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Cela fait peu de temps que t'es arrivée en ville, tu prends encore goût à explorer cette dernière, découvrant de nouveaux endroits chaque jours. Ça te change de Paris et qu'est-ce que ça te plaît. T'aimes cette ville pour le moment et t'espère vraiment que ça va continuer dans ce sens. Pour le moment tu crèches à l'hôtel avec tes frères mais t'as bien l'intention de te prendre rapidement un appartement, histoire d'avoir ta propre liberté, pour de bon. Depuis que t'es arrivée, t'as pas encore eu l'occasion de voir Louison, ta soeur. Elle est en quelque sorte la raison de ta venue ici et pas ailleurs. Vous avez échangé quelque messages mais sans plus, elle ne sait même pas que tu es ici. T'as envie de lui faire la surprise mais c'est un peu délicat, tu ne sais même pas où elle habite. Tu pourrais peut-être lui demander son adresse en prétextant vouloir lui envoyer des vêtements ou autre, t'es presque sûre que ça pourrait fonctionner, elle n'y verrait que du feu. En attendant, cette après-midi t'as décidée de faire un peu de shopping. T'as pas énormément d'argent sur ton compte en banque mais c'est plus fort que toi, tu te sens tellement bien lorsque tu portes des vêtements neufs. Tu déambules de magasin en magasin, ne trouvant pas grand chose qui te plaît. Tu passes devant une bijouterie et à ta grande surprise, ton regard s'arrête immédiatement sur la touffe blonde qui est en train de regarder la vitrine. Sérieusement ?! Tomber sur ta soeur ici ? Tu ne t'y attendais pas du tout. Ne pouvant pas passer outre l'envie de lui faire une petite surprise, tu viens te mettre à côté d'elle, regardant les bagues qu'elle était en train de regarder. Je trouve que celle-ci est pas mal. Dis-tu en pointant du bout des doigts une bague juste en face de toi. T'as hâte de voir la tête qu'elle va faire lorsqu'elle se tournera vers toi, t'as envie de la prendre dans tes bras mais tu te retiens pour le moment. Même si tu risques de ne pas tenir très longtemps, elle t'a tellement manqué.

@Louison Chamberlain
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Nouvelle saison, nouvelle couleur de cheveux, nouveau… petit-copain ? Est-ce que je peux d’ailleurs qualifier Thomas de la sorte ? S’il est mon fiancé, c’est que je sors avec non ? On n’a rien officialisé en réalité. On n’arrête pas de dialoguer par texto, mais dès que j’essaie de passer un peu de temps avec lui, il se volatilise. Je n'en reviens pas. J’ai donné ma main à Casper le fantôme. La plupart de mes potes m’ont incendié quand je leur ai déballé cette histoire et depuis, je me frustre moi-même en ne faisant pas don de mon corps aux charognards qui me tournent autour. Damn, j’aime le sexe et ça me manque déjà. Mais je dois respecter mon engagement maintenant, jusqu’à ce que Thomas soit prêt à m’offrir sa virginité. C’est lui l’homme de ma vie, l’homme aux chinchillas, au kiki lacéré par son rasoir, le phobique des chats. Notre histoire ne fait que commencer, je dois juste rassembler toute ma patience le temps qu’elle démarre. Une fois lancés, je suis sûre que plus rien ne pourra nous arrêter tous les deux. Bref, après une petite discussion avec Thomas autour de la bague que je n’ai toujours pas, j’ai décidé d’aller flâner au centre commercial pour éventuellement repérer un anneau cheap qui fera l’affaire. Il faut bien que j’officialise tout ça et que l’on capte assez vite que je suis une femme prise, cela m’évitera de fournir des râteaux. Le nez collé aux vitrines d’un célèbre magasin de joaillerie, je bave en me faisant aveugler par les diamants qui scintillent. Tout à coup, un doigt entre dans mon champ de vision et une voix qui ne m’a que trop manqué chatouille mes tympans. Je suis en pleine hallucination, ce n’est pas possible. Ce n’est pas possible que ma petite soeur soit juste à côté de moi en train de m’indiquer la bague que je n’aurais jamais. Victoire est en France, pas à Boston. Le coeur battant la chamade, je me redresse et décide de t’affronter, ô toi, le produit de mon imagination. Mes yeux scrutent ta silhouette de haut en bas et reviennent s’accrocher sur ta frimousse de poupée « Tu ressembles à ma soeur qui vit à des kilomètres d’ici, seriez-vous un putain de clone ? » te demandai-je en secouant négativement ma tête. J’ai envie de te serrer contre moi, tu ne peux pas savoir à quel point je voulais tous vous rejoindre à la maison cette année. C’était une catastrophe et tu le sais, parce que tu étais la seule de la famille à qui je contais mes aventures. « Si tu es une Chamberlain, j’exige un câlin de la mort qui tue »
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T'es vraiment contente de tomber sur ta soeur, tu ne t'attendais pas à ça mais pour le coups, c'est une belle surprise, vraiment. Tu ne perds pas une seconde pour t'approcher de la demoiselle en question et de lui adresser la parole, donnant même ton avis sur les bagues qu'elle était en train de regarder. Pourquoi des bagues d'ailleurs ? Boh, peut-être bien qu'elle a juste envie d'habiller sa main, c'est tout. Crois-tu vraiment qu'il serait possible de me cloner ? Je suis un modèle unique, bien trop jolie pour avoir un quelconque clone de moi réussi dans ce monde. Dis-tu tout en haussant les épaules. T'as parfois un humour de merde, bien trop souvent même. Tu te mets à rire toute seule face à ta blague, t'arrêtant aussi vite en te rendant compte que ce n'était peut-être pas si drôle que ça finalement. Comment pourrais-je te refuser ça ? Et sans plus aucune hésitation, tu viens prendre ta soeur dans tes bras, encerclant sa taille de tes bras. Tu l'enlaces fort, comme si tu avais peur qu'elle s'en aille de nouveau. J'ai tellement de chose à te raconter, si tu savais.. Tu soupires avant de rouler des yeux, restant toujours collée à Louison, t'as clairement plus envie de la lâcher maintenant que tu viens tout juste de la retrouver. Vous avez tellement de temps à rattraper, tellement de choses à vous dire, c'est certain. Tu vas devoir lui annoncer le divorce des parents et ça, par contre, ça te réjouit tout de suite moins. Mais tout d'abord.. Si on allait se boire un verre ? J'sens que tout c'que j'ai à te dire va me donner soif. Tu ris, un petit rire nerveux parce que tu sais très bien que ta soeur ne va pas forcément apprécier ce que tu vas lui annoncer dans quelques minutes.
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Tu as bien raison. Tu es inimitable, tu es ma sœur, mon sang, tout. Bordel, tu as grandi depuis l’année dernière. Tu es plus mature, plus femme, plus confiante. « Tu devrais regarder Orphan Black, c’est possible je t’assure » plaisantai-je en mêlant mon rire au tien. Mon coeur se réchauffe instantanément. Des souvenirs se bousculent à ma conscience. Paris me manque, nos chambres mitoyennes aussi, même si nous dormions plus l’une avec l’autre que séparément. Mes bras s’élargissant, je t’accueille entre eux pour me shooter à ton odeur. On s’enlace fort, si fort. Aussi fort que lorsque je t’avais quitté il y a quatre ans pour étudier sur la côte ouest. Si seulement j’étais restée en France, mon disque dur serait sûrement moins rayé qu’à l’heure actuelle « Des choses à me raconter ? » Je le savais, si tu es là, c’est bien qu’un truc cloche. Je me rigidifie totalement. Ma salive passe plus dans mon gosier. Tu sembles inquiète, triste, paumée. Je flippe maintenant. « Oui bien sûr, j’ai envie d’un frappé citron et d’un bon cupcake plein de sucre, ça te dit aussi ? » Ne me dis pas que tu as soif d’alcool sister, tu n’as pas l’âge de boire ici et cela me choquerait que tu sois tombée là-dedans toi aussi. Attrapant ton bras que je noue au mien, j’emboite le pas pour nous diriger vers l’escalator. Je hais cette machine. Je panique. Je pose mon pied et je le retire « Rigole pas couille molle » dis-je à moitié terrorisée et morte de rire. Après une minute à planter devant l’escalier mécanique, je réussis à m’incruster sur la même marche que toi et je pose ma main sur la rampe qui coulisse « Maman est malade ? Papa ? Cancer ? » psychotai-je au milieu de l’escalier en jaugeant tes réactions.
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Tu te mets à rire lorsque ta soeur mentionne une série, ouais, accroc aux séries comme tu es, tu l'as déjà vu. Faut bien rentabiliser l'abonnement Netflix que tu paye tous les mois après tout. Oh bordeeel tu t'imagines si j'avais autant de clones qu'elle.. J'pourrais être à plusieurs endroits en même temps, le pied. Tu acquiesce d'un signe de la tête, t'imaginant déjà la scène. Ouais bon.. Ce serait pas vraiment toi mais tu pourrais carrément te servir de ces clones pour aller à un rencart où tu n'as pas forcément envie d'aller par exemple, ce serait pas si mal au final.. Rapidement, tu lui proposes de se poser devant un verre, prétextant avoir des choses à lui dire. T'as pas envie de faire comme si tout allait bien alors qu'elle doit très bien se douter que si t'es ici, c'est que tout ne va pas si bien que ça. Je ne dis jamais non à un gâteau bourré de sucre. Le sucre c'est toute ma vie. Dis-tu en battant des cils. Ouais clairement, Louison ne pouvait pas te proposer mieux. Tu commences à marcher, toujours aussi coller à ta soeur, un peu comme des soeurs siamoises. Ouais, t'as plus l'intention de la lâcher maintenant qu'elle est à tes côtés et t'as l'impression qu'elle est dans le même état d'esprit, parfait. T'admire la folle danse de Louison et l'escalator, ne pouvant t'empêcher de pouffer de rire. Entre nous, c'est toi la couille molle en c'moment. Souffle-tu entre deux rires. Vous finissez par emprunter ce foutu escalator, le moment crucial étant imminent, tu sens le stress te monter. T'as peur de la réaction de ta soeur, t'as pas envie de lui faire du mal. Fort heureusement personne n'est malade. Ouais, tu préfères tout de même un divorce à un cancer ou autre.. T'as vraiment pas envie de perdre l'un de tes parents, pas du tout même. Vous arrivez finalement à la petite boutique où vous alliez vous poser. Tu t'installes à une table, face à Louison. Je ne vais pas faire durer le suspense plus longtemps.. Tu prends une grande respiration avant de poursuivre, sans même oser croiser le regard de ta soeur. Papa et maman vont divorcer. La bombe est lancée et rien à qu'à ses mots, tu sens les larmes te montaient aux yeux.
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Tu mens. Tu as dû faire une croix sur les sucreries depuis bien longtemps. Tu as une taille de guêpe, les joues creuses. Un squelette qu'on pourrait rencontrer sur le papier glacé. Tu es juste magnifique, étincelante, à couper le souffle. Les Français vont regretter ton voyage jusqu’ici. Rien qu’en y pensant, j’ai envie de les zigouiller, de zigouiller tous ceux qui auront des pensées malsaines envers toi. Il faut que je me calme, j’ai l’impression d’être Octave, notre frère sans coeur et hyper protecteur. T’emmenant en direction du petit café que j’adore tout particulièrement, je me confronte dès lors à un putain d'escalator. La pression me submerge. Je psychote comme si je marchais sur des braises. T'entendant glousser à mes côtés, j’active le mode vulgarité tout en m’accrochant à ton bras « Naaaon c’toi, aide ta grande soeur un peu !!! » Après plusieurs tentatives pitoyables, mes pieds rencontrent les marches striées. Je me fixe à la rambarde et je regagne mon sérieux. Mes prunelles entrent en contact avec les tiennes et je ne peux m’empêcher d’imploser sous forme d’interrogations. Ta venue m’inquiète, tes grimaces encore plus. Je crains le pire. Heureusement, tu calmes assez vite mes doutes les plus terribles. Pas de maladie. J’expire l’air de mes poumons, légèrement soulagée. Rien de pire pourrait arriver j’imagine. Puis, enfin à l’étage souhaité, nous nous dirigeons sur la terrasse du petit restau’. On s’assoit, je soupire en déposant mon téléphone entre nous et je reprends mes regards teintés d’inquiétude. « Oui oui, dis moi tout ou je vais exploser » Qu’est-ce qu’il y a bordel ! T’es enceinte ? Mon coeur s’active. Et paf, la sentence tombe. Papa et maman. Divorce. Un bourdonnement s’impose à mes oreilles. Je suis sonnée. Je pourrais gober une mouche avec ma bouche grande ouverte. « Ok. C’est pas une surprise hein ! On se doutait tous qu’ils n’allaient pas rester mari et femme jusqu’à ce que la mort les sépare » Je pouffe de rire et attrape nerveusement la carte entre nous pour cacher ma face en décomposition. Putain, le mariage, une belle connerie. Pourquoi j’ai dit oui à Thomas, j’ai les gènes de deux catastrophes ambulantes. « Les vacances commencent bien ! Je n'entrerai pas dans leur guerre à choisir l’un ou l’autre. Ils sont ex-aequo dans la connerie. » lâchai-je froidement en croisant mes jambes sous la table. « Ça va toi ? J'imagine que tu as été spectatrice de leur cirque.. j'suis désolée »
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Vous arrivez rapidement à l'endroit souhaité, tu t'installes à une table et tu n'attends pas plus longtemps avant de lâcher la bombe, t'as pas envie de la faire stresser encore plus. Tu t'attendais à une telle réaction de la part de Louison, elle est choquée, comme toi tu as pu l'être le jour où ils te l'ont annoncé. Tu te souviens encore de ce jour, tu n'sais même pas si tu pourras finir par l'oublier, il restera très certainement gravé dans ton esprit à jamais. Ce n'est pas le genre de chose que l'on oublie avec le temps. La fin d'une histoire, une histoire que tu voulais voir éternelle. Tu hausses les épaules aux paroles de ta soeur. Elle avait peut-être raison mais t'avais envie de croire en leur amour, t'avais envie d'espérer que ce n'était qu'une mauvaise passe, qu'ils allaient réussir à être de nouveau heureux ensemble. Jusqu'au jour où ton père t'as annoncé qu'il quitté ta mère pour une autre femme. Le choc. Oui mais je.. Tu soupires, essayant de reprendre ton calme, les larmes coulant le long de tes joues. Ça te fait tellement mal de parler de ça, d'y penser.. J'avais dans l'espoir que ça finisse par aller mieux entre eux.. Mais ça n'a jamais été le cas. C'était de pire en pire. Ouais, en même temps tu sais pas trop si ton père fréquentait déjà sa nouvelle compagne à ce moment-là, c'était peut-être uniquement pour cette raison que ça n'allait plus du tout dans leur couple, ce qui se comprendrait tout à fait. C'est pour ça que je suis ici Louison. J'en avais marre de cette guerre constante. Ils essayaient tous les deux de nous soudoyer un peu.. Ils essayaient de rattraper le temps perdu, le temps qu'ils ne pouvaient pas nous consacrer à cause de leur boulot avant. Tu soupires, ça t'avais vraiment déchiré le cœur de devoir quitter ta vie à Paris, tu te plaisais bien là-bas même si tu te devais de montrer une bonne image de toi, d'être droite, de ne faire aucunes erreurs. Non, ça n'va pas du tout. Je ne vais pas te mentir.. Ça me fait affreusement mal au cœur. Tu secoues la tête de gauche à droite, essuyant les larmes qui coulaient le long de tes joues. Tu attrapes une serviette sur la table et sans le vouloir, ton regard se pose sur le téléphone de ta soeur. Un message d'un certain Thomas. Hmm, serait-ce le mec dont te parlait Liam il y a quelques jours ? Peut-être bien. T'as toujours autant de succès à ce que je vois ? C'est qui ce mec ? J'espère qu'il se montre gentil avec toi, sinon il aura affaire à moi. Tu changes de sujet, littéralement. T'as pas vraiment envie de t'attarder sur le divorce des parents, ça te fait déjà assez mal comme ça. Et puis.. Faut dire qu'après tout ce qu'a pu te dire Liam sur un certain mec qui tourne autours de ta sœur, t'as bien envie de savoir ce qu'elle peut te dire sur lui. Tu ne veux pas que ta sœur soit malheureuse, elle ne le mérite pas.
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Je le savais dès l’instant où j’avais donné mon avis sur cette séparation. Je savais que j’avais été trop tranchante et que tu ne pourrais pas faire preuve d’autant de froideur pour cette situation. Des larmes traversent tes joues et je sens mon coeur se retourner dans ma cage thoracique. Je déteste cette image. Te voir pleurer, c'est comme si on me poignardait des centaines de fois. Ton récit me glace d'abord le sang, puis ce dernier se met finalement à bouillir dans chacune de mes veines. Irrémédiablement, je lâche la carte nous séparant et je pars chercher tes poignets pour les serrer dans mes mains. « Pardonne moi Vic’ » Mes lèvres se retroussent. Un de mes pouces balaie ta peau fine et diaphane « Reste ici alors, ne rentre pas. On se trouvera tous un appartement, on vivra tous ensemble et on les laissera s’entretuer de l’autre côté de l’Atlantique. Loin des yeux, loin du coeur, crois moi » Je le sentais depuis que j’étais gamine, que cette famille allait un jour voler en éclats, ça n’a pas loupé. Étais-je visionnaire il y a quatre ans ? Peut-être bien. J’étais surtout objective, nos parents avaient cessé de s’aimer bien avant que nous arrivions au monde. Je parie que chaque gosse suivant notre aîné était une tentative pour se rapprocher, mais cela n’a jamais marché. « Ça va aller, j’suis là maintenant » J’affiche un sourire, histoire de dédramatiser tout ça et c’est à cet instant que mon portable créait une onde sismique entre nous. Mon regard s’abaisse alors jusqu’à l’écran où j’y lis le prénom de Thomas. Du rouge colore mes joues. Instantanément, je prie pour que tu ne me grilles pas. Raté. « C’est le plus gentil que je connaisse jusqu’à présent » Ma canine se plante dans ma lèvre inférieure. Je me sens minuscule. Me jetant contre le dossier de ma chaise, je finis par me vautrer sur le dos en sous-estimant la fragilité du mobilier. Les quatre-fers en l’air, j’éclate de rire en pédalant dans le vide « Tu sais quoi ? C’est même mon fiancé » dis-je à travers des éclats de rire pouvant se transformer d’un moment à un autre en sanglots. Je suis paumée Victoire, complètement paumée.
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