toi était la faute de la sévérité de ton géniteur. Je me sentais tout à coup beaucoup moins agressif en ta présence, mais pas au point de tout excuser. Parce que oui, pour moi, tu aurais pu me parler. J’aurais compris même si j’aurais mal réagi sur le coup. Je n’étais pas un adolescent bête et mal élevé, mes pères ont fait un boulot extraordinaire, déjà que ce n’est pas facile tous les jours. « Tu sais pas, si j’aurais compris ou non et on le saura jamais! » Et c’était qui la pire là-dedans ? Certainement pas moi, c’est toi qui est peut-être passé à côté de quelques choses de passionnel et merveilleux. Une fois de plus, tu détournas le regard, comme si tu avais honte de m’avouer la suite. Il faut dire que nous étions dans une conversation de révélation choc, mais dès que tu as commencé à parlé pour m’expliquer ce qui te tracassais réellement, mon premier réflexe fut été de prendre tes mains dans les miennes pour t’inciter à me regarder. « Hey Claudia, regarde moi. J’comprends, tu sais ? Après, comment t’aurais pu avec le père que t’as ? T’as pas à avoir honte. Ça fait parti de ce que tu es, de ce que tu étais. » Je te fais un léger sourire, comprends ce que tu as dû vivre. J’ai essayé de te soulager d’un poids, peut-être ? Je n’en sais rien, mais j’ai fait mon possible. Sauf, que je ne pouvais m’empêcher de te donner un conseil, même si je sais que tu dois déjà le savoir, aujourd’hui. « Mais si j’peux me permettre… Sois sincère avec les mecs qui te font du charme. Toi aussi, t’as le droit d’être heureuse et de te sentir aimé. Si tu veux quelque chose, fonce et n’est pas peur. C’est ce que j’ai essayé avec toi, il y a quelques années. » Moi-même, je n’avais eu qu’une copine lorsqu’on s’est rencontré, après tout. J’ai remonté ma main pour placer une mèche de tes cheveux derrière ton oreille, avant de me reculer pour laisser entre nous une distance raisonnable. Ce geste se voulait tendre, mais j’espérais qu’il n'était pas déplacé à tes yeux.

(Invité)

il n'avait pas tort sur ça, tu ne sauras jamais s'il aurait pu te comprendre ou pas, s'il t'aurait ri au nez ou s'il t'aurait soutenu, gardant que de l'amitié entre vous, où tu aurais pu écouter ses musiques avec un plaisir monstre, où tu aurais passer d'extraordinaire moments rien que tous les deux. Tu avais eu la force de lui dire la vérité, enfin une partie de la vérité, de la raison pour laquelle il n'y avait rien eu entre vous deux. Et c'était pas aussi facile que tu le pensais.il te demande de le regarder alors qu'il prenait tes mains pour les mettre dans les siennes. Tes yeux brillaient. Non pas par bonheur mais parce que tu avais les larmes aux yeux et ta voix n'était plus la même. Mais petite princesse ne pleurait plus devant les hommes, c'était avant ça. «je déteste mon père tu sais. Je déteste ses actes, ses paroles, sa personne. Il a fait de ma vie un enfer.. » tu lui disais ça droit dans les yeux. «je sais bien.. ce que j'ai honte c'est de lui et de son attitude envers tout le monde » et envers toi aussi Davi. Il aurait fait de ta vie un enfer si tu étais sortie avec moi. Tu savais que ton père aurait bousillé sa carrière s'il savait que c'était toi le cerveau derrière tout ça, après que tu en aies parlé à ta mère. «oui.. mais tu t'es pris un vent de ma part il y a quelques années » et si c'était à l'heure actuelle tu ne lui aurais pas mis. «je pense que j'ai changé depuis que je ne suis plus au Brésil, je dis ce que je pense réellement à ces hommes qui me parlent, ne voulant pas les briser » tu venais lui sourire légèrement après qu'il ne t'ait mis une mèche de tes cheveux derrière ton oreille. son geste était doux, ça te faisait vraiment plaisir.

Plus j’écoutais ce que tu avais à dire contre ton père et plus je me rends compte que j’ai peut-être eu une mauvaise opinion de toi. Malgré tout, je ne peux m’empêcher de penser qu’il s’agit peut-être que d’une tactique pour que je te laisse tranquille. Sauf que d’un autre côté, je sais très bien comment ton père peut-être. Je préfère te laisser le bénéfice du doute, puisque je vois dans ton regard que tu es réellement affectée par la situation. Que tu es heureuse d’être sortie de cette prison, si je peux l’appeler ainsi. « Bon, bien si tu te sens mieux aujourd’hui, c’est le principal non ? » J’étais tant bien que mal de te sourire, puisque tu n’es pas la seule à avoir été affecté. J’essaye néanmoins de me montrer de bonne foi et de te sourire écoutant ce que tu as à dire, haussant simplement les épaules lorsque tu évoques ce vent que je me suis pris. Que veux-tu que je fasse de plus ? Tout ça est du passé, que je le veuille ou non. « Tant mieux, alors. T’es plus libre de faire tes choix et de fréquenter qui tu veux, sans que ton père soit là à regarder tous tes faits et geste. » J’étais heureux pour toi, d’une certaine façon et encore plus si tu dis ce que tu veux et ce que tu ne veux pas. « Et t’as rencontré quelqu’un, là ? » J’avoue être curieux. Cela n’a pas vraiment rapport avec ma personne et ne me regarde pas, mais si je ne demande pas, je ne saurai jamais, n’est-ce pas ? Qui a dit que je ne pouvais pas m'informer ?

(Invité)

Tu avais parlé de ton père a Davi, lui disant que tu le détestais au plus haut point et tu espérais qu'il te croit quand tu lui disais tout cela parce que c'était la pure vérité. Il avait déjà vue ton père à plusieurs reprises et il savait qu'il n'était pas des plus tendres et des plus gentils. " oui, tu as raison ! ça faisait six ans que tu ne l'avais pas vue alors ça ne pouvait qu'aller mieux. Parfois tu avais des nouvelles de lui via ta mère ou d'autres membres de ta famille, mais toujours indirectement puisque tu ne lui as plus parlé depuis tout ce temps. Et tu venais lui dire que tu avais changé parce que c'était le cas, du moins c'est ce que tu pensais réellement. Il venait te poser une question auquel tu souriais : "tu es bien curieux dis donc.. je suis toute seule, mes anciennes relations se sont terminées sans pour autant que ça dure une éternité" comme si tu enchaînais les relations avant de trouver la bonne personne, celle qui fera de ta vie un conte de fée. " et toi alors ? " parce que clairement tu voulais savoir s'il était amoureux, s'il s'était mis en couple plusieurs fois après votre rencontre. Ton sourire se diminua, pensant au fait que tu ne lui avais pas tout dit : " tu pratiques encore de la musique ?" que tu voulais savoir avant d'en dire davantage.

(Invité)

Tout commençait à avoir du sens désormais que tu m’expliquais des choses et moins que je ressens cette haine inexpliquée face à toi. Désormais, je devais passer à autre chose et me dire que si nous n’avons jamais été ensemble, c’est qu’il y a une raison et que nous ne sommes pas fait pour l’être ? Ça fonctionne que ça, non ? Néanmoins, ça ne m’empêchait pas de te demander si tu avais rencontré quelqu’un… Si moi, je ne pouvais pas être avec toi, j’aimerais bien savoir qui est le chanceux qui a réussi. « Je plaide coupable. J’ai toujours été curieux. » Le fait que tu sois seule, me fait étrangement plaisir, mais je ne l’avouerai pas. J’ai appris de mes erreurs. Ce n’est pas vrai que je prendrai un nouveau vent de ta part, alors je reste tranquille. « Moi ? Tu ne penses tout de même pas que je t'ai attendu jusqu’ici, hein? » Je t’offre un clin d’oeil avant de continuer. « J’ai eu quelques relations, mais rien de très sérieux. Ça se termine toujours mal, alors j’suis bien seul... » Oups… Je fronce les sourcils me demandant si je n’ai pas dit quelque chose qui t’a déplu. Pourquoi ton sourire s’est épuisé ? Pourquoi essai-tu de changer de sujet d’ailleurs ? Parce que c’est bien ce que tu fais, non ? C’est du moins ce que je pense que tu fais, parce que je ne vois pas du tout où est le rapport entre la musique et nos fréquentations. « Oui, même que j’me produis dans les bars avec un groupe. J’suis toujours guitariste. Tu devrais venir nous voir jouer un jour, si tu veux ! » Est-ce une bonne idée ? Je n'en ai aucune idée, mais on peut essayer d'être ami, non ?

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tu ne pensais pas que les tensions s'apaiseraient plus rapidement que cela, du moins que Davi ne te voit plus comme un monstre, comme une de ces personnes de la haute, se voulant d'être méchante avec la plupart des gens qu'elle croisait. Tu ne pensais pas non plus le croiser ici et encore moins de lui avoir dit une partie de la vérité, parce que tu ne voulais pas qu'elle éclate cette vérité, préférant tout garder en toi mais finalement tu t'es dit que c'était le bon moment, même si tu l'avais abordé d'une drôle de manière, ne l'ayant pas reconnu au premier abord. «je le sais bien » que tu as toujours été curieux Davi, même moi je l'étais.. «bah tu aurais pu m'attendre dis-donc, j'suis déçue là » que tu disais, accentuant tes mots afin que ceci soit ironique parce que tu savais très bien que votre relation ne verra jamais le jour. «tu trouveras la bonne, j'en suis persuadée, t'es un gars formidable Davi » et ces mots tu aurais du lui dire avant, quand tu t'étais rapprochée de lui au royaume mais c'était trop tard. Ton sourire se voulait être quasiment inexistant alors que tu venais lui demander s'il pratiquait toujours la musique et sa réponse te rendit heureuse. «c'est super ça ! Et ce sera avec plaisir, vraiment » bien sûr que tu aimerais l'entendre jouer bien que tu aurais pu le faire avant, mais tu avais peur de croiser son regard. «d'ailleurs.. en parlant de musique.. » après tout il fallait qu'il le sache, non ? «je t'ai aidé à te lancer dans la musique.. ce n'était pas ma mère mais moi, me cachant derrière elle » que tu venais lui avouer en le regardant doucement.

Jamais tu n’aurais pensé lui pardonner aussi rapidement. Pour toi, c’était une trahison de la pire espèce, ce qu’elle t’a fait. Et pourtant, en comprenant que c’était son père la véritable personne qui a empêché que quelque chose se passe entre vous. Néanmoins, personne ne devait crier victoire, puisqu’on ne sait jamais lorsque tu peux prendre une phrase de sa part que tu peux considérer comme une attaque. Tu es tellement susceptible que tout est possible avec toi. Plus elle te parlait et plus tu te sentais mieux. Comme si un poids venait de se défaire de tes épaules. Un soulagement de savoir qu’en fait, tu n’étais pas tout à fait rien pour elle dans le temps et qu’elle t’appréciais bien, malgré ce vent monumental qu’elle a pu te donner. « T’attendre pour que tu me rejettes encore ? » Tu la regardes, les yeux de chat potté et hausse les épaules lorsqu’elle te dit qu’un jour tu trouveras la bonne. Et si tu n’en as pas envie, qu’est-ce qui se passe ? « Sans doute, mais ça ne m'intéresse pas. Il va falloir que la fille me montre de l’intérêt pour que je m’y intéresse à mon tour, parce que les déceptions amoureuses, j’en ai marre. » Tu ne voulais pas la faire sentir coupable avec cette phrase, même si oui, en réalité, elle faisait partie de tes déceptions amoureuses. Et puis la bombe éclata… Tu ne savais même pas comment réagir. « Attends, j’comprends pas. T’es en train de dire que c’est en parti à toi que j’dois mon succès ? » Bon, tu n’étais pas une vedette non plus, mais au moins, tu as déjà fait la première partie de quelques groupes à succès. « Est-ce que j’suis vraiment en train de passer à côté d’la femme parfaite ? » Tu te mets à rire avant de redevenir plus sérieux. « Et pourquoi t’as fait ça ? Tu t’es senti coupable ? J'te faisais pitié ? » T’espérais en même temps que ça ne soit pas la raison, parce que bon, ce n’est déjà pas très valorisant.

(HJ : Tu m'as donné envie de rep à la deuxième personne et je suis mélangée )

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plus tu te livrais à lui et plus tu lui disais la vérité et plus tu te sentais mieux, comme si on venait te libérer d'un endroit maussade, comme si on t'avait libéré des griffes d'une sorcière. Tu ne pensais pas que tu irais mieux après tes paroles. Comme quoi les regrets peuvent disparaître quand la vérité finie par voir le jour. «je te comprends.. » même si tu faisais partie de ses déceptions amoureuses et même si tu en avais pas tellement eu «mais tu trouveras celle qui te montrera de l'intérêt, ne t'inquiète pas » peut-être qu'il trouvera la personne qui lui faudra dans les jours qui suivent, celle qui le rendra heureux et vice-versa. Le sourire qui pouvait être sur ton visage avait disparu avant que tu ne lui parles de musique parce que ta vérité n'était pas encore terminée et qu'il devait de savoir que tu y étais pour quelque chose derrière sa passion pour la musique. «oui, c'est ça » c'était la moindre des choses que tu pouvais faire pour lui, comme si tu voulais lui faire passer indirectement un message même si ce fût sa mère qui était la première remerciée. «peut-être, hein » que tu lui dis concernant la femme parfaite où un sourire était venu se mettre dans le coin de ta bouche pour ta réponse avant de disparaître aussitôt. «j'voulais le faire parce j'aime t'entendre jouer de la guitare, te voir écrire des chansons et je me suis dit que si je le faisais de moi-même tu n'aurais jamais accepté mon aide. Du coup j'ai demandé à ma mère et j'ai tout le temps été contente pour toi quand la musique fonctionnait. Plus les jours passaient et plus j'me disais que tu ne devais pas savoir ça.. » et puis ta mère t'avait conseillé de lui réveler avant que tu n'aies d'autres regrets Claudia. «mais en aucun cas c'était de la pitié Davi, j'voulais que tu sois heureux » dans la musique, sans toi à ses côtés, hélas.

hrp; haha

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j'ai bien aimé comme ça oops i did it again [Davi] - Page 2 3997999705

Celle qui allait te montrer de l’intérêt n’était certainement pas encore née, mais oui, tu trouveras certainement chaussure à ton pied un jour. Ça serait dommage tout de même de ne pas fonder ta famille, sachant que ton souhait caché de tous est d’avoir des enfants. Davi devant un enfant, ce n’est plus le même mec. « Un jour peut-être… J’espère seulement qu’elle m’intéressa en retour. » Et qui sait, qui ça sera. La personne qui dit que toute personne sur terre a une âme sœur, pour toi c’est de la bullshit, mais ça tu t’abstiens de le mentionner. Et lorsqu’elle commença à te révéler qu’elle était à l’origine de ton petit succès et tu ne savais plus quoi en penser. C’est certain que tu n’aurais jamais voulu de son aide si elle te l’avait proposé. Toi qui croyais que c’était parce que sa mère vous avait trouvé excellent qu’elle vous a donné un coup de main. Tu venais de tomber de haut, sachant désormais la vérité et tu maudissais encore plus son père, aujourd’hui. Pour tout ce qu’il a fait. Parce que non, si Claudia ne s’intéressait pas à toi dans le temps, elle n’aurait jamais commis ce geste pour t’aider. « Ouais, bien, j’aurais été encore plus heureux à tes côtés. J’sais pas si tu comprends comment j’ai pu t’aimer. C’est con à dire, mais j’aurais tout fait pour pouvoir te rendre heureuse, comme tu m’as rendu heureux avec c’que t’as fait pour moi. » Une note de nostalgie, mélangée avec un soupçon de haine venait de faire surface… « J'sais plus du tout quoi t’dire. J’aurais aimé le savoir avant. Tout ça, j’aurais aimé le savoir avant. Ça aurait changé bien des choses. » Tu déglutis avant de tourner ta tête vers la droite et de regarder un point invisible un peu plus loin… Tu ne comprends même pas ce qu’est ton changement d’humeur aussi soudain, mais tu ne cherchais pas à comprendre plus que ça. Ça ne faisait juste chier parce que ton passé revenait te hanter au galop.

(Invité)

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